| 49 Changements de l'information professionelle Morphin Sulfate Sintetica 1mg/ml |
- +La posologie dépend de l'intensité des douleurs, de la thérapie analgésique précédente ainsi que de l'âge et du poids du patient. Une adaptation individuelle de la dose est primordiale.
- +En principe, il faut administrer une dose suffisamment élevée tout en recherchant dans chaque cas particulier la dose analgésique efficace minimale.
- +Lors du traitement de douleurs chroniques, une posologie à horaires fixes est préférable. Chez les patients recevant un traitement analgésique complémentaire (par ex. intervention chirurgicale, bloc du plexus), ajuster la dose après l'intervention.
- +Prendre en compte le risque d'une dépression respiratoire, notamment lors d'une injection par voie intraveineuse. L'administration doit se faire lentement. Garder à portée de main les dispositifs de traitement d'un surdosage (appareil respiratoire, naloxone).
- +Objectifs thérapeutiques et interruption du traitement
- +Avant le début du traitement par Morphin Sulfate Sintetica, une stratégie thérapeutique incluant la durée et les objectifs du traitement doit être convenue avec le patient conformément aux lignes directrices relatives au traitement de la douleur. Pendant le traitement, le médecin et le patient doivent entretenir un contact régulier afin d'évaluer la nécessité de poursuivre le traitement, d'envisager l’arrêt du médicament et éventuellement d'adapter la posologie. Si un patient n'a plus besoin du traitement par Morphin Sulfate Sintetica, il est conseillé de réduire progressivement la dose afin d'éviter des symptômes de sevrage (voir rubrique « Mises en garde et précautions » ). En cas de contrôle insuffisant de la douleur, il convient d'envisager la possibilité d'une accoutumance (tolérance) ou d'une progression de la maladie sous-jacente (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
-Adultes
- +Dosage pour adultes
-Enfants et adolescents
- +Posologie chez les enfants et les adolescents
-Objectifs thérapeutiques et interruption du traitement
-Avant le début du traitement par Morphin Sulfate Sintetica, une stratégie thérapeutique incluant la durée et les objectifs du traitement doit être convenue avec le patient conformément aux lignes directrices relatives au traitement de la douleur. Pendant le traitement, le médecin et le patient doivent entretenir un contact régulier afin d'évaluer la nécessité de poursuivre le traitement, d'envisager l’arrêt du médicament et éventuellement d'adapter la posologie. Si un patient n'a plus besoin du traitement par Morphin Sulfate Sintetica, il est conseillé de réduire progressivement la dose afin d'éviter des symptômes de sevrage (voir rubrique « Mises en garde et précautions » ). En cas de contrôle insuffisant de la douleur, il convient d'envisager la possibilité d'une accoutumance (tolérance) ou d'une progression de la maladie sous-jacente (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
- +La plus grande prudence et une administration uniquement en cas de nécessité absolue sont recommandées dans les cas suivants: Chez le patient âgé, en cas de troubles de la fonction hépatique et rénale, d'insuffisance de la thyroïde ou de la surrénale, d'hypertrophie de la prostate, de choc, de maladies hépatiques aiguës, d'insuffisance hépatique et rénale sévère, de dépression respiratoire, de maladies obstructives des voies respiratoires, d'iléus paralytique, d'abdomen aigu, de traumatismes craniocérébraux et d'hypertension intracrânienne, de dyspnée, d'hypotension en cas d'hypovolémie, de cœur pulmonaire, de phéochromocytome, d'affections des voies biliaires, de rétrécissements ou de coliques au niveau des voies urinaires, de pancréatite, d'affections intestinales inflammatoires. Les opiacés ne peuvent être administrés qu'avec une prudence extrême et une indication stricte chez les patients avec des troubles convulsifs, chez les patients dépendants des opiacés ou en présence d'un alcoolisme aigu.
- +La morphine sera administrée uniquement avec une extrême prudence durant un traitement par inhibiteurs de la MAO ou dans les deux semaines suivant son arrêt.
- +Il convient d'être attentif à un possible recouvrement des symptômes d'une hypertension intracrânienne. Une prudence particulière est recommandée lors de l'administration de Morphin Sulfate Sintetica avant, pendant ou après une opération chirurgicale, car le risque d'iléus ou de dépression respiratoire pendant la phase postopératoire est plus élevé que chez un patient non opéré.
- +L'apparition confirmée ou soupçonnée d'un iléus paralytique en cours de traitement impose l'arrêt immédiat de Morphin Sulfate Sintetica. Les patients devant subir une cordotomie ou une autre intervention chirurgicale destinée à soulager la douleur ne doivent pas recevoir Morphin Sulfate Sintetica pendant les 4 heures précédant l'intervention. S'il est indiqué de poursuivre par la suite le traitement par Morphin Sulfate Sintetica, la posologie devra être réadaptée.
