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Accueil - Information professionnelle sur YERVOY 50 mg/10 ml - Changements - 18.08.2023
144 Changements de l'information professionelle YERVOY 50 mg/10 ml
  • -Le traitement doit être initié et surveillé par un médecin spécialiste expérimenté dans le traitement du cancer, lui-mème intégré dans un réseau interdisciplinaire étroit.
  • +Le traitement doit être initié et surveillé par un médecin spécialiste expérimenté dans le traitement du cancer, lui-même intégré dans un réseau interdisciplinaire étroit.
  • -Le traitement d'induction de YERVOY se fait à la dose de 3 mg/kg par voie intraveineuse sur une période de 90 minutes, toutes les 3 semaines pour un total de 4 doses. Si nécessaire, la durée de la perfusion peut être réduite à 30 minutes. Sur la base des données cliniques disponibles, il ne peut être exclu qu'une durée de perfusion raccourcie puisse augmenter le risque de réactions d'hypersensibilité/réaction à la perfusion.
  • +Le traitement d'induction de YERVOY se fait à la dose de 3 mg/kg par voie intraveineuse sur une période de 90 minutes, toutes les 3 semaines pour un total de 4 doses. Si nécessaire, la durée de la perfusion peut être réduite à 30 minutes. Sur la base des données cliniques disponibles, il ne peut être exclu qu'une durée de perfusion raccourcie puisse augmenter le risque de réactions d'hypersensibilité/réaction à la perfusion.
  • -Autres systèmes d'organesb: (par exemple: néphrite, pneumonie, pancréatite, myocardite non infectieuse, diabète sucré de type 1) ·effet indésirable d'origine immunologique de grade ≥3c ·affection oculaire d'origine immunologique de grade ≥2 NE REPONDANT PAS à un traitement immunosuppresseur topique ·Diabète sucré de type 1 avec hyperglycémie de grade 4
  • +Autres systèmes d'organesb: (par exemple: néphrite, pneumonie, pancréatite, myocardite non infectieuse, diabète sucré de type 1, myélite transverse) ·effet indésirable d'origine immunologique de grade ≥3c ·affection oculaire d'origine immunologique de grade ≥2 NE REPONDANT PAS à un traitement immunosuppresseur topique ·Diabète sucré de type 1 avec hyperglycémie de grade 4 ·Tous les grades de myélite transverse d'origine immunologique
  • -Hépatique: Elévation des ASAT ou des ALAT de grade 2b (dans l'intervalle >3.0 à 5,0x LSN) ou Elévation de grade 2b de la bilirubine totale (dans l'intervalle >1,5 à 3,0x LSN)
  • -Cutané: Rash cutané de modéré à sévère (Grade 3)b ou prurit étendu/intense quelle que soit son origine
  • -Endocrinien: Effets indésirables sévères au niveau des glandes endocriniennes, telles que hypophysite et thyroïdite non suffisamment contrôlées par un traitement hormonal substitutif ou un traitement immunosuppresseur à hautes doses. Diabète sucré de type 1 avec hyperglycémie de grade 3
  • -Neurologique: Neuropathie motrice modérée (Grade 2)b inexpliquée, faiblesse musculaire, ou neuropathie sensitive (durant plus de 4 jours)
  • -Autres effets indésirables modérésc
  • +Hépatique: Elévation des ASAT ou des ALAT de grade 2b (dans l'intervalle >3,0 à 5,0x LSN) ou Elévation de grade 2b de la bilirubine totale (dans l'intervalle >1,5 à 3,0x LSN)
  • +Cutané: Rash cutané de modéré à sévère (Grade 3)b ou prurit étendu/intense quelle que soit son origine
  • +Endocrinien: Effets indésirables sévères au niveau des glandes endocriniennes, telles que hypophysite et thyroïdite non suffisamment contrôlées par un traitement hormonal substitutif ou un traitement immunosuppresseur à hautes doses. Diabète sucré de type 1 avec hyperglycémie de grade 3
  • +Neurologique: Neuropathie motrice modérée (Grade 2)b inexpliquée, faiblesse musculaire, ou neuropathie sensitive (durant plus de 4 jours)
  • +Autres effets indésirables modérésc
  • -Pneumonie de grade 3 ou 4 Arrêt définitif du traitement
  • + Pneumonie de grade 3 ou 4 Arrêt définitif du traitement
  • -Diarrhée ou colite de grade 3 ou 4a Arrêt définitif du traitement
  • + Diarrhée ou colite de grade 3 ou 4a Arrêt définitif du traitement
  • -Élévation au grade 3 ou 4 des ASAT (aspartate aminotransférase), des ALAT (alanine aminotransférase) ou de la bilirubine totale Arrêt définitif du traitement
  • + Élévation au grade 3 ou 4 des ASAT (aspartate aminotransférase), des ALAT (alanine aminotransférase) ou de la bilirubine totale Arrêt définitif du traitement
  • -Élévation de la créatinine au grade 4 Arrêt définitif du traitement
  • + Élévation de la créatinine au grade 4 Arrêt définitif du traitement
  • -Hypothyroïdie de grade 4 Hyperthyroïdie de grade 4 Hypophysite de grade 4, insuffisance surrénale de grade 3 ou 4 Diabète sucré de type 1 avec hyperglycémie de grade 4 Arrêt définitif du traitement
  • + Hypothyroïdie de grade 4 Hyperthyroïdie de grade 4 Hypophysite de grade 4, insuffisance surrénale de grade 3 ou 4 Diabète sucré de type 1 avec hyperglycémie de grade 4 Arrêt définitif du traitement
  • -Suspicion de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou de nécrolyse épidermique toxique (NET) Suspendre l'administration
  • -Rash de grade 4 SSJ/NET confirmé(e) Arrêt définitif du traitement
  • -Encéphalite d'origine immunologique Première survenance de signes ou symptômes neurologiques modérés à sévères Suspendre l'administration jusqu'à la résolution des symptômes et la fin du traitement par corticoïdes
  • -Encéphalite d'origine immunologique Arrêt définitif du traitement
  • + Suspicion de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou de nécrolyse épidermique toxique (NET) Suspendre l'administration
  • + Rash de grade 4 SSJ/NET confirmé(e) Arrêt définitif du traitement
  • +Myélite d'origine immunologique Tous les grades Arrêt définitif du traitement
  • -Myocardite de grade 3 Arrêt définitif du traitement
  • -Grade 4 ou grade 3 récidivant; grades 2 ou 3 persistants malgré des modifications de traitement; lorsque la dose de corticoïde ne peut pas être réduite à 10 mg de prednisone par jour ou à une dose équivalente d'un autre corticoïde Arrêt définitif du traitement
  • + Myocardite de grade 3 Arrêt définitif du traitement
  • + Grade 4 ou grade 3 récidivant; grades 2 ou 3 persistants malgré des modifications de traitement; lorsque la dose de corticoïde ne peut pas être réduite à 10 mg de prednisone par jour ou à une dose équivalente d'un autre corticoïde Arrêt définitif du traitement
  • -Chez les patients âgés de 75 ans ou plus atteints du MPM, des taux accrus d'effets indésirables graves et d'arrêts de traitement dus à des effets indésirables (68% et 35%, respectivement) ont été observés comparé à tous les patients ayant reçu YERVOY en association avec le nivolumab (54% et 28%, respectivement). 26% des patients avaient 75 ans ou plus.
  • +Chez les patients âgés de 75 ans ou plus atteints du MPM, des taux accrus d'effets indésirables graves et d'arrêts de traitement dus à des effets indésirables (68% et 35%, respectivement ) ont été observés comparé à tous les patients ayant reçu YERVOY en association avec le nivolumab (54% et 28%, respectivement ). 26% des patients avaient 75 ans ou plus.
  • +Après la mise sur le marché, des cas de myélite transverse ont été observés au cours d'un traitement par des inhibiteurs de points de contrôle immunitaire. Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signes ou symptômes pouvant indiquer une myélite.
  • +Après la mise sur le marché, des cas de myélite transverse ont été observés au cours d'un traitement par des inhibiteurs de points de contrôle immunitaire. Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signes ou symptômes pouvant indiquer une myélite.
  • +
  • -Ce médicament contient 23 mg de sodium par flacon de 10 ml, et 92 mg de sodium par flacon de 40 ml, ce qui équivaut à 1.15% respectivement 4.6% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
  • +Ce médicament contient 23 mg de sodium par flacon de 10 ml, et 92 mg de sodium par flacon de 40 ml, ce qui équivaut à 1,15% respectivement 4,6% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥10% des patients), chez les patients qui ont reçu YERVOY 3 mg/kg en monothérapie au cours de l'étude MDX010-20, étaient les suivants: diarrhée (27%), rash (27%), prurit (27%), fatigue (24%), nausée (24%), vomissement (12%), diminution de l'appétit (11%), et douleur abdominale (11%). La plupart étaient d'intensité légère à modérée (Grade 1 ou 2). YERVOY a été arrêté suite à des effets indésirables chez 10% des patients.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥10% des patients), chez les patients qui ont reçu YERVOY 3 mg/kg en monothérapie au cours de l'étude MDX010-20, étaient les suivants: fatigue (41,4%), diarrhée (36%), nausées (36%), douleur musculosquelettique (29,7%), rash (28,8%), réaction au site d'injection (28,3%), prurit (26%), diminution de l'appétit (22,8%), douleur abdominale (22,6%), constipation (21%), vomissements (20,5%), fièvre (20%), œdème (13,8%), douleur (12,1%). La plupart étaient d'intensité légère à modérée (Grade 1 ou 2). YERVOY a été arrêté suite à des effets indésirables chez 10% des patients.
