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Accueil - Information professionnelle sur Aprovel 150 - Changements - 09.09.2025
72 Changements de l'information professionelle Aprovel 150
  • -Pelliculage: Lactosum monohydricum, Hypromellosum, Titanium dioxide (E171), Macrogolum 3000, Cera Carnauba.
  • +Pelliculage: Lactosum monohydricum, Hypromellosum, Titanii dioxidum (E171), Macrogolum 3000, Cera Carnauba.
  • -·Hypersensibilité vis-à-vis du principe actif ou de l'un des excipients conformément à la composition.
  • -·Co-administration avec des médicaments contenant de l'aliskiren chez des patients diabétiques (Type 1 et Type 2) ou souffrant d'une insuffisance rénale (taux de filtration glomérulaire (TFG) < 60 mL/min/1,73 m2).
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients (voir «Composition» ).
  • +·Co-administration avec des médicaments contenant de l'aliskiren chez des patients diabétiques (Type 1 et Type 2) ou souffrant d'une insuffisance rénale (débit de filtration glomérulaire (DFG) < 60 mL/min/1,73 m2).
  • -·Patients présentant un angiodème héréditaire ou chez lesquels un œdème angioneurotique s'est développé lors d'un traitement antérieur avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II.
  • +·Patients présentant un angioedème héréditaire ou chez lesquels un œdème angioneurotique s'est développé lors d'un traitement antérieur avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II).
  • -Il existe un risque accru d'hypotension sévère et d'insuffisance rénale lorsque des patients présentant une sténose bilatérale de l'artère rénale ou une sténose artérielle rénale sur rein fonctionnel unique reçoivent d'autres médicaments qui agissent sur le système rénine-angiotensine-aldostérone. Bien que l'on ne dispose pas d'expérience sur l'utilisation d'Aprovel, un phénomène similaire est à prévoir avec les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II.
  • +Il existe un risque accru d'hypotension sévère et d'insuffisance rénale lorsque des patients présentant une sténose bilatérale de l'artère rénale ou une sténose artérielle rénale sur rein fonctionnel unique reçoivent d'autres médicaments qui agissent sur le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA). Bien que l'on ne dispose pas d'expérience sur l'utilisation d'Aprovel, un phénomène similaire est à prévoir avec les ARA II.
  • -Comme avec les autres vasodilatateurs, une prudence particulière est indiquée chez les patients souffrant de sténose aortique ou mitrale ou de cardiomyopathie obstructive hypertrophique.
  • +Comme avec les autres vasodilatateurs, une prudence particulière est indiquée chez les patients souffrant de sténose aortique ou mitrale, ou de cardiomyopathie obstructive hypertrophique.
  • +Angioedème intestinal
  • +Des angioedèmes intestinaux ont été rapportés chez des patients traités par des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, y compris l'irbésartan (voir «Effets indésirables»). Ces patients présentaient des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et de la diarrhée. Les symptômes se sont résolus après l'arrêt des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II. Si un angioedème intestinal est diagnostiqué, l'irbésartan doit être arrêté et une surveillance appropriée doit être mise en œuvre jusqu'à disparition complète des symptômes.
  • +
  • -Les patients avec hyperaldostéronisme primaire ne répondent généralement pas aux médicaments antihypertenseurs agissant par inhibition du système rénine-angiotensine. En conséquence, l'utilisation d'Aprovel n'est pas recommandée.
  • +Les patients avec hyperaldostéronisme primaire ne répondent généralement pas aux médicaments antihypertenseurs agissant par inhibition du système rénine-angiotensine. En conséquence, l'utilisation d'Aprovel n'est pas recommandée chez ces patients.
  • -Comme avec d'autres médicaments qui influencent le système rénine-angiotensine-aldostérone, il se peut qu'une hyperkaliémie survienne pendant le traitement par Aprovel, en particulier chez les patients présentant une insuffisance rénale, une protéinurie manifeste en raison d'une néphropathie diabétique et/ou d'une insuffisance cardiaque. Chez les patients à risque, un contrôle étroit de la kaliémie est recommandé.
