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Information professionnelle sur Oramorph®:Norgine AG
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Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
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OEMéd

Composition

Principe actif: Morphini sulfas pentahydricus (pentahydrate de sulfate de morphine).

Excipients
Oramorph 10 mg/5 ml, solution buvable (récipient multidose): Conserv.: Methylis parahydroxybenzoas (E218), Propylis parahydroxybenzoas (E216), excipiens ad solutionem pro 1 ml corresp. ethanolum 10% v/v.
Oramorph 20 mg/1 ml, solution buvable (récipient multidose): Conserv.: Natrii benzoas (E211), excipiens ad solutionem pro 1 ml.
Oramorph solution buvable (doses unitaires): Conserv.: Excipiens ad solutionem pro 5 ml.

Forme galénique et quantité de principe actif par unité

1 ml contient: Morphini sulfas pentahydricus 2 mg (corresp.: Morphinum 1,5 mg).

Oramorph 20 mg/1 ml, solution buvable en récipient multidose
1 ml contient: Morphini sulfas pentahydricus 20 mg (corresp.: Morphinum 15 mg).

Oramorph 10 mg/5 ml, solution buvable en récipient unidose
5 ml contiennent: Morphini sulfas pentahydricus 10 mg (corresp.: Morphinum 7,5 mg).

Oramorph 30 mg/5 ml, solution buvable en récipient unidose
5 ml contiennent: Morphini sulfas pentahydricus 30 mg (corresp.: Morphinum 22,5 mg).

Oramorph 100 mg/5 ml, solution buvable en récipient unidose
5 ml contiennent: Morphini sulfas pentahydricus 100 mg (corresp.: Morphinum 75 mg).

Indications/Possibilités d’emploi

Douleurs aiguës prolongées moyennement fortes à fortes ou en cas d’efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.

Posologie/Mode d’emploi

Conversion: 10 mg de pentahydrate de sulfate de morphine correspondent à 7,5 mg de morphine (facteur = 0,75).

I. Oramorph solution buvable en récipient multidose
Adultes: la dose habituelle est de 5 à 10 mg, correspondant à 10 à 20 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 7,5 à 15 mg de morphine) toutes les 4 heures.
Enfants de moins d’1 an: utilisation déconseillée (voir «Contre-indications»).
Enfants de 1 à 5 ans: la dose maximale est de 2,5 ml, correspondant à 5 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 3,75 mg de morphine) toutes les 4 heures.
Enfants de 6 à 12 ans: la dose maximale est de 2,5 à 5 ml, correspondant à 5 à 10 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 3,75 à 7,5 mg de morphine) toutes les 4 heures.

Oramorph 20 mg/1 ml, solution buvable en récipient multidose avec pipette graduée
Adultes: la dose habituelle est de 0,5 à 1 ml, correspondant à 10 à 20 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 7,5 à 15 mg de morphine) toutes les 4 heures.
Enfants de moins d’1 an: utilisation déconseillée (voir «Contre-indications»).
Enfants de 1 à 5 ans: la dose maximale est de 0,25 ml, correspondant à 5 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 3,75 mg de morphine) toutes les 4 heures.
Enfants de 6 à 12 ans: la dose maximale est comprise entre 0,25 et 0,5 ml, correspondant à 5 à 10 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 3,75 à 7,5 mg de morphine) toutes les 4 heures.
La posologie peut être augmentée sous contrôle médical en fonction de l’intensité des douleurs et des besoins en antalgiques du patient selon son anamnèse. Elle peut être réduite chez les patients âgés ou affaiblis. La durée du traitement varie chez chaque patient en fonction de l’intensité des douleurs.

b) Mode d’emploi
La solution buvable Oramorph peut être avalée telle quelle ou mélangée à une boisson sucrée juste avant l’administration.

II. Oramorph solution buvable en récipient unidose
Sauf avis contraire du médecin, il est recommandé de respecter les posologies suivantes:
Adultes: la dose initiale habituelle est comprise entre 5 et 10 ml d’Oramorph 10 mg/5 ml solution buvable (récipient unidose), ce qui correspond à 10 à 20 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 7,5 à 15 mg de morphine) toutes les 4 heures.
La posologie peut être augmentée sous contrôle médical en fonction de l’intensité des douleurs et des besoins en antalgiques du patient selon son anamnèse. Dans ce cas, on utilisera Oramorph 30 mg/5 ml ou Oramorph 100 mg/5 ml en récipient unidose. La durée du traitement varie chez chaque patient en fonction de l’intensité des douleurs.
Enfants de 6 à 12 ans: la dose maximale d’Oramorph 10 mg/5 ml solution buvable est comprise entre 2,5 et 5 ml (récipient unidose), ce qui correspond à 5 à 10 mg de pentahydrate de sulfate de morphine (soit 3,75 à 7,5 mg de morphine) toutes les 4 heures.
Sujets âgés: chez les patients âgés ou affaiblis, une réduction de la posologie peut s’avérer nécessaire.

b) Mode d’emploi
Détacher une unidose de la bande et ouvrir le bouchon en le dévissant énergiquement.
La dose nécessaire peut être mélangée à une boisson sucrée juste avant l’administration.