  • -Occasionnels sepsisb, choc septiqueb, infection des voies urinaires, infection des voies respiratoires
  • +Occasionnels sepsisb, infection des voies urinaires, infection des voies respiratoires
  • +Rares choc septiqueb, pneumonie
  • +
  • -Fréquents anémiec, lymphopénie
  • -Occasionnels anémie hémolytiqueb, thrombocytopénie, éosinophilie, neutropénie
  • +Fréquents anémie, lymphopénie, thrombocytopénie, neutropénie
  • +Occasionnels anémie hémolytiqueb, éosinophilie
  • +Inconnus lymphohistiocytose hémophagocytairef
  • -Occasionnels hypersensibilité, réactions liées à la perfusion
  • -Très rares réaction anaphylactique (choc), sarcoïdosed
  • -Inconnus maladie du greffon contre l'hôte (GVHD)f, lymphohistiocytose hémophagocytaire, rejet de greffe d'organe solidef
  • +Occasionnels hypersensibilité, anticorps antinucléaires positifse
  • +Très rares réaction anaphylactique
  • +Inconnus rejet de greffe d'organe solidef
  • -Occasionnels insuffisance surrénalec, hyperthyroïdiec, hypogonadisme, augmentation du taux sanguin de thyréotropine (TSH)g, diminution du taux sanguin de cortisolg, diminution du taux sanguin de corticotrophineg, diminution du taux sanguin de testostéroneg
  • -Rares taux de prolactine anormalg
  • +Occasionnels insuffisance surrénalec, insuffisance corticosurrénalienne secondairee, hyperthyroïdiec, hypogonadisme, augmentation du taux sanguin de thyréotropine (TSH)g, diminution du taux sanguin de cortisolg, diminution du taux sanguin de corticotrophineg, diminution du taux sanguin de testostéroneg
  • +Rares Thyroïdite auto immunee, thyroïditee, taux de prolactine anormalg, prolactineg, diminution du taux sanguin de TSHe, diminution de la thyroxinee
  • -Très fréquents diminution de l'appétit (11%)
  • -Fréquents déshydratation, hypokaliémie, diminution du poids
  • -Occasionnels hyponatrémie, alkalose, hypophosphatémie, syndrome de lyse tumorale
  • -Rares diabète sucré de type 1 (y compris l'acidocétose diabétiquei)
  • +Très fréquents diminution de l'appétit (22,8%)
  • +Fréquents déshydratation, hypokaliémie, diminution du poids, hyponatrémie
  • +Occasionnels alkalose, hypophosphatémie, syndrome de lyse tumorale, hypocalcémiee
  • +Rares diabète sucré de type 1 (y compris l'acidocétose diabétique)i
  • -Fréquents confusion
  • -Occasionnels modifications de l'état mental, dépression, baisse de la libido
  • +Fréquents confusion, dépression
  • +Occasionnels modifications de l'état mental, baisse de la libido
  • -Fréquents neuropathie sensitive périphérique, sensation vertigineuse, céphalées, léthargie
  • -Occasionnels syndrome de Guillain-Barréb,c, méningite (aseptique), neuropathie centrale auto-immune (encéphalite), syncope, neuropathie crânienne, œdème cérébral, neuropathie périphérique, ataxie, tremblement, myoclonies, dysarthrie
  • +Fréquents neuropathie sensitive périphérique, sensation vertigineuse, céphalées, léthargie, neuropathie crânienne, œdème cérébral, neuropathie périphérique
  • +Occasionnels syndrome de Guillain-Barréb,c, méningite (aseptique), neuropathie centrale auto-immune (encéphalite), syncope, ataxie, tremblement, myoclonies, dysarthrie
  • +Inconnus Myélite, myélite transversef
  • +
  • -Occasionnels uvéitec, hémorragie vitreuse, iritisc, diminution de l'acuité visuelle, sensation de corps étrangers dans les yeux, conjonctivite
  • -Rares décollement séreux de la rétinef
  • -Très rares sclérited, syndrome de Vogt-Koyanagi-Haradaf
  • +Occasionnels uvéitec, hémorragie vitreuse, iritisc, oedème oculairee, blépharitee, diminution de l'acuité visuelle, sensation de corps étrangers dans les yeux, conjonctivite
  • +Rares décollement séreux de la rétine, syndrome de Vogt-Koyanagi-Haradaf
  • -Rares myocarditea,b
  • +Rares Artérite temporalee
  • -Fréquents dyspnée, toux
  • -Occasionnels insuffisance respiratoire, syndrome de détresse respiratoire aiguëb, infiltration pulmonaire, œdème pulmonaire, pneumonie, rhinite allergique
  • +Fréquents dyspnée, toux, rhinite allergique
  • +Occasionnels insuffisance respiratoire, syndrome de détresse respiratoire aiguëb, infiltration pulmonaire, œdème pulmonaire, pneumonie
  • -Très fréquents diarrhée (28%)c, vomissement (10%), nausée (23%)
  • -Fréquents hémorragie gastro-intestinale, coliteb,c, constipation, reflux gastro-œsophagien, douleur abdominale
  • -Occasionnels perforation gastro-intestinaleb,c, perforation du gros intestinb,c, perforation intestinaleb,c, péritonite infectieuseb, gastroentérite, diverticulite, pancréatite auto-immune, entérocolite, ulcère gastrique, ulcère du gros intestin, œsophagite, iléus, inflammation des muqueuses, stomatite, augmentation du taux de lipasec,g, augmentation du taux sanguin d'amylasec,g
  • +Très fréquents diarrhée (36%)c, nausées (36%), douleur abdominale (22,6%), constipation (20,9%), vomissements (20,5%)
  • +Fréquents hémorragie gastro-intestinale, coliteb,c, reflux gastro-œsophagien, gastroentérite, inflammation des muqueusese, stomatite, augmentation du taux de lipasec,g
  • +Occasionnels perforation gastro-intestinaleb,c, perforation du gros intestinb,c, perforation intestinaleb,c, péritonite infectieuseb, diverticulite, pancréatite, entérocolite, ulcère gastrique, ulcère du gros intestin, œsophagite, iléus, augmentation du taux sanguin d'amylasec,g
  • -Très fréquents rash (25%)c, prurit (22%)c
  • -Fréquents dermatite, érythème, vitiligo, urticaire, alopécie, sueurs nocturnes, peau sèche
  • -Occasionnels nécrolyse épidermique toxique (y compris le syndrome de Stevens-Johnson)b,c, vascularite leucocytoclasique, exfoliation de la peau, eczéma, changement de couleur des cheveux
  • +Très fréquents rash (28,8%)c, prurit (26%)c
  • +Fréquents dermatite, érythème, vitiligo, urticaire, alopécie, sueurs nocturnes, peau sèche, eczémae
  • +Occasionnels nécrolyse épidermique toxique (y compris le syndrome de Stevens-Johnson)b,c, vascularite leucocytoclasique, exfoliation de la peau, changement de couleur des cheveuxd
  • +Inconnus pemphigoïde
  • -Fréquents arthralgie, myalgie, douleur musculosquelettiqueh, spasmes musculaires
  • -Occasionnels pseudo-polyarthrite rhizomélique, arthrite
  • -Rares Myositea
  • +Très fréquents Douleur musculosquelettique (29,7%)h
  • +Fréquents arthralgie, myalgie, spasmes musculaires, arthrite
  • +Occasionnels pseudo-polyarthrite rhizomélique, myositee, faiblesse musculairee
  • +Rares polymyositee
  • -Occasionnels insuffisance rénaleb, glomérulonéphritec, acidose tubulaire rénale, augmentation de la créatininémieg
  • +Fréquents insuffisance rénaleb, augmentation de la créatininémieg
  • +Occasionnels glomérulonéphritec, acidose tubulaire rénale, néphrite auto-immunee, hématuriee, cystite non infectieusej, protéinuriee
  • -Très fréquents fatigue (27%), réaction au site d'injection (27%), fièvre (12%)
  • -Fréquents frissons, asthénie, œdème, douleur, état grippal (symptômes)
  • -Occasionnels défaillance multiviscéraleb,c
  • -Rares syndrome de réponse inflammatoire systémique (SIRS)b
  • +Très fréquents fatigue (41,1%), réaction au site d'injection (28,3%), fièvre (20%), œdème (13,8%), douleur (12,1%)
  • +Fréquents frissons, asthénie, état grippal (symptômes)e
  • +Occasionnels défaillance multiviscéraleb,c, syndrome de réponse inflammatoire systémique (SIRS)b, réaction à la perfusion
  • -g La fréquence des tests de laboratoire est basée sur le nombre de patients dans l'ensemble de données regroupées des essais cliniques avec des effets secondaires thérapeutiques de tous les grades.
  • +g Les fréquences sont basées sur le nombre de patients présentant une variation des valeurs de laboratoire de tous les degrés par rapport aux valeurs initiales, indépendamment de la causalité et sur la base du nombre de patients pour lesquels des variations des valeurs de laboratoire ont été signalées.
  • -i Diabète sucré de type 1 pouvant être associé à une acidocétose diabétique.
  • +i Diabète sucré de type 1 pouvant être associé à une acidocétose diabétique
  • +j Rapporté dans les études cliniques et après le lancement de la marque
  • +Mélanome
  • +Dans le pool de données du nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg dans le mélanome (n=448), les effets indésirables les plus fréquents (≥10%) étaient: fatigue (62%), rash (57%), diarrhée (52%), nausées (42%), prurit (40%), pyrexie (36%), douleurs de l'appareil locomoteur (29%), vomissements (29%), toux (28%), diminution de l'appétit (26%), céphalées (26%), douleurs abdominales (25%), arthralgie (23%), dyspnée (23%), constipation (21%), hypothyroïdie (18%), infection des voies respiratoires supérieures (18%), colite (15%), vertiges (13%), et perte de poids (12%). La plupart des effets indésirables étaient légers à modérés (grade 1 ou 2).
  • +Sur les 313 patients traités par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg dans l'étude CA209067, 154 (49%) ont présenté pour la première fois des effets indésirables de grade 3-4 pendant la phase initiale du traitement combiné. Parmi les 147 patients de ce groupe pour lesquels le traitement a été poursuivi en phase de monothérapie, 47 (32%) ont présenté au moins un effet indésirable de grade 3-4 pendant la phase de monothérapie.
