| 100 Changements de l'information professionelle Lantus |
-Glycerolum (85%), Zinci chloridum, Natrii hydroxidum, Acidum hydrochloridum concentratum, Metacresolum, Aqua ad iniectabile q.s. ad solutionem pro 1 ml.
-L'insuline glargine est un analogue de l'insuline produit par technologie de l'ADN recombinant, à l'aide de souches K12 d'Escherichia coli.
-La préparation contient du sodium avec une quantité totale maximale de 0.17 mg par cartouche de 3 ml.
- +Glycerolum (85 %), Zinci chloridum, Natrii hydroxidum, Acidum hydrochloridum concentratum, Metacresolum, Aqua ad iniectabile q.s. ad solutionem pro 1 ml.
- +L'insuline glargine est un analogue de l'insuline produit par la technologie de l'ADN recombinant, à l'aide de souches K12 d'Escherichia coli.
- +La préparation contient du sodium avec une quantité totale maximale de 0,17 mg par cartouche de 3 ml.
-Lantus est un analogue de l'insuline à effet prolongé et sans pics dans son profil d'action. Il doit être administré une fois par jour, à n'importe quel moment de la journée mais au même moment chaque jour. Chez les adolescents et les enfants à partir de 2 ans il est administré une fois par jour, le soir.
- +Lantus est un analogue de l'insuline à effet prolongé et sans pics dans son profil d'action. Il doit être administré une fois par jour, à n'importe quel moment de la journée, mais au même moment chaque jour. Chez les adolescents et les enfants à partir de 2 ans, il est administré une fois par jour, le soir.
-La posologie et les heures d'administration de tous les antidiabétiques, y compris de l'insuline Lantus, ainsi que la glycémie souhaitée doivent être fixés et adaptés de manière individuelle. Etant donné que la glycémie ne corrèle pas toujours avec les données pharmacocinétiques, celle-ci doit être contrôlée fréquemment durant quelques jours suivant le début du traitement.
-Dans le schéma thérapeutique basal-bolus, en général 40 à 60% de la dose journalière est administrée sous forme d'insuline Lantus afin de couvrir les besoins de base en insuline.
- +La posologie et les heures d'administration de tous les antidiabétiques, y compris de l'insuline Lantus, ainsi que la glycémie souhaitée doivent être fixées et adaptées de manière individuelle. Étant donné que la glycémie ne corrèle pas toujours avec les données pharmacocinétiques, celle-ci doit être contrôlée fréquemment durant quelques jours suivant le début du traitement.
- +Dans le schéma thérapeutique basal-bolus, en général 40 à 60 % de la dose journalière est administrée sous forme d'insuline Lantus afin de couvrir les besoins de base en insuline.
-Quand on remplace une insuline intermédiaire ou une insuline d'action prolongée par Lantus, il peut être nécessaire de modifier la dose d'insuline basale et/ou d'ajuster la posologie du traitement antidiabétique concomitant (doses et horaires d'administration des insulines rapides ou des analogues rapides de l'insuline ou posologies des autres antidiabétiques associés).
-Dans les études où les patients sont passés de l'administration d'insuline NPH deux fois par jour à l'administration de Lantus une fois par jour avant le coucher, la dose a été réduite d'environ 20% en général, dans la première semaine de traitement (dose journalière de Lantus en unités par comparaison avec la dose journalière totale d'insuline NPH en unités internationales) afin de réduire le risque d'hypoglycémie.
- +Lors du remplacement d'une insuline d'action intermédiaire ou d'une insuline d'action prolongée par Lantus, il peut être nécessaire de modifier la dose d'insuline basale et/ou d'ajuster la posologie du traitement antidiabétique concomitant (doses et horaires d'administration des insulines rapides ou des analogues rapides de l'insuline ou posologies des autres antidiabétiques associés).
- +Dans les études où les patients sont passés de l'administration d'insuline NPH deux fois par jour à l'administration de Lantus une fois par jour avant le coucher, la dose a généralement été réduite d'environ 20 %, dans la première semaine de traitement (dose journalière de Lantus en unités par comparaison avec la dose journalière totale d'insuline NPH en unités internationales) afin de réduire le risque d'hypoglycémie.
-Ensuite, la dose doit être adaptée en fonction de la réponse du patient.
-Comme avec d'autres analogues de l'insuline, les patients requérant de fortes doses d'insuline, en raison de la présence d'anticorps dirigés contre l'insuline humaine, peuvent bénéficier d'une amélioration de la réponse à l'insuline avec Lantus.
-Il est recommandé d'assurer une surveillance métabolique étroite pendant la période de transition et les premières semaines (1 mois au moins) qui suivent.
-Quand l'équilibre métabolique s'améliore, augmentant la sensibilité à l'insuline, il peut être nécessaire de procéder à un ajustement posologique supplémentaire. Un ajustement posologique peut également s'avérer nécessaire par exemple en cas de modification du poids corporel ou du mode de vie du patient, de modification de l'heure d'administration de l'insuline ou dans toute autre circonstance pouvant augmenter la susceptibilité à l'hypoglycémie ou à l'hyperglycémie (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La dose doit ensuite être adaptée en fonction de la réponse du patient.
- +Comme avec d'autres analogues de l'insuline, les patients nécessitant de fortes doses d'insuline, en raison de la présence d'anticorps dirigés contre l'insuline humaine, peuvent constater une amélioration de leur réponse à l'insuline avec Lantus.
- +Il est recommandé d'assurer une surveillance métabolique étroite pendant la période de transition et les premières semaines (1 mois au minimum) qui suivent.
- +Quand l'équilibre métabolique s'améliore, augmentant la sensibilité à l'insuline, il peut être nécessaire de procéder à un ajustement posologique supplémentaire. Un ajustement posologique peut également s'avérer nécessaire par exemple en cas de modification du poids corporel, du mode de vie du patient, de l'heure d'administration de l'insuline ou dans toute autre circonstance pouvant augmenter la susceptibilité à l'hypoglycémie ou à l'hyperglycémie (voir «Mises en garde et précautions»).
-Les cartouches de Lantus conviennent uniquement aux injections sous-cutanées à partir d'un stylo réutilisable (AllStar PRO ou le JuniorSTAR).
-Lantus SoloStar, stylo pré-rempli, convient uniquement aux injections sous-cutanées.
- +Les cartouches de Lantus conviennent uniquement aux injections sous-cutanées au moyen d'un stylo réutilisable (AllStar PRO ou JuniorSTAR).
- +Lantus SoloStar, stylo prérempli, convient uniquement aux injections sous-cutanées.
-Bien que la résorption de l'insuline glargine ne présente pas de différence après injection sous-cutanée dans la paroi abdominale, dans la cuisse ou dans le muscle deltoïde, comme pour toutes les insulines, il faut changer de site d'injection à chaque administration au sein d'une même région d'injection afin de réduire ou d'éviter des risques de lipodystrophie et d'amyloïdose cutanée (voir les sections «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
-Lantus SoloStar permet de sélectionner des doses d'insuline d'un minimum de 1 à un maximum de 80 unités, par intervalle de 1 unité.
