ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Moxifloxacine Rivopharm - Changements - 20.07.2023
92 Changements de l'information professionelle Moxifloxacine Rivopharm
  • -Principe actif: Moxifloxacine (sous forme de chlorhydrate de moxifloxacine).
  • -Excipients des comprimés filmés: Croscarmellose sodique, povidone, stéarate de magnésium, cellulose microcristalline, polyvinil alcohol, macrogol 3350, talc ainsi que les colorants oxyde de fer rouge (E172), jaune orangé S (E110) et dioxyde de titane (E171).
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Un comprimé filmé contient 400 mg de moxifloxacine sous forme de chlorhydrate de moxifloxacine (436,43 mg).
  • -
  • +Principe actifs:
  • +Moxifloxacine (sous forme de chlorhydrate de moxifloxacine).
  • +Excipients
  • +Croscarmellose sodique (corresp. max. 3.78 mg sodium / comprimé), povidone K 30, stéarate de magnésium, cellulose microcristalline, poly(alcool vinylique), macrogol 3350, talc, oxyde de fer rouge (E172), jaune orangé S (E110) 160 μg / comprimé et dioxyde de titane (E171).
  • +
  • +
  • -Sinusite aiguë;
  • -exacerbations aiguës de la bronchite chronique (EABC).
  • +- sinusite aiguë
  • +exacerbations aiguës de la bronchite chronique (EABC)
  • -Pour les indications suivantes, la moxifloxacine doit être utilisée uniquement si d’autres antibiotiques recommandés normalement pour le traitement initial des infections concernées sont considérés comme inadéquats.
  • - Pneumonie acquise en communauté (community acquired pneumonia) légère, sans complications, pouvant être traitée par voie orale. L’expérience dans les infections à L. pneumophila est insuffisante.
  • +Pour les indications suivantes, la moxifloxacine doit être utilisée uniquement si d’autres antibiotiques recommandés normalement pour le traitement initial des infections concernées sont considérés comme inadéquats.
  • +- Pneumonie acquise en communauté (« Community Acquired Pneumonia », CAP) légère, sans complications, pouvant être traitée par voie orale. L’expérience dans les infections à L. pneumophila est insuffisante.
  • -Les comprimés filmés de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg ne sont pas recommandés pour une monothérapie de maladie inflammatoire pelvienne légère à modérée, mais doivent être prescrits, en raison de la résistance croissante de Neisseria gonorrhoeae à la moxifloxacine, en association avec un autre antibiotique approprié (par ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue (voir rubrique " Mises en garde et précautions»).
  • +Les comprimés pelliculés de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg ne sont pas recommandés pour une monothérapie de maladie inflammatoire pelvienne légère à modérée, mais doivent être prescrits, en raison de la résistance croissante de Neisseria gonorrhoeae à la moxifloxacine, en association avec un autre antibiotique approprié (p. ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue (voir rubrique « Mises en garde et précautions»).
  • +Posologie usuelle
  • +
  • -Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les personnes âgées, chez les patients de faible poids corporel, chez les insuffisants rénaux ou les patients dialysés, avec hémodialyse ou dialyse péritonéale continue ambulatoire ou encore les patients en insuffisance hépatique légère. L’expérience est limitée chez les patients avec insuffisance hépatique sévère (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Mode d’administration
  • -Les comprimés filmés doivent être avalés sans les croquer avec suffisamment de liquide et peuvent être pris indépendamment des repas.
  • -Ne pas dèpasser la dose recommandée (400 mg, une fois par jour) ni la durée du traitement indiquée pour l’indication concernée,
  • +Ne pas dépasser la dose recommandée (400 mg, une fois par jour) ni la durée du traitement indiquée pour l’indication concerné.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Aucune adaptation posologique n’est nécessaire chez les patients de faible poids corporel.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients en insuffisance hépatique légère. L'expérience est limitée chez les patients avec insuffisance hépatique sévère (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Aucune adaptation posologique n'est necessaire chez les insuffisants rénaux ou les patients dialysés, avec hémodialyse ou dialyse péritonéale continue ambulatoire .
  • +Patients âgés
  • +Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les personnes âgées.
  • +Enfants et adolescents
  • +Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans (voir «Contre-indications»).
  • +Mode d’administration
  • +Les comprimés pelliculés doivent être avalés sans les croquer avec suffisamment de liquide et peuvent être pris indépendamment des repas.
  • +En cas d'oubli d'une dose, la dose oubliée doit être prise à tout moment, sauf s'il reste moins de 8 heures avant la prise de la dose suivante. S'il reste moins de 8 heures avant la dose suivante, la dose oubliée ne doit pas être prise et le traitement doit être poursuivi comme prescrit avec la dose suivante prévue. Le patient ne doit pas prendre de dose double pour compenser une dose oubliée.
  • -Hypersensibilité à l’égard de la moxifloxacine, à un autre principe actif de la famille des quinolones ou à un des excipients selon la composition.