  • -Les effets indésirables rapportés dans l'ensemble des données regroupées pour les patients traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg pour le CCR, le CRC, le MPM et le carcinome épidermoïde de l'œsophage (n=1349), sont présentés dans le Tableau 3. Ces effets sont présentés par classes de systèmes d'organes et par ordre de fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de sévérité décroissante.
  • +Le tableau 3 présente les effets indésirables rapportés dans l'ensemble de données regroupées pour les patients traités par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg dans le mélanome (n = 448), ou par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg dans le CCR, le CCR, le MPM et le carcinome épidermoïde de l'œsophage (OSCC) (n = 1349). Ces effets sont présentés par classes de systèmes d'organes et par ordre de fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000). Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de sévérité décroissante.
  • - YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg dans le CCR*, le CRC*, le MPM** et le CEO**
  • + YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg dans le CCR*, le CRC*, le MPM** et le CEO** YERVOY 3 mg/kg en association avec le nivolumab 1 mg/kg en cas de mélanome*
  • -Très fréquents Infection des voies respiratoires supérieures (14%), pneumonie (11%)
  • -Fréquents Infection urinaire, bronchite
  • -Occasionnels Méningite aseptique
  • +Très fréquents Infection des voies respiratoires supérieures (14%), pneumonie (11%) Infection des voies respiratoires supérieures (18%)
  • +Fréquents Infection urinaire, bronchite Pneumonie, bronchite
  • +Occasionnels Méningite aseptique
  • -Très fréquents Diminution de l'hémoglobine (45%)d, Diminution du nombre de lymphocytes (40%)d, Diminution du nombre de thrombocytes(14%)d, Diminution du nombre de leucocytes (12%)d, Diminution du nombre de neutrophiles (11%)d
  • -Fréquents Éosinophilie
  • -Inconnus Anémie hémolytique auto-immunef
  • +Très fréquents Diminution de l'hémoglobine (45%)e, Diminution du nombre de lymphocytes (40%) e, Diminution du nombre de thrombocytes(14%) e, Diminution du nombre de leucocytes (12%) e, Diminution du nombre de neutrophiles (11%) e Diminution de l'hémoglobine (50,7%)e, diminution du nombre de lymphocytes (41,1%)e, diminution du nombre de neutrophiles (15,1%)e, diminution du nombre de leucocytes (14,1%)e, diminution du nombre de thrombocytes(12,1%)e
  • +Fréquents Éosinophilie Éosinophilie
  • +Inconnus Anémie hémolytique auto-immunef Anémie hémolytique auto-immunef
  • -Fréquents Réaction liée à la perfusion, hypersensibilité
  • -Rares Sarcoïdose
  • -Inconnus Rejet de greffe d'organe solidef, lymphohistiocytose hémophagocytairef
  • +Fréquents Réaction liée à la perfusion, hypersensibilité Réaction à la perfusion, hypersensibilité (y compris réaction anaphylactique)
  • +Occasionnels Sarcoïdose
  • +Rares Sarcoïdose
  • +Inconnus Rejet de greffe d'organe solidef, lymphohistiocytose hémophagocytairef Rejet de greffe d'organe solidef, maladie du greffon contre l'hôte (GVHD)f, lymphohistiocytose hémophagocytairef
  • -Très fréquents Hyperglycémie (47%)d,e, hypoglycémie (14%)a, d, e, hypothyroïdie (19%)
  • -Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalea, hypophysite, diabète sucréa, hypopituitarisme
  • -Occasionnels Insuffisance surrénale secondaire, thyroïdite, acidocétose diabétiquea, dysfonction thyroïdienne auto-immune
  • -Rares Hypoparathyroïdie
  • +Très fréquents Hyperglycémie (47%)e,g, hypoglycémie (14%)e,g, hypothyroïdie (19%) Hypothyroïdie (18%)
  • +Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénale, hypophysite, diabète sucré, hypopituitarisme Insuffisance surrénale, hypopituitarisme, hypophysite, hyperthyroïdie, thyroïdite, hyperglycémiee, diabète sucréa
  • +Occasionnels Insuffisance surrénale secondaire, thyroïdite, acidocétose diabétique, dysfonction thyroïdienne auto-immune acidocétose diabétiqueb
  • +Rares Hypoparathyroïdie
  • -Très fréquents Hyponatrémied (38 %), hyperkaliémie (27 %)d, hypocalcémie (26%)d, diminution de l'appétit (21%), hypokaliémie (13%)d, hypercalcémie (13%)d
  • -Fréquents Hypernatrémied, perte de poids, hypermagnésémied, hypophosphatémie, déshydratation
  • -Occasionnels Acidose métabolique
  • +Très fréquents Hyponatrémiee (38 %), hyperkaliémie (27 %)e, hypocalcémie (26%)e, diminution de l'appétit (21%), hypokaliémie (13%)e, hypercalcémie (13%)e Hyponatrémiee (43,8 %), hypocalcémie (32,8%)e, diminution de l'appétit (26%), hypokaliémie (20%)e, hypercalcémie (17,3%)e, perte de poids (12%)
  • +Fréquents Hypernatrémiee , perte de poids, hypermagnésémiee, hypophosphatémie, déshydratation Déshydratation, hypermagnésémiee, hypernatrémiee, hyperkaliémiee
  • +Occasionnels Acidose métabolique
  • -Très fréquents Céphalées (13%)
  • -Fréquents Vertiges, neuropathie périphérique, paresthésie
  • -Occasionnels Encéphaliteg, polyneuropathie, parésie faciale, myasthénie gravea
  • +Très fréquents Céphalées (13%) Céphalées (26%), vertiges (13%)
  • +Fréquents Vertiges, neuropathie périphérique, paresthésie Neuropathie périphérique
  • +Occasionnels Encéphalitea, polyneuropathie, parésie faciale, myasthénie grave Syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie, névrite, neuropathie péronière, neuropathie auto-immune (y compris parésie des nerfs faciaux et abducens), encéphalite
  • +Inconnus Myélite transversef Myélite transversef
  • -Fréquents Conjonctivite, vision trouble
  • -Occasionnels Uvéite
  • -Rares Décollement séreux de la rétinef
  • +Fréquents Conjonctivite, vision trouble Uvéite, vision trouble
  • +Occasionnels Uvéite
  • +Rares Décollement séreux de la rétinef Syndrome de Vogt-Koyanagi-Haradaf
  • -Fréquents Tachycardie
  • -Occasionnels Arythmie (incluant arythmie ventriculaire), myocarditea
  • -Inconnus Péricarditef
  • +Fréquents Tachycardie Tachycardie
  • +Occasionnels Arythmie (incluant arythmie ventriculaire), myocardite Arythmie (incluant arythmie ventriculaire)a, myocarditea,b, fibrillation auriculaire
  • +Inconnus Péricarditef Péricarditef
  • -Fréquents Hypertension
  • +Fréquents Hypertension Hypertension
  • -Très fréquents Toux (23%), dyspnée (20%)
  • -Fréquents Pneumonieg, épanchement pleuralg
  • +Très fréquents Toux (23%), dyspnée (20%) Toux (28%), dyspnée (23%)
  • +Fréquents Pneumoniea, épanchement pleurala Pneumoniea, épanchement pleural
  • -Très fréquents Élévation de la lipase (41%)d, élévation de l'amylase (24%)d, diarrhée (34%)h, nausées (26%), constipation (18%), vomissements (17%), douleurs abdominales (17%)
  • -Fréquents Stomatite, colite, dyspepsie, sécheresse buccale, hémorragie gastro-intestinale, gastrite, pancréatite
  • +Très fréquents Élévation de la lipase (41%)e, élévation de l'amylase (24%)e, diarrhée (34%)h, nausées (26%), constipation (18%), vomissements (17%), douleurs abdominales (17%) Diarrhée (52%), nausées (42%), élévation des lipases (40,9%)e, vomissements (29%), élévation de l'amylase (26%)e, douleurs abdominales (25%), constipation (21%), colite (15%)a
  • +Fréquents Stomatite, colite, dyspepsie, sécheresse buccale, hémorragie gastro-intestinale, gastrite, pancréatite Stomatite, pancréatite, sécheresse buccale, gastrite
  • +Occasionnels Perforation intestinalea, duodénite
  • -Très fréquents Élévation des ASAT (39%)d, élévation des ALAT (38%)d, élévation de la phosphatase alcaline (30%)d, élévation de la bilirubine totale (12%)d
  • -Fréquents Hépatitea
  • +Très fréquents Élévation des ASAT (39%)e , élévation des ALAT (38%)e , élévation de la phosphatase alcaline (30%)e , élévation de la bilirubine totale (12%) Élévation des ALAT (52,9%)e, élévation des ASAT (49,3%)e, élévation de la phosphatase alcaline (38,8%)e, élévation de la bilirubine totale (12,8%)e
  • +Fréquents Hépatite Hépatite
  • -Très fréquents Rash (36%)b, prurit (26%)
  • -Fréquents Sécheresse cutanée, érythème, alopécie
  • -Occasionnels Psoriasis, érythème multiforme, lichen scléreux
  • -Rares Vitiligo
  • +Très fréquents Rash (36%)c, prurit (26%) Rash (57%)c, prurit (40%)
  • +Fréquents Sécheresse cutanée, érythème, alopécie Vitiligo, sécheresse cutanée, érythème, alopécie, urticaire
  • +Occasionnels Psoriasis, érythème multiforme, lichen scléreux
  • +Rares Vitiligo Nécrolyse épidermique toxiquea,b, syndrome de Stevens-Johnsona,b
  • -Très fréquents Douleurs de l'appareil locomoteur (34%)c, arthralgie (19%)
  • -Fréquents Arthrite, faiblesse musculaire
  • -Occasionnels Myosite, raideur articulaire
  • -Rares Rhabdomyolyse, myosite nécrosante
  • +Très fréquents Douleurs de l'appareil locomoteur (34%)d, arthralgie (19%) Douleurs de l'appareil locomoteur (29%)d, arthralgie (23%)
  • +Fréquents Arthrite, faiblesse musculaire Arthrite
  • +Occasionnels Myosite, raideur articulaire Spondylarthropathie, syndrome de Sjögren, myopathie, myosite (incluant polymyosite)a,b, rhabdomyolysea,b
  • +Rares Rhabdomyolyse, myosite nécrosante
  • -Très fréquents Élévation de la créatinine (29%)d
  • -Fréquents Insuffisance rénale (y compris lésion rénale aiguë)b
  • -Occasionnels Néphrite tubulaire interstitielle
  • -Rares Cystite non infectieuse
  • +Très fréquents Élévation de la créatinine (29%)e Élévation de la créatinine (25,2%)e
  • +Fréquents Insuffisance rénale (y compris lésion rénale aiguë) Insuffisance rénale (y compris lésion rénale aiguë)a
  • +Occasionnels Néphrite tubulaire interstitielle Néphrite tubulaire interstitielle
  • +Rares Cystite non infectieuse
  • -Très fréquents Fatigue (46%), pyrexie (24%), œdème (14%)
  • -Fréquents Douleurs thoraciques, syndrome pseudo-grippal, douleurs, frissons
  • -Occasionnels Œdème facial
  • +Très fréquents Fatigue (46%), pyrexie (24%), œdème (14%) Fatigue (62%), pyrexie (36%)
  • +Fréquents Douleurs thoraciques, syndrome pseudo-grippal, douleurs, frissons Œdèmes (incluant œdème périphérique), douleurs, douleurs thoraciques
  • +Occasionnels Œdème facial
  • -* CCR et CRC: YERVOY en association avec le nivolumab pour les 4 premières doses, suivi par une monothérapie au nivolumab.