- +Bien que la résorption de l'insuline glargine ne présente pas de différence après injection sous-cutanée dans la paroi abdominale, dans la cuisse ou dans le muscle deltoïde, comme pour toutes les insulines, il faut changer de site d'injection à chaque administration au sein d'une même zone d'injection afin de réduire ou d'éviter des risques de lipodystrophie et d'amyloïdose cutanée (voir les sections «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»).
- +Lantus SoloStar permet de sélectionner des doses d'insuline d'un minimum de 1 à un maximum de 80 unités, par intervalles de 1 unité.
-Enfants et adolescents
- +Population pédiatrique
-L'expérience étant limitée, l'efficacité et la tolérance de Lantus n'ont pu être évaluées dans les groupes de patients suivants: patients ayant une insuffisance hépatique ou patients ayant une insuffisance rénale modérée à sévère ( voir rubrique «Mises en garde et précautions»)
- +L'expérience étant limitée, l'efficacité et la tolérance de Lantus n'ont pu être évaluées dans les groupes de patients suivants: patients souffrant d'insuffisance hépatique ou patients souffrant d'une insuffisance rénale modérée à sévère (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Hypersensibilité par rapport au principe actif ou à l'un des excipients conformément la composition.
- +Hypersensibilité par rapport au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
-·JuniorSTAR qui délivre Lantus par palier de 0.5 unité
-·AllStar PRO qui délivre Lantus par palier de 1 unité
-Les cartouches de Lantus ne devraient pas être utilisées avec un autre stylo car la précision de dosage n'a été établie qu'avec les stylos pré-cités.
-Lantus n'est pas l'insuline de choix pour le traitement de l'acidocétose diabétique. Dans cette situation, il est recommandé d'administrer une insuline rapide par voie intraveineuse.
-Il ne faut ni mélanger Lantus à une autre insuline, ni la diluer. Un mélange ou une dilution risquerait en effet de modifier le profil d'action en fonction du temps et un mélange pourrait provoquer une précipitation.
- +·JuniorSTAR qui délivre Lantus par paliers de 0,5 unité
- +·AllStar PRO qui délivre Lantus par paliers de 1 unité.
- +Les cartouches de Lantus ne devraient pas être utilisées avec un autre stylo, car la précision de dosage n'a été établie qu'avec les stylos précités.
- +Lantus n'est pas l'insuline de choix pour le traitement de l'acidocétose diabétique. Dans ce cas, il est recommandé d'administrer une insuline rapide par voie intraveineuse.
- +Il ne faut ni mélanger Lantus à une autre insuline ni le diluer. Un mélange ou une dilution risquerait en effet de modifier le profil d'action en fonction du temps et un mélange pourrait provoquer une précipitation.
-L'insulinothérapie exige en principe du patient qu'il soit capable de gérer son affection diabétique de manière indépendante, c'est-à-dire le contrôle de sa glycémie, l'apprentissage de la technique d'injection correcte et un comportement adéquat face aux situations métaboliques hypoglycémiques et hyperglycémiques. Les patients doivent suivre une formation afin de pouvoir appliquer les mesures nécessaires de manière indépendante. Par ailleurs, il convient d'expliquer aux patients le comportement à adopter dans les situations d'exception qui peuvent se produire lorsque les administrations d'insuline sont insuffisantes, lorsqu'elles ont été oubliées ou lorsque par inadvertance elles sont trop élevées, ou encore en cas d'absorption insuffisante de nourriture ou de repas omis.
-Avant d'utiliser le SoloStar ou un stylo à insuline, le mode d'emploi du stylo se trouvant avec la notice d'emballage doit être lu soigneusement. Les préparations injectables doivent être manipulées selon les indications décrites.
- +L'insulinothérapie exige en principe du patient qu'il soit capable de gérer son affection diabétique de manière indépendante, ce qui implique le contrôle de sa glycémie, l'apprentissage de la technique d'injection correcte et un comportement adéquat face aux situations métaboliques hypoglycémiques et hyperglycémiques. Les patients doivent suivre une formation afin de pouvoir appliquer les mesures nécessaires de manière indépendante. Par ailleurs, il convient d'expliquer aux patients le comportement à adopter dans les situations d'exception qui peuvent se produire lorsque les administrations d'insuline sont insuffisantes, lorsqu'elles ont été oubliées, lorsque par inadvertance elles sont trop élevées, ou encore en cas d'absorption insuffisante de nourriture ou de repas omis.
- +Avant d'utiliser le SoloStar ou un autre stylo à insuline, il convient de lire soigneusement le mode d'emploi du stylo se trouvant dans la notice d'emballage. Les préparations injectables doivent être manipulées selon les indications décrites.
-Si l'équilibre glycémique n'est pas optimal ou si le patient a tendance à présenter des épisodes hyperglycémiques ou hypoglycémiques, il faut d'abord vérifier le respect par le patient du traitement prescrit, les sites et les techniques d'injection, le maniement du stylo et l'ensemble des autres facteurs susceptibles d'augmenter la tendance à l'hyper- ou l'hypoglycémie, avant d'envisager l'ajustement de la dose d'insuline.
-Le passage à une autre préparation insulinique ne devrait avoir lieu que sous contrôle médical strict et selon des instructions précises. De même, le schéma de traitement ne doit être modifié qu'après entretien avec le médecin ou selon ses indications.
-Les patients doivent avoir pour instruction de varier constamment les sites d'injection à chaque administration afin de réduire le risque de développer une lipodystrophie et une amyloïdose cutanée. Il existe un risque potentiel de retard dans l'absorption de l'insuline et d'aggravation du contrôle de la glycémie après des injections d'insuline aux sites présentant ces réactions. Il a été signalé qu'un changement soudain du site d'injection vers une zone non touchée pouvait entraîner une hypoglycémie. Il est recommandé de surveiller la glycémie après le changement de site d'injection et d'envisager un ajustement de la dose des médicaments antidiabétiques.
- +Si l'équilibre glycémique n'est pas optimal ou si le patient a tendance à présenter des épisodes hyperglycémiques ou hypoglycémiques, il faut d'abord vérifier le respect par le patient du traitement prescrit, les sites et les techniques d'injection, le maniement du SoloStar ou des stylos injecteurs et l'ensemble des autres facteurs susceptibles d'augmenter la tendance à l'hyper- ou l'hypoglycémie, avant d'envisager l'ajustement de la dose d'insuline.
- +Le passage à une autre préparation insulinique ne devrait avoir lieu que sous contrôle médical strict et selon des instructions précises. De même, le schéma de traitement ne doit être modifié qu'après un entretien avec un médecin ou selon ses indications.
- +Les patients doivent avoir pour instruction de varier constamment les sites d'injection à chaque administration afin de réduire le risque de développer une lipodystrophie ou une amyloïdose cutanée. Il existe un risque potentiel de retard dans l'absorption de l'insuline et d'aggravation du contrôle de la glycémie après des injections d'insuline aux sites présentant ces réactions. Il a été signalé qu'un changement soudain du site d'injection vers une zone non touchée pouvait entraîner une hypoglycémie. Il est recommandé de surveiller la glycémie après le changement de site d'injection et d'envisager un ajustement de la dose des médicaments antidiabétiques.
