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Accueil - Information professionnelle sur YERVOY 50 mg/10 ml - Changements - 13.12.2017
30 Changements de l'information professionelle YERVOY 50 mg/10 ml
  • -Effets indésirables sévères ou menaçant le pronostic vital Grade selon le NCI-CTCAE v3a
  • +Effets indésirables sévères ou menaçant le pronostic vital Grade selon le NCI-CTCAE v4a
  • -Hépatique: Elévation très importante des ASAT, des ALAT, ou de la bilirubine totale ou symptômes d'hépatotoxicité ·ASAT ou ALAT >8× LSN ou ·Bilirubine totale >5× LSN
  • +Hépatique: Elévation très importante des ASAT, des ALAT, ou de la bilirubine totale ou symptômes d'hépatotoxicité ·Elévation des ASAT ou des ALAT de grade 3 (dans l'intervalle >5,0 à 20,0× LSN) ou 4 (>20,0× LSN) ou ·de la Bilirubine totale de grade 3 (dans l'intervalle >3,0 à 10,0× LSN) ou 4 (>10,0× LSN)
  • -a Les effets indésirables sont gradés selon la classification du National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Events. Version 3.0 (NCI-CTCAE v3).
  • +a Les effets indésirables sont gradés selon la classification du National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Events. Version 4.0 (NCI-CTCAE v4).
  • -Gastro-intestinal: Diarrhée ou colite modérée non contrôlée par le traitement médical, persistante (5-7 jours) ou récurrente. 1.Reporter la dose de YERVOY jusqu'à la résolution de l'effet indésirable à un grade 1 ou grade 0 (ou retour à la valeur initiale). 2.Si la résolution de l'effet indésirable se produit, reprendre le traitement.d 3.Si la résolution ne s'est pas produite, poursuivre le report des doses jusqu'à la résolution puis reprendre le traitement.d 4.Arrêter le traitement par YERVOY si l'effet indésirable ne se résout pas à un grade 1 ou grade 0 (ou retour à la valeur initiale).
  • -Hépatique: Elévation modérée des taux de transaminases (ASAT ou ALAT >5 à ≤8× LSN) ou de bilirubine totale (>3 à ≤5× LSN)
  • +Gastro-intestinal: Diarrhée ou colite modérée non contrôlée par le traitement médical, persistante (5-7 jours) ou récurrente. 1.Reporter la dose de YERVOY jusqu'à la résolution de l'effet indésirable à un grade 1 ou grade 0 (ou retour à la valeur initiale) et jusqu'à la fin du traitement par corticostéroïdes. 2.Si la résolution de l'effet indésirable se produit, reprendre le traitement.d 3.Si la résolution ne s'est pas produite, poursuivre le report des doses jusqu'à la résolution puis reprendre le traitement.d 4.Arrêter le traitement par YERVOY si l'effet indésirable ne se résout pas à un grade 1 ou grade 0 (ou retour à la valeur initiale).
  • +Hépatique: Elévation des ASAT ou des ALAT de grade 2b (dans l'intervalle >3.0 à 5,0× LSN) ou Elévation de grade 2b de la bilirubine totale (dans l'intervalle >1,5 à 3,0× LSN)
  • -b Les effets indésirables sont gradés selon la classification du National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Events. Version 3.0 (NCI-CTCAE v3).
  • +b Les effets indésirables sont gradés selon la classification du National Cancer Institute Common Terminology Criteria for Adverse Events. Version 4.0 (NCI-CTCAE v4).
  • -La sécurité et l'efficacité de YERVOY chez les enfants de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. YERVOY ne doit pas être utilisé chez les enfants de moins de 18 ans.
  • +La sécurité et l'efficacité de YERVOY chez les enfants et les adolescents n'ont pas été établies Seules des données très limitées sont disponibles. YERVOY ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents.
