ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Anafranil 10 mg - Changements - 27.03.2020
88 Changements de l'information professionelle Anafranil 10 mg
  • -Principe actif: Clomipramini hydrochloridum.
  • -Excipients:
  • +Principe actif
  • +Clomipramini hydrochloridum.
  • +Excipients
  • -Ampoules: Glycerolum, Aqua ad injectabilia.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Dragées à 10 mg et 25 mg Clomipramini hydrochloridum.
  • -SR Divitabs comprimés retard à 75 mg Clomipramini hydrochloridum.
  • -Ampoules (2 ml) à 25 mg Clomipramini hydrochloridum.
  • -Voie orale: chez l'adulte, débuter avec 1 dragée à 25 mg 2-3×/d ou 1 comprimé retard Divitabs à 75 mg 1×/d (le soir de préférence).
  • -Augmenter la dose par exemple par paliers de 25 mg par intervalle de quelques jours (selon la tolérance du produit) pour atteindre 4-6 dragées à 25 mg ou 2 comprimés retard Divitabs à 75 mg au cours de la première semaine de traitement. Dans les cas graves, la posologie peut être portée jusqu'à un maximum de 250 mg/d.
  • +Chez l'adulte, débuter avec 1 dragée à 25 mg 2-3×/j ou 1 comprimé retard Divitabs à 75 mg 1x/j (le soir de préférence).
  • +Augmenter la dose par exemple par paliers de 25 mg par intervalle de quelques jours (selon la tolérance du produit) pour atteindre 4-6 dragées à 25 mg ou 2 comprimés retard Divitabs à 75 mg au cours de la première semaine de traitement. Dans les cas graves, la posologie peut être portée jusqu'à un maximum de 250 mg/j.
  • -Voie intramusculaire: chez l'adulte, commencer par 1-2 ampoules à 25 mg puis augmenter la posologie, à raison de 1 ampoule par jour, jusqu'à 4-6 ampoules par jour. Dès que l'on constate une amélioration, réduire graduellement le nombre d'injections tout en poursuivant le traitement par voie orale (dose d'entretien).
  • -Perfusion intraveineuse: chez l'adulte, dans un premier temps, 2-3 ampoules (50 à 75 mg) 1×/d à diluer de manière parfaitement homogène dans 250-500 ml de soluté salin isotonique ou de solution de glucose et perfuser sur une période de 1½ à 3 h. Durant la perfusion, les patients feront l'objet d'une surveillance attentive pour détecter d'éventuels effets indésirables. En raison du risque d'hypotension orthostatique, la pression artérielle doit être surveillée avec une attention particulière.
  • -Après amélioration nette, habituellement au cours de la première semaine, continuer les perfusions pendant encore 3-5 jours, puis poursuivre le traitement per os pour que l'effet soit maintenu; 2 dragées à 25 mg équivalant en général à 1 ampoule à 25 mg.
  • -Le passage progressif des perfusions au traitement oral d'entretien peut également s'effectuer à l'aide d'injections intramusculaires.
  • -Les ampoules d'Anafranil ne conviennent pas au traitement des enfants et des adolescents.
  • -Dose initiale: chez l'adulte, 1 dragée à 10 mg/d. Augmenter la posologie en fonction de la tolérance, jusqu'à obtention de l'effet souhaité. La posologie quotidienne nécessaire à chaque patient est sujette à d'importantes variations et se situe entre 25 et 100 mg. Si nécessaire, on pourra l'augmenter jusqu'à 150 mg. Il est recommandé de ne pas arrêter la médication avant 6 mois au cours desquels on réduira lentement la dose d'entretien.
  • +Dose initiale: chez l'adulte, 1 dragée à 10 mg/j. Augmenter la posologie en fonction de la tolérance, jusqu'à obtention de l'effet souhaité. La posologie quotidienne nécessaire à chaque patient est sujette à d'importantes variations et se situe entre 25 et 100 mg. Si nécessaire, on pourra l'augmenter jusqu'à 150 mg. Il est recommandé de ne pas arrêter la médication avant 6 mois au cours desquels on réduira lentement la dose d'entretien.
  • -Chez l'adulte, 25 à 75 mg/d par voie orale.
  • +Chez l'adulte, 25 à 75 mg/j par voie orale.
  • -Pour le traitement des états douloureux chroniques chez l'adulte, la posologie sera individualisée (10-150 mg/d) en tenant compte d'une éventuelle médication analgésique concomitante (et en la diminuant éventuellement).