-Pour le diabétique traité à l'insuline, il existe en principe un risque d'hypoglycémie plus ou moins sévère. Celle-ci peut diminuer l'attention, particulièrement lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation de machines. Le risque d'hypoglycémie est généralement plus élevé en début de traitement, lors de changement de préparation, d'injections irrégulières, de repas irréguliers, ainsi que plus généralement lors de diabète mal ou non équilibré (fortes fluctuations de la glycémie). Le patient doit être informé de ce risque accru d'hypoglycémie.
- +Il existe en principe un risque d'hypoglycémie plus ou moins sévère chez le diabétique traité à l'insuline. Celle-ci peut diminuer l'attention, particulièrement lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation de machines. Le risque d'hypoglycémie est généralement plus élevé en début de traitement, lors de changement de préparation, d'injections irrégulières, de repas irréguliers, ainsi que plus généralement lors d'un diabète mal ou non équilibré (fortes fluctuations de la glycémie). Le patient doit être informé de ce risque accru d'hypoglycémie.
-Le moment de survenue d'une hypoglycémie dépend du profil d'action des insulines utilisées et peut donc changer après modification du schéma de traitement.
- +Le moment de survenue d'une hypoglycémie dépend du profil d'action des insulines utilisées et peut donc changer après une modification du schéma de traitement.
-Des signes neurovégétatifs: sueurs, sensation de faim, tremblements (dits symptômes d'alarme neurovégétatifs), pâleur, palpitations, céphalées.
-Des signes neuroglycopéniques: troubles de la concentration, modification du comportement (entre autres agitation, nervosité, agressivité, état confusionnel), troubles de la conscience, de la coordination, de la vue et de la parole. Ceux-ci peuvent aller jusqu'à l'étourdissement, la somnolence et même perte de connaissance. L'hypoglycémie peut aussi provoquer des crises épileptiques ou se manifester comme un ictus cérébral, accompagné p.ex. d'hémiparésie (en général passagère), d'aphasie et de signe de Babinski positif.
-Signes d'alarme atténués/modifiés: les signes d'alarme de l'hypoglycémie peuvent être modifiés et les symptômes neurovégétatifs l'accompagnant peuvent être perçus de façon atténuée ou retardée, en particulier lors de traitement visant des taux de glycémie basse (p.ex. traitement selon le principe dose de basal-bolus par injections répétées), lors de diabète ancien (éventuellement accompagné de polynévrite), chez les personnes âgées ou lors de changement d'insuline. Ce phénomène a également été observé par des patients lors du passage de l'insuline animale à l'insuline humaine, comme d'ailleurs lors d'autres changements de préparation.
-Les β-bloquants peuvent réduire ou masquer les symptômes d'alerte courants de l'hypoglycémie.
-Veuillez donc informer le diabétique traité à l'insuline et son entourage que l'hypoglycémie peut se déclarer de manière soudaine et d'abord par des signes neuroglycopéniques tels que troubles de la concentration, agitation, troubles du comportement et de la conscience, d'où le risque de négliger de prendre du sucre à temps.
-La consommation d'alcool peut augmenter le risque d'hypoglycémie (inhibition de la néoglucogenèse hépatique). Il convient de prendre en compte que la teneur en hydrates de carbone des boissons alcoolisées pourrait aussi entraîner une augmentation de la glycémie.
-Thérapie de l'hypoglycémie: cf. «Surdosage».
-Après chaque hypoglycémie sévère, il convient de rééquilibrer le diabète. Par conséquent, il faut recommander au patient d'informer le médecin de chaque hypoglycémie sévère subie.
- +Des signes neurovégétatifs: transpiration, sensation de faim, tremblements (dits symptômes d'alerte neurovégétatifs), pâleur, palpitations, céphalées.
- +Des signes neuroglycopéniques: troubles de la concentration, modification du comportement (entre autres, agitation, nervosité, agressivité, état confusionnel), troubles de la conscience, de la coordination, de la vue et de la parole. Ceux-ci peuvent aller jusqu'à l'étourdissement, la somnolence et même la perte de connaissance. L'hypoglycémie peut aussi provoquer des crises épileptiques ou se manifester comme un ictus cérébral, accompagné par exemple d'hémiparésie (en général passagère), d'aphasie et de signes de Babinski positifs.
- +Signes d'alerte atténués/modifiés: les signes d'alerte de l'hypoglycémie peuvent être modifiés et les symptômes neurovégétatifs l'accompagnant peuvent être perçus de façon atténuée ou retardée, en particulier lors de traitement visant des taux de glycémie basse (p. ex., traitement par injections répétées selon le schéma de basal-bolus), lors de diabète ancien (éventuellement accompagné d'une polyneuropathie), chez les personnes âgées ou lors de changement d'insuline. Ce phénomène a également été observé par des patients lors du passage de l'insuline animale à l'insuline humaine, comme d'ailleurs lors d'autres changements de préparation.
- +Les bêtabloquants peuvent réduire ou masquer les symptômes d'alerte courants de l'hypoglycémie.
- +Veuillez donc informer le diabétique traité à l'insuline et son entourage que l'hypoglycémie peut se déclarer de manière soudaine et d'abord par des signes neuroglycopéniques tels que troubles de la concentration, agitation, troubles du comportement et de la conscience, ce qui peut l'amener à ne pas ingérer de sucre suffisamment tôt.
- +La consommation d'alcool peut augmenter le risque d'hypoglycémie (inhibition de la néoglucogenèse hépatique). Il convient de prendre en compte que la teneur en hydrates de carbone des boissons alcoolisées peut aussi entraîner une augmentation de la glycémie.
- +Thérapie de l'hypoglycémie: voir «Surdosage».
- +Après chaque hypoglycémie sévère, il convient de rééquilibrer le diabète. Par conséquent, il faut recommander au patient d'informer son médecin dès que possible de toute hypoglycémie sévère subie.
-Une élévation de la glycémie, une hyperglycémie, une acidocétose et des états hyperosmolaires peuvent survenir par exemple si les doses d'insuline sont trop faibles par rapport aux apports glucidiques, si l'effet de l'insuline a diminué (p.ex. du fait de mauvaises conditions de conservation), si l'exercice physique a été réduit, si la sensibilité à l'insuline a diminué du fait d'un stress émotionnel ou physique (p.ex. à la suite d'un traumatisme, d'une intervention chirurgicale, d'infections fébriles ou d'autres pathologies) ou si des médicaments ayant un effet hyperglycémiant sont administrés conjointement (cf. «Interactions»).
