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Accueil - Information professionnelle sur Enbrel 25 mg - Changements - 22.12.2016
70 Changements de l'information professionelle Enbrel 25 mg
  • -Flacon perforable: Mannitolum, saccharum, tromethamolum.
  • +Flacon perforable: Mannitolum, saccharum, trometamolum.
  • +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
  • -Un traitement continu au-delà de 24 semaines peut être approprié pour les patients adultes qui, selon l'évaluation du médecin, répondent bien à Enbrel, mais sont susceptibles de récidiver peu de temps après l'arrêt d'Enbrel (voir «Propriétés/Effets» – «Essais cliniques»).
  • +Un traitement continu au-delà de 24 semaines peut être approprié pour les patients adultes qui, selon l'évaluation du médecin, répondent bien à Enbrel, mais sont susceptibles de récidiver peu de temps après l'arrêt d'Enbrel (voir «Propriétés/Effets, Essais cliniques»).
  • -Arthrite juvénile idiopathique: 0.4 mg/kg de PC (et au maximum 25 mg par injection) deux fois par semaine en injection sous-cutanée, à intervalles de 72 à 96 h ou 0.8 mg/kg de PC (et au maximum 50 mg par injection) une fois par semaine. L'arrêt du traitement doit être envisagé chez les patients qui n'ont pas répondu au traitement après 4 mois.
  • -Aucune étude clinique formelle n'a été menée chez les enfants âgés de 2-3 ans. Des données limitées de registre (les expériences dans ce groupe d'âge des 2-3 ans se basent sur 47 patients) suggèrent que le profil de sécurité chez les enfants âgés de 2-3 ans est comparable à celui des adultes et des enfants de plus de 4 ans à une dose de 0.8 mg/kg de PC une fois par semaine (voir section «Propriétés/Effets»).
  • -Psoriasis en plaques chez l'enfant et l'adolescent (à partir de 6 ans) 0.8 mg/kg de poids corporel (jusqu'à au maximum 50 mg par dose) une fois par semaine pendant une période allant jusqu'à 24 semaines. Après 12 semaines, le traitement doit être interrompu chez les patients ne présentant pas de réponse au traitement.
  • +Arthrite juvénile idiopathique:
  • +0.4 mg/kg de PC (et au maximum 25 mg par injection) deux fois par semaine en injection sous-cutanée, à intervalles de 72 à 96 h ou 0.8 mg/kg de PC (et au maximum 50 mg par injection) une fois par semaine. L'arrêt du traitement doit être envisagé chez les patients qui n'ont pas répondu au traitement après 4 mois.
  • +Aucune étude clinique formelle n'a été menée chez les enfants âgés de 2-3 ans. Des données limitées de registre (les expériences dans ce groupe d'âge des 2-3 ans se basent sur 47 patients) suggèrent que le profil de sécurité chez les enfants âgés de 2-3 ans est comparable à celui des adultes et des enfants de plus de 4 ans à une dose de 0.8 mg/kg de PC une fois par semaine (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Psoriasis en plaques chez l'enfant et l'adolescent (à partir de 6 ans)
  • +0.8 mg/kg de poids corporel (jusqu'à au maximum 50 mg par dose) une fois par semaine pendant une période allant jusqu'à 24 semaines. Après 12 semaines, le traitement doit être interrompu chez les patients ne présentant pas de réponse au traitement.
  • -Sujets âgés: Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Insuffisants rénaux et hépatiques: Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Sujets âgés:
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • +Insuffisants rénaux et hépatiques:
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
  • -Un traitement par Enbrel ne devrait pas être initié chez les patients ayant des infections évolutives, y compris des infections chroniques ou localisées.
  • +Un traitement par Enbrel ne devrait pas être initié chez les patients ayant des infections actives, y compris des infections chroniques ou localisées.
  • -Des infections graves, septicémies, tuberculoses, et infections opportunistes (infections fongiques invasives, listériose et légionellose comprises), ont été rapportées avec Enbrel (voir section «Effets indésirables»). Ces infections étaient dues à des bactéries, des mycobactéries, des champignons, des virus et des parasites (protozoaires compris). Dans certains cas, des infections fongiques particulières et d'autres infections opportunistes n'ont pas été diagnostiquées, ce qui s'est traduit par un retard d'initiation du traitement approprié et parfois au décès. Lors de l'évaluation du risque d'infection chez un patient, son exposition à des facteurs de risque spécifiquement associés à certaines infections opportunistes (par exemple une exposition à des mycoses endémiques) doit être prise en compte.