- +En raison de l'effet analgésique de la morphine, des complications intra-abdominales sévères peuvent être masquées, comme par ex. une perforation de l'intestin.
-Durant un traitement aux inhibiteurs de la MAO ou en l'espace de deux semaines après l'arrêt d'un tel traitement, la morphine ne peut être utilisée qu'avec une extrême prudence.
-Syndrome thoracique aigu (STA) chez /es patients atteints de drépanocytose
-Une surveillance étroite des symptòmes du STA est indiquée, le STA pouvant être associé à l'utilisation de morphine chez les patients atteints de drépanocytose et traités par morphine lors d'une crise vaso-occlusive.
-Les patients et les aidants doivent être avertis que Morphin Sulfate Sintetica contient un principe actif dans une concentration qui peut être fatale, notamment pour les enfants. Il convient donc de les inviter à conserver toutes les unités de dose hors de portée des enfants et à éliminer correctement toute unité entamée ou non utilisée.
- +Les patients et leurs soignants doivent être avertis que Morphin Sulfate Sintetica contient un principe actif dans une concentration qui peut être fatale, notamment pour les enfants. Il convient donc de les inviter à conserver toutes les unités de dose hors de portée des enfants et à éliminer correctement toute unité entamée ou non utilisée.
- +Inhibition des plaquettes avec les inhibiteurs P2Y12 oraux
- +Une diminution de l'efficacité du traitement par inhibiteurs de P2Y12 a été notée au cours du premier jour de l'administration concomitante d'inhibiteurs de P2Y12 et de morphine (voir rubrique «Interactions»).
- +Syndrome thoracique aigu (STA) chez les patients atteints de drépanocytose (SCD)
- +En raison d'une association possible entre le STA et l'utilisation de la morphine chez les patients atteints de SCD traités par la morphine pendant une crise vaso-occlusive, une surveillance étroite des symptômes du STA est indiquée.
-Traitement antiplaquettaire par inhibiteur du P2Y12 par voie orale :
-Une réduction de l’efficacité du traitement par inhibiteur P2Y12 a été observée, dès le premier jour de traitement concomitant par inhibiteur P2Y12 et morphine (voir rubrique « Interactions »).
- +Excipients revêtant un intérêt particulier
-L'utilisation concomitante d'autres médicaments ayant un effet sur le SNC, p. ex. d'autres opioïdes, les sédatifs comme les benzodiazépines ou les hypnotiques, les anesthésiques généraux, la phénothiazine, les tranquillisants, les myorelaxants, les antihistaminiques avec effet sédatif, les gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) et l'alcool, peut avoir des effets dépresseurs additifs qui peuvent conduire à une dépression respiratoire, une hypotension, une sédation importante ou un coma, et méme parfois être d'issue fatale (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
-Sédatifs comme /es benzodiazépines et /es médicaments apparentés
-L'utilisation concomitante d'opiacés et de sédatifs tels que les benzodiazépines ou les médicaments apparentés augmente le risque de sédation, de détresse respiratoire, de coma et de décès en raison de l'effet cumulatif dépresseur du SNC.
-Tant la dose que la durée de l'utilisation concomitante doivent etre limitées (voir la rubrique « Mises en garde et précautions » ).
-Rifampicine
-Les concentrations plasmatiques de morphine peuvent etre réduites par la rifampicine. Il convient de surveiller l'effet analgésique de la morphine et d'ajuster les doses de morphine pendant et après le traitement par la rifampicine.
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- +L'utilisation concomitante d'autres médicaments ayant un effet sur le SNC, p. ex. d'autres opioïdes, les sédatifs comme les benzodiazépines ou les hypnotiques, les anesthésiques généraux, la phénothiazine, les tranquillisants, les myorelaxants, les antihistaminiques avec effet sédatif, les gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) et l'alcool, peut avoir des effets dépresseurs additifs qui peuvent conduire à une dépression respiratoire, une hypotension, une sédation importante ou un coma, et méme parfois être d'issue fatale (voir rubrique « Mises en garde et précautions »). Tant la dose que la durée de l'utilisation concomitante doivent etre limitées (voir la rubrique « Mises en garde et précautions » ).
-Une inhibition de la dégradation morphinique par la cimétidine et d'autres médicaments qui chargent le métabolisme du foie peut entraîner des concentrations plasmatiques plus élevées de morphine.