  • +Comme avec d'autres médicaments qui influencent le SRAA, il se peut qu'une hyperkaliémie survienne pendant le traitement par Aprovel, en particulier chez les patients présentant une insuffisance rénale, une protéinurie manifeste en raison d'une néphropathie diabétique et/ou d'une insuffisance cardiaque. Chez les patients à risque, un contrôle étroit de la kaliémie est recommandé.
  • -Lorsqu' Aprovel est administré à des patients présentant une insuffisance rénale, un contrôle régulier de la kaliémie et de la créatininémie est recommandé. On ne dispose pas d'expériences sur l'administration d'Aprovel après une transplantation rénale récente.
  • +Lorsqu' Aprovel est administré à des patients présentant une insuffisance rénale, un contrôle régulier de la kaliémie et de la créatininémie est recommandé. On ne dispose pas d'expérience sur l'administration d'Aprovel après une transplantation rénale récente.
  • -Chez les patients dont la fonction rénale dépend de l'activité du système rénine-angiotensine-aldostérone (par ex. les patients présentant une insuffisance cardiaque sévère ou une maladie rénale sous-jacente, y compris une sténose des artères rénales), le traitement par d'autres produits agissant sur ce système a été associé à une azotémie, une oligurie ou rarement une insuffisance rénale aiguë. Bien que l'on ne dispose pas de preuve concernant Aprovel, la possibilité de survenue d'un effet similaire avec les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II ne peut être exclue.
  • +Chez les patients dont la fonction rénale dépend de l'activité du SRAA (par ex. les patients présentant une insuffisance cardiaque sévère ou une maladie rénale sous-jacente, y compris une sténose des artères rénales), le traitement par d'autres produits agissant sur ce système a été associé à une azotémie, une oligurie ou rarement une insuffisance rénale aiguë. Bien que l'on ne dispose pas de preuve concernant Aprovel, la possibilité de survenue d'un effet similaire avec les ARA II ne peut être exclue.
  • -Tous les nouveau-nés, dont les mères ont été traitées avec Aprovel durant la grossesse, doivent être soigneusement examinés quant à une excrétion urinaire suffisante, une hyperkaliémie et la tension artérielle. Des mesures médicales adéquates, comme par ex. une réhydratation, peuvent être nécessaires pour éliminer le médicament (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Tous les nouveau-nés dont les mères ont été traitées avec Aprovel durant la grossesse doivent être soigneusement examinés quant à une excrétion urinaire suffisante, une hyperkaliémie et leur tension artérielle. Des mesures médicales adéquates, comme par ex. une réhydratation, peuvent être nécessaires pour éliminer le médicament (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -Voir sous «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour le dosage».
  • -Les comprimés d'Aprovel contiennent du lactose. Les patients atteints de troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, d'un déficit en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre Aprovel.
  • +Voir «Posologie/Mode d'emploi/Instructions posologiques particulières».
  • -Aprovel peut induire une hypoglycémie, en particulier chez les patients traités pour le diabète. Par conséquent, il peut être nécessaire d'adapter la dose d'un traitement antidiabétique tel que le repaglinide ou l'insuline (voir «Effets indésirables»). Il est important d'informer les patients, en particulier les patients traités pour le diabète, du risque d'hypoglycémie pendant le traitement avec l'irbésartan.
  • +Aprovel peut induire une hypoglycémie, en particulier chez les patients traités pour un diabète. Par conséquent, il peut être nécessaire d'adapter la dose d'un traitement antidiabétique tel que le répaglinide ou l'insuline (voir «Effets indésirables»). Il est important d'informer les patients, en particulier les patients traités pour un diabète, du risque d'hypoglycémie pendant le traitement avec l'irbésartan.
  • -Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par un inhibiteur de l'ECA, un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) ou l'aliskiren.
  • +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par un inhibiteur de l'ECA, un ARA II ou l'aliskiren
  • -En vertu de l'expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l'administration concomitante de diurétiques d'épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou de tout autre médicament susceptible d'induire une élévation de la kaliémie peut donner lieu à une augmentation du potassium sérique, parfois sévère. Une telle association avec irbésartan requiert une surveillance étroite du taux sérique de potassium.
  • +Au vu de l'expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l'administration concomitante de diurétiquesépargneurs de potassium, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou de tout autre médicament susceptible d'induire une élévation de la kaliémie peut donner lieu à une augmentation du potassium sérique, parfois sévère. Une telle association avec l'irbésartan requiert une surveillance étroite du taux sérique de potassium.