  • +* Mélanome, CCR et CRC: YERVOY en association avec le nivolumab pour les 4 premières doses, suivi par une monothérapie au nivolumab.
  • -a Des cas impliquant la mise en danger du pronostic vital ont été rapportés dans les essais cliniques achevés ou encore en cours.
  • -b «Rash» est un terme composite incluant rash macropapulaire, rash érythémateux, rash prurigineux, rash folliculaire, rash maculaire, rash morbiliforme, rash papulaire, rash pustuleux, rash papulosquameux, rash vésiculaire, rash général, rash exfoliatif, dermatite, dermatite acnéiforme, dermatite allergique, dermatite atopique, dermatite bulleuse, dermatite exfoliative, dermatite de contact, dermatite psoriasiforme, exanthème médicamenteux, acné, eczéma dishidrotique, eczéma, éruption fixe, érythrodyesthésie palmo-plantaire, exfoliation cutanée, réaction cutanée, toxicité cutanée, éruption cutanée toxique, syndrome de Steven-Johnson et urticaire.
  • -c Douleurs de l'appareil locomoteur est un terme composite qui inclut douleur dorsale, douleur osseuse, douleur musculo-squelettique à la poitrine, troubles musculo-squelettiques, myalgie, douleur à la nuque, douleur aux extrémités, douleur à la colonne vertébrale douleurs au flanc, raideur musculosquelettique, crampes musculaires, contractions musculaires, douleurs thoraciques d'origine non cardiaque et pseudopolyarthrite rhizomélique.
  • -d Les fréquences sont basées sur le nombre de patients avec un changement dans les valeurs biologiques de tous grades par rapport à la valeur initiale, indépendamment de la causalité et en se basant sur le nombre de patients pour lesquels des changements dans les valeurs biologiques ont été rapportés.
  • -e Les fréquences de l'hyperglycémie et de l'hypoglycémie sont fondées sur les études CA209-214, CA209-743 et CA209-648.
  • -f rapporté post-commercialisation.
  • -g Des cas mortels ont été signalés dans des études cliniques terminées ou celles en cours.
  • -h La diarrhée est un terme composite qui incluant colite, colite microscopique, colite auto-immune, colite ulcéreuse, entérite, entérite infectieuse et entérocolite.
  • -Description de certains effets indésirables - YERVOY en monothérapie
  • +a Des cas d'évolution fatale ont été rapportés dans des études cliniques déjà achevées ou en cours.
  • +b Également rapportés dans des études ne faisant pas partie de l'ensemble de données regroupées. La fréquence est basée sur l'exposition à l'échelle du programme.
  • +c Rash est un terme générique pour éruption maculopapuleuse, éruption érythémateuse, éruption prurigineuse, éruption folliculaire, éruption maculaire, éruption morbiliforme, éruption papuleuse, éruption pustuleuse, éruption papulosquameuse, éruption vésiculeuse, éruption généralisée, éruption exfoliative, dermatite, dermatite acnéiforme, dermatite allergique, dermatite atopique, dermatite bulleuse, dermatite exfoliative, dermatite de contact, dermatite psoriasiforme, exanthème médicamenteux, acné, eczéma dyshidrotique, eczéma, éruption fixée, syndrome d'érythrodysaéthésie palmo-plantaire, exfoliation cutanée, réaction cutanée, toxicité cutanée, éruption cutanée toxique, syndrome de Steven-Johnson et urticaire.
  • +d Douleurs musculo-squelettiques est un terme générique désignant les douleurs dorsales, les douleurs osseuses, les douleurs musculo-squelettiques thoraciques, les troubles musculo-squelettiques, les myalgies, les douleurs cervicales, les douleurs aux extrémités, les douleurs de la colonne vertébrale, les douleurs des flancs, les raideurs musculo-squelettiques, les crampes musculaires, les contractions musculaires, les douleurs thoraciques non cardiaques et la polymyalgie rhumatismale.
  • +e Les fréquences sont basées sur le nombre de patients présentant une modification des valeurs de laboratoire de tous les degrés par rapport aux valeurs initiales, indépendamment de la causalité et sur la base du nombre de patients pour lesquels des modifications des valeurs de laboratoire ont été signalées.
  • +f rapporté post-commercialisation
  • +g Fréquence de l'hyperglycémie et de l'hypoglycémie sur la base des études CA209-214, CA209-743 et CA209-648.
  • +h La diarrhée est un terme générique qui englobe la colite, la colite microscopique, la colite auto-immune, la colite ulcéreuse, l'entérite, l'entérite infectieuse, l'entérocolite.
  • +Description de certains effets indésirables
  • -Effets indésirables gastrointestinaux d'origine immunologique
  • -YERVOY est associé à des effets immunologiques gastro-intestinaux graves, incluant des cas de perforation gastro-intestinale fatale rapportés chez <1% des patients qui ont reçu YERVOY 3 mg/kg en association au gp100.
  • -Dans le groupe YERVOY 3 mg/kg en monothérapie, des diarrhées et colites, quelle que soit leur gravité, ont été rapportées chez respectivement 27% et 8% des patients. La fréquence des diarrhées sévères (Grade 3 ou 4) et des colites sévères (Grade 3 ou 4) était chacune de 5%. Le délai médian d'apparition des effets gastro-intestinaux sévères ou fatals d'origine immunologique (Grade 3 à 5) était de 8 semaines (5 à 13 semaines) après le début du traitement. En suivant les instructions de prise en charge spécifiées dans le protocole, une résolution (définie par une amélioration vers un Grade 1 ou inférieur ou vers un retour à l'état initial) est survenue dans la plupart des cas (90%), avec un délai médian de 4 semaines (de 0,6 à 22 semaines) après le début du traitement. Au cours des essais cliniques, les colites d'origine immunologique étaient associées à des signes d'inflammation de la muqueuse, avec ou sans ulcérations, et une infiltration des lymphocytes et des neutrophiles.
  • +Pneumonie d'origine immunologique
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Incidence % (#) tous les grades 0 8,0% (36) 8% (103)
  • + 1-2 0 6,5% (29) 5,66% (73)
  • + 3-4 0 1,5% (7)* 2,2% (28)
  • + 5 0 0 0,2% (2)
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) 0 11,57 2,9-54,9 11,9 1,1 - 90,3
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades 0 2% (9) 3% (38)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) 0 22 49
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) 0 1,17 0,4-5,0 1,06 0,5-24,6
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) 0 4,21 0,7-106,6 2,1 0,1-14,0
  • +Régression complète des symptômes % (#) 0 91,7% (33) 75,7% (78)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) 0 6,14 0,3-35,1 6,1 0,1+-149,3+
  • +* 1 La pneumonie de grade 3 s'est aggravée pendant 11 jours et a été fatale. + représente une observation censurée
  • +
  • +Effets indésirables gastro-intestinaux d'origine immunologique
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Incidence % (#) tous les grades 28,2% (37) 55,4% (248) 34,2% (440)
  • + 1-2 20,6% (27) 37,7% (169) 29,11% (375)
  • + 3-4 7,6% (10) 17,6% (79) 5,0% (65)
  • + 5 0 0 0
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) 8,64* 7,0 - 10,9 4,79 0,1-121,7 8,9 0,1-96,0
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades N.A. 16,3% (73) 3,4% (44)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) N.A 98 75
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) N.A 1,11 0,3-12,5 0,97 0,3-15,6
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) N.A 4,29 0,1-130,1 2,43 0,1-99,6
  • +Régression complète des symptômes % (#) 88,9% (16)§ 90,3% (223) 92,2% (400)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) 4,14§ 2,0 - 5,4 3,0 0,1-159,4+ 2,1 0,1 - 113,0+
  • +* Grade 2-5 § Grade 2-4 + représente une observation censurée
  • +
  • -YERVOY est associé à de graves hépatotoxicités d'origine immunologique, incluant des cas d'insuffisance hépatique fatale rapportés chez <1% des patients qui ont reçu YERVOY 3 mg/kg en monothérapie. Des élévations des ASAT et ALAT, quelle que soit leur gravité, ont été rapportées chez respectivement 1% et 2% des patients. Il n'y a pas eu de cas sévères (Grade 3 ou 4) d'élévation d'ASAT ou ALAT. Le délai d'apparition d'hépatotoxicité modérée à sévère ou fatale (grade 2 à 5) d'origine immunologique était de 3 à 9 semaines après le début du traitement. En suivant les instructions de prise en charge spécifiées dans le protocole, le délai de résolution était de 0,7 à 2 semaines. Au cours des essais cliniques, les biopsies hépatiques de patients ayant présenté une hépatotoxicité d'origine immunologique ont montré des signes d'inflammation aiguë (neutrophiles, lymphocytes et macrophages).