  • +Des infections graves, septicémies, tuberculoses, et infections opportunistes (infections fongiques invasives, listériose et légionellose comprises), ont été rapportées avec Enbrel (voir «Effets indésirables»). Ces infections étaient dues à des bactéries, des mycobactéries, des champignons, des virus et des parasites (protozoaires compris). Dans certains cas, des infections fongiques particulières et d'autres infections opportunistes n'ont pas été diagnostiquées, ce qui s'est traduit par un retard d'initiation du traitement approprié et parfois au décès. Lors de l'évaluation du risque d'infection chez un patient, son exposition à des facteurs de risque spécifiquement associés à certaines infections opportunistes (par exemple une exposition à des mycoses endémiques) doit être prise en compte.
  • -L'administration concomitante d'Enbrel et de l'anakinra a été associée à une augmentation du risque d'infections graves et de neutropénies comparativement à Enbrel lorsqu'il est administré seul. Cette association n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur. Par conséquent l'association d'Enbrel et de l'anakinra n'est pas recommandée (voir section «Effets indésirables» et «Interactions»).
  • +L'administration concomitante d'Enbrel et de l'anakinra a été associée à une augmentation du risque d'infections graves et de neutropénies comparativement à Enbrel lorsqu'il est administré seul. Cette association n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur. Par conséquent l'association d'Enbrel et de l'anakinra n'est pas recommandée (voir «Effets indésirables» et «Interactions»).
  • -Les médecins devront utiliser Enbrel avec précaution chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive (ICC). Après commercialisation, des cas d'aggravation d'ICC ont été rapportés, avec ou sans facteur favorisant identifiable, chez des patients sous Enbrel. Deux importantes études cliniques ayant pour objectif d'étudier l'efficacité de l'étanercept dans le traitement de l'ICC, ont été interrompues de façon prématurée pour cause de manque d'efficacité. Bien que non concluantes, les données de l'une de ces études montrent une tendance possible à la dégradation de l'ICC chez les patients ayant été assignés au groupe d'Enbrel.
  • +Les médecins devront utiliser Enbrel avec précaution chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive (ICC). Après commercialisation, des cas d'aggravation d'ICC ont été rapportés, avec ou sans facteur favorisant identifiable, chez des patients sous Enbrel. Par ailleurs, quelques rares (<0.1%) apparitions d'une nouvelle insuffisance cardiaque congestive ont été signalées, y compris insuffisance cardiaque congestive chez des patients sans antécédent connu de pathologie cardiovasculaire. Certains de ces patients étaient âgés de moins de 50 ans. Deux importantes études cliniques ayant pour objectif d'étudier l'efficacité de l'étanercept dans le traitement de l'ICC, ont été interrompues de façon prématurée pour cause de manque d'efficacité. Bien que non concluantes, les données de l'une de ces études montrent une tendance possible à la dégradation de l'ICC chez les patients ayant été assignés au groupe d'Enbrel.
  • -Enbrel est susceptible d'entraîner la formation d'anticorps auto-immuns (pour plus de détails voir section «Effets indésirables»).
  • +Enbrel est susceptible d'entraîner la formation d'anticorps auto-immuns (voir «Effets indésirables»).
  • -De plus, dans un essai contrôlé, en double aveugle, versus placebo, chez des patients adultes recevant un traitement de fond par le méthotrexate, les patients traités par Enbrel et l'anakinra ont présenté un taux plus élevé d'infections graves (7%) et de neutropénies que les patients traités par Enbrel seul (voir section «Mises en garde et précautions»). L'association d'Enbrel et de l'anakinra n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur et n'est par conséquent pas recommandée.