  • -Chez les patients âgés et les patients qui présentent une déplétion hydrique (y compris ceux sous traitement diurétique) ou qui sont atteints d'insuffisance rénale, la co-administration d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris d'inhibiteurs sélectifs de la COX-2) et d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (y compris irbésartan) peut provoquer une détérioration (généralement réversible) de la fonction rénale (y compris insuffisance rénale aiguë). Le traitement par irbésartan et anti-inflammatoires non stéroïdiens doit être instauré avec prudence et la fonction rénale doit être surveillée périodiquement. L'effet antihypertenseur des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (y compris irbésartan) peut être affaibli par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris les inhibiteurs sélectifs de la COX-2).
  • -Repaglinide
  • -L'irbésartan a le potentiel d'inhiber l'OATP1B1. Dans une étude clinique, il a été rapporté que l'irbésartan augmentait la Cmax et l'ASC du repaglinide (substrat de l'OATP1B1) de 1,8 fois et 1,3 fois, respectivement, lorsqu'il était administré une heure avant le repaglinide. Dans une autre étude, aucune interaction pharmacocinétique pertinente n'a été signalée lorsque les deux médicaments étaient administrés conjointement. Par conséquent, un ajustement de la dose d'un traitement antidiabétique tel que le repaglinide peut être nécessaire (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +Chez les patients âgés et les patients qui présentent une déplétion hydrique (y compris ceux sous traitement diurétique) ou qui sont atteints d'insuffisance rénale, la co-administration d'AINS (y compris d'inhibiteurs sélectifs de la COX-2) et d'ARA II (y compris l'irbésartan) peut provoquer une détérioration (généralement réversible) de la fonction rénale (y compris insuffisance rénale aiguë). Le traitement par irbésartan et AINS doit être instauré avec prudence et la fonction rénale doit être surveillée périodiquement. L'effet antihypertenseur des ARA II (y compris l'irbésartan) peut être atténué par les AINS (y compris les inhibiteurs sélectifs de la COX-2).
  • +Répaglinide
  • +L'irbésartan a le potentiel d'inhiber l'OATP1B1. Dans une étude clinique, il a été rapporté que l'irbésartan augmentait la Cmax et l'ASC du répaglinide (substrat de l'OATP1B1) de 1,8 fois et 1,3 fois, respectivement, lorsqu'il était administré une heure avant le répaglinide. Dans une autre étude, aucune interaction pharmacocinétique pertinente n'a été signalée lorsque les deux médicaments étaient administrés conjointement. Par conséquent, un ajustement de la dose d'un traitement antidiabétique tel que le répaglinide peut être nécessaire (voir « Mises en garde et précautions »).
  • -Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et de la toxicité du lithium a été observée lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA ou d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, dont Aprovel. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante. Le risque de toxicité du lithium peut encore être augmenté lors de l'administration concomitante de diurétiques et d'Aprovel.
  • +Une augmentation réversible de la concentration sérique de lithium et de la toxicité du lithium a été observée lors de l'administration concomitante de lithium et d'inhibiteurs de l'ECA ou d'ARA II, dont Aprovel. Une surveillance étroite de la concentration sérique de lithium est donc recommandée en cas d'administration concomitante. Le risque de toxicité du lithium peut encore être augmenté lors de l'administration concomitante de diurétiques et d'Aprovel.
  • -Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme. Les études chez l'animal avec irbésartan ont montré des effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Les données épidémiologiques concernant le risque tératogène après une exposition aux inhibiteurs de l'ECA lors du premier trimestre de la grossesse ne sont pas concluantes; cependant, une légère augmentation du risque n'est pas à exclure. Bien qu'il n'existe aucune étude épidémiologique contrôlée concernant l'utilisation des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque similaire aux inhibiteurs de l'ECA ne peut être exclu pour cette catégorie de médicaments.