-Les signes et symptômes d'un déséquilibre métabolique hyperglycémique sont: soif, polyurie, glycosurie, acétonurie, fatigue, sécheresse cutanée, érythème facial, anorexie, hypotension artérielle et tachycardie. Une acidocétose doit toujours être évoquée, surtout en cas de symptômes tels que vomissements, douleurs abdominales, respiration rapide et profonde, somnolence et coma. Une hyperglycémie sévère ou une acidocétose peut devenir alarmante au point de menacer le pronostic vital. Selon la disponibilité de l'insuline, l'acidocétose peut se développer en quelques heures ou quelques jours. Dès l'identification des signes et symptômes potentiels d'une hyperglycémie ou acidocétose, la glycémie et l'acétonurie doivent être mesurées et si nécessaire, le traitement mis en route sans délai.
- +Une élévation de la glycémie, une hyperglycémie, une acidocétose et des états hyperosmolaires peuvent survenir par exemple si les doses d'insuline sont trop faibles par rapport aux apports glucidiques, si l'effet de l'insuline a diminué (p.ex. du fait de mauvaises conditions de conservation), si l'exercice physique a été réduit, si la sensibilité à l'insuline a diminué du fait d'un stress émotionnel ou physique (p.ex. à la suite d'un traumatisme, d'une intervention chirurgicale, d'infections fébriles ou d'autres pathologies) ou si des médicaments ayant un effet hyperglycémiant sont administrés conjointement (voir «Interactions»).
- +Les signes et symptômes d'un déséquilibre métabolique hyperglycémique sont: soif, polyurie, glycosurie, cétonurie, fatigue, sécheresse cutanée, érythème facial, diminution de l'appétit, hypotension artérielle et tachycardie. Une acidocétose doit toujours être évoquée, surtout en cas de symptômes tels que vomissements, douleurs abdominales, respiration rapide et profonde, somnolence et coma. Une hyperglycémie sévère ou une acidocétose peut devenir alarmante au point de menacer le pronostic vital. Selon la disponibilité de l'insuline, l'acidocétose peut se développer en quelques heures ou quelques jours. Dès l'identification des signes et symptômes potentiels d'une hyperglycémie ou d'une acidocétose, la glycémie et l'acétonurie doivent être mesurées et si nécessaire, un traitement mis en route sans délai.
-Toute maladie intercurrente nécessite un renforcement de la surveillance métabolique. Il est souvent indiqué de rechercher la présence de corps cétoniques dans les urines et souvent nécessaire d'ajuster les doses d'insuline. Les besoins en insuline sont souvent accrus.
- +Toute maladie intercurrente nécessite un renforcement de la surveillance métabolique. Il est souvent indiqué de rechercher la présence de corps cétoniques dans les urines et souvent nécessaire d'ajuster la dose d'insuline. Les besoins en insuline sont souvent accrus.
-1.Le besoin en insuline peut être réduit en présence de substances qui améliorent l'efficacité de l'insuline (en augmentant la sensibilité à l'insuline), qui stimulent la sécrétion insulinique, qui inhibent la gluconéogenèse hépatique ou qui modifient l'absorption intestinale du glucose. En présence d'une quantité inchangée d'insuline, il existe de ce fait un risque accru d'hypoglycémie en cas de prise simultanée de:antidiabétiques oraux; alcool; IEC (p.ex. captopril et énalapril); antiarythmiques tels que le disopyramide; α-bloquants et clonidine; inhibiteurs de la recapture de la sérotonine; fenfluramine; IMAO; antidépresseurs tricycliques; salicylates et (rarement) autres AINS; fibrates; tétracyclines; pentamidine (hypoglycémie, parfois suivie d'une hyperglycémie); antimalariens (quinine, chloroquine, méfloquine); sulfonamides (p.ex. cotrimoxazol); cimétidine et ranitidine.
-2.Le besoin en insuline peut être augmenté lors de l'utilisation des substances ou groupes de substances suivants:Contraceptifs oraux et autres composés oestrogéniques ou progestatifs; corticostéroïdes et ACTH; hormone de croissance (somatotropine); danazol; hormones thyroïdiennes; sympathicomimétiques (particulièrement les agonistes β2 tels que ritodrine, salbutamol, terbutaline, mais égalements certains sympathicomimétiques α-sélectifs, ainsi que non-sélectifs telle l'épinéphrine); diazoxide; acide nicotinique et ses dérivés; chlorpromazine (surtout à doses élevées) et autres dérivés de la phénothiazine; diurétiques (p.ex. diurétiques à base de thiazide, d'indapamide et de furosémide); substances antirétrovirales; substances immunosuppressives (ciclosporine, tacrolimus, sirolimus), antipsychotiques atypiques (tels que clozapine et olanzapine).
-3.L'efficacité de l'insuline peut être accrue ou réduite, en fonction de la dose, lors de l'utilisation des substances suivantes:Dérivés d'octréotide, dérivés salicylés, sels de lithium (rarement).Les β-bloquants peuvent aggraver l'insulinorésistance mais aussi, dans certains cas, entraîner une hypoglycémie. Il existe en outre un risque de diminution ou de masquage des symptômes d'alerte de l'hypoglycémie.
- +1.Le besoin en insuline peut être réduit en présence de substances qui améliorent l'efficacité de l'insuline (en augmentant la sensibilité à l'insuline), qui stimulent la sécrétion insulinique, qui inhibent la gluconéogenèse hépatique ou qui modifient l'absorption intestinale du glucose. En présence d'une quantité inchangée d'insuline, il existe de ce fait un risque accru d'hypoglycémie en cas de prise simultanée de:Antidiabétiques oraux; alcool; IEC (p.ex. captopril et énalapril); antiarythmiques tels que le disopyramide; α-bloquants et clonidine; inhibiteurs de la recapture de la sérotonine; fenfluramine; IMAO; antidépresseurs tricycliques; salicylates et (rarement) autres AINS; fibrates; tétracyclines; pentamidine (hypoglycémie, parfois suivie d'une hyperglycémie); antipaludéens (quinine, chloroquine, méfloquine); sulfonamides (p.ex. cotrimoxazol); cimétidine et ranitidine.
- +2.Le besoin en insuline peut être augmenté lors de l'utilisation des substances ou groupes de substances suivants:Contraceptifs oraux et autres composés œstrogéniques ou progestatifs; corticostéroïdes et ACTH; hormone de croissance (somatotropine); danazol; hormones thyroïdiennes; sympathicomimétiques (particulièrement les agonistes β2 tels que la ritodrine, le salbutamol, la terbutaline, mais également certains sympathicomimétiques α-sélectifs, ainsi que non sélectifs telle l'épinéphrine); diazoxide; acide nicotinique et ses dérivés; chlorpromazine (surtout à doses élevées) et autres dérivés de la phénothiazine; diurétiques (p.ex. diurétiques à base de thiazide, d'indapamide et de furosémide); substances antirétrovirales; substances immunosuppressives (ciclosporine, tacrolimus, sirolimus) et antipsychotiques atypiques (tels que la clozapine et l'olanzapine).
- +3.L'efficacité de l'insuline peut être accrue ou réduite, en fonction de la dose, lors de l'utilisation des substances suivantes:Dérivés d'octréotide, dérivés salicylés, sels de lithium (rarement).Les bêta-bloquants peuvent aggraver l'insulinorésistance, mais aussi, dans certains cas, entraîner une hypoglycémie. Il existe en outre un risque de diminution ou de masquage des symptômes d'alerte de l'hypoglycémie.