  • -Chez les patients ayant reçu YERVOY à des doses plus élevées que la posologie recommandée, en association avec de la dacarbazine, les hépatotoxicités d'origine immunologique ont été plus fréquentes que chez les patients ayant reçu YERVOY 3 mg/kg en monothérapie.
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Incidence % (#) tous les grades 3,1% (4) 35,5% (159) 21,2% (273)
  • + 1-2 2,3% (3) 16,1% (72) 13,04% (168)
  • + 3-4 0 19,4% (74) 8,2% (105)
  • + 5 0,8% (1) 0 0
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) N.A.^ 3,43 -9,03* 6,14 0,1 - 99,7 7,1 0,1 - 116,7
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades N.A. 9,2% (41) 4,1% (53)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) N.A. 61 72
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) N.A. 1,21 0,4-5,2 1,19 0,4-24,8
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) N.A. 4,0 0,1-138,1 4,0 0,1-61,0
  • +Régression complète des symptômes % (#) 100% (2) § 91,2% (145) 79,9% (218)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) N.A.^ § 0,71 - 2,14§ 4,29 0,1-106,9 5,3 0,1+ - 82,9+
  • +^ Les médianes n'ont pas été calculées, car il y avait trop peu d'événements. * Grade 2-5 § Grade 2-4 + représente une observation censurée
  • +
  • +Néphrite et insuffisance rénale d'origine immunologique
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Incidence % (#) tous les grades 0 10,0% (45) 12,5% (161)
  • + 1-2 0 7,14% (32) 10,5% (135)
  • + 3-4 0 2,9% (13) 2,0% (26)
  • + 5 0 0 0
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) 0 9,29 0,9-95,0 11,7 0,1 - 102,9
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades 0 1,1% (5) 1,2% (16)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) 0 5 26
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) 0 1,52 0,4-6,6 0,94 0,3-2,5
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) 0 1,57 0,1-6,9 2,5 0,6-25,7
  • +Régression complète des symptômes % (#) 0 84,4% (38) 74,2% (118)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) 0 2,14 0,1-126,7+ 6,3 0,1-172,1+
  • ++ représente une observation censurée
  • +
  • +Endocrinopathies d'origine immunologique
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Troubles de la fonction thyroïdienne Incidence % (#) tous les grades 3% (4) 29,5% (132) 24,4% (314)
  • + 1-2 3% (4) 27,9% (125) 23,3% (300)
  • + 3-4 0 1,6% (7) 1,1% (14)
  • + 5 0 0 0
  • +Hypophysite Incidence % (#) tous les grades 1,5% (2) 8,7% (39) 3,2% (41)
  • + 1-2 0 6,7% (30) 1,5% (19)
  • + 3-4 1,5% (2) 2,0% (9) 1,7% (22)
  • + 5 0 0 0
  • +Hypopituitarisme Incidence % (#) tous les grades 2,3% (3) 1,3% (6) 1,7% (22)
  • + 1-2 0,8% (1) 0,6% (3) 1,1% (14)
  • + 3-4 1,5% (2) 0,7% (3) 0,6% (8)
  • + 5 0 0 0
  • +Insuffisance surrénale Incidence % (#) tous les grades 1,5% (2) 4,2% (19) 4,5% (58)
  • + 1-2 1,5% (2) 2,7% (12) 2,95% (38)
  • + 3-4 0 1,5% (7) 1,6% (20)
  • + 5 0 0 0
  • +Diabète sucré Incidence % (#) tous les grades 0 1,3% (6) 1,9% (25)
  • + 1-2 0 0,2% (1) 1,16% (15)
  • + 3-4 0 1,1% (5) 0,8% (10)
  • + 5 0 0 0
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) N.A.^ 7,14 - 19,3* 8,0 0,1-118,0 9,0 0,1-97,1
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades N.A. 2,9% (13) 2,2% (28)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) N.A. 39 69
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) N.A. 1,0 0,4-9,3 0,99 0,4-12,9
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) N.A. 2,86 0,1-14,0 2,1 0,1-24,3
  • +Régression complète des symptômes % (#) 37,5 (8)§ 43,8% (70) 35,9% (137)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) N.A.^ 2,0 - 9,14§** N.A. 0,4 to 155,4+ N.A. 0,3 to 185,5+
  • +^ Les médianes n'ont pas été calculées, car il y avait trop peu d'événements. * Grade 2-5 § Grade 2-4 + représente une observation censurée
  • +
  • -YERVOY est associé à de graves effets indésirables cutanés pouvant être d'origine immunologique, incluant des cas de nécrolyse épidermique toxique fatale rapportés chez <1% des patients qui ont reçu YERVOY en association au gp100 (voir «Propriétés/Effets»).
  • -Dans le groupe YERVOY 3 mg/kg en monothérapie, les rashs et prurits, quelle que soit leur gravité, ont été chacun rapportés chez 27% des patients. Les rashs et prurits induits par YERVOY étaient d'une manière prédominante légers ou modérés (Grade 1 ou 2) et répondaient à un traitement symptomatique. Le délai médian d'apparition d'un effet indésirable cutané modéré à sévère ou fatal (Grade 2 à 5) était de 3 semaines (0,9 à 16 semaines) après le début du traitement. En suivant les instructions de prise en charge spécifiées dans le protocole, une résolution est survenue dans la plupart des cas (87%), avec un délai médian de 5 semaines (de 0,6 à 29 semaines) après le début du traitement.
  • -Une réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) a rarement été rapportée sous traitement par YERVOY, après l'introduction du produit sur le marché.
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Incidence % (#) tous les grades 42% (55) 70,1% (314) 49,5% (638)
  • + 1-2 41,2% (54) 62,05% (278) 45,42% (582)
  • + 3-4 0,8% (1) 8,0% (36) 4,1% (53)
  • + 5 0 0 0
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) 3,14* 1,86 - 6,14 2,0 0,1-131,6 4,6 0,1 - 103,7
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades N.A 0,9% (4) 1,0% (13)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) N.A 23 44
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) N.A 0,87 0,3-2,6 0,92 0,3-168
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) N.A 1,57 0,3-17,0 2,1 0,1-100,3
  • +Régression complète des symptômes % (#) 87,5% (21)§ 65,9% (207) 69,5% (443)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) 5,21§ 2,57-7,86 11,4 0,1-150,1+ 12,0 0,1-176,9+
  • +* Grade 2-5 § Grade 2-4 + représente une observation censurée
  • +
  • +Réactions à la perfusion d'origine immunologique
  • + Thérapie Ipi 3 mg/kg Nivo 1 mg/kg + Ipi 3 mg/kg Nivo 3 mg/kg + Ipi 1 mg/kg
  • + # 131 448 1288
  • +Incidence % (#) tous les grades 0 4,2% (19) 6,4% (82)
  • + 1-2 0 4,24% (19) 6,0% (77)
  • + 3-4 0 0 0,4% (5)
  • + 5 0 0 0
  • +Délai médian d'apparition (semaines) plage (semaines) 0 3,14 0,1-66,0 3,1 0,1 – 98,1
  • +Interruption permanente % (#) tous les grades 0 0 0,4% (5)
  • +Corticostéroïdes à haute dose (au moins 40 mg d'équivalents de prednisone) (#) 0 1 13
  • +Dose initiale médiane (mg/kg) plage (mg/kg) 0 0,3 0,3-0,3 1,4 0,5-16,5
  • +Durée totale médiane (semaines) plage (semaines) 0 0,14 0,1-0,1 0,1 0,1-0,3
  • +Régression complète des symptômes % (#) 0 78,9% (15) 92,7% (76)
  • +Régression des symptômes (semaines) plage (semaines) 0 0,29 0,1-131,1+ 0,1 0,1-111,7+
  • ++ représente une observation censurée
  • +
  • +Encéphalite d'origine immunologique
  • +Un cas d'encéphalite (grade 4) est survenu chez un patient atteint de mélanome (0,2%) traité par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg après 51 jours d'exposition. L'événement a été résolu après l'administration de corticostéroïdes à forte dose.Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence d'encéphalite (y compris l'encéphalite limbique) de tous grades était de 0,6% (8/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,5% (6/1288) des patients. Deux patients (2/1027) atteints du MPM sont décédés d'une encéphalite (grade 5).
  • -YERVOY est associé à des effets indésirables neurologiques graves d'origine immunologique. Des cas fatals de syndrome de Guillain-Barré ont été rapportés chez <1% des patients qui ont reçu YERVOY 3 mg/kg en association au gp100. Des symptômes de type myasthénie ont été rapportés chez <1% des patients qui ont reçu des doses de YERVOY plus élevées au cours des essais cliniques.
  • -Endocrinopathies d'origine immunologique
  • -Dans le groupe YERVOY 3 mg/kg en monothérapie, un hypopituitarisme, quelle que soit sa gravité, a été rapporté chez 4% des patients. Une insuffisance surrénale, une hyperthyroïdie et une hypothyroïdie, quelle que soit leur gravité, ont été rapportées chacune chez 2% des patients. Un hypopituitarisme sévère (Grade 3 ou 4) a été rapporté chez 3%. Il n'y a pas eu de cas sévère ou très sévère (Grade 3 ou 4) d'insuffisance surrénale, d'hyperthyroïdie ou d'hypothyroïdie. Le délai d'apparition d'une endocrinopathie d'origine immunologique modérée à très sévère (Grade 2 à 4) était de 7 à près de 20 semaines après le début du traitement. Les endocrinopathies d'origine immunologique observées au cours des essais cliniques étaient généralement contrôlées par un traitement hormonal substitutif.