  • +Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme. Les études chez l'animal avec l'irbésartan ont montré des effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Les données épidémiologiques concernant le risque tératogène après une exposition aux inhibiteurs de l'ECA lors du premier trimestre de la grossesse ne sont pas concluantes; cependant, une légère augmentation du risque n'est pas à exclure. Bien qu'il n'existe aucune étude épidémiologique contrôlée concernant l'utilisation des ARA II, un risque similaire aux inhibiteurs de l'ECA ne peut être exclu pour cette catégorie de médicaments.
  • -Le traitement par les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connu pour entraîner une fœtotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard de formation des os du crâne) et une toxicité néonatale (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie).
  • +Le traitement par les ARA II au cours des 2ème et 3ème trimestres de la grossesse est connu pour entraîner une fœtotoxicité (diminution de la fonction rénale, oligohydramnios, retard de formation des os du crâne) et une toxicité néonatale (insuffisance rénale, hypotension, hyperkaliémie).
  • -Pour les raisons susmentionnées, Aprovel, comme chaque médicament qui agit directement sur le système rénine-angiotensine-aldostérone, est contre-indiqué pendant la grossesse.
  • -A moins que le traitement avec un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II ne soit absolument nécessaire, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur chez les patientes qui envisagent une grossesse, en faveur d'un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse.
  • -En cas de diagnostic de grossesse pendant le traitement par un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II, ce traitement devra être arrêté immédiatement, et le cas échéant, un traitement alternatif sera instauré.
  • -En cas d'administration d'un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II pendant le 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie fœtale afin de vérifier la fonction rénale et les os du crâne.
  • +Pour les raisons susmentionnées, Aprovel, comme tout médicament qui agit directement sur le SRAA, est contre-indiqué pendant la grossesse.
  • +A moins que le traitement avec un ARA II ne soit absolument nécessaire, il est recommandé de modifier le traitement antihypertenseur chez les patientes qui envisagent une grossesse, en faveur d'un médicament ayant un profil de sécurité établi pendant la grossesse.
  • +En cas de diagnostic de grossesse pendant le traitement par un ARA II, ce traitement devra être arrêté immédiatement, et le cas échéant, un traitement alternatif sera instauré.
  • +En cas d'administration d'un ARA II pendant le 2ème trimestre de la grossesse, il est recommandé de faire une échographie fœtale afin de vérifier la fonction rénale et les os du crâne.
  • -Les nouveau-nés de mères traitées par un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II devraient être surveillés étroitement sur le plan de l'hypotension (voir aussi «Mises en garde et précautions: Nouveau-nés»).
  • +Les nouveau-nés de mères traitées par un ARA II doivent être surveillés étroitement sur le plan de l'hypotension (voir aussi «Mises en garde et précautions/Nouveau-nés»).
  • -On ignore si l'irbesartan ou ses métabolites sont excrétés dans le lait chez la femme. Les études chez l'animal ont montré que l'irbesartan ou ses métabolites sont excrétés dans le lait (voir «Données précliniques»).
  • +On ignore si l'irbésartan ou ses métabolites sont excrétés dans le lait chez la femme. Les études chez l'animal ont montré que l'irbésartan ou ses métabolites sont excrétés dans le lait (voir «Données précliniques»).
  • -Il n'existe pas d'études contrôlées sur la fertilité chez l'homme. Les études chez l'animal avec irbésartan n'ont pas montré d'effets toxiques sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • +Il n'existe pas d'études contrôlées sur la fertilité chez l'homme. Les études chez l'animal avec l'irbésartan n'ont pas montré d'effets toxiques sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • -Chez les patients hypertendus diabétiques présentant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, des vertiges orthostatiques et des hypotensions orthostatiques ont été rapportés chez 0,5% (c'est-à-dire, occasionnellement) des patients, mais en excès par rapport au placebo.
  • +Chez les patients hypertendus diabétiques présentant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, des vertiges orthostatiques et des hypotensions orthostatiques ont été rapportés chez 0,5% (c'est-à-dire occasionnellement) des patients, mais en excès par rapport au placebo.
  • -Liste des effets indésirablesLes effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • -« très fréquents » (≥1/10),
  • -« fréquents » (≥1/100 à <1/10),
  • -« occasionnels » (≥1/1000 à <1/100),
  • -« rares » (≥1/10 000 à <1/1000),
  • -« très rares » (<1/10 000).
  • -« Fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
  • +Liste des effets indésirables
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • +« très fréquents » (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), « très rares » (<1/10 000).