-Par ailleurs, une adaptation de la dose d'insuline et du régime alimentaire peut s'avérer nécessaire pendant l'allaitement. On ne sait pas si l'insuline glargine est excrétée dans le lait maternel. Aucun effet métabolique de l'insuline glargine ingérée chez le nouveau-né /le nourrisson allaité n'est attendu dans la mesure où l'insuline glargine, comme tout peptide, est digérée en acides aminés au niveau gastro-intestinal.
- +Par ailleurs, une adaptation de la dose d'insuline et du régime alimentaire peut s'avérer nécessaire pendant l'allaitement. On ne sait pas si l'insuline glargine est excrétée dans le lait maternel. Aucun effet métabolique de l'insuline glargine ingérée chez le nouveau-né/le nourrisson allaité n'est attendu dans la mesure où l'insuline glargine, comme tout peptide, est digérée en acides aminés au niveau gastro-intestinal.
-Les patients doivent être informés des précautions à prendre pour éviter l'hypoglycémie durant la conduite. Ceci est particulièrement important chez les patients qui sont peu ou pas conscients des symptômes avertissant l'hypoglycémie ou qui ont des épisodes fréquents d'hypoglycémie. L'opportunité de conduire une voiture ou d'utiliser une machine doit être évaluée dans de telles circonstances.
- +Les patients doivent être informés des précautions à prendre pour éviter l'hypoglycémie durant la conduite. Ceci est particulièrement important chez les patients qui ont une perception réduite ou inexistante des symptômes d'alerte de l'hypoglycémie et chez ceux souffrant d'épisodes fréquents d'hypoglycémie. La capacité à conduire une voiture ou à utiliser une machine doit être évaluée dans de telles circonstances.
-Les effets indésirables sont rangés par classe de systèmes d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (< 1/10 000) et « Fréquence inconnue » (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables sont rangés par classe de systèmes d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: « très fréquents » (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000), « très rares » (< 1/10 000) et «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Les réactions d'hypersensibilité immédiate à l'insuline sont rares. Ces réactions à l'insuline (y compris l'insuline glargine) ou à ses excipients peuvent s'accompagner, par exemple, de réactions cutanées généralisées, d'un oedème de Quincke, d'un bronchospasme, d'une hypotension et d'un choc et peuvent menacer le prognostic vital.
- +Les réactions d'hypersensibilité immédiate à l'insuline sont rares. Ces réactions à l'insuline (y compris l'insuline glargine) ou à ses excipients peuvent s'accompagner, par exemple, de réactions cutanées généralisées, d'un œdème de Quincke, d'un bronchospasme, d'une hypotension et d'un choc et peuvent menacer le pronostic vital.
-Une hypoglycémie, un effet indésirable fréquent ou très fréquent de toute insulinothérapie, peut survenir si les doses d'insuline sont supérieures aux besoins. Les épisodes d'hypoglycémies sévères, surtout s'ils sont répétés, peuvent entraîner des lésions neurologiques. Les épisodes d'hypoglycémie prolongée ou sévère peuvent engager le prognostic vital (voir «Mises en garde et précautions»)
- +Une hypoglycémie, un effet indésirable fréquent à très fréquent de toute insulinothérapie, peut survenir si les doses d'insuline sont supérieures aux besoins. Les épisodes d'hypoglycémies sévères, surtout s'ils sont répétés, peuvent entraîner des lésions neurologiques. Les épisodes d'hypoglycémie prolongés ou sévères peuvent engager le pronostic vital (voir «Mises en garde et précautions»).
-Une intensification de l'insulinothérapie induisant une amélioration brutale de l'équilibre glycémique peut provoquer une aggravation transitoire de la rétimopathie diabétique. Une hypoglycémie sévère risque de provoquer une amaurose transitoire chez les patients atteints de rétinopathie proliférante, en particulier si celle-ci n'a pas été traitée par photocoagulation.
- +Une intensification de l'insulinothérapie induisant une amélioration brutale de l'équilibre glycémique peut provoquer une aggravation transitoire de la rétinopathie diabétique. Une hypoglycémie sévère risque de provoquer une amaurose transitoire chez les patients atteints de rétinopathie proliférante, en particulier si celle-ci n'a pas été traitée par photocoagulation.
-Comme avec toute insulinothérapie, une lipodystrophie et une amyloïdose cutanée peuvent survenir au site d'injection ce qui peut retarder la résorption locale de l'insuline. Dans les études cliniques concernant des schémas de traitement comportant Lantus, une lipohypertrophie a été observée chez 1 à 2% des patients, alors que la lipoatrophie a été rare. Une rotation continue des sites d'injection dans une zone donnée peut aider à diminuer ou à éviter ces réactions (voir les sections «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions».
- +Comme avec toute insulinothérapie, une lipodystrophie et une amyloïdose cutanée peuvent survenir au site d'injection ce qui peut retarder la résorption locale de l'insuline. Dans les études cliniques concernant des schémas de traitement comportant Lantus, une lipohypertrophie a été observée chez 1 à 2 % des patients, alors que la lipoatrophie a été rare. Une rotation continue des sites d'injection dans une zone donnée peut aider à diminuer ou à éviter ces réactions (voir les sections «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
-Occasionnels: lipoatrophie.
-Inconnue: amyloïdose cutanée.
- +Occasionnel: lipoatrophie.
- +Fréquence inconnue: amyloïdose cutanée.
-Fréquents: réactions au site d'injection.
-Dans les études cliniques concernant des schémas de traitement comportant Lantus, de fréquentes réactions au site d'injection ont été observées. Ces réactions comprennent rougeur, douleur, prurit, urticaire, tuméfaction ou inflammation. La plupart des réactions mineures aux insulines disparaissent généralement en l'espace de quelques jours à quelques semaines.
- +Fréquent: réactions au site d'injection.
- +Dans les études cliniques concernant des schémas de traitement comportant Lantus, de fréquentes réactions au site d'injection ont été observées. Ces réactions comprennent rougeur, douleur, démangeaisons, urticaire, tuméfaction ou inflammation. La plupart des réactions mineures aux insulines disparaissent généralement en l'espace de quelques jours à quelques semaines.
-Les rapports sur les effets indésirables reçus au cours de la surveillance post marketing ont montré une fréquence relativement plus importante des réactions au site d'injection (douleur au point d'injection, réaction au point d'injection) et des réactions cutanées (éruption, urticaire) chez les enfants et les adolescents (≤18 ans) que chez les adultes.
-Chez les enfants âgés de moins de deux ans, il n'y a pas de données de tolérance issues d'étude clinique. Le nombre d'enfants entre deux et quatre ans traités par insuline glargine au cours des études cliniques est limité (n=10).
- +Les rapports sur les effets indésirables reçus au cours de la surveillance après la mise sur le marché ont montré une fréquence relativement plus importante des réactions au site d'injection (douleur ou réaction au point d'injection) et des réactions cutanées (éruption, urticaire) chez les enfants et les adolescents (≤18 ans) que chez les adultes.