- +La cimétidine et autres médicaments perturbant le métabolisme hépatique peuvent, en inhibant la dégradation, induire des concentrations plasmatiques élevées de morphine.
- +Chez les patients ayant été traités par certains antidépresseurs (inhibiteurs de la MAO) au cours des 14 derniers jours précédant l'administration d'un opiacé, des effets représentant une menace vitale ont été observés sur le système nerveux central, sur la fonction respiratoire ainsi que sur la fonction cardiovasculaire lors de la prise de péthidine. Ces effets ne peuvent pas être exclus lors de la prise de morphine.
- +L'administration concomitante de la rifampicine peut diminuer l'effet de la morphine.
-Chez les patients traités par des IMAO pendant les derniers 14 jours précédant l'administration d'un opiacé, des accidents compromettant le pronostic vital ont été observés sous l'effet de la péthidine au niveau du système nerveux central, de la fonction respiratoire et de l'appareil cardio-vasculaire. Cette interaction ne peut être écartée pour la morphine.
- +L'interaction avec IMAO peut provoquer dépression respiratoire, baisse respect. montée de la tension artérielle, hyperthermie.
- +Rifampicine
- +Les concentrations plasmatiques de morphine peuvent etre réduites par la rifampicine. Il convient de surveiller l'effet analgésique de la morphine et d'ajuster les doses de morphine pendant et après le traitement par la rifampicine.
- +La morphine peut prolonger ou raccourcir la durée des contractions utérines.
- +Les effets indésirables des médicaments sont classés en fonction de leur importance clinique pour le patient et selon les classes d'organes du système MedDRA. La catégorie de fréquence attribuée à chaque effet indésirable repose sur la convention suivante: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à <1/10), occasionnel (≥1/1000 à <1/100), peu fréquent (≥1/10 000 à <1/1000), très rare (<1/10 000); fréquence indéterminée (fréquence ne pouvant pas être estimée sur la base de l'expérience post-commercialisation).
-La morphine entraîne divers effets secondaires psychiques, d'intensité et de nature variables, selon l'individu. Changements de l'humeur (le plus souvent euphorie, parfois dysphorie), dépression, modifications du degré d'activation (le plus souvent diminué, parfois augmenté), insomnies et modifications des performances cognitives et sensorielles telles que troubles de la perception, hallucinations et états d'excitation s'observent fréquemment. Le recours à la morphine peut entraîner une euphorie et un développement de la dépendance. La suppression de la substance ou d'un autre agoniste des opiacés après une administration répétée déclenche un syndrome de sevrage typique.
-Fréquence inconnue: dépendance, angoisse.
- +La morphine entraîne divers effets secondaires psychiques, d'intensité et de nature variables, selon l'individu. Changements de l'humeur (le plus souvent euphorie, parfois dysphorie), dépression, modifications du degré d'activation (le plus souvent diminué, parfois augmenté), insomnies et modifications des performances cognitives et sensorielles telles que troubles de la perception, hallucinations et états d'excitation s'observent fréquemment.
- +L'utilisation de la morphine peut entraîner une euphorie et le développement d'une dépendance. L'arrêt après l'utilisation répétée ou l'administration d'un antagoniste des opiacés a provoqué un syndrome de sevrage typique. En conséquence, un arrêt du traitement aura lieu progressivement.
- +Fréquence indéterminée: dépendance, anxiété.
-Fréquence inconnue: allodynie, hyperalgésie, hyperhidrose, syndrome d'apnées du sommeil.
- +Fréquence indéterminée: allodynie, hyperalgésie, hyperhidrose.
-Fréquence inconnue: dépression respiratoire dose-dépendante, syndrome d'apnée centrale du sommeil.
- +Fréquence indéterminée: dépression respiratoire dose-dépendante, syndrome d'apnée centrale du sommeil.
-Fréquence inconnue: pancréatite.
- +Fréquence indéterminée: pancréatite.
-Fréquence inconnue: spasme du sphincter d’Oddi.
- +Fréquence indéterminée: spasme du sphincter d’Oddi.
-Fréquence inconnue: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG)
- +Fréquence indéterminée: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG)
-Affections des organes de reproduction
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Les symptòmes physiques du syndrome de sevrage comprennent des courbatures, des tremblements,- le syndrome des jambes sans repos, des diarrhées, des coliques abdominales, des nausées, des symptòmes grippaux, une tachycardie et une mydriase. Les symptòmes psychiques incluent entre autres une humeur dysphorique, une angoisse et une irritabilité. Un « état de manque » est souvent présent en cas de pharmacodépendance. Pour les recommandations thérapeutiques, voir la rubrique « Mises en garde et précautions ».L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +Les symptòmes physiques du syndrome de sevrage comprennent des courbatures, des tremblements,- le syndrome des jambes sans repos, des diarrhées, des coliques abdominales, des nausées, des symptòmes grippaux, une tachycardie et une mydriase. Les symptòmes psychiques incluent entre autres une humeur dysphorique, une angoisse et une irritabilité. Un « état de manque » est souvent présent en cas de pharmacodépendance.