  • +« Fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Rares: réactions d'hypersensibilité (angiodème, rash, urticaire).
  • +Rares: réactions d'hypersensibilité (angioedème, rash, urticaire).
  • -Fréquence inconnue: tinnitus.
  • +Fréquence inconnue: acouphène.
  • +Rares: angioedème intestinal.
  • -Fréquence inconnnue: altération de la fonction rénale y compris des cas d'insuffisance rénale chez des patients à risque (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence inconnue: altération de la fonction rénale y compris des cas d'insuffisance rénale chez des patients à risque (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: Une hyperkaliémie* est survenue plus souvent chez les patients diabétiques traités par irbésartan que chez ceux traités par placebo. Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, une hyperkaliémie (≥5,5 mEq/l) est survenue chez 29,4% (c'est-à-dire très fréquemment) des patients du groupe irbésartan 300 mg et chez 22% des patients du groupe placebo.
  • +Très fréquents: une hyperkaliémie* est survenue plus souvent chez les patients diabétiques traités par l'irbésartan que chez ceux traités par placebo. Chez les patients hypertendus diabétiques ayant une microalbuminurie et une fonction rénale normale, une hyperkaliémie (≥5,5 mEq/l) est survenue chez 29,4% (c'est-à-dire très fréquemment) des patients du groupe irbésartan 300 mg et chez 22% des patients du groupe placebo.
  • -Comme avec d'autres antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, des réactions d'hypersensibilité (urticaire, angiodème, réactions anaphylactiques y compris choc anaphylactique) ont été rapportées depuis la mise sur le marché de l'irbésartan.
  • +Comme avec d'autres ARA II, des réactions d'hypersensibilité (urticaire, angioedème, réactions anaphylactiques y compris choc anaphylactique) ont été rapportées depuis la mise sur le marché de l'irbésartan.
  • -L'efficacité d'irbésartan ne dépend pas d'une activation métabolique.
  • +L'efficacité de l'irbésartan ne dépend pas d'une activation métabolique.
  • -L'irbésartan abaisse la pression artérielle, en n'entraînant que des changements minimes de la fréquence cardiaque. La baisse de la pression artérielle est dose-dépendante lors d'une prise par jour. Des doses de 150 à 300 mg, en une prise quotidienne, abaissent les valeurs de pression artérielle de 8-13/5-8 mm Hg (PAS/PAD) par rapport au placebo en moyenne 24 heures après la prise (vallée). La baisse maximale de la pression artérielle est obtenue dans les 3 à 6 heures après l'administration du produit. Aux doses recommandées, l'effet antihypertenseur se maintient pendant au moins 24 heures et la baisse de la pression artérielle à 24 heures est encore de 60 à 70% des chiffres diastolique et systolique au pic. Une dose de 150 mg, en une prise par jour, produit des effets similaires sur la pression artérielle 24 heures après la prise (vallée) et sur la pression artérielle moyenne sur 24 heures que la même dose répartie en 2 prises par jour.
  • +L'irbésartan abaisse la pression artérielle en n'entraînant que des changements minimes de la fréquence cardiaque. La baisse de la pression artérielle est dose-dépendante lors d'une prise par jour. Des doses de 150 à 300 mg, en une prise quotidienne, abaissent les valeurs de pression artérielle de 8-13/5-8 mm Hg (PAS/PAD) par rapport au placebo en moyenne 24 heures après la prise (vallée). La baisse maximale de la pression artérielle est obtenue dans les 3 à 6 heures après l'administration du produit. Aux doses recommandées, l'effet antihypertenseur se maintient pendant au moins 24 heures et la baisse de la pression artérielle à 24 heures est encore de 60 à 70% des chiffres diastolique et systolique au pic. Une dose de 150 mg, en une prise par jour, produit des effets similaires sur la pression artérielle 24 heures après la prise (vallée) et sur la pression artérielle moyenne sur 24 heures que la même dose répartie en 2 prises par jour.