- +Il n'existe pas de données issues d'étude clinique sur la tolérance chez les enfants de moins de deux ans. Le nombre d'enfants entre deux et quatre ans traités par insuline glargine au cours des études cliniques est limité (n = 10).
-Les épisodes plus sévères, s'accompagnant de coma, convulsions ou troubles neurologiques, peuvent être traités par du glucagon par voie intramusculaire ou sous-cutanée ou du glucose concentré par voie intraveineuse. Etant donné qu'une hypoglycémie peut récidiver après amélioration clinique apparente, il peut être nécessaire de poursuivre l'apport de glucides et la surveillance.
- +Les épisodes plus sévères, s'accompagnant de coma, convulsions ou troubles neurologiques, peuvent être traités par du glucagon par voie intramusculaire ou sous-cutanée ou du glucose concentré par voie intraveineuse. Étant donné qu'une hypoglycémie peut récidiver après une amélioration clinique apparente, il peut être nécessaire de poursuivre l'apport de glucides et la surveillance.
-L'insuline glargine est peu soluble à pH neutre. Elle est totalement soluble au pH acide de la solution injectable de Lantus (pH 4,0). Après injection dans le tissu sous-cutané, la solution acide est neutralisée, ce qui induit la formation de micro-précipités à partir desquels de petites quantités d'insuline glargine sont libérées de façon continue. En conséquence, la courbe concentration/temps est lisse, sans pics, prévisible, et l'effet prolongé.
- +L'insuline glargine est peu soluble à pH neutre. Elle est totalement soluble au pH acide de la solution injectable de Lantus (pH 4,0). Après injection dans le tissu sous-cutané, la solution acide est neutralisée, ce qui induit la formation de micro-précipités à partir desquels de petites quantités d'insuline glargine sont libérées de façon continue. En conséquence, le profil concentration/temps est lisse, sans pics, prévisible, et l'effet prolongé.
-Fixation au récepteur de l'IGF-1 (Insulin-like Growth Factor ou Facteur de croissance apparenté à l'insuline) in vitro: l'affinité de l'insuline glargine pour le récepteur de l'IGF-1 humain est environ 8 fois plus grande que celle de l'insuline humaine, tandis que M1 et M2 se fixent au récepteur de l'IGF-1 avec une affinité légèrement plus faible que celle de l'insuline humaine.
- +Fixation au récepteur de l'IGF-1 (Insulin-like Growth Factor – Facteur de croissance apparenté à l'insuline) in vitro: l'affinité de l'insuline glargine pour le récepteur de l'IGF-1 humain est environ huit fois plus grande que celle de l'insuline humaine, tandis que les métabolites M1 et M2 se fixent au récepteur de l'IGF-1 avec une affinité légèrement plus faible que celle de l'insuline humaine.
-Des études de clampage euglycémique menées chez les sujets sains et patients atteints de diabète de type 1 ont montré que l'effet de l'insuline glargine sous-cutanée apparaissait plus lentement que celui de l'insuline NPH humaine, que cet effet était régulier, sans pics, et que la durée d'action était prolongée.
- +Des études de clamp euglycémique menées chez des sujets sains et des patients atteints de diabète de type 1 ont montré que l'effet de l'insuline glargine sous-cutanée apparaissait plus lentement que celui de l'insuline NPH humaine, que cet effet était régulier, sans pics, et que sa durée d'action était prolongée.
-Cet effet plus prolongé de l'insuline glargine est directement lié au fait que la résorption de cette insuline est plus lente. En conséquence, une seule administration par jour suffit. Le profil d'action de l'insuline et des analogues de l'insuline tels que l'insuline glargine peut varier considérablement d'un sujet à l'autre et chez le même sujet. En raison de l'évolution homogène de l'effet de l'insuline glargine, les variations sont cependant plus faibles que pour l'insuline NPH.
- +Cet effet plus prolongé de l'insuline glargine est directement lié au fait que la résorption de cette insuline est plus lente. En conséquence, une seule administration par jour suffit. Le profil d'action de l'insuline et des analogues de l'insuline tels que l'insuline glargine peut varier considérablement d'un sujet à l'autre et chez un même sujet. En raison de l'évolution homogène de l'effet de l'insuline glargine, les variations sont cependant plus faibles que pour l'insuline NPH.
-Dans deux études, l'efficacité et la sécurité d'emploi de Lantus (1 fois par jour avant le coucher) ont été démontré chez l'enfant à partir de 6 ans et chez l'adolescent. Des patients diabétiques de type 1 âgés de 6 à 15 ans (n = 349) ont reçu durant 28 semaines un traitement associant de l'insuline humaine avec soit Lantus 1 fois par jour avant le coucher, soit de l'insuline humaine NPH 1 ou 2 fois par jour. Les taux d'hémoglobine glyquée et la fréquence des hypoglycémies étaient semblables dans les deux groupes.
-Une étude de 24 semaines en groupes parallèles a été menée chez 125 enfants diabétiques de Type 1 âgés de 1 à 6 ans (moyenne: 4.2 ans), comparant l'insuline glargine, donnée une fois par jour le matin, à l'insuline NPH, donnée une ou deux fois par jour comme insuline basale. Les deux groupes ont reçu des bolus d'insuline avant les repas. Dans le groupe insuline glargine il n'y avait pas d'enfants âgés de moins de deux ans (un enfant dans le groupe NPH). Dix enfants âgés de deux à quatre ans ont été traités par l'insuline glargine contre 16 avec l'insuline NPH.
-L'objectif principal qui était de démontrer la non-infériorité de l'insuline glargine par rapport à la NPH sur les hypoglycémies totales n'a pas été atteint; le nombre d'événements hypoglycémiques a eu tendance à être plus élevé avec l'insuline glargine [rapport des taux d'hypoglycémies insuline glargine/NPH = 1,18 (IC 95%: 0,97-1,44)].
- +Dans deux études, l'efficacité et la sécurité d'emploi de Lantus (1 fois par jour avant le coucher) ont été démontrées chez l'enfant à partir de 6 ans et chez l'adolescent. Des patients diabétiques de type 1 âgés de 6 à 15 ans (n = 349) ont reçu durant 28 semaines un traitement associant de l'insuline humaine avec soit Lantus 1 fois par jour avant le coucher, soit de l'insuline humaine NPH 1 ou 2 fois par jour. Les taux d'hémoglobine glyquée et la fréquence des hypoglycémies étaient semblables dans les deux groupes.
- +Une étude de 24 semaines en groupes parallèles a été menée chez 125 enfants diabétiques de type 1 âgés de 1 à 6 ans (moyenne: 4,2 ans), comparant l'insuline glargine, donnée une fois par jour le matin, à l'insuline NPH, donnée une ou deux fois par jour comme insuline basale. Les deux groupes ont reçu des bolus d'insuline avant les repas. Dans le groupe insuline glargine, il n'y avait pas d'enfants âgés de moins de deux ans (un enfant dans le groupe NPH). Dix enfants âgés de deux à quatre ans ont été traités par l'insuline glargine contre 16 avec l'insuline NPH.