  • -Les recommandations de prise en charge d'une diarrhée ou colite sont établies en fonction de la gravité des symptômes (selon la classification du NCI-CTCAE v3). Les patients présentant une diarrhée légère à modérée (Grade 1 ou 2 – augmentation du nombre des selles jusqu'à 6 par jour) ou une suspicion de colite légère à modérée (par exemple, douleur abdominale ou sang dans les selles), peuvent poursuivre le traitement par YERVOY. Un traitement symptomatique (par exemple lopéramide, réhydratation) et une surveillance étroite sont conseillés. Si des symptômes légers à modérés récidivent ou persistent pendant 5 à 7 jours, l'administration de la prochaine dose programmée de YERVOY doit être reportée et un traitement par corticostéroïdes (par exemple, prednisone 1 mg/kg par voie orale une fois par jour ou équivalent) doit être initié. En cas de résolution vers un grade 0 ou 1 ou vers un retour aux valeurs initiales, le traitement par YERVOY peut être repris (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les recommandations de prise en charge d'une diarrhée ou colite sont établies en fonction de la gravité des symptômes (selon la classification du NCI-CTCAE v4). Les patients présentant une diarrhée légère à modérée (Grade 1 ou 2 – augmentation du nombre des selles jusqu'à 6 par jour) ou une suspicion de colite légère à modérée (par exemple, douleur abdominale ou sang dans les selles), peuvent poursuivre le traitement par YERVOY. Un traitement symptomatique (par exemple lopéramide, réhydratation) et une surveillance étroite sont conseillés. Si des symptômes légers à modérés récidivent ou persistent pendant 5 à 7 jours, l'administration de la prochaine dose programmée de YERVOY doit être reportée et un traitement par corticostéroïdes (par exemple, prednisone 1 mg/kg par voie orale une fois par jour ou équivalent) doit être initié. En cas de résolution vers un grade 0 ou 1 ou vers un retour aux valeurs initiales, le traitement par YERVOY peut être repris (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Chez les patients présentant une élévation des ASAT ou des ALAT (dans l'intervalle >5 à ≤8× LSN) ou de la bilirubine totale (dans l'intervalle >3 à ≤5× LSN) suspectée d'être liée à YERVOY, l'administration de la prochaine dose programmée doit être reportée, et la fonction hépatique doit être surveillée jusqu'à résolution. Après une amélioration des tests hépatiques (ASAT et ALAT ≤5× LSN et bilirubine totale ≤3× LSN), le traitement par YERVOY peut être repris (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Chez les patients présentant une élévation des ASAT ou des ALAT supérieure à 8× LSN ou une bilirubine supérieure à 5× LSN, suspectée d'être liée à YERVOY, le traitement doit être définitivement arrêté (voir «Posologie/Mode d'emploi»), et l'administration systémique de corticostéroïdes à haute dose en IV (par exemple, méthylprednisolone à 2 mg/kg/jour ou équivalent) doit être initiée immédiatement. Chez ces patients, la fonction hépatique doit être surveillée jusqu'à normalisation. Après disparition des symptômes et amélioration durable ou normalisation des tests hépatiques, l'initiation de la diminution des corticostéroïdes doit être fondée sur un jugement clinique. Cette diminution doit être réalisée sur une période d'au moins 1 mois. Une élévation des tests hépatiques durant cette période peut être contrôlée par une hausse des doses de corticostéroïdes et un ralentissement du rythme de réduction des doses.
  • +Chez les patients présentant une élévation de grade 2 des transaminases (dans lintervalle >3,0 à 5,0× LSN) ou de la bilirubine totale (dans lintervalle >1,5 à 3,0× LSN), l’administration de la prochaine dose programmée doit être reportée, et la fonction hépatique doit être surveillée jusquà résolution. Après amélioration, le traitement par YERVOY peut être repris (voir «Posologie/Mode demploi»).
  • +Chez les patients présentant une élévation de grade 3 (dans l’intervalle >5,0 à 20,0× LSN) ou grade 4 (>20,0× LSN) des transaminases ou une élévation de grade 3 (dans l’intervalle >3,0 à 10,0× LSN) ou grade 4 (>10,0 x LSN) de la bilirubine, le traitement doit être définitivement arrêté (voir «Posologie/Mode demploi»), et ladministration systémique de corticostéroïdes à haute dose en IV (par exemple, méthylprednisolone à 2 mg/kg/jour ou équivalent) doit être initiée immédiatement. Chez ces patients, la fonction hépatique doit être surveillée jusquà normalisation. Après disparition des symptômes et amélioration durable ou normalisation des tests hépatiques, linitiation de la diminution des corticostéroïdes doit être fondée sur un jugement clinique. Cette diminution doit être réalisée sur une période dau moins 1 mois. Une élévation des tests hépatiques durant cette période peut être contrôlée par une hausse des doses de corticostéroïdes et un ralentissement du rythme de réduction des doses.
  • -YERVOY est associé à de graves effets indésirables cutanés pouvant être d'origine immunologique, incluant des cas de nécrolyse épidermique toxique fatale rapportés lors des essais cliniques (voir «Effets indésirables»).