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • -Patients âgés de 65 ans et plus
  • -Les patients âgés de 65 ans et plus présentent généralement une réponse plus marquée à Anafranil que les patients d'âge moyen. Anafranil devra donc être instauré en augmentant prudemment la dose chez ces patients (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Débuter le traitement avec 1 dragée à 10 mg/d. Augmenter graduellement la dose jusqu'à son niveau optimal (entre 30 et 50 mg/d) qu'il faudrait atteindre en 10 jours environ et qui sera maintenu jusqu'à la fin du traitement.
  • +Pour le traitement des états douloureux chroniques chez l'adulte, la posologie sera individualisée (10-150 mg/j) en tenant compte d'une éventuelle médication analgésique concomitante (et en la diminuant éventuellement).
  • +Instructions posologiques particulières
  • -La posologie initiale est comme pour les adultes de 25 mg/d. La dose devrait être augmentée progressivement pendant les 2 premières semaines et si nécessaire être administrée en plusieurs prises, selon la tolérance, jusqu'à une dose journalière maximale correspondant à 3 mg/kg mais au plus de 100 mg/d. Ensuite, la dose peut être augmentée progressivement pendant les semaines suivantes jusqu'à une dose journalière maximale correspondant à 3 mg/kg mais au plus à 200 mg/d.
  • +La posologie initiale est comme pour les adultes de 25 mg/j. La dose devrait être augmentée progressivement pendant les 2 premières semaines et si nécessaire être administrée en plusieurs prises, selon la tolérance, jusqu'à une dose journalière maximale correspondant à 3 mg/kg mais au plus de 100 mg. Ensuite, la dose peut être augmentée progressivement pendant les semaines suivantes jusqu'à une dose journalière maximale correspondant à 3 mg/kg mais au plus à 200 mg/j.
  • -Patients insuffisants rénaux et hépatiques
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique ou rénale
  • +Patients âgés
  • +Les patients âgés de 65 ans et plus présentent généralement une réponse plus marquée à Anafranil que les patients d'âge moyen. Anafranil devra donc être instauré en augmentant prudemment la dose chez ces patients (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Débuter le traitement avec 1 dragée à 10 mg/j. Augmenter graduellement la dose jusqu'à son niveau optimal (entre 30 et 50 mg/j) qu'il faudrait atteindre en 10 jours environ et qui sera maintenu jusqu'à la fin du traitement.
  • +La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme pharmaceutique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée.
  • -·Les inducteurs du CYP1A2 (p.ex. la nicotine/composants de la fumée de cigarette) diminuent la concentration plasmatique d'antidépresseurs tricycliques. Chez les fumeurs de cigarette, les concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre atteignaient la moitié de celle chez les non-fumeurs (pas de modification de la concentration plasmatique de la N-desméthyl-clomipramine).
  • -·La clomipramine est également un inhibiteur in-vitro (Ki=2.2 µM) et in-vivo de l'activité du CYP2D6 (oxydation spartéine), et peut donc entraîner une hausse des concentrations de substances administrées en même temps, qui sont dégradées principalement par le CYP2D chez les métaboliseurs rapides.
  • +·Les inducteurs du CYP1A2 (p.ex. la nicotine/composants de la fumée de cigarette) diminuent la concentration plasmatique d'antidépresseurs tricycliques. Chez les fumeurs de cigarette, les concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre atteignaient la moitié de celle chez les non-fumeurs (pas de modification de la concentration plasmatique de la N-desméthyl-clomipramine). La clomipramine est également un inhibiteur in-vitro (Ki=2.2 µM) et in-vivo de l'activité du CYP2D6 (oxydation spartéine), et peut donc entraîner une hausse des concentrations de substances administrées en même temps, qui sont dégradées principalement par le CYP2D chez les métaboliseurs rapides.
  • -Il existe des évidences positives de risque pour le foetus humain, mais le bénéfice thérapeutique pour la mère peut l'emporter. Des rapports isolés établissent une éventuelle corrélation entre l'utilisation des antidépresseurs tricycliques et des effets indésirables sur le foetus (troubles du développement), c'est pourquoi il faut éviter d'employer Anafranil au cours de la grossesse et réserver son emploi aux cas d'indication majeure n'offrant pas d'alternative moins risquée.