  • -
  • +YERVOY en monothérapie et en association avec le nivolumab est associé à des effets indésirables neurologiques graves d'origine immunologique. Des cas fatals de syndrome de Guillain-Barré ont été rapportés chez <1% des patients qui ont reçu YERVOY 3 mg/kg en association au gp100. Des symptômes de type myasthénie ont été rapportés chez <1% des patients qui ont reçu des doses de YERVOY plus élevées au cours des essais cliniques.
  • -Âge ≥12 à 21 ans Âge de 12 à <18 ans Adultes
  • -Mélanome avancé et tumeurs solides autres que mélanome Mélanome avancé Mélanome avancé
  • -CA184070 CA184178 CA184004/ 022 groupées CA184004/007 /008/022 groupées
  • -3 mg/kg n = 1 5 mg/kg n = 8 10 mg/kg n = 9 3 mg/kg n = 4 10 mg/kg n = 8 3 mg/kg n = 111 10 mg/kg n = 325
  • + Âge ≥12 à 21 ans Âge de 12 à <18 ans Adultes
  • + Mélanome avancé et tumeurs solides autres que mélanome Mélanome avancé Mélanome avancé
  • + CA184070 CA184178 CA184004/ 022 groupées CA184004/007 /008/022 groupées
  • + 3 mg/kg n = 1 5 mg/kg n = 8 10 mg/kg n = 9 3 mg/kg n = 4 10 mg/kg n = 8 3 mg/kg n = 111 10 mg/kg n = 325
  • -Description de certains effets indésirables - YERVOY en association avec le nivolumab
  • -Colite d'origine immunologique
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence de diarrhées ou de colites de tous grades a été de 34,2% (444/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 5,0% (65/1288) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian de survenue était de 8,9 semaines (entre 0,1-96,0). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 44 patients (3,4%). Soixante-quinze patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,97 mg/kg (entre 0,3-15,6) pendant une durée totale médiane de 2,4 semaines (entre 0,1-99,6). Les symptômes ont entièrement disparu chez 400 patients (92,2%) dans un délai médian de 2,1 semaines (entre 0,1-113,0+).
  • -Pneumonie d'origine immunologique
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence de pneumonie de tous grades, y compris pneumopathie interstitielle, a été de 8,0% (103/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 2,2% (28/1288) des patients. Deux cas de grade 5 ont été rapportés dans cette étude. Le délai médian de survenue était de 11,9 semaines (entre 1,1-90,3). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 38 patients (3%). Quarante-neuf patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,06 mg/kg (entre 0,5-24,6) pendant une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,1-14,0). Les symptômes ont entièrement disparu chez 78 patients (75,7%) dans un délai médian de 6,1 semaines (entre 0,4+-149,3+).
  • -Hépatotoxicités d'origine immunologique
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence de modifications des valeurs hépatiques de tous grades a été de 21,2% (273/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 8,2% (105/1288) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté.
  • -Le délai médian de survenue était de 7,1 semaines (entre 0,1-116,7). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 53 patients (4,1%). Soixante-douze patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,19 mg/kg (entre 0,4-24,8) pendant une durée totale médiane de 4,0 semaines (entre 0,1-61,0). Les symptômes ont entièrement disparu chez 218 patients (79,9%) dans un délai médian de 5,3 semaines (entre 0,1- 82,9+).
  • -Effets indésirables cutanés d'origine immunologique
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence de rash de tous grades a été de 49,5% (638/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 4,1% (53/966) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté.
  • -Le délai médian de survenue était de 4,6 semaines (entre: 0,1-103,7). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 13 patients (1,0%). Quarante-quatre patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,92 mg/kg (entre 0,3- 168,0) pendant une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,1- 100,3). Les symptômes ont entièrement disparu chez 443 patients (69,5%) dans un délai médian de 12,0 semaines (entre 0,1-176,9+).
  • -Encéphalite d'origine immunologique
  • -Un cas d'encéphalite (grade 4) est survenu chez un patient atteint de mélanome (0,2%) traité par nivolumab 1 mg/kg en association avec l'ipilimumab 3 mg/kg après 51 jours d'exposition. L'événement a été résolu après l'administration de corticostéroïdes à forte dose.
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence d'encéphalite (y compris l'encéphalite limbique) de tous grades a été de 0,5% (5/966). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,6% (6/1288) des patients. Deux patients (2/1027) atteints du MPM sont décédés d'une encéphalite (grade 5).
  • -Néphrite et insuffisance rénale d'origine immunologique
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence de néphrite ou de troubles de la fonction rénale de tous grades a été de 12,5% (161/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 2,0% (26/1288) des patients. Aucun cas de néphrite ni de trouble de la fonction rénale de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian de survenue était de 11,7 semaines (entre 0,1- 102,9). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 16 patients (1,2%).
  • -Vingt-six patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 0,94 mg/kg (entre: 0,3-2,5) pour une durée totale médiane de 2,5 semaines (entre: 0,6- 25,7). Les symptômes ont entièrement disparu chez 118 patients (74,2%) dans un délai médian de 6,3 semaines (entre 0,1-172,1+).
  • -Endocrinopathies d'origine immunologique
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par nivolumab 3 mg/kg en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg, l'incidence de troubles thyroïdiens de tous grades a été de 24,4% (314/1288). Des cas de troubles thyroïdiens de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,1% (14/1288) des patients. Des troubles hypophysaires de tous grades sont survenus chez 5,1% (66/1288) des patients. Des cas d'hypophysite de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,7% (22/1288) des patients et des cas d'hypopituitarisme de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,6% (8/1288) des patients. Des cas d'insuffisance surrénale de tous grades sont survenus chez 5,0% (65/1288) des patients. Des cas d'insuffisance surrénale de grade 3-4 ont été rapportés chez 1,6% (20/1288) des patients et des cas d'insuffisance surrénale secondaire de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,3% (4/1288) des patients, respectivement. Des cas de diabète sucré, y compris des diabètes sucrés de type 1 et des acidocétoses diabétiques, de tous grades ont été rapportés chez 1,9% (25/1288) des patients. Aucune endocrinopathie de grade 5 n'a été rapportée.
  • -Le délai médian jusqu'à l'apparition de ces endocrinopathies était de 9,0 semaines (entre 0,1 et 97,1). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté chez 28 patients (2,2%). 69 patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale de 0,99 mg/kg (entre 0,4 et 12,9) pendant une durée totale médiane de 2,1 semaines (entre 0,1 et 24,3). Les symptômes ont complètement disparu chez 137 patients (35,9%) en 0,3-185,1+ semaines.
  • -Réactions à la perfusion
  • -Chez les patients atteints du CCR, du CRC, du MPM et du CEO traités par YERVOY 1 mg/kg en association avec le nivolumab 3 mg/kg, l'incidence d'hypersensibilité/de réactions à la perfusion de tous grades a été de 6,4% (82/1288). Des cas de grade 3-4 ont été rapportés chez 0,4% (5/1288) des patients. Aucun cas de grade 5 n'a été rapporté. Le délai médian de survenue était de 3,1 semaines (entre: 0,1-98,1). Le nivolumab en association avec l'ipilimumab a dû être arrêté définitivement chez 5 patients (0,4%). Treize patients ont reçu des doses élevées de corticostéroïdes (au moins 40 mg de prednisone ou équivalent) avec une dose initiale médiane de 1,4 mg/kg (entre 0,5-16,5) pendant une durée totale médiane de 0,1 semaine (entre 0,1-0,3). Les symptômes ont entièrement disparu chez 76 patients (92,7%) dans un délai médian de 0,1 semaine (entre 0,1-111,7+).
  • -CTLA-4 joue un rôle décisif dans la régulation de l'activité de la cellule T. L'ipilimumab est un inhibiteur de point de contrôle immunitaire ciblant CTLA-4, qui bloque les signaux inhibiteurs induits par la voie de signaux CTLA-4 sur la cellule T. Cela augmente le nombre de cellules T effectrices réagissant à la tumeur, qui peuvent alors attaquer directement la tumeur. Un blocage de CTLA-4 peut également entraîner une réduction de la fonction de régulation des cellules T. Cela peut également produire une augmentation de la réponse immunitaire anti-tumorale. L'ipilimumab peut stimuler le comportement des cellules T effectrices intratumorales/cellules T régulatrices grâce à la réduction sélective des cellules T régulatrices dans la région de la tumeur, ce qui favorise la mort des cellules tumorales.
  • +CTLA-4 joue un rôle décisif dans la régulation de l'activité de la cellule T. L'ipilimumab est un inhibiteur de point de contrôle immunitaire ciblant CTLA-4, qui bloque les signaux inhibiteurs induits par la voie de signaux CTLA-4 sur la cellule T. Cela augmente le nombre de cellules T effectrices réagissant à la tumeur, qui peuvent alors attaquer directement la tumeur. Un blocage de CTLA-4 peut également entraîner une réduction de la fonction de régulation des cellules T. Cela peut également produire une augmentation de la réponse immunitaire antitumorale. L'ipilimumab peut stimuler le comportement des cellules T effectrices intratumorales/cellules T régulatrices grâce à la réduction sélective des cellules T régulatrices dans la région de la tumeur, ce qui favorise la mort des cellules tumorales.
  • -Le bénéfice en termes de survie globale de YERVOY à la dose recommandée de 3 mg/kg chez les patients souffrant de mélanome (non résécable ou métastatique) avancé, ayant reçu un traitement antérieur, a été prouvé dans une étude de Phase 3 (MDX010-20). Les patients souffrant de maladies auto-immunes actives, comme la maladie de Crohn ou de Colitis ulcerosa n'ont été évalués dans aucune étude clinique. Les patients atteints d'un mélanome oculaire, d'un mélanome primaire du SNC, de métastases cérébrales actives, du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), de l'hépatite B et de l'hépatite C n'ont pas été inclus dans l'étude clinique pivotale. Les patients présentant un statut de performance ECOG >1 et un mélanome muqueux ont été exclus des essais cliniques. Ont également été exclus les patients sans métastases hépatiques présentant un taux initial d'ASAT >2.5x LSN, les patients avec métastases hépatiques présentant un taux initial d'ASAT >5x LSN et les patients présentant un taux initial de bilirubine totale ≥3x LSN.