- +L'objectif principal qui était de démontrer la non-infériorité de l'insuline glargine par rapport à l'insuline NPH sur le nombre total d'hypoglycémies n'a pas été atteint. Le nombre d'événements hypoglycémiques a eu tendance à être plus élevé avec l'insuline glargine [rapport des taux d'hypoglycémies insuline glargine/NPH = 1,18 (IC 95 %: 0,97-1,44)].
-L'insuline glargine n'a pas altéré le risque relatif de morbidité et de mortalité CV comparativement au traitement standard. Le taux d'HbA1c médian sous traitement a fluctué de 5,9 à 6,4% dans le groupe insuline glargine et entre 6,2 % et 6,6 % dans le groupe traitement standard pendant toute la durée du suivi. Les taux d'hypoglycémie sévère (nombre de patients affectés pour 100 patients par année d'exposition) ont été de 1,05 dans le groupe insuline glargine et de 0,30 dans le groupe traitement standard.
-Au cours de cette étude de 6 ans, 42% des patients du groupe insuline glargine n'ont jamais présenté d'hypoglycémie. L'incidence globale des cancers (tous types confondus) ou décès par cancer était similaire entre les groupes de traitement.
- +L'insuline glargine n'a pas altéré le risque relatif de morbidité et de mortalité CV comparativement au traitement standard. Le taux d'HbA1c médian sous traitement a fluctué de 5,9 à 6,4 % dans le groupe insuline glargine et entre 6,2 % et 6,6 % dans le groupe traitement standard pendant toute la durée du suivi. Les taux d'hypoglycémie sévère (nombre de patients affectés pour 100 patients par année d'exposition) ont été de 1,05 dans le groupe insuline glargine et de 0,30 dans le groupe traitement standard.
- +Au cours de cette étude de six ans, 42 % des patients du groupe insuline glargine n'ont jamais présenté d'hypoglycémie. L'incidence globale des cancers (tous types confondus) ou décès par cancer était similaire entre les deux groupes de traitement.
-Les effets de Lantus sur (1 injection par jour) la rétinopathie diabétique ont été évalués sur 5 ans dans une étude en ouvert contrôlée versus NPH (administré 2 fois par jour) chez 1024 patients diabétiques de type 2, chez qui la progression de la rétinopathie de 3 points ou plus sur l'échelle de ETDRS (Early Treatment Diabetic Retinopathy Study) a été recherchée par photographie du fond d'oeil. Aucune différence significative n'a été observée dans la progression de la rétinopathie diabétique entre les groupes Lantus et insuline NPH.
- +Les effets de Lantus (1 injection par jour) sur la rétinopathie diabétique ont été évalués sur 5 ans dans une étude en ouvert contrôlée versus NPH (administré 2 fois par jour) chez 1024 patients diabétiques de type 2, chez qui la progression de la rétinopathie de 3 points ou plus sur l'échelle de ETDRS (Early Treatment Diabetic Retinopathy Study) a été recherchée par photographie du fond d'œil. Aucune différence significative n'a été observée dans la progression de la rétinopathie diabétique entre les groupes Lantus et insuline NPH.
-Autrement dit, les concentrations étaient conformes au déroulement chronologique de l'activité pharmacodynamique de l'insuline glargine. Comme l'ill. 1 le montre, l'effet de Lantus se manifeste plus lentement que l'effet de l'insuline NPH. L'effet maximum est atteint au bout de 3 à 5 heures. La durée médiane de l'effet à partir du moment de l'injection s'élève à 24 heures pour Lantus contre 14,5 heures pour l'insuline NPH.
- +Autrement dit, les concentrations étaient conformes au déroulement chronologique de l'activité pharmacodynamique de l'insuline glargine. Comme le montre l'illustration 1, l'effet de Lantus se manifeste plus lentement que l'effet de l'insuline NPH. L'effet maximum est atteint au bout de 3 à 5 heures. La durée médiane de l'effet à partir du moment de l'injection s'élève à 24 heures pour Lantus contre 14,5 heures pour l'insuline NPH.
-Des examens pharmacocinétiques effectués après administration sous-cutanée de Lantus ont montré des résultats très similaires le 2ème, le 5ème et le 12ème jour et indiquent que le steady-state est déjà atteint le 2ème jour.
- +Des investigations pharmacocinétiques effectuées après administration sous-cutanée de Lantus ont montré des résultats très similaires le 2ème, le 5ème et le 12ème jour et indiquent que l'état d'équilibre (steady-state) est atteint dès le 2ème jour.
-Cmax (ng/ml) Valeur escomptée 90% int. de confidence 93.9 % (79.2; 111.3 %) 115.1 % (97.1; 136.4%)
-AUC (0-24h) (ng·h/ml) Valeur escomptée 90% int. de confidence 89.0 % (77.8; 102.0 %) 107.8% (94.2; 123.4 %)
- +Cmax (ng/ml) Valeur escomptée 90 % int. de confidence 93,9 % (79,2; 111,3 %) 115,1 % (97,1; 136,4 %)
- +AUC (0-24h) (ng·h/ml) Valeur escomptée 90 % int. de confidence 89,0 % (77,8; 102,0 %) 107,8 % (94,2; 123,4 %)
-Après injection sous-cutanée de Lantus chez 34 patients diabétiques de Type 1, l'insuline glargine était rapidement métabolisée, au niveau de l'extrémité carboxyle de la chaîne bêta avec la formation de deux métabolites actifs M1 (21A-Gly-Insuline) et M2 (21A-Gly-des-30B-Thr-insuline). Dans le plasma, M1 est le principal métabolite circulant. L'exposition à M1 augmente avec la dose de Lantus. Les données pharmacocinétiques et pharmacodynamiques indique que l'effet d'une injection sous-cutanée de Lantus est principalement basée sur l'exposition à M1. L'insuline glargine et le métabolite M2 n'étaient pas détectables chez la vaste majorité des sujets et, quand ceux-ci étaient détectables, leurs concentrations étaient indépendantes de la dose de Lantus administrée.
- +Après injection sous-cutanée de Lantus chez 34 patients diabétiques de type 1, l'insuline glargine était rapidement métabolisée au niveau de l'extrémité carboxyle de la chaîne bêta, formant deux métabolites actifs M1 (21A-Gly-Insuline) et M2 (21A-Gly-des-30B-Thr-insuline). Dans le plasma, le métabolite M1 est le principal métabolite circulant L'exposition au métabolite M1 augmente avec la dose de Lantus. Les données pharmacocinétiques et pharmacodynamiques indiquent que l'effet d'une injection sous-cutanée de Lantus est principalement basé sur l'exposition au métabolite M1. L'insuline glargine et le métabolite M2 n'étaient pas détectables chez la vaste majorité des sujets. Lorsque ces métabolites étaient détectables, leurs concentrations étaient indépendantes de la dose de Lantus administrée.