  • +Anafranil ne devrait pas être utilisé par les femmes en âge de procréer qui n'utilisent pas de méthodes contraceptives.
  • +Il existe des évidences positives de risque pour le fœtus humain, mais le bénéfice thérapeutique pour la mère peut l'emporter. Des rapports isolés établissent une éventuelle corrélation entre l'utilisation des antidépresseurs tricycliques et des effets indésirables sur le fœtus (troubles du développement), c'est pourquoi il faut éviter d'employer Anafranil au cours de la grossesse et réserver son emploi aux cas d'indication majeure n'offrant pas d'alternative moins risquée.
  • -On avisera les patients que sous Anafranil une vision troublée, une obnubilation et d'autres symptômes nerveux centraux sont possibles (cf. «Effets indésirables») et qu'ils ne doivent en conséquence ni conduire de véhicules, ni utiliser de machines, ni exécuter d'activités nécessitant une attention soutenue. On rappellera en outre aux patients que ces effets peuvent être renforcés par l'alcool ou d'autres médicaments (cf. «Interactions»).
  • +On avisera les patients que sous Anafranil une vision troublée, une somnolence et d'autres symptômes nerveux centraux sont possibles (cf. «Effets indésirables») et qu'ils ne doivent en conséquence ni conduire de véhicules, ni utiliser de machines, ni exécuter d'activités nécessitant une attention soutenue. On rappellera en outre aux patients que ces effets peuvent être renforcés par l'alcool ou d'autres médicaments (cf. «Interactions»).
  • -La plupart des effets indésirables sont généralement passagers et disparaissent au cours du traitement ou en réduisant la posologie. Une corrélation avec les concentrations plasmatiques ou avec la dose administrée n'est pas toujours présente. Il est souvent difficile de faire la différence entre certains effets indésirables et les symptômes de la dépression, p.ex. fatigue, troubles du sommeil, agitation, anxiété, constipation et sécheresse de la bouche.
  • -Des effets secondaires neurologiques ou psychiques sévères nécessitent l'arrêt de la médication.
  • +La plupart des effets indésirables sont généralement passagers et disparaissent au cours du traitement ou en réduisant la posologie. Une corrélation avec les concentrations plasmatiques ou avec la dose administrée nest pas toujours présente. Il est souvent difficile de faire la différence entre certains effets indésirables et les symptômes de la dépression, p.ex. fatigue, troubles du sommeil, agitation, anxiété, constipation et sécheresse de la bouche.
  • +Des effets secondaires neurologiques ou psychiques sévères nécessitent larrêt de la médication.
  • -Il n'existe aucune donnée provenant d'études cliniques. Il faut tenir compte par principe du fait que les patients âgés sont particulièrement sensibles aux effets anticholinergiques, neurologiques, psychiques et cardiovasculaires. La métabolisation et l'élimination des médicaments étant modifiées avec l'âge, le danger existe de voir apparaître des concentrations plasmatiques trop élevées, même à des doses thérapeutiques.
  • +Il nexiste aucune donnée provenant détudes cliniques. Il faut tenir compte par principe du fait que les patients âgés sont particulièrement sensibles aux effets anticholinergiques, neurologiques, psychiques et cardiovasculaires. La métabolisation et lélimination des médicaments étant modifiées avec lâge, le danger existe de voir apparaître des concentrations plasmatiques trop élevées, même à des doses thérapeutiques.
  • -«Très fréquents» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1'000, «rares» (<1/1'000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000) y compris les rapports spontanés après la commercialisation.
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquent» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000, «rares» (<1/1000, ≥1/10000), «très rares» (<1/10000) y compris les rapports spontanés après la commercialisation.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles endocriniens
  • +Affections endocriniennes
  • -Très rare: SIADH (syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique).
  • +Très rare: SIADH (syndrome de sécrétion inappropriée dhormone antidiurétique).
  • -Troubles psychiatriques
  • -Très fréquents: obnubilation, fatigue passagère, sentiments d'inquiétude et augmentation de l'appétit.
  • -Fréquents: état confusionnel s'accompagnant de désorientation et d'hallucinations (particulièrement chez les patients âgés et les parkinsoniens), états anxieux, agitation, troubles du sommeil, manie, hypomanie, agressivité, troubles amnésiques, bâillements, modifications du comportement, insomnie, cauchemars, aggravation de la dépression, troubles de la concentration.