  • +De plus, dans un essai contrôlé, en double aveugle, versus placebo, chez des patients adultes recevant un traitement de fond par le méthotrexate, les patients traités par Enbrel et l'anakinra ont présenté un taux plus élevé d'infections graves (7%) et de neutropénies que les patients traités par Enbrel seul (voir «Mises en garde et précautions»). L'association d'Enbrel et de l'anakinra n'a pas démontré un bénéfice clinique supérieur et n'est par conséquent pas recommandée.
  • -Grâce à un registre de grossesse élaboré pour Enbrel, on a comparé les taux de malformations congénitales graves observées chez les nourrissons nés vivants de mères souffrant d’affections rhumatoïdes ou de psoriasis et ayant reçu Enbrel au cours du premier trimestre (n=319) à celles observées chez les nourrissons de mères n’ayant pas reçu Enbrel au cours de la grossesse (n=144). Le rapport de cotes global adapté pour les malformations congénitales graves s’élevait à 2.77 (IC 95% 1.04-7.35), et à 2.49 (IC 95% 0.92-6.68) si les dommages chromosomiques et connus d’origine génétique étaient exclus. Les résultats n’ont montré aucune hausse du taux pour les malformations légères et aucun modèle pour les malformations graves ou légères. De plus, on n’a observé aucune hausse du taux de troubles de la croissance intra-utérins ou postnataux, ni de retard du développement postnatal. Pendant la grossesse, Enbrel ne devrait être utilisé que dans les cas où cela est absolument nécessaire.
  • -Des études de toxicité sur la reproduction réalisées chez le rat et le lapin n'ont pas mis en évidence de dommage pour le foetus ou pour le rat nouveau-né qui serait dû à Enbrel. Il n'existe pas de données précliniques disponibles sur la toxicité péri- et postnatale de l'étanercept, ni sur les effets de l'étanercept sur la fertilité et la fonction reproductrice en général. Ainsi, l'utilisation d'Enbrel chez la femme enceinte n'est pas recommandée. Les femmes en âge de procréer doivent être averties qu'il faut éviter une grossesse pendant le traitement par Enbrel.
  • +Grâce à un registre de grossesse élaboré pour Enbrel, on a comparé les taux de malformations congénitales graves observées chez les nourrissons nés vivants de mères souffrant d’affections rhumatoïdes ou de psoriasis et ayant reçu Enbrel au cours du premier trimestre (n=319) à celles observées chez les nourrissons de mères n’ayant pas reçu Enbrel au cours de la grossesse (n=144). Le rapport de cotes global adapté pour les malformations congénitales graves s’élevait à 2.77 (IC 95% 1.04-7.35), et à 2.49 (IC 95% 0.92-6.68) si les dommages chromosomiques et connus d’origine génétique étaient exclus. Les résultats n’ont montré aucune hausse du taux pour les malformations légères et aucun modèle pour les malformations graves ou légères. De plus, on n’a observé aucune hausse du taux de troubles de la croissance intra-utérins ou postnataux, ni de retard du développement postnatal.
  • +Des études de toxicité sur la reproduction réalisées chez le rat et le lapin n'ont pas mis en évidence de dommage pour le foetus ou pour le rat nouveau-né qui serait dû à Enbrel. Il n'existe pas de données précliniques disponibles sur la toxicité péri- et postnatale de l'étanercept, ni sur les effets de l'étanercept sur la fertilité et la fonction reproductrice en général.
  • +Pendant la grossesse, Enbrel ne devrait être utilisé que dans les cas où cela est absolument nécessaire. Les femmes en âge de procréer doivent être averties qu'il faut éviter une grossesse pendant le traitement par Enbrel.
  • -Les effets indésirables sont listés ci-dessous selon le système de classification par organe et par ordre de fréquence (nombre de patients susceptibles de présenter un effet), en utilisant les catégories suivantes:
  • -Très fréquent: ≥10%
  • -Fréquent: ≥1% et <10%
  • -Occasionnel: ≥0.1% et <1%
  • -Rare: ≥0.01% et <0.1%
  • -Très rare: <0.01%
  • -Indéterminée: Fréquence n'a pas pu être estimé précisément au cours des études cliniques.
  • -Infections
  • -Très fréquent: Infections (29%) (y compris infections des voies respiratoires supérieures, bronchite, cystite, infections cutanées)*.