-La pharmacocinétique de Lantus (insuline glargine 100 unités / ml) versus Toujeo (insuline glargine 300 unités / ml) après 8 jours d'injection quotidienne a été évaluée chez 30 patients atteints de diabète de type 1. Après une prise quotidienne de 0,4 U / kg, l'exposition à l'état d'équilibre à 24 heures (INS-AUC0-24) était de 17% inférieure pour Toujeo comparativement à Lantus. Pour Toujeo, le temps à 50% de l'INS-AUC0-24 était semblable à celui de Lantus. Les résultats de cette étude pharmacocinétique étaient cohérents avec la dose 10-18% plus élevée observée avec Toujeo comparativement à Lantus dans les essais de Phase 3.
- +La pharmacocinétique de Lantus (insuline glargine 100 unités/ml) versus Toujeo (insuline glargine 300 unités/ml) après 8 jours d'injection quotidienne a été évaluée chez 30 patients atteints de diabète de type 1. Après une prise quotidienne de 0,4 U/kg, l'exposition à l'état d'équilibre à 24 heures (INS-AUC0-24) était de 17% inférieure pour Toujeo comparativement à Lantus. Pour Toujeo, le temps nécessaire pour atteindre 50 % de l'INS-AUC0-24 était semblable à celui de Lantus. Les résultats de cette étude pharmacocinétique concordent avec ceux des essais de la Phase 3, lors desquels la dose de Toujeo était 10 à 18 % plus élevée que celle de Lantus.
-La pharmacocinétique chez les enfants diabétiques de Type 1 âgés de 2 ans à moins de 6 ans a été évaluée dans une étude clinique (voir section «Propriétés/Effets»). Les concentrations plasmatiques de l'insuline glargine et de ses principaux métabolites M1 et M2 à l'état d'équilibre ont été mesurées chez des enfants traités par l'insuline glargine. Elles ont montré un profil similaire à celui des adultes et n'ont fourni aucune preuve d'accumulation de l'insuline glargine ou de ses métabolites à long terme.
- +La pharmacocinétique chez les enfants diabétiques de type 1 âgés de 2 ans à moins de 6 ans a été évaluée dans une étude clinique (voir section «Propriétés/Effets»). Les concentrations plasmatiques de l'insuline glargine et de ses principaux métabolites M1 et M2 à l'état d'équilibre ont été mesurées chez des enfants traités par l'insuline glargine. Elles ont montré un profil similaire à celui des adultes et n'ont fourni aucune preuve d'accumulation de l'insuline glargine ou de ses métabolites à long terme.
-Il ne faut ni mélanger Lantus à une autre insuline, ni la diluer. Un mélange ou une dilution risquerait en effet de modifier le profil d'action en fonction du temps et un mélange pourrait provoquer une précipitation.
-Pour cette raison il importe de vérifier que les seringues ne contiennent aucune trace d'autre produit.
- +Il ne faut ni mélanger Lantus à une autre insuline ni le diluer. Un mélange ou une dilution risquerait en effet de modifier le profil d'action en fonction du temps et un mélange pourrait provoquer une précipitation.
- +Pour cette raison, il importe de vérifier que les seringues ne contiennent aucune trace d'autre produit.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Avant première utilisation
-Avant utilisation, les cartouches de Lantus ou les stylos SoloStar doivent être conservés au réfrigérateur (2°C-8°C). Ne pas congeler. S'assurer que le récipient n'est pas en contact direct avec le compartiment congélateur ou avec des poches de congélation. Si la solution a été congelée, celle-ci ne doit plus être utilisée.
- +Avant la première utilisation
- +Avant utilisation, les cartouches de Lantus ou les stylos SoloStar doivent être conservés au réfrigérateur (2 °C-8 °C). Ne pas congeler. S'assurer que le récipient n'entre pas en contact direct avec le compartiment congélateur ou avec des poches de congélation. Si la solution a été congelée, celle-ci ne doit plus être utilisée.
-Après première utilisation
-Lantus en cartouches ou en stylo pré-rempli en cours d'utilisation ou transportés en réserve seront conservés à une température ne dépassant pas 30°C, au maximum pendant 4 semaines et ne doivent plus être remis au réfrigérateur. Après 4 semaines de stockage, le médicament, entamé ou non, ne doit plus être utilisé. Garder à l'abri de la lumière.
- +Après la première utilisation
- +Lantus en cartouches ou en stylos préremplis en cours d'utilisation ou transportés en réserve peuvent être conservés à une température ne dépassant pas 30 °C pendant 4 semaines au maximum et ne doivent plus être remis au réfrigérateur. Après 4 semaines de stockage, le médicament, entamé ou non, ne doit plus être utilisé. Garder à l'abri de la lumière.
-Examiner le SoloStar ou les cartouches avant l'emploi. Ne l'utiliser que si la solution est claire, incolore, sans particules solides visibles et a l'aspect de l'eau. Comme Lantus est une solution, il n'y a pas à la remettre en suspension avant l'emploi.
-Avant la première utilisation, il faut conserver le SoloStar à température ambiante pendant 1 à 2 heures. Avant l'injection, éliminer les bulles d'air de la cartouche. Avant d'utiliser le SoloStar, le mode d'emploi se trouvant avec la notice d'emballage doit être lu soigneusement. Les stylos vides ne doivent jamais être réutilisés et devront être jetés de manière appropriée.
- +Examiner le SoloStar ou les cartouches avant l'emploi. N'utiliser que si la solution est claire, incolore, sans particules solides visibles et a l'aspect de l'eau. Comme Lantus est une solution, il n'est pas nécessaire de la remettre en suspension avant l'emploi.
- +Avant la première utilisation, il faut conserver le SoloStar à température ambiante pendant 1 à 2 heures. Avant l'injection, éliminer les bulles d'air de la cartouche. Avant d'utiliser le SoloStar, le mode d'emploi se trouvant avec la notice d'emballage doit être lu soigneusement. Les stylos vides ne doivent jamais être réutilisés et doivent être éliminés conformément à la réglementation en vigueur.
-Avant l'insertion dans le stylo, il faut conserver la cartouche à température ambiante pendant 1 à 2 heures. Avant l'injection, éliminer les bulles d'air de la cartouche (voir le mode d'emploi du stylo). Respecter soigneusement le mode d'emploi du stylo. Un stylo d'insuline défectueux ou qui ne fonctionne pas correctement (à la suite d'un défaut mécanique) doit être éliminé et remplacé par un nouveau stylo. Ne pas remplir à nouveau les cartouches vides.
- +Avant toute utilisation, il convient de s'assurer que le mode d'emploi de l'injecteur qui l'accompagne mentionne les cartouches de Lantus de sanofi-aventis. Avant l'insertion dans le stylo, il faut conserver la cartouche à température ambiante pendant 1 à 2 heures. Avant l'injection, éliminer les bulles d'air de la cartouche (voir le mode d'emploi du stylo). Respecter soigneusement le mode d'emploi du stylo. Un stylo d'insuline défectueux ou qui ne fonctionne pas correctement (à la suite d'un défaut mécanique) doit être éliminé et remplacé par un nouveau stylo. Ne pas remplir à nouveau les cartouches vides.
-55346, 58044 (Swissmedic)
- +55346, 58044 (Swissmedic).
|
|