III. Instructions spéciales pour le dosage
Pour les patients passant d’un autre morphinique à Oramorph, la posologie devra éventuellement être réajustée. Lorsqu’Oramorph solution buvable en récipient multidose ou unidose est substitué à une administration parentérale, il est habituellement nécessaire d’augmenter la dose de 50 à 100% pour obtenir le même effet analgésique.

Contre-indications

Oramorph ne doit pas être utilisé dans les cas suivants:
enfants de moins d’1 an,
hypersensibilité connue à la morphine se traduisant par l’apparition d’érythèmes faciaux, de prurit et de broncho­spasmes (risque de réaction anaphylactique),
abdomen aigu sous toutes ses formes, y compris iléus paralytique,
intoxication aiguë,
crise d’asthme aiguë,
affections obstructives des voies respiratoires supérieures,
dépression respiratoire,
pathologies hépatiques aiguës,
traumatisme crânien et hypertension intracrânienne,
ralentissement de l’évacuation gastrique,
administration concomitante d’inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO) ou pendant les 2 semaines suivant leur interruption (voir aussi «Interactions»),
épilepsie, alcoolisme aigu.

Mises en garde et précautions

Oramorph doit être utilisé avec prudence dans les cas suivants:
coliques hépatiques et néphrétiques,
après une intervention chirurgicale des voies biliaires et de l’urètre,
hypertrophie de la prostate,
myxoedème et hyperthyroïdie,
chez les sujets âgés,
insuffisance respiratoire,
affections hépatiques et rénales, insuffisance corticosurrénale,
état de choc,
maladies inflammatoires et rétrécissement pathologique de l‘intestin. En cas de suspicion d’iléus paralytique, un arrêt immédiat du traitement s’impose,
dépendance aux opiacés.
Comme pour tout morphinique, Oramorph ne doit pas être administré chez les patients devant subir une chordotomie ou toute autre opération à visée analgésique pendant les 24 heures qui précèdent l’intervention. Si, par la suite, la reprise d’un traitement par Oramorph est indiquée, la posologie devra être de nouveau ajustée en fonction des besoins postopératoires du patient.

Interactions

L’emploi simultané de morphine et de médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC (par ex. analgésiques, hypnotiques, sédatifs), d’antidépresseurs tricycliques, de phénothiazines et d’alcool peut renforcer les effets secondaires de la morphine et entraîner notamment des troubles respiratoires. Si, chez le rat, la cimétidine inhibe le système du cytochrome P, donnant lieu à des concentrations plasmatiques de morphine plus élevées, la même interaction n’a pas été mise en évidence chez l’homme.
Chez les patients prétraités par des inhibiteurs de la MAO au cours des 14 jours ayant précédé l’administration du médicament, on ne peut exclure la survenue d’interactions éventuellement fatales au niveau du SNC, du système respiratoire et du système cardiovasculaire (voir «Contre-indications»).
La morphine potentialise l’effet des myorelaxants.

Grossesse/Allaitement

Ce médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue (les motifs doivent en être précisés). La prise de ce médicament pendant la grossesse comporte des risques manifestes pour le foetus et le nouveau-né.
Après que la mère a été traitée, le nouveau-né peut souffrir de dépression respiratoire et de symptômes de sevrage.
Les sels de morphine sont éliminés dans le lait maternel. Les effets de la morphine sur le nourrisson n’ayant pas fait l’objet d’études, il est formellement déconseillé d’allaiter lors de la prise de ce médicament.

Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines

Selon les individus, Oramorph peut avoir un effet marqué sur l’aptitude à la conduite de véhicules et à l‘utilisation de machines. Cet effet est accentué en cas de consommation simultanée d’alcool.
Les patients en début de traitement doivent se montrer prudents à cet égard.

Effets indésirables

La morphine exerce sur le psychisme différents effets secondaires d’intensité et de nature variables selon l’individu. On constate souvent la présence d’une dysthymie (le plus souvent euphorique, parfois dysphorique), d’une dépression, d’une modification du degré d’activité (le plus souvent baisse, parfois augmentation), d’insomnie et de modifications des performances cognitives et sensorielles telles que des troubles de la perception, des hallucinations et des états d’excitation. On observe fréquemment une baisse de la libido et des signes d’impuissance sexuelle.
La prise de morphine peut entraîner un état euphorique et la survenue d’une dépendance. Après une utilisation répétée d’antagonistes des opiacés, un arrêt brutal du traitement déclenche un syndrome de sevrage typique. C’est pourquoi l‘arrêt du traitement doit s’effectuer progressivement.