- +Pour les recommandations thérapeutiques, voir la rubrique « Mises en garde et précautions ».
- +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Symptômes: dépression respiratoire, myosis, hypotension, hypothermie, jusqu'au coma. Le décès peut survenir des suites d’une insuffisance respiratoire.
-Pneumonie d'aspiration.
- +Les signes d'une intoxication ou d'un surdosage par la morphine englobent un myosis, une paralysie respiratoire et une hypotension artérielle. Un collapsus cardiovasculaire et un coma peuvent survenir dans les cas graves. Des décès peuvent survenir due à une insuffisance respiratoire. Pneumonie par aspiration.
-Données manquantes.
- +Pas de données.
-Après administration par voie i.m. ou i.v. la biodisponibilité est pratiquement totale.
-L'effet analgésique maximal est atteint 20 minutes après injection i.v., 30–60 minutes après administration par voie i.m. et 45–90 minutes après injection s.c.
- +Après administration par voie intraveineuse ou intramusculaire, la biodisponibilité est de 100% environ.
- +L'entrée en action après administration par voie intraveineuse a lieu après quelques minutes, après administration par voie intramusculaire ou sous-cutanée après 15 – 30 minutes. L'effet analgésique maximal est atteint 20 minutes après l'administration par voie intraveineuse, il est atteint 30 – 60 minutes après l'administration par voie intramusculaire et 45 – 90 minutes après l'administration par voie sous-cutanée. La durée d'action est de 4 – 6 heures environ, indépendamment de ces modes d'application.
-On sait que le métabolisme de la morphine peut être ralenti chez les patients âgés, ce qui entraîne des concentrations maximales plus élevées et des demi-vies plus longues.
- +Il est connu que le métabolisme de la morphine peut être ralenti chez les patients âgés, ce qui entraîne des concentrations maximales plus élevées et des demi-vies plus longues.
- +Chez le nouveau-né, la clairance est fortement diminuée avec des valeurs de 5 ml/kg/min environ. La clairance de la morphine chez l'enfant en bas âge atteint les valeurs de l'adulte entre le 6e et le 30e mois de vie. Les grandes différences interindividuelles rendent nécessaire une titration de la dose dans chaque cas.
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-Concernant la mutagénicité, des résultats clairement positifs sont disponibles; ils indiquent que la morphine a une action clastogène et qu'elle déploie aussi cet effet sur les cellules germinales. Sur la base des résultats de plusieurs tests de mutagénicité, la morphine est à considérer comme une substance mutagène; un tel effet doit aussi être supposé chez l'homme.
- +Des résultats de mutagénicité clairement positifs sont disponibles; ils indiquent que la morphine a une action clastogène et qu'elle déploie aussi cet effet sur les cellules germinales. Sur la base des résultats de plusieurs tests de mutagénicité, la morphine est à considérer comme une substance mutagène; un tel effet doit aussi être supposé chez l'homme.
-Chez les rats males, une diminution de la fertilité et des dommages chromosomiques dans les gamètes ont été signalés.
- +Une réduction de la fertilité et des dommages chromosomiques dans les cellules germinales ont été signalés chez les rats mâles.
-Le chlorhydrate de morphine est sensible aux variations du pH et montre des précipitations en milieu alcalin. La substance est incompatible avec : aminophylline, barbituriques (sels Na), phénytorne, acyclovir (-Na), fluorouracil, furosémide, héparinate de sodium (avec des solutions de morphine d'une
-concentration supérieure à 5 mg/ml), chlorhydrate de péthidine, chlorhydrate de prométhazine, tétracyclines.Ce médicament ne peut être mélangé qu'aux médicaments mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
- +Le sulfate de morphine est sensible aux variations du pH et montre des précipitations en milieu alcalin. La substance est incompatible avec : aminophylline, barbituriques (sels Na), phénytorne, acyclovir (-Na), fluorouracil, furosémide, héparinate de sodium (avec des solutions de morphine d'une
- +concentration supérieure à 5 mg/ml), chlorhydrate de péthidine, chlorhydrate de prométhazine, tétracyclines. Ce médicament ne peut être mélangé qu'aux médicaments mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
-Février 2024
- +Mars 2024
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