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Accueil - Information professionnelle sur Dretinelle 21 - Changements - 09.11.2020
82 Changements de l'information professionelle Dretinelle 21
  • -Drospirenonum, Ethinylestradiolum.
  • +Drospirenonum, Ethinylestradiolum ut Ethinylestradiolum-Betadexum.
  • -Instauration du traitement
  • -Femmes n’ayant pas utilisé de contraceptif hormonal le mois précédent
  • -Commencer la prise le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est également possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle; il est alors recommandé, lors du premier cycle, de recourir durant les 7 premiers jours de la prise du comprimés à des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales (p.ex. le préservatif, mais pas la méthode d’abstinence périodique Ogino-Knaus ou la méthode des températures).
  • -Ajustement de la posologie du fait d’effets indésirables / d’interactions
  • -Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
  • -En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d’origine médicamenteuse, etc.) – l’absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
  • -En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé supplémentaire d’une plaquette de réserve.
  • -Décalage des règles
  • -Report des règles à une date ultérieure (prolongation du cycle)
  • -La patiente doit prendre les comprimés de la plaquette suivante sans observer de pause sans comprimés. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’à la fin de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, des petites pertes sanglantes (spotting) ou des métrorragies peuvent se produire. La prise régulière de Dretinelle 21 sera ensuite poursuivie à l’issue de la pause habituelle de 7 jours.
  • -Avancée de la date des règles
  • -La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la pause sans prise de comprimés. Plus cette pause est courte, moins une hémorragie de privation est probable et plus les petites pertes sanglantes (spotting) ou les métrorragies pendant la prise de la plaquette suivante sont fréquentes (comme lors d’un report des règles).
  • -Conduite à tenir en cas d’irrégularité des saignements
  • -Comme c’est le cas pour tous les CHC, des saignements irréguliers (spotting ou métrorragies) peuvent se produire, surtout pendant les premiers mois d’utilisation. C’est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu’après une période d’adaptation de 3 cycles environ. La prise de Dretinelle 21 doit être poursuivie. Le cas échéant, on peut envisager le remplacement par une préparation plus fortement dosée en estrogène.
  • -Si ces irrégularités se poursuivent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également prendre en considération des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent inclure un curetage.
  • -L’hémorragie de privation peut faire défaut au cours de la pause sans prise de comprimés. Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été utilisé conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
  • -Passage d’un contraceptif hormonal combiné (CHC, y compris un anneau vaginal ou un patch transdermique)
  • +Femmes n’ayant pas utilisé de contraceptifs hormonaux le mois précédent
  • +Commencer la prise le 1er jour du cycle (= 1er jour des règles). Il est également possible de commencer entre le 2e et le 5e jour du cycle; il est alors recommandé, lors du premier cycle, de recourir durant les 7 premiers jours de la prise du comprimés à des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales (p.ex. le préservatif, mais pas la méthode d’abstinence périodique d’Ogino-Knaus ou la méthode des températures).
  • +Remplacement d’un contraceptif hormonal combiné (CHC, y compris un anneau vaginal ou un patch transdermique)
  • -Substitution d’une préparation progestative pure (minipilule, injection, implant) ou d’un dispositif intra-utérin (DIU) diffuseur de progestatif par Dretinelle 21
  • +Remplacement d’une préparation progestative pure (minipilule, injection, implant) ou d’un dispositif intra-utérin (DIU) diffuseur de progestatif par Dretinelle 21
  • -Instructions posologiques particulières
  • -Après un avortement au premier trimestre de grossesse
  • +Après un avortement dans le 1er trimestre de la grossesse
  • -Après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement
  • -La décision quant à la (re)prise d’un CHC tel que Dretinelle 21 après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d’accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu’à 12 semaines après l’accouchement ou l’avortement; cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Dretinelle 21 doit débuter au plus tôt entre le 21ème et le 28ème jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d’appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse ou attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
  • -Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • -Dretinelle 21 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
  • -Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • -Dretinelle 21 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance rénale sévère ou d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d’insuffisance légère à modérée.