  • +Affections psychiatriques
  • +Très fréquents: somnolence, fatigue passagère, sentiments dinquiétude et augmentation de lappétit.
  • +Fréquents: état confusionnel saccompagnant de désorientation et dhallucinations (particulièrement chez les patients âgés et les parkinsoniens), états anxieux, agitation, troubles du sommeil, manie, hypomanie, agressivité, troubles amnésiques, bâillements, modifications du comportement, insomnie, cauchemars, aggravation de la dépression, troubles de la concentration.
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Fréquents: états délirants, troubles de l'élocution, paresthésies, faiblesse ou hypertonie musculaires.
  • +Fréquents: états délirants, troubles de lélocution, paresthésies, faiblesse ou hypertonie musculaires.
  • -Très rares: modifications de l'EEG, hyperpyrexie, symptômes extrapyramidaux (également dyskinésie tardive), fièvre médicamenteuse, syndrome neuroleptique malin.
  • -Troubles oculaires
  • -Très fréquents: troubles de l'accommodation, vision trouble.
  • +Très rares: modifications de lEEG, hyperpyrexie, symptômes extrapyramidaux (également dyskinésie tardive), fièvre médicamenteuse, syndrome neuroleptique malin.
  • +Affections oculaires
  • +Très fréquents: troubles de laccommodation, vision trouble.
  • -Oreille et conduit auditif
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques
  • -Fréquents: tachycardie sinusale, palpitations, modifications de l'ECG (par ex. altérations de T et ST) sans signification clinique chez les patients présentant un état cardiaque normal.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquents: tachycardie sinusale, palpitations, modifications de lECG (par ex. altérations de T et ST) sans signification clinique chez les patients présentant un état cardiaque normal.
  • -Très rares: troubles de la conduction (par ex. élargissement du complexe QRS, prolongation de l'intervalle QT, modification de l'intervalle PQ, bloc de branche), torsades de pointes lors d'hypokaliémie.
  • -Troubles vasculaires
  • +Très rares: troubles de la conduction (par ex. élargissement du complexe QRS, prolongation de lintervalle QT, modification de lintervalle PQ, bloc de branche), torsades de pointes lors dhypokaliémie.
  • +Affections vasculaires
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Occasionnels: vomissements, troubles abdominaux, diarrhées, anorexie, altérations du goût.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Occasionnels: vomissements, troubles gastro-intestinaux, diarrhées, anorexie, altérations du goût.
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Très rares: réactions locales après injections intraveineuses (thrombophlébite, lymphangite, sensation de brûlure et réactions cutanées allergiques), oedèmes (locaux ou généralisés), chute de cheveux.
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Très rare: chute de cheveux.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Organes de reproduction et sein
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • -Liste des effets indésirables supplémentaires, issus de rapports spontanés après la commercialisation
  • -Les effets indésirables suivants ont été identifiés à l'aide de rapports spontanés après la commercialisation. La taille de la population exposée étant inconnue dans ces rapports, il est impossible de déterminer avec fiabilité leur fréquence.
  • -Système nerveux: syndrome sérotoninergique, symptômes extrapyramidaux (y compris akathisie et dyskinésie tardive).
  • -Troubles musculosquelettiques: rhabdomyolyse (comme complication d'un syndrome malin des neuroleptiques).
  • +Effets indésirables après commercialisation
  • +Les effets indésirables suivants ont été identifiés à laide de rapports spontanés après la commercialisation. La taille de la population exposée étant inconnue dans ces rapports, il est impossible de déterminer avec fiabilité leur fréquence.
  • +Affections du système nerveux: syndrome sérotoninergique, symptômes extrapyramidaux (y compris akathisie et dyskinésie tardive).
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif: rhabdomyolyse (comme complication dun syndrome malin des neuroleptiques).
  • +Affections des organes de reproduction et du sein: absence d’éjaculation, éjaculation retardée.
  • +
  • -Des études épidémiologiques, réalisées essentiellement chez des patients âgés de 50 ans et plus, montrent un risque accru de fractures osseuses chez des patients recevant des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et des antidépresseurs tricycliques (ATC). Le mécanisme à l'origine de ce risque est inconnu.
  • +Des études épidémiologiques, réalisées essentiellement chez des patients âgés de 50 ans et plus, montrent un risque accru de fractures osseuses chez des patients recevant des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et des antidépresseurs tricycliques (ATC). Le mécanisme à lorigine de ce risque est inconnu.
