| 40 Changements de l'information professionelle Rocuronium Fresenius 25 mg / 2,5 ml |
-Il faut de préférence administrer les doses d'entretien une fois que l'amplitude des contractions musculaires a de nouveau atteint 25% de la valeur témoin ou quand il existe deux à trois réponses au train de quatre (TOF).
- +Il faut de préférence administrer les doses d'entretien une fois que l'amplitude des contractions musculaires a de nouveau atteint 25% de la valeur témoin ou quand il existe deux à trois réponses à une quadruple stimulation (TOF).
-Pour la perfusion continue, le débit de perfusion est le même pour les patients pédiatriques – à part les enfants (de 2 à 11 ans) – que pour les adultes. Un débit de perfusion plus élevé est éventuellement nécessaire chez les enfants. Le débit de perfusion initial recommandé chez les enfants est le même que pour les adultes. Par la suite, le débit de perfusion doit être ajusté de façon à maintenir pendant l'intervention une amplitude des contractions musculaires représentant 10% de la valeur témoin ou 1 à 2 réponses à la quadruple stimulation (TOF).
- +Pour la perfusion continue, le débit de perfusion est le même pour les patients pédiatriques – à part les enfants (de 2 à 11 ans) – que pour les adultes. Un débit de perfusion plus élevé est éventuellement nécessaire chez les enfants. Le débit de perfusion initial recommandé chez les enfants est le même que pour les adultes. Par la suite, le débit de perfusion doit être ajusté de façon à maintenir pendant l'intervention une amplitude des contractions musculaires représentant 10% de la valeur témoin ou 1 à 2 réponses après quadruple stimulation (TOF).
-Il est recommandé d'utiliser une dose initiale de 0,6 mg/kg de bromure de rocuronium. Dès que l'amplitude des contractions musculaires atteint 10% de la valeur témoin ou après la réapparition de 1 à 2 réactions à la quadruple stimulation (TOF), on administrera une perfusion continue. Il faut toujours ajuster la posologie en fonction de l'effet chez le patient considéré. Chez l'adulte, le débit de perfusion recommandé pour le maintien d'un bloc neuromusculaire de 80–90% est de 0,3 à 0,6 mg × kg–1 × h–1 pendant la première heure d'administration. Pendant les 6 à 12 heures suivantes, il faut réduire le débit de perfusion en fonction de l'effet individuel. Par la suite, la dose individuelle nécessaire reste relativement constante.
- +Il est recommandé d'utiliser une dose initiale de 0,6 mg/kg de bromure de rocuronium. Dès que l'amplitude des contractions musculaires atteint 10% de la valeur témoin ou après la réapparition de 1 à 2 réactions à une quadruple stimulation (TOF), on administrera une perfusion continue. Il faut toujours ajuster la posologie en fonction de l'effet chez le patient considéré. Chez l'adulte, le débit de perfusion recommandé pour le maintien d'un bloc neuromusculaire de 80–90% est de 0,3 à 0,6 mg × kg–1 × h–1 pendant la première heure d'administration. Pendant les 6 à 12 heures suivantes, il faut réduire le débit de perfusion en fonction de l'effet individuel. Par la suite, la dose individuelle nécessaire reste relativement constante.
-Chez les obèses, le calcul de la dose sur la base du poids corporel réel aboutit à un surdosage relatif avec allongement de la durée d'action et du délai de récupération spontanée. Chez ces patients, il faut réduire la dose (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Chez les obèses, le calcul de la dose sur la base du poids corporel réel aboutit à un surdosage relatif avec allongement de la durée d'action et du délai de récupération spontanée. Chez ces patients, il faut réduire la dose (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Les médicaments suivants peuvent modifier l'intensité et/ou la durée des effets des curares nondépolarisants:
- +Les médicaments suivants peuvent modifier l'intensité et/ou la durée des effets des curares non-dépolarisants:
-Les effets indésirables les plus fréquents sont des réactions au site d'injection, des modifications des fonctions vitales et une prolongation du bloc neuromusculaire. Dans le cadre de la surveillance post-marketing, les effets indésirables les plus fréquents sont des réactions anaphylactiques et anaphylactoïdes et les symptômes qui y sont associés.
- +Les effets indésirables les plus fréquents sont des réactions au site d’injection, des modifications des fonctions vitales et une prolongation du bloc neuromusculaire. Dans le cadre de la surveillance post-marketing, les effets indésirables les plus fréquents sont des réactions anaphylactiques et anaphylactoïdes et les symptômes qui y sont associés.
-On a signalé, bien que très rarement, de graves réactions anaphylactiques après l'administration de curarisants, y compris le rocuronium.
-Ces réactions peuvent se manifester par les symptômes suivants: anomalies cutanées telles qu'urticaire et oedème angioneurotique; bronchospasme; modifications cardio-vasculaires (hypotension, tachycardie, collapsus circulatoire pouvant aller jusqu'au choc). Dans quelques cas, ces réactions ont été mortelles. Etant donné la possibilité de réactions graves, il faut toujours prendre les précautions nécessaires.
-Les myorelaxants peuvent provoquer une libération locale et systémique d'histamine. Il faut prendre garde à la survenue de démangeaisons et de réactions érythémateuses au site d'injection et/ou de réactions histaminoïdes (anaphylactoïdes) généralisées (voir aussi plus haut «Réactions anaphylactiques»).