SNC
Selon la dose administrée, la morphine entraîne une dépression respiratoire et une sédation d’intensités variables, allant d’une fatigue légère à un état d‘obnubilation. On observe occasionnellement la survenue de céphalées, de vertiges, d’une sudation, d’une vision trouble, d’une diplopie et d’un nystagmus. Le myosis est un effet secondaire typique. L’administration par voie épidurale et intrarachidienne peut parfois réactiver un herpès labial. L’administration de fortes doses, particulièrement à proximité du SNC (épidurale, intrarachidienne) peut provoquer – quoique très rarement – des convulsions cérébrales.

Coeur et circulation sanguine
A de rares occasions, on a signalé des cas de bradycardie et une baisse aussi bien qu’une élévation cliniquement significatives de la pression artérielle et de la fréquence cardiaque. Des érythèmes faciaux, des frissons, des palpitations et une faiblesse générale pouvant aller jusqu’à une perte de connaissance ou une défaillance cardiaque peuvent également se manifester.

Système gastro-intestinal et musculature lisse
Des nausées et une sécheresse buccale peuvent survenir en fonction de la dose administrée. Des vomissements (en particulier en début de traitement), un manque d’appétit et des modifications du goût ont parfois été observés. La constipation, voire une occlusion intestinale, sont des signes accompagnateurs typiques lors d’un traitement au long cours.
On observe occasionnellement des spasmes des muscles lisses à type de coliques, de troubles de la miction (rétention urinaire notamment), de bronchospasmes et de laryngospasmes.

Réactions d’hypersensibilité
Des réactions d’hypersensibilité telles qu’urticaire, prurit (fréquent lors de l’administration intrarachidienne), exanthèmes et oedèmes ont été parfois observées. Des réactions anaphylactiques relevant d’une libération d’histamine peuvent apparaître et déclencher, dans de rares cas, une crise d’asthme chez les sujets prédisposés.

Autres effets indésirables
Chez les patients traités en soins intensifs, des oedèmes pulmonaires d’origine non cardiogénique sont observés occasionnellement.
Nausées et sédation sont des effets indésirables notoires du médicament, en particulier en cas d’administration systémique.
L‘administration de morphine par voie épidurale et intrarachidienne peut, dans des cas isolés, entraîner une inflammation des méninges (méningite) ou d’autres troubles du système nerveux (symptômes neurologiques). Administrée par voie épidurale, la morphine peut occasionner, dans de rares cas, des modifications au niveau de l’espace entre les méninges au niveau rachidien (espace épidural). En cas d’administration par voie épidurale et intrarachidienne, une inhibition respiratoire peut survenir même de façon retardée (jusqu’à 24 heures après l’administration).

Surdosage

La sensibilité à la morphine variant sensiblement d’un individu à l’autre, des signes d’intoxication peuvent survenir chez l’adulte dès la prise d’une unitaire correspondant à une administration sous-cutanée ou intraveineuse d’environ 30 mg. Ces valeurs sont souvent dépassées chez les patients cancéreux, sans entraîner pour autant d’effets secondaires graves.
Une intoxication aux opiacés se traduit par la triade: myosis, dépression respiratoire et coma. Les pupilles commencent tout d’abord par se contracter jusqu’à avoir la taille de «têtes d’épingles». Puis, en cas d’hypoxie sévère, elles se dilatent. La respiration diminue fortement (jusqu’à atteindre 2 à 4 respirations par minute). Les signes d’une cyanose apparaissent.
Un surdosage par la morphine entraîne une obnubilation et une stupeur, et peut aller jusqu‘au coma. La pression artérielle reste tout d’abord normale, puis chute rapidement à mesure que l’intoxication progresse.
Une hypotension prolongée peut entraîner un état de choc. Une tachycardie, une bradycardie et une rhabdomyolyse peuvent survenir. On observe une chute de la température corporelle. La musculature squelettique se relâche et des crampes généralisées peuvent survenir occasionnellement, particulièrement chez les enfants. Le plus souvent, le décès est occasionné par une insuffisance respiratoire ou par certaines complications comme un oedème pulmonaire.