  • -L'essai clinique IDNT réalisé sur l'irbésartan et portant sur la néphropathie diabétique («Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial»), était une étude contrôlée en double aveugle sur la morbidité et la mortalité, au cours de laquelle l'irbésartan, l'amlodipine et un placebo ont été comparés. Dans les trois groupes de traitement, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs du canal calcique). Chez 1715 patients randomisés atteints d'hypertension et de diabète de type 2, avec protéinurie ≥900 mg/jour et créatinine sérique comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl, les effets à long terme (en moyenne, 2,6 ans) d'irbésartan sur la progression de la néphropathie et de la mortalité totale ont été étudiés. En fonction de la tolérance au produit, les patients sont passés d'une dose de 75 mg à une dose d'entretien de 300 mg d'irbésartan, de 2,5 mg à 10 mg d'amlodipine ou de placebo. Alors que dans le groupe irbésartan et dans le groupe amlodipine des taux d'hypertension comparables ont été atteints, l'irbésartan a obtenu, outre l'abaissement de la tension artérielle, une diminution significative du risque relatif par rapport au critère d'évaluation primaire combiné (doublement de la créatininémie, néphropathie terminale ou mortalité totale): diminution du risque relatif de 20 % contre le placebo (p=0,024) et de 23 % par rapport à l'amlodipine (p=0,006). Entre les trois groupes, on n'a pas observé de différences significatives en ce qui concerne le critère d'évaluation secondaire (évènements cardiovasculaires fatals ou non fatals).
  • -L'essai concernant l'effet de l'irbésartan sur la micro-albuminurie, IRMA 2 («Irbesartan MicroAlbuminuria in Type 2 Diabetes»), était une étude contrôlée en double aveugle de la morbidité, réalisée auprès de 590 patients atteints d'hypertension artérielle et de diabète de type 2, avec micro-albuminurie (30-300 mg/jour) et fonction rénale normale (créatininémie ≤1,5 mg/dl chez l'homme et ≤1,1 mg/dl chez la femme). L'étude a évalué les effets à long terme (2 ans) d'irbésartan sur la progression vers une protéinurie clinique (manifeste): élimination d'albumine dans l'urine (EUA) > 300 mg/jour et augmentation de l'EUA d'au moins 30 % par rapport à la valeur de départ. Dans les 3 groupes de traitement, l'effet de l'irbésartan 150 mg, 300 mg et du placebo a été étudié, sachant que dans les trois branches de l'étude, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs, excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs calciques dihydropyridine). Alors que des pressions artérielles comparables ont été atteintes dans tous les groupes de traitement l'irbésartan 300 mg a diminué de manière significative le risque relatif de 70 % vs placebo (p=0,0004) et l'irbésartan 150 mg de manière non significative de 39 % (p=0,085) vs placebo. Au bout de trois mois, il était déjà possible d'identifier un ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique, qui s'est maintenu sur la durée de l'étude de 2 ans. Une régression à une albuminurie normalisée (< 30 mg/jour) a été observée plus souvent sous irbésartan 300 mg (34 %) que sous placebo (21 %).
  • +L'essai clinique IDNT réalisé sur l'irbésartan et portant sur la néphropathie diabétique («Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial»), était une étude contrôlée en double aveugle sur la morbidité et la mortalité, au cours de laquelle l'irbésartan, l'amlodipine et un placebo ont été comparés. Dans les trois groupes de traitement, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs excepté les ARA II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs du canal calcique). Chez 1715 patients randomisés atteints d'hypertension et de diabète de type 2, avec protéinurie ≥900 mg/jour et créatinine sérique comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl, les effets à long terme (en moyenne, 2,6 ans) de l'irbésartan sur la progression de la néphropathie et sur la mortalité totale ont été étudiés. En fonction de la tolérance au produit, les patients sont passés d'une dose initiale de 75 mg à une dose d'entretien de 300 mg d'irbésartan, de 2,5 mg à 10 mg d'amlodipine ou de placebo. Alors que dans le groupe irbésartan et dans le groupe amlodipine des taux d'hypertension comparables ont été atteints, l'irbésartan a obtenu, outre l'abaissement de la tension artérielle, une diminution significative du risque relatif par rapport au critère d'évaluation primaire combiné (doublement de la créatininémie, néphropathie terminale ou mortalité totale): diminution du risque relatif de 20 % contre le placebo (p=0,024) et de 23 % par rapport à l'amlodipine (p=0,006). Entre les trois groupes, on n'a pas observé de différences significatives en ce qui concerne le critère d'évaluation secondaire (évènements cardiovasculaires fatals ou non fatals).