  • -Patients âgés
  • -Dretinelle 21 n’est pas recommandé après la ménopause.
  • -Enfants et adolescents
  • -L’efficacité et la sécurité ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (si indication), la posologie recommandée est la même que chez les adultes.
  • -Prise retardée
  • -
  • +Après un avortement au 2e trimestre de grossesse ou un accouchement
  • +La décision quant à la (re)prise d’un CHC tel que Dretinelle 21 après un avortement au 2e trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d’accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu’à 12 semaines après l’accouchement ou l’avortement; cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Dretinelle 21 doit débuter au plus tôt entre le 21e et le 28e jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d’appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse ou d’attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
  • -1.La pause de 7 jours sans prise de comprimés ne doit pas être prolongée.
  • +1.La pause de 7 jours sans prise de comprimé ne doit pas être prolongée.
  • -Première semaine de prise
  • +1re semaine de prise
  • -Deuxième semaine de prise
  • +2e semaine de prise
  • -Troisième semaine de prise
  • +3e semaine de prise
  • -1.La patiente doit prendre le comprimé oublié sitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit, de ce fait, prendre 2 Comprimé le même jour. Elle doit continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Elle devra commencer la prise des comprimés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans observer la pause de 7 jours. Il est improbable qu’une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de petites pertes sanglantes (spotting) ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
  • +a.La patiente doit prendre le comprimé oublié sitôt qu’elle se rend compte de son oubli, même si elle doit, de ce fait, prendre 2 Comprimé le même jour. Elle doit continuer à prendre quotidiennement les comprimés suivants à l’heure habituelle. Elle devra commencer la prise des comprimés de la plaquette suivante immédiatement après la fin de la dernière plaquette, c.-à-d. sans observer la pause de 7 jours. Il est improbable qu’une hémorragie de privation se produise avant la fin de la 2e plaquette, mais de petites pertes sanglantes (spotting) ou des métrorragies pourront se produire plus fréquemment.
  • -2.La patiente doit cesser de prendre les comprimés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (les jours d’oubli du comprimé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
  • -Si l’hémorragie de privation ne se produit pas au cours de la prochaine pause sans comprimés, il faudra prendre en compte l’éventualité d’une grossesse.
  • +b.La patiente doit cesser de prendre les comprimés de la plaquette en cours. Après une pause de 7 jours au maximum (les jours d’oubli du comprimé compris), la patiente commence la plaquette suivante.
  • +Si l’hémorragie de privation ne se produit pas au cours de la prochaine pause sans comprimé, il faudra prendre en compte l’éventualité d’une grossesse.
  • +Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
  • +En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à-d. aussi en cas de diarrhée d’origine médicamenteuse, etc.) – l’absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
  • +En cas de vomissements dans les 3 à 4 heures suivant la prise, se conformer aux règles de base mentionnées au paragraphe «Conduite à tenir en cas d’oubli de prise». Afin que le schéma habituel de la prise puisse être conservé, la patiente doit prendre le comprimé supplémentaire d’une plaquette de réserve.
  • +Décalage de la menstruation
  • +Report de la menstruation (allongement du cycle)
  • +La patiente doit prendre les comprimés de la plaquette suivante sans observer de pause sans comprimé. Elle peut ainsi retarder ses règles aussi longtemps qu’elle le désire (mais au maximum jusqu’à la fin de cette deuxième plaquette). Pendant cette période, des petites pertes sanglantes (spotting) ou des métrorragies peuvent se produire. La prise régulière de Dretinelle 21 est ensuite poursuivie à l’issue de la pause habituelle de 7 jours.
  • +Avance de la menstruation
  • +La patiente peut avancer le début de ses règles à un autre jour de la semaine en abrégeant, selon son désir, la pause sans prise de comprimé. Plus cette pause est courte, moins une hémorragie de privation est probable et plus les petites pertes sanglantes (spotting) ou les métrorragies pendant la prise de la plaquette suivante sont fréquentes (comme lors d’un report des règles).