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Signes et symptômes
  • +
  • -Les symptômes suivants peuvent être observés:
  • -Système nerveux central: obnubilation, stupeur, coma, ataxie, nervosité, agitation, hyperréflexie, rigidité musculaire, mouvements athétoïdes ou choréo-athétosiques, convulsions. En outre, des symptômes probablement en relation avec le syndrome sérotoninergique comme p.ex. hyperpyrexie, myoclonies, délire et coma ont été observés.
  • +Système nerveux central: somnolence, stupeur, coma, ataxie, nervosité, agitation, hyperréflexie, rigidité musculaire, mouvements athétoïdes ou choréo-athétosiques, convulsions. En outre, des symptômes probablement en relation avec le syndrome sérotoninergique comme p.ex. hyperpyrexie, myoclonies, délire et coma ont été observés.
  • -En cas d'hypertension artérielle et/ou d'arythmies ventriculaires avec augmentation de l'espace du complexe QRS dans l'ECG (>100 msec), un traitement au bicarbonate de sodium (1 mmol/kg) sous forme de bolus ou de perfusion brève (5 min.) est indiqué. Ce traitement peut être répété jusqu'à ce que la pression artérielle augmente et que les modifications de l'ECG s'améliorent, mais au maximum jusqu'à un pH artériel de 7.55. L'administration supplémentaire de lidocaïne par voie intraveineuse peut éventuellement être indiquée. En cas de bradyarythmies, il convient de poser un pacemaker provisoire. Lors de tachycardie ventriculaire polymorphe du type torsades de pointe: administration de 0.5 à 1.5 g de sulfate de magnésium par voie intraveineuse sous forme d'injection unique.
  • +En cas d'hypertension artérielle et/ou d'arythmies ventriculaires avec augmentation de l'espace du complexe QRS dans l'ECG (>100 msec), un traitement au bicarbonate de sodium (1 mmol/kg) sous forme de bolus ou de perfusion brève (5 min.) est indiqué. Ce traitement peut être répété jusqu'à ce que la pression artérielle augmente et que les modifications de l'ECG s'améliorent, mais au maximum jusqu'à un pH artériel de 7.55. L'administration supplémentaire de lidocaïne par voie intraveineuse peut éventuellement être indiquée. En cas de bradyarythmies, il convient de poser un pacemaker provisoire. Lors de tachycardie ventriculaire polymorphe du type torsades de pointe: administration de 0,5 à 1,5 g de sulfate de magnésium par voie intraveineuse sous forme d'injection unique.
  • -Code ATC: N06AA04
  • +Code ATC
  • +N06AA04
  • +Efficacité clinique
  • +Aucune information.
  • +
  • -La clomipramine est complètement absorbée après administration orale et injection intramusculaire. La pharmacocinétique de la clomipramine est dose-dépendante aux doses comprises entre 25 et 150 mg.
  • +La clomipramine est complètement absorbée après administration orale. La pharmacocinétique de la clomipramine est dose-dépendante aux doses comprises entre 25 et 150 mg.
  • -La dose de 75 mg, administrée sous forme d'une dragée à 25 mg 3×/d ou d'un comprimé retard Divitabs à 75 mg 1×/d, produit un niveau d'équilibre plasmatique s'échelonnant entre 20 et 175 ng/ml.
  • +La dose de 75 mg, administrée sous forme d'une dragée à 25 mg 3x/j ou d'un comprimé retard Divitabs à 75 mg 1x/j, produit un niveau d'équilibre plasmatique s'échelonnant entre 20 et 175 ng/ml.
  • -Le niveau d'équilibre plasmatique est atteint au cours de la deuxième semaine de traitement après administration itérative de 50-150 mg/d d'Anafranil par voie intraveineuse ou intramusculaire. Les valeurs moyennes, mesurées au même moment, sont <15 ng/ml et vont jusqu'à 447 ng/ml pour la CP inchangée et <15 ng/ml jusqu'à 669 ng/ml pour la DMC.
  • -La clomipramine est liée aux protéines à raison de 97.6%. Le volume de distribution apparent est d'environ 12 à 17 l/kg de poids corporel. Dans le liquide céphalo-rachidien, la concentration équivaut à environ 2% de la concentration plasmatique. La clomipramine passe dans le lait maternel dans des concentrations comparables à celles obtenues dans le plasma et traverse la barrière placentaire.