  • +L'essai concernant l'effet de l'irbésartan sur la micro-albuminurie, IRMA 2 («Irbesartan MicroAlbuminuria in Type 2 Diabetes»), était une étude contrôlée en double aveugle de la morbidité, réalisée auprès de 590 patients atteints d'hypertension artérielle et de diabète de type 2, avec micro-albuminurie (30-300 mg/jour) et fonction rénale normale (créatininémie ≤1,5 mg/dl chez l'homme et ≤1,1 mg/dl chez la femme). L'étude a évalué les effets à long terme (2 ans) d'irbésartan sur la progression vers une protéinurie clinique (manifeste): élimination d'albumine dans l'urine (EUA) > 300 mg/jour et augmentation de l'EUA d'au moins 30 % par rapport à la valeur de départ. Dans les 3 groupes de traitement, l'effet de l'irbésartan 150 mg, 300 mg et du placebo a été étudié, sachant que dans les trois branches de l'étude, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs, excepté les ARA II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs calciques dihydropyridines). Alors que des pressions artérielles comparables ont été atteintes dans tous les groupes de traitement l'irbésartan 300 mg a diminué de manière significative le risque relatif de 70 % vs placebo (p=0,0004) et l'irbésartan 150 mg de manière non significative de 39 % (p=0,085) vs placebo. Au bout de trois mois, il était déjà possible d'identifier un ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique, qui s'est maintenu sur la durée de l'étude de 2 ans. Une régression à une albuminurie normalisée (< 30 mg/jour) a été observée plus souvent sous irbésartan 300 mg (34 %) que sous placebo (21 %).
  • -Après administration orale ou intraveineuse d'irbésartan marqué au 14C, 80 à 85% de la radioactivité plasmatique circulante appartenaient à l'irbésartan inchangé. L'irbésartan est métabolisé par le foie par glycuronoconjugaison et oxydation. Le métabolite circulant principal est le glucuronide d'irbésartan (env. 6%). Des études in vitro ont montré que l'irbésartan est oxydé principalement par l'isoenzyme CYP2C9 du cytochrome P450. L'isoenzyme CYP3A4 a un effet négligeable.
  • +Après administration orale ou intraveineuse d'irbésartan marqué au 14C, 80 à 85% de la radioactivité plasmatique circulante appartenaient à l'irbésartan inchangé. L'irbésartan est métabolisé par le foie par glucuroconjugaison et oxydation. Le métabolite circulant principal est le glucuronide d'irbésartan (env. 6%). Des études in vitro ont montré que l'irbésartan est oxydé principalement par l'isoenzyme CYP2C9 du cytochrome P450. L'isoenzyme CYP3A4 a un effet négligeable.
  • -Génotoxicité/Carcinogcité
  • +Génotoxicité/Carcinogénicité
  • -La fertilité et les fonctions de reproduction n'ont pas été affectées dans les études sur les rats mâles et femelles, même à des doses orales d'irbésartan entraînant une certaine toxicité chez les parents (de 50 à 650 mg/kg/jour), y compris la mortalité à la dose la plus élevée. Aucun effet significatif sur le nombre de corps jaunes, d'implants ou de fœtus vivants n'a été observé. L'irbesartan n'a pas affecté la survie, le développement ou la reproduction de la progéniture. Des études sur les animaux indiquent que l'irbesartan radiomarqué est détecté chez les fœtus de rats et de lapins.
  • +La fertilité et les fonctions de reproduction n'ont pas été affectées dans les études sur les rats mâles et femelles, même à des doses orales d'irbésartan entraînant une certaine toxicité chez les parents (de 50 à 650 mg/kg/jour), y compris la mortalité à la dose la plus élevée. Aucun effet significatif sur le nombre de corps jaunes, d'implants ou de fœtus vivants n'a été observé. L'irbésartan n'a pas affecté la survie, le développement ou la reproduction de la progéniture. Des études sur les animaux indiquent que l'irbésartan radiomarqué est détecté chez les fœtus de rats et de lapins.
  • -Août 2023.
  • +Avril 2025.
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