  • +Conduite à tenir en cas d’irrégularité menstruelles
  • +Comme c’est le cas pour tous les CHC, des saignements irréguliers (spotting ou métrorragies) peuvent se produire, surtout pendant les premiers mois d’utilisation. C’est pourquoi un bilan diagnostique visant à rechercher la cause de saignements irréguliers ne se justifie qu’après une période d’adaptation de 3 cycles environ. La prise de Dretinelle 21 doit être poursuivie. Le cas échéant, on peut envisager le remplacement par une préparation plus fortement dosée en estrogène.
  • +Si ces irrégularités se poursuivent ou si des saignements irréguliers apparaissent pour la première fois après plusieurs cycles de saignements réguliers, il faudra également prendre en considération des causes non hormonales. Il est recommandé de recourir à des méthodes diagnostiques appropriées en vue d’exclure la possibilité d’une grossesse ou d’une affection maligne. Ces méthodes peuvent inclure un curetage.
  • +L’hémorragie de privation peut faire défaut au cours de la pause sans prise de comprimés. Une grossesse est improbable si le CHC a été utilisé selon la posologie prescrite. Si toutefois le CHC n’a pas été utilisé conformément aux prescriptions avant l’absence de la première hémorragie de privation, ou en l’absence de deux hémorragies de privation, il convient d’exclure l’éventualité d’une grossesse avant de poursuivre l’utilisation du CHC.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Enfants et adolescents
  • +L’efficacité et la sécurité de Dretinelle 21 ont été examinées chez des femmes âgées de 18 ans et plus. Chez les adolescentes (si indiquée), la posologie recommandée est la même que chez les adultes.
  • +Patients âgés
  • +Dretinelle 21 n’est pas recommandé après la ménopause.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Dretinelle 21 ne doit pas être utilisée chez les femmes avec une insuffisance hépatique sévère (voir également «Contre-indications»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Dretinelle 21 est contre-indiqué chez les femmes atteintes d’insuffisance rénale sévère ou d’insuffisance rénale aiguë (voir aussi «Contre-indications»). La kaliémie doit être surveillée chez les femmes souffrant d’insuffisance légère à modérée.
  • -oFacteurs de risque majeurs de thromboembolie veineuse tels
  • -§qu’une prédisposition connue, héréditaire ou acquise de thromboembolie veineuse, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • +§Facteurs de risque majeurs de thromboembolie veineuse tels qu’une prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • -·Utilisation concomitante avec l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (médicament pour le traitement de l’hépatite C). On peut reprendre l’administration au plus tôt 2 semaines après l’arrêt de ces médicaments (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
  • +·Utilisation concomitante avec l’association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (médicament pour le traitement de l’hépatite C). On peut reprendre la prise au plus tôt 2 semaines après l’arrêt de ces médicaments (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
  • -·dès les premiers signes d’événements thromboemboliques (voir «Symptômes de TEV» [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire] et «Symptômes de TEA»);
  • +·dès les premiers signes d’événements thromboemboliques (voir «Symptômes de TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire] » et «Symptômes de TEA»);
  • +·états dépressifs sévères;
  • +
  • -·Le risque de TEV associé à Dretinelle 21.
  • +·Le risque de TEV associé à la prise de Dretinelle 21.
  • -·Les données disponibles indiquent que le risque de TEV est accru aussi bien lors de la première prise d’un CHC que lors de la réutilisation du même ou d’un autre CHC après une interruption d’au moins 4 semaines ou plus.
  • +·Les données disponibles indiquent que le risque de TEV est accru aussi bien lors de la première utilisation d’un CHC que lors de la réutilisation du même ou d’un autre CHC après une interruption d’au moins 4 semaines ou plus.
  • -Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou la hanche, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l’utilisation des comprimés filmés (au moins quatre semaines à l’avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d’éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Dretinelle 21 n’a pas été interrompu à l’avance.