  • +La clomipramine est liée aux protéines à raison de 97,6%. Le volume de distribution apparent est d'environ 12 à 17 l/kg de poids corporel. Dans le liquide céphalo-rachidien, la concentration équivaut à environ 2% de la concentration plasmatique. La clomipramine passe dans le lait maternel dans des concentrations comparables à celles obtenues dans le plasma et traverse la barrière placentaire.
  • -Après administration intramusculaire resp. intraveineuse de clomipramine, la demi-vie plasmatique terminale est en moyenne de 25 h (entre 20 et 40 h) resp. 18 h.
  • -Deux tiers environ d'une dose unitaire de clomipramine sont excrétés dans les urines sous forme de conjugués hydrosolubles et approximativement un tiers dans les fèces. La quantité de clomipramine inchangée et de desméthylclomipramine excrétée par voie urinaire s'élève à environ 2% resp. 0.5% de la dose administrée.
  • +Deux tiers environ d'une dose unitaire de clomipramine sont excrétés dans les urines sous forme de conjugués hydrosolubles et approximativement un tiers dans les fèces. La quantité de clomipramine inchangée et de desméthylclomipramine excrétée par voie urinaire s'élève à environ 2% resp. 0,5% de la dose administrée.
  • +Toxicité chronique
  • +
  • -La clomipramine n'a été contrôlée qu'insuffisamment du point de vue d'éventuels effets mutagènes. À côté de résultats in-vitro négatifs, la clomipramine a montré un effet mutagène lors d'essais sur la drosophile. La signification de ces résultats pour l'utilisation clinique n'est pas encore connue. Une étude à long terme sur deux ans chez des rats n'a pas montré d'indice d'un effet carcinogène de la clomipramine. Des études d'expérimentation animale sur la toxicité de reproduction n'ont pas montré d'effet tératogène. Lors d'une administration prénatale ou en période d'allaitement, la clomipramine peut provoquer des troubles du comportement chez la descendance.
  • +Mutagénicité
  • +La clomipramine n'a été contrôlée qu'insuffisamment du point de vue d'éventuels effets mutagènes. À côté de résultats in-vitro négatifs, la clomipramine a montré un effet mutagène lors d'essais sur la drosophile. La signification de ces résultats pour l'utilisation clinique n'est pas encore connue.
  • +Carcinogénicité
  • +Une étude à long terme sur deux ans chez des rats n'a pas montré d'indice d'un effet carcinogène de la clomipramine.
  • +Toxicité pour la reproduction
  • +Il n'a pas été constaté d'effets négatifs sur les performances reproductrices, y compris la fertilité masculine et féminine, chez le rat à des doses orales jusqu'à 24 mg/kg.
  • +Dans les études d'expérimentation animale portant sur le développement embryo-fœtal, il n'a pas été observé d'effets tératogènes. Chez la souris et le ras, une embryotoxicité a été indiquée (augmentation de l'embryolétalité).
  • +Lors d'une administration prénatale ou en période d'allaitement, la clomipramine peut provoquer des troubles du comportement chez la descendance.
  • -Incompatibilités
  • -Incompatibilité connue à ce jour: solution injectable d'Anafranil avec solution injectable de diclofénac.
  • -Par principe, ne pas mélanger Anafranil à d'autres médicaments.
  • -Stabilité
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Utiliser immédiatement les ampoules entamées; ne pas les conserver.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Ampoules: Conserver dans l'emballage original, à l'abri de la lumière et pas au-dessus de 25 °C.
  • +Conservation
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -32934, 32935, 44815 (Swissmedic).
  • +32934, 44815 (Swissmedic).
  • -Anafranil 10: Dragées à 10 mg: 30 et 200. [B]
  • -Anafranil 25: Dragées à 25 mg: 30 et 200. [B]
  • -Anafranil SR 75 Divitabs: Comprimés retard à 75 mg: 20 et 100. [B]
  • -Anafranil Solution injectable: Ampoules (2 ml) à 25 mg: 10. [B]
  • -
  • +Anafranil 10 mg: Dragées à 10 mg: 30 et 200. [B]
  • +Anafranil 25 mg: Dragées à 25 mg: 30 et 200. [B]
  • +Anafranil SR 75 mg Divitabs Comprimés retard à 75 mg: 20 et 100. [B]
  • -Octobre 2014.
  • +Novembre 2019.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | Identification | Contact | Home