  • -Occasionnel: Infections graves (y compris pneumonie, cellulite phlegmoneuse, arthrite septique, septicémie et infections parasitaires)*.
  • -Rare: Tuberculose, infections opportunistes (incluant infections fongiques, à protozoaires, bactériennes, mycobactériennes atypiques et par virus, invasives et Legionella).
  • -Indéterminée: Listeria, réactivation de l'hépatite B.
  • -Néoplasies bénignes, malignes et non spécifiques (y compris kystes et polypes)
  • -Occasionnel: Cancer cutané non mélanomateux*.
  • -Rare: Cancer cutané*.
  • -Inconnu: Carcinome à cellules de Merkel* (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • -Occasionnel: Thrombocytopénie.
  • -Rare: Anémie, leucopénie, neutropénie, pancytopénie*.
  • -Très rare: Aplasie médullaire*.
  • -Certains cas de pancytopénie et d'aplasie médullaire ont eu une issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Système immunitaire
  • -Fréquent: Réactions allergiques (voir «Troubles de la peau et du tissu sous-cutané»), formation d'auto-anticorps*.
  • -Occasionnel: Vascularite systémique (y compris vascularite positive aux anticorps anticytoplasmiques de neutrophiles).
  • -Rare: Réactions allergiques/anaphylactiques graves (y compris angioedème, bronchospasme), sarcoïdose.
  • -Indéterminée: Syndrome d'activation macrophagique*, aggravation des symptômes d'une dermatomyosite.
  • +Les effets indésirables sont listés ci-dessous selon le système de classification par organe et par ordre de fréquence (nombre de patients susceptibles de présenter un effet), en utilisant les catégories suivantes: «Très fréquent: ≥10%, «Fréquent: ≥1% et <10%, «Occasionnel: ≥0.1% et <1%, «Rare: ≥0.01% et <0.1%, «Très rare: <0.01%, «Indéterminée: Fréquence n'a pas pu être estimé précisément au cours des études cliniques.
  • +Infections et infestations
  • +Très fréquents: Infections (29%) (y compris infections des voies respiratoires supérieures, bronchite, cystite, infections cutanées)*.
  • +Occasionnels: Infections graves (y compris pneumonie, cellulite phlegmoneuse, arthrite septique, septicémie et infections parasitaires)*.
  • +Rares: Tuberculose, infections opportunistes (incluant infections fongiques, à protozoaires, bactériennes, mycobactériennes atypiques et par virus, invasives et Legionella).
  • +Indéterminées: Listeria, réactivation de lhépatite B.
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précies (y compris kystes et polypes)
  • +Occasionnels: Cancer cutané non mélanomateux*.
  • +Rares: Lymphome, cancer cutané*.
  • +Indéterminées: Leucémie, carcinome à cellules de Merkel* (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Occasionnels: Thrombocytopénie.
  • +Rares: Anémie, leucopénie, neutropénie, pancytopénie*.
  • +Très rares: Aplasie médullaire*.
  • +Certains cas de pancytopénie et daplasie médullaire ont eu une issue fatale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections du système immunitaire
  • +Fréquents: Réactions allergiques (voir «Troubles de la peau et du tissu sous-cutané»), formation dauto-anticorps*.
  • +Occasionnels: Vascularite systémique (y compris vascularite positive aux anticorps anticytoplasmiques de neutrophiles).
  • +Rares: Réactions allergiques/anaphylactiques graves (y compris angioedème, bronchospasme), sarcoïdose.
  • +Indéterminées: Syndrome dactivation macrophagique*, aggravation des symptômes dune dermatomyosite.
  • -Indéterminée: Hypoglycémie chez des patients qui recevaient un traitement antidiabétique (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Système nerveux
  • -Rare: Convulsions; épisodes de démyélinisation du SNC pouvant évoquer une sclérose en plaques ou un tableau de démyélinisation localisée telle qu'une névrite optique ou une myélite transverse.
  • -Très rare: Maladies démyélinisantes périphériques, y compris syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathies chroniques démyélinisantes inflammatoires, polyneuropathies démyélinisantes et neuropathies motrices multifocales (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Yeux
  • -Occasionnel: Uvéite, sclérite.