  • -Antécédents familiaux (chaque thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l’utilisation de Dretinelle 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, l’utilisation de CHC comme Dretinelle 21 est contre-indiquée.
  • -
  • -
  • +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou la hanche, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre la prise des comprimés (au moins quatre semaines à l’avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d’éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Dretinelle 21 n’a pas été interrompu à l’avance.
  • +Antécédents familiaux (chaque thromboembolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant la prise de Dretinelle 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, la prise de CHC comme Dretinelle 21 est contre-indiquée.
  • -La patiente doit être informée qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elle utilise Dretinelle 21.
  • +La patiente doit être informée qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elle prend Dretinelle 21.
  • -Antécédents familiaux (thromboembolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l’utilisation de Dretinelle 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, l’utilisation de Dretinelle 21 est contre-indiquée.
  • -Migraine L’accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l’utilisation de Dretinelle 21 (qui peut être le prodrome d’un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d’arrêt immédiat de Dretinelle 21.
  • +Antécédents familiaux (thromboembolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant la prise de Dretinelle 21. Si l’examen révèle une thrombophilie, la prise de CHC comme Dretinelle 21 est contre-indiquée.
  • +Migraine L’accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de la prise de Dretinelle 21 peut être le prodrome d’un événement cérébrovasculaire et constituer un motif d’arrêt immédiat de Dretinelle 21.
  • -Les femmes doivent être informées qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elles utilisent Dretinelle 21.
  • +Les femmes doivent être informées qu’en cas d’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu’elles prennent Dretinelle 21.
  • +Troubles dépressifs
  • +Les dépressions ou humeurs dépressives sont des effets indésirables potentiels connus survenant lors de l’utilisation d’hormones sexuelles, y compris les contraceptifs hormonaux (voir également rubrique «Effets indésirables»). Ces troubles peuvent apparaître peu de temps après le début du traitement. Une dépression peut avoir une évolution grave et représente un facteur de risque de suicide ou de comportement suicidaire. Les utilisatrices de contraceptifs hormonaux doivent donc être informées des symptômes possibles des troubles dépressifs. Il est vivement conseillé d’aviser les utilisatrices de s’adresser immédiatement à un médecin si elles remarquent des variations d’humeur ou autres symptômes de dépression lors de l’utilisation du contraceptif. Les patientes présentant des antécédents de dépression sévère doivent être attentivement surveillées. Si des états dépressifs sévères réapparaissent lors de l’utilisation de Dretinelle 21, la prise du médicament doit être arrêtée.
  • -Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (voir «Interactions»). Par conséquent, Dretinelle 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, l'utilisation de Dretinelle 21 peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés inductrices des enzymes du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»).
  • +Chez les patientes atteintes d'hépatite C et utilisant un CHC à base d'éthinylestradiol, une augmentation significativement plus fréquente de l'ALT (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir (voir «Interactions»). Par conséquent, Dretinelle 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par cette association de principes actifs. À condition que les paramètres hépatiques soient normaux, la prise de Dretinelle 21 peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mieux encore 4 semaines, après l'arrêt de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir. Ce faisant, il faut tenir compte du fait que l'efficacité du CHC peut encore être entravée en cas d'intervalle de moins de 4 semaines en raison des propriétés inductrices des enzymes du ritonavir et, par conséquent, une méthode barrière supplémentaire doit être utilisée (voir rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»).
  • -Chaque comprimé de Dretinelle 21 contient 44 mg de lactose. Les patientes qui sont atteintes d’une intolérance au galactose, une maladie héréditaire rare, d’un déficit en Lapp-lactase ou d’une malabsorption du glucose-galactose et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de ces quantités.
  • +Dretinelle 21 contient 44 mg de lactose par comprimé. Les patientes souffrant d’une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d’un déficit en lactase de Lapp ou d’une malabsorption du glucose et du galactose et qui suivent un régime sans lactose doivent tenir compte de cette quantité.