  • +Le bénéfice en termes de survie globale de YERVOY à la dose recommandée de 3 mg/kg chez les patients souffrant de mélanome (non résécable ou métastatique) avancé, ayant reçu un traitement antérieur, a été prouvé dans une étude de Phase 3 (MDX010-20). Les patients souffrant de maladies auto-immunes actives, comme la maladie de Crohn ou de Colite ulcéreuse n'ont été évalués dans aucune étude clinique. Les patients atteints d'un mélanome oculaire, d'un mélanome primaire du SNC, de métastases cérébrales actives, du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), de l'hépatite B et de l'hépatite C n'ont pas été inclus dans l'étude clinique pivotale. Les patients présentant un statut de performance ECOG >1 et un mélanome muqueux ont été exclus des essais cliniques. Ont également été exclus les patients sans métastases hépatiques présentant un taux initial d'ASAT >2,5x LSN, les patients avec métastases hépatiques présentant un taux initial d'ASAT >5x LSN et les patients présentant un taux initial de bilirubine totale ≥3x LSN.
  • -Étude randomisée de phase 3 comparant le traitement par l'association nivolumab/ipilimumab ou le nivolumab en monothérapie vs. l'ipilimumab (CA209067)
  • -Une étude randomisée de phase 3 (CA209067) a été menée en double aveugle pour évaluer la tolérance et l'efficacité du traitement du mélanome avancé (non résécable ou métastatique) par l'association nivolumab 1 mg/kg et ipilimumab 3 mg/kg ou par nivolumab 3 mg/kg en monothérapie vs. ipilimumab 3 mg/kg en monothérapie. L'étude incluait des patients adultes (âgés de 18 ans ou plus) souffrant d'un mélanome de stade III ou IV avéré, non résécable, indépendamment de l'expression de PD-L1. Les patients devaient présenter un indice de performance ECOG de 0 ou 1. Des patients qui n'avaient reçu aucun traitement anticancéreux systémique antérieur contre leur mélanome non résécable ou métastatique ont été inclus dans l'étude. Un traitement adjuvant ou néoadjuvant antérieur était permis dans la mesure où il était terminé depuis au moins 6 semaines au moment de la randomisation. Les patients souffrant d'une maladie autoimmune active, d'un mélanome oculaire ou uvéal, de métastases cérébrales actives, de métastases leptoméningées, d'une forme aiguë ou chronique de l'hépatite B ou C ou d'une infection connue au VIH ou du SIDA étaient exclus de l'étude.
  • +Étude randomisée de phase 3 comparant le traitement par l'association nivolumab/ipilimumab ou le nivolumab en monothérapie vs l'ipilimumab (CA209067)
  • +Une étude randomisée de phase 3 (CA209067) a été menée en double aveugle pour évaluer la tolérance et l'efficacité du traitement du mélanome avancé (non résécable ou métastatique) par l'association nivolumab 1 mg/kg et ipilimumab 3 mg/kg ou par nivolumab 3 mg/kg en monothérapie vs ipilimumab 3 mg/kg en monothérapie. L'étude incluait des patients adultes (âgés de 18 ans ou plus) souffrant d'un mélanome de stade III ou IV avéré, non résécable, indépendamment de l'expression de PD-L1. Les patients devaient présenter un indice de performance ECOG de 0 ou 1. Des patients qui n'avaient reçu aucun traitement anticancéreux systémique antérieur contre leur mélanome non résécable ou métastatique ont été inclus dans l'étude. Un traitement adjuvant ou néoadjuvant antérieur était permis dans la mesure où il était terminé depuis au moins 6 semaines au moment de la randomisation. Les patients souffrant d'une maladie autoimmune active, d'un mélanome oculaire ou uvéal, de métastases cérébrales actives, de métastases leptoméningées, d'une forme aiguë ou chronique de l'hépatite B ou C ou d'une infection connue au VIH ou du SIDA étaient exclus de l'étude.
  • -Étude randomisée de phase 3 comparant le traitement par l'association nivolumab/ipilimumab vs. sunitinib (CA209214)
  • -La sécurité et l'efficacité de 3 mg/kg de nivolumab en association avec 1 mg/kg d'ipilimumab pour le traitement du carcinome à cellules rénales avancé ont fait l'objet d'une étude randomisée en ouvert de phase 3 (CA209214). Celle-ci a inclus des patients adultes (18 ans ou plus) atteints d'un carcinome à cellules rénales non traité, avancé ou métastatique, un statut de performance de Karnofsky (KPS) ≥70% et du tissu tumoral à disposition pour le test PD-L1. La population d'efficacité primaire comprend des patients au profil de risque intermédiaire/défavorable, présentant 1 facteur de risque prédictif ou plus sur 6 selon les critères de l'International Metastatic RCC Database Consortium (IMDC) (moins d'un an écoulé entre le moment du diagnostic initial du carcinome à cellules rénales et la randomisation; KPS < 80%; hémoglobine inférieure au taux normal; calcium sérique corrigé supérieur à 10 mg/dL; thrombocytes supérieurs au taux normal; nombre total de neutrophiles supérieur au taux normal). Les patients étaient inclus dans l'étude indépendamment de leur statut PD-L1. Les patients ayant eu ou présentant actuellement des métastases cérébrales, une pathologie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique étaient exclus de l'étude. Les patients ont été stratifiés selon le nombre de points prédictifs (risque favorable vs. intermédiaire vs. défavorable selon les critères IMDC) et par région (US vs. Canada/Europe vs. reste du monde).
  • +Étude randomisée de phase 3 comparant le traitement par l'association nivolumab/ipilimumab vs sunitinib (CA209214)
  • +La sécurité et l'efficacité de 3 mg/kg de nivolumab en association avec 1 mg/kg d'ipilimumab pour le traitement du carcinome à cellules rénales avancé ont fait l'objet d'une étude randomisée en ouvert de phase 3 (CA209214). Celle-ci a inclus des patients adultes (18 ans ou plus) atteints d'un carcinome à cellules rénales non traité, avancé ou métastatique, un statut de performance de Karnofsky (KPS) ≥70% et du tissu tumoral à disposition pour le test PD-L1. La population d'efficacité primaire comprend des patients au profil de risque intermédiaire/défavorable, présentant 1 facteur de risque prédictif ou plus sur 6 selon les critères de l'International Metastatic RCC Database Consortium (IMDC) (moins d'un an écoulé entre le moment du diagnostic initial du carcinome à cellules rénales et la randomisation; KPS < 80%; hémoglobine inférieure au taux normal; calcium sérique corrigé supérieur à 10 mg/dL; thrombocytes supérieurs au taux normal; nombre total de neutrophiles supérieur au taux normal). Les patients étaient inclus dans l'étude indépendamment de leur statut PD-L1. Les patients ayant eu ou présentant actuellement des métastases cérébrales, une pathologie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique étaient exclus de l'étude. Les patients ont été stratifiés selon le nombre de points prédictifs (risque favorable vs intermédiaire vs défavorable selon les critères IMDC) et par région (US vs Canada/Europe vs reste du monde).
  • -Cancer Colorectal
  • +Cancer colorectal
  • -Dans l'étude, ont été inclus des patients adultes (18 ans ou plus) avec un statut dMMR ou MSI-H déterminé localement, ayant présenté une progression pendant ou à la suite de ou après une intolérance à un traitement précédant par fluoropyrimidine et oxaliplatine ou irinotécan. Les patients ont été inclus dans l'étude indépendamment de leur statut tumoral PD-L1. Les patients présentant des métastases cérébrales actives, une maladie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique ont été exclus de l'étude.
  • +L'étude incluait des patients adultes (18 ans ou plus) avec un statut dMMR ou MSI-H déterminé localement, ayant présenté une progression pendant ou à la suite de ou après une intolérance à un traitement précédant par fluoropyrimidine et oxaliplatine ou irinotécan. Les patients ont été inclus dans l'étude indépendamment de leur statut tumoral PD-L1. Les patients présentant des métastases cérébrales actives, une maladie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique ont été exclus de l'étude.
  • -Étude de phase 3 randomisée du nivolumab en association avec l'ipilimumab vs. chimiothérapie (CA209743)
  • -La sécurité et l'efficacité du nivolumab 3 mg/kg administré toutes les 2 semaines en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg toutes les 6 semaines ont été étudiées dans une étude de phase 3 randomisée en ouvert (CA209743). Cette étude a inclus des patients adultes (18 ans ou plus) présentant un mésothéliome pleural malin histologiquement confirmé et jusqu'à présent non traité et sans radiothérapie palliative dans les 14 jours précédant l'administration du premier traitement à l'étude. Les patients présentant un mésothéliome primitif péritonéal, péricardique, testiculaire ou vaginal, une pneumopathie interstitielle symptomatique, une maladie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique, ainsi que les patients présentant des métastases cérébrales (à moins d'une résection chirurgicale ou d'une radiothérapie stéréotaxique et sans évolution au cours des 3 mois précédant l'inclusion dans l'étude) ont été exclus de l'étude. La randomisation des patients était stratifiée selon l'histologie (épithélioïde vs. sarcomatoïde ou sous-types d'histologie mixte) et le sexe (masculin vs. féminin).