Traitement
En cas de perte de connaissance avec arrêt respiratoire, ventiler le patient, l’intuber et lui administrer un antagoniste des opiacés en intraveineux (0,4 mg de naloxone i.v., p.ex.). En cas d’insuffisance respiratoire prolongée, il faut administrer 1 à 3 doses en respectant un intervalle de 3 minutes entre elles, jusqu’à ce que la fréquence respiratoire soit redevenue normale et que le patient réagisse à nouveau à la douleur.
Il convient ensuite de surveiller étroitement le patient pendant au moins 24 heures, car la durée d’action de l’antagoniste des opiacés est plus courte que celle de la morphine, ce qui peut occasionner une nouvelle insuffisance respiratoire.
Chez les enfants, la dose unitaire de l’antagoniste des opiacés à administrer est de 0,01 mg par kg de poids corporel.
Des mesures de protection contre la déperdition de chaleur de même qu’un traitement volumique peuvent être nécessaires.

Propriétés/Effets

Code ATC: N02AA01
La morphine se lie à des récepteurs spécifiques du système nerveux central ainsi qu’à des récepteurs situés sur différents organes périphériques. La sensation de douleur et la réaction affective à la douleur sont atténuées grâce à l’interaction qui s’opère avec les récepteurs opiacés du système nerveux central.

Pharmacocinétique

Après administration per os, le sulfate de morphine est essentiellement absorbé par l’intestin grêle et, dans une moindre mesure, par l’estomac. La biodisponibilité totale de la morphine administrée per os est d’environ 25% (15 à 49%). Après administration per os à des volontaires sains de 10 mg de morphine diluée dans une solution aqueuse, la concentration plasmatique moyenne (C) s’élève à 10,6 ng/ml et est atteinte après 0,75 h (t).

Distribution
La substance se distribue dans tout le corps. Toutefois, les concentrations les plus élevées sont observées dans les reins, le foie, les poumons et la rate; on retrouve des concentrations tissulaires plus faibles au niveau du cerveau et des muscles. La morphine franchit la barrière placentaire et passe dans le lait maternel. Les effets sur le nourrisson n’ont pas été suffisamment étudiés. Une accumulation de la substance dans l’organisme du nourrisson est à prévoir. Le volume de distribution de la morphine est compris entre 1,0 et 4,7 I/kg.
La liaison aux protéines plasmatiques est de l’ordre de 20 à 40%.

Métabolisme
L’effet marqué de premier passage dans l’intestin et le foie entraîne principalement la formation de dérivés glucuronoconjugués comme le morphine-3-glucuronide et, en quantité plus faible, le morphine-6-glucuronide.
En outre, il se forme des composés sulfo-conjugués ainsi que des métabolites d’oxydation tels que la normorphine, le N-oxyde de morphine et la morphine hydroxylée en position 2. Les glucuronides atteignent des concentrations plasmatiques plus élevées (aire sous la courbe [ASC] morphine: ASC morphine-6-glucuronide = env. 1:3 après administration orale) que la morphine elle-même, leur demi-vie se situe entre 3 et 10 h. Le morphine-6-glucuronide est biologiquement actif.

Elimination
La clairance plasmatique de la morphine est de 19 ml/min/kg (5 à 34 ml/min/kg).
L’élimination de la morphine s’effectue en plusieurs phases avec une demi-vie d’élimination dominante d’environ 2 h et une demi-vie d’élimination finale de 15 h. La demi-vie du morphine-6-glucuronide est de 12 h, et la fraction d’élimination extrarénale de la dose (Q) est de 0,25. La morphine suit un cycle entérohépatique.
L’élimination finale de la morphine et de ses métabolites s’effectue principalement par les reins et dans une moindre mesure par voie biliaire (± 10% par les fèces).

Cinétique pour certains groupes de patients
Il est connu que le métabolisme morphinique peut être ralenti chez les patients âgés, ce qui peut conduire à des concentrations maximales plus élevées et à des demi-vies plus longues. Une accumulation de métabolites dans le plasma s’observe surtout chez les patients souffrant d’insuffisance rénale.

Données précliniques

Plusieurs rapports sur la mutagénicité indiquent clairement que le sulfate de morphine exerce un effet clastogène, y compris sur les cellules germinales. Sur la base des résultats de plusieurs tests de mutagénicité, le sulfate de morphine doit être considéré comme une substance mutagène. On peut supposer qu’elle exerce le même effet sur l’être humain.
Aucune étude au long cours sur l’effet cancérigène potentiel de la morphine n’a été menée chez l’animal.

Remarques particulières

Chaque dose unitaire d’Oramorph 10 mg/5 ml, solution buvable (récipient multidose) contient de 0,4 à 0,8 g d’alcool et de 1,5 à 3 g de saccharose.

Conservation
Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant sur le récipient après la mention «EXP».

Remarques concernant le stockage
La solution doit être conservée à l’abri de la lumière et à température ambiante (15 à 25 °C).

Numéro d’autorisation

53417, 53418 (Swissmedic).

Titulaire de l’autorisation

Norgine AG, 4132 Muttenz.

Mise à jour de l’information

Mars 2009.

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