  • -Interactions pharmacocinétiques
  • -Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
  • -En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu’à 10 jours) d’antibiotiques qui n’interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n’est à prévoir. Il est cependant nécessaire d’avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p.ex. maladie vénérienne) contre laquelle l’antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l’utilisation d’une méthode contraceptive mécanique.
  • -En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p.ex. en cas d’ostéomyélite ou de borréliose), les données d’interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d’utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l’antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
  • -En cas d’apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d’emploi».
  • -Interactions pharmacodynamiques
  • -La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretinelle 21 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
  • +Influence d’autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
  • -Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est généralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments.
  • -Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l’emballage suivant, donc sauter l’intervalle habituel sans prise.
  • +Une induction enzymatique peut déjà être observée après quelques jours seulement. L’induction enzymatique maximale est généralement atteinte au bout de 2 à 3 semaines et peut persister pendant 4 semaines ou plus après l’arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l’arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d’un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l’emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l’emballage suivant, donc sauter l’intervalle habituel sans prise de comprimés.
  • -Autres interactions
  • -Interactions au mécanisme inconnu
  • -Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Par conséquent, Dretinelle 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Effet de Dretinelle 21 sur d’autres médicaments
  • +Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
  • +En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu’à 10 jours) d’antibiotiques qui n’interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n’est à prévoir. Il est cependant nécessaire d’avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p.ex. maladie vénérienne) contre laquelle l’antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l’utilisation d’une méthode contraceptive mécanique.
  • +En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p.ex. en cas d’ostéomyélite ou de borréliose), les données d’interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d’utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l’antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
  • +En cas d’apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Comportement lors de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d’emploi».
  • -Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d’interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d’autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l’effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains bêtabloquants, corticostéroïdes et anticoagulants oraux.
  • -Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
  • +Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d’interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d’autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l’effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains bétabloquants, corticostéroïdes et anticoagulants oraux. Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
  • -Lorsqu'un traitement par Dretinelle 21 est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l’occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu’à un niveau toxique) lors de l’arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans utilisation).
  • -Grossesse, allaitement
  • +Lors du commencement de la prise de Dretinelle 21, chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l’occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu’à un niveau toxique) lors de l’arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans utilisation).
  • +Interactions pharmacodynamiques
  • +La kaliémie sérique doit être surveillée lors de la prise simultanée de Dretinelle 21 et de médicaments qui augmentent les concentrations sériques de potassium (antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, diurétiques d’épargne potassique, antagonistes de l’aldostérone). Cependant, au cours des études portant sur l’interaction entre la drospirénone (combinée à l’oestradiol) et un inhibiteur de l’IEC ou les AINS (p.ex. l’indométhacine), aucune différence cliniquement pertinente ou statistiquement significative n’a été mise en évidence au niveau des concentrations sériques de potassium.
  • +Interactions au mécanisme inconnu
  • +Dans des études cliniques, une augmentation de l'ALT significativement plus fréquente (y compris les cas d'une augmentation de plus du quintuple, dans des cas isolés de plus de 20 fois la limite supérieure de la normale [LSN]), que chez les patientes uniquement traitées par des principes antiviraux a été observée sous l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir utilisée dans le traitement des infections à VIH. Par conséquent, Dretinelle 21 doit être arrêté avant l'instauration d'un traitement par une telle association antivirale (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Grossesse, Allaitement
  • -La prise de Dretinelle 21 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l’utilisation de Dretinelle 21, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • +La prise de Dretinelle 21 est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début de la prise. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de la prise de Dretinelle 21, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
  • -La sécurité de préparations combinées contenant 3 mg de drospirénone/0,025 mg d’éthinylestradiol a été évaluée dans des études cliniques totalisant n=963 femmes. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont des douleurs et des affections mammaires. Ils sont observés chez >6% des utilisatrices.
  • -Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et de la surveillance postcommercialisation sont résumés ci-dessous par systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1'000 à <1/100); rare (≥1/10'000 à <1/1'000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
  • +La sécurité de Dretinelle 21 a été évaluée dans des études cliniques totalisant n=963 femmes. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sous Dretinelle 21 sont des douleurs et des affections mammaires. Ils sont observés chez >6% des utilisatrices.