  • -Organes respiratoires
  • -Occasionnel: Maladie pulmonaire interstitielle (incluant la fibrose pulmonaire et la pneumopathie)*.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -Rare: Elévation des enzymes hépatiques, hépatite auto-immune.
  • -Troubles cutanés
  • -Fréquent: Prurit.
  • -Occasionnel: Urticaire, éruption cutanée, éruption psoriasiforme, psoriasis (y compris une première poussée ou aggravation et de type pustuleux, principalement palmo-plantaires).
  • -Rare: Vascularite cutanée (y compris vascularite leucocytoclastique), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe.
  • -Très rare: Syndrome de Lyell.
  • -Troubles de l'appareil musculo-squelettique
  • -Rare: Lupus érythémateux cutané subaigu, lupus érythémateux discoïde, syndrome lupique.
  • -Troubles généraux et réactions au site d'administration
  • -Très fréquent: Réactions au site d'injection (37%) (y compris saignement, contusion, érythème, démangeaison, douleur, gonflement)*.
  • -Fréquent: Fièvre*.
  • -Troubles cardiaques
  • -Des cas d'aggravation de l'insuffisance cardiaque congestive ont été rapportés (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Indéterminée: Hypoglycémie chez des patients qui recevaient un traitement antidiabétique (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections du système nerveux
  • +Rares: Convulsions; épisodes de démyélinisation du SNC pouvant évoquer une sclérose en plaques ou un tableau de démyélinisation localisée telle quune névrite optique ou une myélite transverse.
  • +Très rares: Maladies démyélinisantes périphériques, y compris syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie chronique démyélinisante inflammatoire, polyneuropathie démyélinisante et neuropathie motrice multifocale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections oculaires
  • +Occasionnels: Uvéite, sclérite.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnels: Maladies pulmonaires interstitielles (incluant la fibrose pulmonaire et la pneumopathie)*.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Rares: Elévation des enzymes hépatiques, hépatite auto-immune.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: Prurit.
  • +Occasionnels: Angio-œdème, urticaire, éruption cutanée, éruption psoriasiforme, psoriasis (y compris une première poussée ou aggravation et de type pustuleux, principalement palmo-plantaires).
  • +Rares: Vascularite cutanée (y compris vascularite leucocytoclastique), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe.
  • +Très rares: Syndrome de Lyell.
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Rares: Lupus érythémateux cutané subaigu, lupus érythémateux discoïde, syndrome lupique.
  • +Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Très fréquents: Réactions au site dinjection (37%) (y compris saignement, contusion, érythème, démangeaison, douleur, gonflement)*.
  • +Fréquents: Fièvre*.
  • +Affections cardiaques
  • +Rare: Insuffisance cardiaque congestive (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Environ la moitié des cas d'infections opportunistes rapportés dans le monde après commercialisation étaient des infections fongiques invasives. Les infections fongiques invasives les plus fréquemment rapportées étaient dues à Candida, Pneumocystis, Aspergillus et Histoplasma. Plus de la moitié des décès liés à des infections opportunistes était due à des infections fongiques invasives. La majorité des cas de décès concernait des patients atteints de pneumonie à Pneumocystis, d'infection fongique systémique non spécifiée, ou d'aspergillose (voir section «Mises en garde et précautions»).
  • +Environ la moitié des cas d'infections opportunistes rapportés dans le monde après commercialisation étaient des infections fongiques invasives. Les infections fongiques invasives les plus fréquemment rapportées étaient dues à Candida, Pneumocystis, Aspergillus et Histoplasma. Plus de la moitié des décès liés à des infections opportunistes était due à des infections fongiques invasives. La majorité des cas de décès concernait des patients atteints de pneumonie à Pneumocystis, d'infection fongique systémique non spécifiée, ou d'aspergillose (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Divers cas de tumeurs malignes, en particulier des lymphomes, ont été rapportés après commercialisation (voir section «Mises en garde et précautions»).