  • +YERVOY est associé à de graves effets indésirables cutanés pouvant être dorigine immunologique, incluant des cas de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et des cas de nécrolyse épidermique toxique (NET) fatale rapportés lors des essais cliniques (voir «Effets indésirables»).
  • -Le traitement par YERVOY doit être définitivement arrêté chez les patients présentant un rash très sévère (Grade 4) ou un prurit sévère (Grade 3) (voir «Posologie/Mode d'emploi»), et un traitement systémique par corticostéroïdes IV à hautes doses (par exemple, méthylprednisolone 2 mg/kg/jour) doit immédiatement être initié. Une fois le rash ou le prurit contrôlé, l'initiation de la diminution des corticostéroïdes doit être fondée sur un jugement clinique. Cette diminution doit être réalisée sur une période d'au moins 1 mois.
  • +Le traitement par YERVOY doit être définitivement arrêté chez les patients présentant un rash très sévère (Grade 4) (y compris le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique) ou un prurit sévère (Grade 3) (voir «Posologie/Mode demploi»), et un traitement systémique par corticostéroïdes IV à hautes doses (par exemple, méthylprednisolone 2 mg/kg/jour) doit immédiatement être initié. Une fois le rash ou le prurit contrôlé, linitiation de la diminution des corticostéroïdes doit être fondée sur un jugement clinique. Cette diminution doit être réalisée sur une période dau moins 1 mois.
  • -Les effets indésirables suivants, dont l'origine immunologique est suspectée, ont été rapportés chez les patients traités par YERVOY 3 mg/kg en monothérapie au cours de l'étude MDX010-20: uvéite, éosinophilie, élévation du taux de lipase, et glomérulonéphrite. De plus, des cas d'iritis, anémie hémolytique, élévation des taux d'amylase, insuffisance multi-organe et pneumonie ont été rapportés chez les patients traités par YERVOY 3 mg/kg + vaccin peptidique gp100, dans l'étude MDX010-20 (voir «Effets indésirables»).
  • +Les effets indésirables suivants, dont l'origine immunologique est suspectée, ont été rapportés chez les patients traités par YERVOY 3 mg/kg en monothérapie au cours de l'étude MDX010-20: uvéite, éosinophilie, élévation du taux de lipase, et glomérulonéphrite. De plus, des cas d'iritis, anémie hémolytique, élévation des taux d'amylase, insuffisance multi-organe et pneumonie ont été rapportés chez les patients traités par YERVOY 3 mg/kg + vaccin peptidique gp100, dans l'étude MDX010-20. Des cas de syndrome de Vogt-Koyanagi-Harada ont été rapportés post-commercialisation (voir «Effets indésirables»).
  • +Administration séquentielle avec le vémurafénib
  • +Dans une étude de Phase 2, chez les patients présentant un mélanome métastatique avec une mutation BRAF, il a été observé une incidence plus élevée des effets indésirables cutanés de grade 3 et plus après l'administration séquentielle de vémurafénib suivi par 10 mg/kg d'ipilimumab, comparativement à un traitement par ipilimumab seul. Des précautions sont à prendre lorsque l'ipilimumab est administré après une administration antérieure de vémurafénib.
  • +
  • -Occasionnels: syndrome de Guillain-Barréb,c, méningite (aseptique), syncope, neuropathie crânienne, œdème cérébral, neuropathie périphérique, ataxie, tremblement, myoclonies, dysarthrie.
  • +Occasionnels: syndrome de Guillain-Barréb,c, méningite (aseptique), neuropathie centrale auto-immune (encéphalite), syncope, neuropathie crânienne, œdème cérébral, neuropathie périphérique, ataxie, tremblement, myoclonies, dysarthrie.
  • -Très rares: sclérited.
  • +Très rares: sclérited, syndrome de Vogt-Koyanagi-Haradaf.
  • -Occasionnels: nécrolyse épidermique toxiqueb,c, vascularite leucocytoclasique, exfoliation de la peau, eczéma, changement de couleur des cheveux.
  • +Occasionnels: nécrolyse épidermique toxique (y compris le syndrome de Stevens-Johnson)b,c, vascularite leucocytoclasique, exfoliation de la peau, eczéma, changement de couleur des cheveux.
  • +f rapporté post-commercialisation.
  • +
  • -Avril 2017.
  • +Novembre 2017.
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