  • +Les effets indésirables observés dans le cadre des études cliniques et de la surveillance postcommercialisation sont résumés ci-dessous par systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
  • -Fréquents: douleurs et autres affections mammaire, saignements utérins irréguliers, saignements du tractus génital sans caractérisation plus précise, pertes vaginales, augmentation du volume des seins.
  • +Fréquents: douleurs et autres affections mammaire, saignements utérins irréguliers, saignements du tractus génital sans caractérisation plus précise, pertes vaginales, augmentation du volume du sein.
  • -Signes et symptômes
  • -Les symptômes d’un surdosage sont: nausées, vomissements et saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir chez les jeunes filles avant la ménarche suite à la prise accidentelle de la préparation.
  • -Traitement
  • +Les symptômes d’un surdosage sont: nausées, vomissements et saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir chez les jeunes filles avant la ménarche suite à la prise accidentelle du médicament.
  • -Code ATC : G03AA12
  • +Code ATC :
  • +G03AA12
  • -Pas d’information.
  • +Voir rubrique «Mécanisme d’action».
  • -Dans les études cliniques menées chez n=963 femmes, le Pearl Index a été de 0.31 avec une limite supérieure de l’intervalle de confiance à 97.5% de 0.91.
  • +Dans les études cliniques menées chez n=963 femmes, le Pearl Index pour Dretinelle 21 a été de 0.31 avec une limite supérieure de l’intervalle de confiance à 97.5% de 0.91.
  • -Ethinylestradiol
  • -Après administration orale, l’éthinylestradiol est résorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux de 54–100 pg/ml sont atteints 1–2 heures après administration d’une dose unique. La biodisponibilité absolue est d’environ 45% (avec des variations de 20–65%) en raison d’un métabolisme présystémique (effet de premier passage) important.
  • -Drospirénone
  • -Ethinylestradiol
  • -L’éthinylestradiol est lié très fortement, mais de manière non spécifique, à l’albumine sérique (env. 98,5%) et induit une augmentation de la concentration sérique de la SHBG. Le volume de distribution est d’environ 2,8–8,6 l/kg.
  • +Etat d’équilibre (steady state)
  • +La pharmacocinétique de la drospirénone n’est pas influencée par les concentrations de SHBG. Prise quotidiennement, la drospirénone voit ses concentrations sériques multipliées par 2 à 3 et l’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement.
  • -Drospirénone
  • -Ethinylestradiol
  • -L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse du grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxyéthinylestradiol) et une conjugaison. Le CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
  • -Drospirénone
  • -Ethinylestradiol
  • -Les taux sériques d’éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d’env. 2.3–7 ml/min/kg. L’éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par l’urine et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d’env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
  • -Linéarité/non-linéarité
  • -Drospirénone
  • -La pharmacocinétique de la drospirénone n’est pas influencée par les concentrations de SHBG. Prise quotidiennement, la drospirénone voit ses concentrations sériques multipliées par 2 à 3 et l’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement.
  • -Ethinylestradiol
  • -L’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement, les concentrations sériques d’éthinylestradiol augmentant d’un facteur de 1,4–2,1.
  • -Troubles de la fonction hépatique
  • -Drospirénone
  • -
  • +Trouble de la fonction rénale
  • +À l’état d’équilibre, les taux sériques de drospirénone dans le groupe avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [CLcr] 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min). Chez des femmes souffrant d’insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine CLcr 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0–24h) étaient en moyenne 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
  • +Trouble de la fonction hépatique
  • -Ethinylestradiol
  • -On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance hépatique.