  • +Divers cas de tumeurs malignes, en particulier des lymphomes, ont été rapportés après commercialisation (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients atteints de PR, de rhumatisme psoriasique, de spondylarthrite ankylosante et de psoriasis inclus dans les essais cliniques avec Enbrel contrôlés (par placebo ou traitement actif) et en ouvert, les effets indésirables graves les plus fréquents étaient: tumeurs malignes, infections, insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde, ischémie myocardique, douleur thoracique, syncope, ischémie cérébrale, hypertension, hypotension, cholécystite, pancréatite, hémorragie gastro-intestinale, bursite, dépression, dyspnée, cicatrisation anormale, insuffisance rénale, lithiase rénale, thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, pneumothorax, glomérulopathie membraneuse, polymyosite, thrombophlébite, fracture osseuse, lymphadénopathie, colite ulcéreuse et occlusion intestinale. D'après les résultats de ces études cliniques dans la polyarthrite rhumatoïde, aucune analyse biologique particulière n'est normalement nécessaire en plus de la prise en charge médicale soigneuse et de la surveillance des patients.
  • -Dans les études où les patients adultes ont reçu un traitement concomitant par Enbrel et l'anakinra, un taux plus élevé d'infections graves a été observé par rapport à Enbrel seul; 2% des patients (3/139) ont présenté une neutropénie (polynucléaires neutrophiles <1000/mm³). Tandis qu'il présentait une neutropénie, un patient a développé une cellulite qui a guéri après hospitalisation (voir section «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans les études où les patients adultes ont reçu un traitement concomitant par Enbrel et l'anakinra, un taux plus élevé d'infections graves a été observé par rapport à Enbrel seul; 2% des patients (3/139) ont présenté une neutropénie (polynucléaires neutrophiles <1000/mm³). Tandis qu'il présentait une neutropénie, un patient a développé une cellulite qui a guéri après hospitalisation (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les effets indésirables sévères rapportés dans un essai clinique chez 69 patients atteints d'arthrite juvénile idiopathique âgés de 2 à 18 ans ont été: varicelle avec des symptômes de méningite aseptique, suivie d'une guérison sans séquelle (voir aussi «Mises en garde et précautions»), gastro-entérite, dépression/trouble de la personnalité, ulcère cutané et oesophagite/gastrite, choc septique à streptocoque du groupe A, diabète de type I, infection d'une plaie post-opératoire et infection du tissu mou.
  • +Les effets indésirables sévères rapportés dans un essai clinique chez 69 patients atteints d'arthrite juvénile idiopathique âgés de 2 à 18 ans ont été: varicelle avec des symptômes de méningite aseptique, suivie d'une guérison sans séquelle (voir «Mises en garde et précautions»), gastro-entérite, dépression/trouble de la personnalité, ulcère cutané et oesophagite/gastrite, choc septique à streptocoque du groupe A, diabète de type I, infection d'une plaie post-opératoire et infection du tissu mou.
  • -Essais cliniques
  • +Efficacité clinique
  • -Après l'arrêt d'Enbrel, les symptômes d'arthrite sont généralement réapparus au cours du mois suivant. Selon les résultats des études en ouvert, la reprise du traitement par Enbrel après des arrêts allant jusqu'à 24 mois, a entrainé la même amplitude de réponse que chez les patients recevant Enbrel sans interruption de traitement. Des réponses stables et durables ont été observées chez des patients recevant Enbrel sans interruption jusqu'à 48 mois dans les études en ouvert (phase d'extension des études thérapeutiques); une expérience à plus long terme n'est pas disponible.
  • +Après l'arrêt d'Enbrel, les symptômes d'arthrite sont généralement réapparus au cours du mois suivant. Selon les résultats des études en ouvert, la reprise du traitement par Enbrel après des arrêts allant jusqu'à 24 mois, a entrainé la même amplitude de réponse que chez les patients recevant Enbrel sans interruption de traitement. Des réponses stables et durables ont été observées chez des patients recevant Enbrel sans interruption jusqu'à 10 ans dans les études en ouvert (phase d'extension des études thérapeutiques).