- +On a signalé, bien que très rarement, de graves réactions anaphylactiques après l’administration de curarisants, y compris le rocuronium.
- +Ces réactions peuvent se manifester par les symptômes suivants: anomalies cutanées telles qu’urticaire et oedème angioneurotique; bronchospasme; modifications cardio-vasculaires (hypotension, tachycardie, collapsus circulatoire pouvant aller jusqu’au choc). Dans quelques cas, ces réactions ont été mortelles. Etant donné la possibilité de réactions graves, il faut toujours prendre les précautions nécessaires.
- +Les myorelaxants peuvent provoquer une libération locale et systémique d’histamine. Il faut prendre garde à la survenue de démangeaisons et de réactions érythémateuses au site d’injection et/ou de réactions histaminoïdes (anaphylactoïdes) généralisées (voir aussi plus haut «Réactions anaphylactiques»).
-L'effet secondaire le plus fréquent de la classe des curares non-dépolarisants consiste en un allongement de la durée d'action du médicament au delà de la durée nécessaire. Ce phénomène peut aller d'une faiblesse des muscles squelettiques jusqu'à une paralysie persistante et prolongée des muscles squelettiques et aboutir à une dyspnée, voire une apnée.
-Occasionnels/rares: <1/100, >1/10'000; très rares: <1/10'000.
-Troubles du système immunitaire
- +L’effet secondaire le plus fréquent de la classe des curares non-dépolarisants consiste en un allongement de la durée d’action du médicament au delà de la durée nécessaire. Ce phénomène peut aller d’une faiblesse des muscles squelettiques jusqu’à une paralysie persistante et prolongée des muscles squelettiques et aboutir à une dyspnée, voire une apnée.
- +Occasionnels/rares: <1/100, >1/10’000; très rares: <1/10’000.
- +Affections du système immunitaire
-Troubles du système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles cardiaques
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
-Occasionnels: inefficacité, accentuation/réduction de l'effet, douleurs au site d'injection, réactions au site d'injection.
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
- +Occasionnels: inefficacité, accentuation/réduction de l’effet, douleurs au site d’injection, réactions au site d’injection.
-Blessures et intoxications
-Occasionnels: prolongation du bloc neuromusculaire, allongement du délai de récupération après l'anesthésie.
-Très rares: complications respiratoires lors de l'anesthésie.
- +Lésions, intoxications et complications d'interventions
- +Occasionnels: prolongation du bloc neuromusculaire, allongement du délai de récupération après l’anesthésie.
- +Très rares: complications respiratoires lors de l’anesthésie.
-Réactions locales au site d'injection
-En anesthésie, on signale des douleurs au site d'injection pendant une induction rapide, surtout quand le patient n'a pas encore complètement perdu conscience et en particulier quand du propofol est utilisé pour l'induction. Dans les études cliniques, des douleurs au site d'injection ont été signalées chez 16% des patients soumis à une induction rapide par le propofol et chez moins de 0,5% des patients soumis à une induction rapide par le fentanyl et le thiopental.
- +Réactions locales au site d’injection
- +En anesthésie, on signale des douleurs au site d’injection pendant une induction rapide, surtout quand le patient n’a pas encore complètement perdu conscience et en particulier quand du propofol est utilisé pour l’induction. Dans les études cliniques, des douleurs au site d’injection ont été signalées chez 16% des patients soumis à une induction rapide par le propofol et chez moins de 0,5% des patients soumis à une induction rapide par le fentanyl et le thiopental.
-Une méta-analyse de 11 études cliniques auprès de patients pédiatriques (n = 704) avec administration de bromure de rocuronium (jusqu'à 1 mg/kg) a montré que des tachycardies se sont produites dans 1,4% des cas en tant qu'effet indésirable.
- +Une méta-analyse de 11 études cliniques auprès de patients pédiatriques (n = 704) avec administration de bromure de rocuronium (jusqu’à 1 mg/kg) a montré que des tachycardies se sont produites dans 1,4% des cas en tant qu’effet indésirable.
-En cas de surdosage et de bloc neuromusculaire prolongé, il faut poursuivre la ventilation assistée et le traitement sédatif.
-Dans cette situation, il existe deux options pour neutraliser le bloc neuromusculaire: (1) Administration de sugammadex pour neutraliser un bloc neuromusculaire intensif et profond; la dose appropriée de sugammadex dépend du degré du bloc neuromusculaire. (2) Administration de doses adéquates d'un inhibiteur de l'acétylcholinestérase (par exemple néostigmine, édrophonium, pyridostigmine) aux premiers signes de rétablissement spontané.
- +En cas de surdosage et de bloc neuromusculaire prolongé, il faut poursuivre la ventilation assistée et le traitement sédatif. Dans cette situation, il existe deux options pour neutraliser le bloc neuromusculaire: (1) Administration de sugammadex pour neutraliser un bloc neuromusculaire intensif et profond; la dose appropriée de sugammadex dépend du degré du bloc neuromusculaire. (2) Administration de doses adéquates d'un inhibiteur de l'acétylcholinestérase (par exemple néostigmine, édrophonium, pyridostigmine) aux premiers signes de rétablissement spontané.
-Juin 2015.
- +Mars 2018.
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