  • -Troubles de la fonction rénale
  • -Drospirénone
  • -À l’état d’équilibre, les taux sériques de drospirénone dans le groupe avec insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [CLcr] 50–80 ml/min) étaient comparables aux valeurs mesurées dans le groupe à fonction rénale normale (CLcr >80 ml/min). Chez des femmes souffrant d’insuffisance rénale modérée (CLcr 30–50 ml/min), les taux sériques de drospirénone (AUC0–24h) étaient en moyenne 37% plus élevés que chez les femmes ayant une fonction rénale normale.
  • -Ethinylestradiol
  • -On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance rénale.
  • -Polymorphismes génétiques
  • -Drospirénone
  • +Groupes ethniques
  • +Absorption
  • +Après administration orale, l’éthinylestradiol est résorbé rapidement et complètement. Des taux sériques maximaux de 54–100 pg/ml sont atteints 1–2 heures après administration d’une dose unique. La biodisponibilité absolue est d’environ 45% (avec des variations de 20–65%) en raison d’un métabolisme présystémique (effet de premier passage) important.
  • +Distribution
  • +L’éthinylestradiol est lié très fortement, mais de manière non spécifique, à l’albumine sérique (env. 98,5%) et induit une augmentation de la concentration sérique de la SHBG. Le volume de distribution est d’environ 2,8–8,6 l/kg.
  • +Etat d’équilibre (steady state)
  • +L’état d’équilibre est atteint dans la deuxième moitié du cycle de traitement, les concentrations sériques d’éthinylestradiol augmentant d’un facteur de 1,4–2,1.
  • +Métabolisme
  • +L’éthinylestradiol subit un métabolisme présystémique aussi bien dans la muqueuse du grêle que dans le foie. Dans la muqueuse intestinale grêle, l’éthinylestradiol est conjugué et dans le foie, il est dégradé par un métabolisme de phase I (métabolites principaux: 2-hydroxy-éthinylestradiol et 2-méthoxyéthinylestradiol) et une conjugaison. Le CYP3A4 participe au métabolisme. L’éthinylestradiol et ses métabolites oxydatifs sont essentiellement métabolisés en dérivés glucuronoconjugués et sulfoconjugués.
  • +Élimination
  • +Les taux sériques d’éthinylestradiol diminuent de manière biphasique, avec une demi-vie terminale de 10–20 heures. La clairance totale est d’env. 2.3–7 ml/min/kg. L’éthinylestradiol est entièrement métabolisé et ses métabolites, qui sont éliminés par l’urine et la bile dans un rapport de 4:6, ont une demi-vie d’env. 24 heures. Les dérivés conjugués subissent une circulation entéro-hépatique.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +On ne dispose pas de données sur la pharmacocinétique de l’éthinylestradiol chez des femmes atteintes d’insuffisance rénale ou hépatique.
  • -Mutagénicité
  • -Toxicité sur la reproduction
  • -Les stéroïdes contraceptifs peuvent modifier les résultats de certains examens de laboratoire, tels que les paramètres biochimiques hépatiques et thyroïdiens, de la fonction corticosurrénalienne et rénale, les taux plasmatiques des protéines de transport (p.ex. de la corticosteroid binding globulin) et des fractions lipidiques ou lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme des hydrates de carbone et les paramètres de la coagulation sanguine et de la fibrinolyse. Ces modifications se situent en général dans les limites de la normale. La drospirénone peut influencer la concentration plasmatique de rénine et d’aldostérone.
  • +Les stéroïdes contraceptifs peuvent modifier les résultats de certains examens de laboratoire, tels que les paramètres biochimiques hépatiques et thyroïdiens, de la fonction corticosurrénalienne et rénale, les taux plasmatiques des protéines de transport (p.ex. de la steroid hormonebinding globulin SBHG) et des fractions lipidiques ou lipoprotéiniques, les paramètres du métabolisme des hydrates de carbone et les paramètres de la coagulation sanguine et de la fibrinolyse. Ces modifications se situent en général dans les limites de la normale. La drospirénone peut influencer la concentration plasmatique de rénine et d’aldostérone.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • -Conserver dans l’emballage d’origine.
  • -Août 2017.
  • +Août 2019.
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