  • -Dans cette étude, les dommages structuraux articulaires ont été évalués radiographiquement et exprimés en modification du Score Total de Sharp (STS) et de ses composants; le score d'érosion et le Score de Pincement Articulaire (SPA). Les radiographies des mains/poignets et pieds ont été lues à l'inclusion puis à 6, 12 et 24 mois. La dose de 10 mg d'Enbrel a eu constamment moins d'effet sur les dommages structuraux que la dose de 25 mg. Enbrel à 25 mg a été significativement supérieur au méthotrexate pour les scores d'érosion, à la fois à 12 et 24 mois. Les différences entre le groupe méthotrexate et le groupe Enbrel à 25 mg pour le STS et le SPA n'étaient pas statistiquement significatives. Les résultats sont présentés dans la figure ci-dessous.
  • +Dans cette étude, les dommages structuraux articulaires ont été évalués radiographiquement et exprimés en modification du Score Total de Sharp (STS) et de ses composants; le «score d'érosion» et le «Score de Pincement Articulaire (SPA)». Les radiographies des mains/poignets et pieds ont été lues à l'inclusion puis à 6, 12 et 24 mois. La dose de 10 mg d'Enbrel a eu constamment moins d'effet sur les dommages structuraux que la dose de 25 mg. Enbrel à 25 mg a été significativement supérieur au méthotrexate pour les scores d'érosion, à la fois à 12 et 24 mois. Les différences entre le groupe méthotrexate et le groupe Enbrel à 25 mg pour le STS et le SPA n'étaient pas statistiquement significatives. Les résultats sont présentés dans la figure ci-dessous.
  • -a les patients qui n'avaient pas terminé les 12 mois de l'étude ont été considérés comme non-répondeurs
  • -b les valeurs du Disease Activity Score (DAS) sont des moyennes.
  • -c la rémission est définie par un DAS <1.6
  • +a: les patients qui n'avaient pas terminé les 12 mois de l'étude ont été considérés comme non-répondeurs
  • +b: les valeurs du Disease Activity Score (DAS) sont des moyennes.
  • +c: la rémission est définie par un DAS <1.6.
  • - = p <0.05 pour les comparaisons des groupes Enbrel + méthotrexate vs méthotrexate et
  • -φ = p <0.05 pour les comparaisons des groupes Enbrel + méthotrexate vs Enbrel
  • -L'évolution radiographique à 12 mois était significativement moins importante dans le groupe Enbrel que dans le groupe méthotrexate, alors que l'association était significativement meilleure que chacune des monothérapies pour ralentir l'évolution radiographique (voir figure ci-dessous
  • +: p <0.05 pour les comparaisons des groupes Enbrel + méthotrexate vs méthotrexate.
  • +φ: p <0.05 pour les comparaisons des groupes Enbrel + méthotrexate vs Enbrel.
  • +L'évolution radiographique à 12 mois était significativement moins importante dans le groupe Enbrel que dans le groupe méthotrexate, alors que l'association était significativement meilleure que chacune des monothérapies pour ralentir l'évolution radiographique (voir figure ci-dessous).
  • -† p <0.05 pour les comparaisons d'Enbrel + méthotrexate vs méthotrexate,
  • -φ p <0.05 pour les comparaisons d'Enbrel + méthotrexate vs Enbrel
  • +: p <0.05 pour les comparaisons d'Enbrel + méthotrexate vs méthotrexate.
  • +φ: p <0.05 pour les comparaisons d'Enbrel + méthotrexate vs Enbrel.
  • -Réponse du rhumatisme psoriasique (n=104) (n=101)
  • +Réponse du rhumatisme psoriasique n=104 n=101
  • -a Enbrel 25 mg s.c. deux fois par semaine
  • -b p <0,001, Enbrel vs placebo
  • -c p <0,01, Enbrel vs placebo
  • +a: Enbrel 25 mg s.c. deux fois par semaine.
  • +b: p <0.001, comparé au placebo.
  • +c: p <0.01, comparé au placebo.
  • -a p=0,0001
  • +a: p=0.0001, comparé au placebo.
  • -a p <0.001, Enbrel vs placebo
  • -b p=0.002, Enbrel vs placebo
  • +a: p <0.001, comparé au placebo.
  • +b: p=0.002, comparé au placebo.