  • +Étude de phase 3 randomisée du nivolumab en association avec l'ipilimumab vs chimiothérapie (CA209743)
  • +La sécurité et l'efficacité du nivolumab 3 mg/kg administré toutes les 2 semaines en association avec l'ipilimumab 1 mg/kg toutes les 6 semaines ont été étudiées dans une étude de phase 3 randomisée en ouvert (CA209743). Cette étude a inclus des patients adultes (18 ans ou plus) présentant un mésothéliome pleural malin histologiquement confirmé et jusqu'à présent non traité et sans radiothérapie palliative dans les 14 jours précédant l'administration du premier traitement à l'étude. Les patients présentant un mésothéliome primitif péritonéal, péricardique, testiculaire ou vaginal, une pneumopathie interstitielle symptomatique, une maladie auto-immune active ou un tableau clinique nécessitant une immunosuppression systémique, ainsi que les patients présentant des métastases cérébrales (à moins d'une résection chirurgicale ou d'une radiothérapie stéréotaxique et sans évolution au cours des 3 mois précédant l'inclusion dans l'étude) ont été exclus de l'étude. La randomisation des patients était stratifiée selon l'histologie (épithélioïde vs sarcomatoïde ou sous-types d'histologie mixte) et le sexe (masculin vs féminin).
  • -Sur la base d'analyses post-hoc exploratoires, le tableau 6 résume les données d'efficacité (mOS, mPFS, HR) de l'association nivolumab+ipilimumab (nivo+ipi) vs. chimiothérapie (chimio) selon l'histologie et les sous-groupes combinés d'expression de PD-L1.
  • +Sur la base d'analyses post-hoc exploratoires, le tableau 6 résume les données d'efficacité (mOS, mPFS, HR) de l'association nivolumab+ipilimumab (nivo+ipi) vs chimiothérapie (chimio) selon l'histologie et les sous-groupes combinés d'expression de PD-L1.
  • -PD-L1< 1% PD-L1 ≥1% PD-L1< 1% PD-L1 ≥1%
  • -nivo+ipi vs. chimio (N=47 vs. 62) nivo+ipi vs. chimio (N=173 vs. 162) nivo+ipi vs. chimio (N=10 vs. 16) nivo+ipi vs. chimio (N=59 vs. 57)
  • + PD-L1< 1% PD-L1 ≥1% PD-L1< 1% PD-L1 ≥1%
  • + nivo+ipi vs chimio (N=47 vs 62) nivo+ipi vs chimio (N=173 vs 162) nivo+ipi vs chimio (N=10 vs 16) nivo+ipi vs chimio (N=59 vs 57)
  • -OS médiane (IC à 95%), mo 17,3 (10,1, 24,6) vs. 18,1 (14,1, 22,0) 18,0 (17,1, 21,9) vs. 15,5 (13,6, 20,5) 15,7 (4,8, 24,8) vs. 11,8 (6,9, 15,6) 16,9 (12,3, 25,2) vs. 7,7 (6,9, 9,8)
  • +OS médiane (IC à 95%), mo 17,3 (10,1, 24,6) vs 18,1 (14,1, 22,0) 18,0 (17,1, 21,9) vs 15,5 (13,6, 20,5) 15,7 (4,8, 24,8) vs 11,8 (6,9, 15,6) 16,9 (12,3, 25,2) vs 7,7 (6,9, 9,8)
  • -PFS médiane (IC à 95%), mo 4,2 (2,7, 6,2) vs. 8,2 (7,0, 11,1) 6,9 (5,6, 8,2) vs. 7,7 (7,0, 8,3) 3,5 (1,4, 21,0) vs. 8,5 (4,7, 12,5) 8,6 (6,8, 13,9) vs. 5,3 (4,3, 5,7)
  • +PFS médiane (IC à 95%), mo 4,2 (2,7, 6,2) vs 8,2 (7,0, 11,1) 6,9 (5,6, 8,2) vs 7,7 (7,0, 8,3) 3,5 (1,4, 21,0) vs 8,5 (4,7, 12,5) 8,6 (6,8, 13,9) vs 5,3 (4,3, 5,7)
  • -Cette étude a inclus des patients adultes présentant un CEO précédemment non traité, non résécable, avancé, récidivant ou métastatique. Les patients ont été inclus quel que soit leur statut tumoral PD-L1. Les patients devaient présenter un carcinome épidermoïde ou adénosquameux de l'œsophage non candidat à une radiochimiothérapie ni à une résection. Une chimiothérapie, une radiothérapie ou une radiochimiothérapie antérieure adjuvante, néo-adjuvante ou définitive était autorisée à condition qu'elle ait été administrée dans le cadre d'un traitement à visée curative avant l'inclusion dans l'étude. Les patients présentant un indice fonctionnel initial ≥2, des métastases cérébrales symptomatiques, une maladie auto-immune active, sous traitement systémique par corticostéroïdes ou immunosuppresseurs, ainsi que les patients à haut risque d'hémorragie ou de fistule en raison d'une invasion tumorale apparente des organes situés à proximité de l'œsophage ont été exclus de l'étude clinique. La randomisation a été stratifiée selon le statut tumoral PD-L1 (≥1% vs < 1% ou indéterminé), la région (Asie orientale vs reste de l'Asie vs reste du monde), l'indice fonctionnel ECOG (0 vs 1) et le nombre d'organes avec métastases (≤1 vs ≥2). Le critère d’évaluation principal était la survie sans progression (PFS) (selon le BICR) et la survie globale (OS) chez les patients avec expression tumorale de PD-L1 ≥1%. Les critères d’évaluation secon-daires des tests hiérarchiques préspécifiés incluaient l’OS, la PFS (selon le BICR) et le taux de réponse objective (ORR) (selon le BICR) chez tous les patients randomisés.
  • +Cette étude a inclus des patients adultes présentant un CEO précédemment non traité, non résécable, avancé, récidivant ou métastatique. Les patients ont été inclus quel que soit leur statut tumoral PD-L1. Les patients devaient présenter un carcinome épidermoïde ou adénosquameux de l'œsophage non candidat à une radiochimiothérapie ni à une résection. Une chimiothérapie, une radiothérapie ou une radiochimiothérapie antérieure adjuvante, néo-adjuvante ou définitive était autorisée à condition qu'elle ait été administrée dans le cadre d'un traitement à visée curative avant l'inclusion dans l'étude. Les patients présentant un indice fonctionnel initial ≥2, des métastases cérébrales symptomatiques, une maladie auto-immune active, sous traitement systémique par corticostéroïdes ou immunosuppresseurs, ainsi que les patients à haut risque d'hémorragie ou de fistule en raison d'une invasion tumorale apparente des organes situés à proximité de l'œsophage ont été exclus de l'étude clinique. La randomisation a été stratifiée selon le statut tumoral PD-L1 (≥1% vs < 1% ou indéterminé), la région (Asie orientale vs reste de l'Asie vs reste du monde), l'indice fonctionnel ECOG (0 vs 1) et le nombre d'organes avec métastases (≤1 vs ≥2). Le critère d’évaluation principal était la survie sans progression (PFS) (selon le BICR) et la survie globale (OS) chez les patients avec expression tumorale de PD-L1 ≥1%. Les critères d’évaluation secondaires des tests hiérarchiques préspécifiés incluaient l’OS, la PFS (selon le BICR) et le taux de réponse objective (ORR) (selon le BICR) chez tous les patients randomisés.
  • -La clairance de YERVOY était augmentée lorsque le poids corporel et le taux de lactate déshydrogénase (LDH) à l'inclusion étaient plus élevés. Cependant aucune adaptation posologique n'est nécessaire selon les taux de LDH et le poids, en cas d'administration sur la base mg/kg. La clairance n'était pas modifiée par l'âge (entre 23 et 88 ans), le sexe, l'utilisation concomitante de budésonide ou de dacarbazine, l'état général, le statut HLA-A2*0201, une légère insuffisance hépatique, une insuffisance rénale, l'immunogénicité et les traitements anticancéreux antérieurs. Les effets liés à la race n'ont pas été étudiés car les données provenant de groupes ethniques non caucasiens étaient insuffisantes. Aucune étude pharmacocinétique contrôlée n'a été conduite pour évaluer la pharmacocinétique d'ipilimumab dans la population pédiatrique ou chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique.
  • +La clairance de YERVOY était augmentée lorsque le poids corporel et le taux de lactate déshydrogénase (LDH) à l'inclusion étaient plus élevés. Cependant aucune adaptation posologique n'est nécessaire selon les taux de LDH et le poids, en cas d'administration sur la base mg/kg. La clairance n'était pas modifiée par l'âge (entre 23 et 88 ans), le sexe, l'utilisation concomitante de budésonide ou de dacarbazine, l'état général, le statut HLA-A2*0201, une légère insuffisance hépatique, une insuffisance rénale, l'immunogénicité et les traitements anticancéreux antérieurs. Les effets liés à la race n'ont pas été étudiés, car les données provenant de groupes ethniques non caucasiens étaient insuffisantes. Aucune étude pharmacocinétique contrôlée n'a été conduite pour évaluer la pharmacocinétique d'ipilimumab dans la population pédiatrique ou chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique.
  • -YERVOY doit être dilué à une concentration de 4 mg/ml à 1 mg/ml avec une solution injectable de chlorure de sodium stérile à 9 mg/ml (0.9%) ou une solution injectable de glucose à 5%. Utiliser un filtre «in-line» stérile non pyrogène avec faible liaison aux protéines (taille de pores 0,2 μm ou 1,2 μm) pour l'administration par voie intraveineuse.
  • +YERVOY doit être dilué à une concentration de 4 mg/ml à 1 mg/ml avec une solution injectable de chlorure de sodium stérile à 9 mg/ml (0,9%) ou une solution injectable de glucose à 5%. Utiliser un filtre «in-line» stérile non pyrogène avec faible liaison aux protéines (taille de pores 0,2 μm ou 1,2 μm) pour l'administration par voie intraveineuse.
  • -·Diluer le concentré avec le volume nécessaire de solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0.9%) ou de glucose à 50 mg/ml (5%). Mélanger doucement la perfusion par rotation manuelle.
  • +·Diluer le concentré avec le volume nécessaire de solution injectable de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%) ou de glucose à 50 mg/ml (5%). Mélanger doucement la perfusion par rotation manuelle.
  • -Février 2023
  • +Juillet 2023
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