  • -* p ≤0.0001 comparé au placebo
  • -a Aucune comparaison statistique versus placebo n'a été faite à la semaine 24 dans les études 2 et 4 étant donné que le groupe initialement sous placebo a commencé à recevoir Enbrel 25 mg deux fois/sem ou 50 mg une fois/sem à partir de la semaine 13 jusqu'à la semaine 24.
  • -b Dermatologist Static Global Assessment. Pas de lésions apparentes ou presque pas de lésions apparentes définies par 0 ou 1 sur une échelle de 0 à 5.
  • +*: p ≤0.0001, comparé au placebo.
  • +a: Aucune comparaison statistique versus placebo n'a été faite à la semaine 24 dans les études 2 et 4 étant donné que le groupe initialement sous placebo a commencé à recevoir Enbrel 25 mg deux fois/sem ou 50 mg une fois/sem à partir de la semaine 13 jusqu'à la semaine 24.
  • +b: Dermatologist Static Global Assessment. Pas de lésions apparentes ou presque pas de lésions apparentes définies par 0 ou 1 sur une échelle de 0 à 5.
  • -sPGA «pas de lésions apparentes» ou «minimal», n (%) 56 (53%)a 14 (13%)
  • +sPGA pas de lésions apparentes ou minimal, n (%) 56 (53%)a 14 (13%)
  • -a p <0.0001 par rapport au placebo.
  • +a: p <0.0001, par rapport au placebo.
  • -Cinétique dans certaines situations particulières
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Enbrel est reconstitué avec de l'eau pour préparations injectables avant utilisation et administration de l'injection sous-cutanée. Il faut noter que le temps de dissolution d'Enbrel 25 mg peut durer jusqu'à 2 min. La solution devrait être limpide à opalescente, incolore à légèrement jaunâtre, et sans traînées, amas, flocons ou particules visibles à l'œil nu. Si ce n'est pas le cas, il ne faut pas l'utiliser.
  • +Enbrel est reconstitué avec de l'eau pour préparations injectables avant utilisation et administration de l'injection sous-cutanée. Il faut noter que le temps de dissolution d'Enbrel 25 mg peut durer jusqu'à 2 min. La solution devrait être limpide à discrètement opalescente, incolore à légèrement jaunâtre, et sans traînées, amas, flocons ou particules visibles à l'œil nu. Si ce n'est pas le cas, il ne faut pas l'utiliser.
  • -La solution devrait être limpide à discrètement opalescente, incolore à légèrement jaunâtre. Elle peut contenir de petites particules protéiques blanches ou translucides. Si elle est colorée ou contient des grumeaux, des flocons ou d'autres particules que celles décrites, il ne faut pas l'utiliser.
  • +La solution devrait être limpide à opalescente, incolore à jaune. Elle peut contenir des traces de particules amorphes translucides à blanches. Si elle est colorée ou contient des grumeaux, des flocons ou dautres particules que celles décrites, il ne faut pas lutiliser.
  • -Avant de faire l'injection, le stylo pré-rempli MyClic à usage unique d'Enbrel doit atteindre la température ambiante, c'est pourquoi il faut le sortir du réfrigérateur environ 15 à 30 minutes avant l'utilisation. Ne pas retirer le protège-aiguille pendant ce temps. Contrôlez la solution à travers la fenêtre d'inspection, elle doit être limpide à discrètement opalescente, incolore à légèrement jaunâtre. Elle peut contenir de petites particules protéiques blanches ou translucides. Si elle est colorée ou contient des grumeaux, des flocons ou d'autres particules que celles décrites, il ne faut pas l'utiliser.
  • +Avant de faire linjection, le stylo pré-rempli MyClic à usage unique dEnbrel doit atteindre la température ambiante, cest pourquoi il faut le sortir du réfrigérateur environ 15 à 30 minutes avant lutilisation. Ne pas retirer le protège-aiguille pendant ce temps. Contrôlez la solution à travers la fenêtre d'inspection, elle doit être limpide à opalescente, incolore à jaune. Elle peut contenir des traces de particules amorphes translucides à blanches. Si elle est colorée ou contient des grumeaux, des flocons ou dautres particules que celles décrites, il ne faut pas lutiliser.
  • -Août 2015.
  • -LLD V035
  • +Juillet 2016.
  • +LLD V039
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