  • +Hypersensibilité à la moxifloxacine, à un autre principe actif de la famille des quinolones ou à l’un des excipients selon la composition.
  • -–des allongements de l’intervalle QT, congénitaux ou acquis documentés,
  • -–des troubles du bilan électrolytique, en particulier en cas d’hypokaliémie non corrigée,
  • -–une bradycardie cliniquement significative,
  • -–une insuffisance cardiaque cliniquement significative avec diminution de la fraction d’éjection du ventricule gauche,
  • -–des antécédents de troubles symptomatiques du rythme cardiaque.
  • -Il ne faut pas utiliser simultanément d’autres médicaments allongeant l’intervalle QT:
  • -–antiarythmiques des classes IA (p.ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide),
  • -–antiarythmiques des classes III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide),
  • -–neuroleptiques (p.ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride),
  • -–antidépresseurs tricycliques,
  • -–certains principes actifs antimicrobiens (sparfloxacine, érythromycine i.v., pentamidine),
  • -–antipaludéens, en particulier halofantrine,
  • -–certains antihistaminiques (mizolastine),
  • -–et autres (cisapride, vincamine i.v.).
  • + des allongements de l’intervalle QT, congénitaux ou acquis documentés,
  • + des troubles du bilan électrolytique, en particulier en cas d’hypokaliémie non corrigée,
  • + une bradycardie cliniquement significative,
  • + une insuffisance cardiaque cliniquement significative avec diminution de la fraction d’éjection du ventricule gauche,
  • + des antécédents de troubles symptomatiques du rythme cardiaque.
  • +Il ne faut pas utiliser concomittament d’autres médicaments allongeant l’intervalle QT:
  • + antiarythmiques des classes IA (p.ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide),
  • + antiarythmiques des classes III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide),
  • + neuroleptiques (p.ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride),
  • + antidépresseurs tricycliques,
  • + certains principes actifs antimicrobiens (sparfloxacine, érythromycine i.v., pentamidine),
  • + antipaludéens, en particulier halofantrine,
  • + certains antihistaminiques (mizolastine),
  • + et autres (cisapride, vincamine i.v.).
  • -Chez certains patients, la moxifloxacine provoque un allongement de lintervalle QTc à lECG. Lanalyse des ECG enregistrés dans le cadre du programme d’essai clinique a montré sous moxifloxacine un allongement du QTc de 6 msec ± 26 msec, 1,4% de la valeur initiale. Chez les patients traités par des médicaments susceptibles de réduire le taux de potassium, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Les femmes présentant, par rapport aux hommes, un QTc initial tendanciellement plus long, elles sont probablement plus sensibles à des médications concomitantes prolongeant l’intervalle QTc. Les patients âgés peuvent réagir également plus sensiblement aux effets médicamenteux sur l’intervalle QT. Chez les patients traités par des médicaments pouvant entraîner une bradycardie cliniquement significative, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Étant donné l’expérience clinique limitée, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant une prédisposition aux arythmies (en particulier les femmes et les patients âgés), p.ex. ceux souffrant d’ischémie aiguë du myocarde. Un allongement du QT peut entraîner un risque accru d’arythmies ventriculaires (y compris de torsades de pointe) et d’arrêt cardiaque. L’importance de l’allongement du QT peut augmenter de manière dose-dépendante, c’est pourquoi la dose recommandée ne doit pas être dépassée. Dans les infections peu sévères surtout, il faut soupeser le bénéfice d’un traitement par la moxifloxacine et le contenu du paragraphe «Mises en garde et précautions». Si des signes d’arythmie cardiaque surviennent sous la moxifloxacine, il faut interrompre le traitement et effectuer un ECG.
  • -Les quinolones peuvent déclencher des convulsions. Une certaine prudence est donc de rigueur lors de l’administration de moxifloxacine à des patients souffrant d’affections du SNC prédisposant aux crises épileptiques, ou abaissant le seuil épileptogène.
  • -En cas de troubles de la vue ou de l’organe de la vue, il faut consulter l’ophtalmologue sans délai.
  • -Des tendinopathies ou ruptures tendineuses peuvent se produire sous traitement par quinolones, y compris la moxifloxacine, surtout chez les personnes âgées ou les patients traités simultanément par corticostéroïdes. Des cas survenus seulement plusieurs mois après larrêt du traitement ont également été rapportés. Les patients doivent donc interrompre leur traitement dès l’apparition de douleurs et de signes d’inflammation et mettre le membre atteint au repos.
  • -Des cas d’hépatite fulminante, allant éventuellement jusqu’à une insuffisance hépatique aiguë (y compris des cas de décès), ont été rapportés sous moxifloxacine (voir rubrique «Effets indésirables»). Il faut informer les patients qu’ils doivent immédiatement consulter un médecin lorsqu’ils développent des signes et des symptômes d’hépatite fulminante comme une asthénie au développement rapide accompagnée d’un ictère, des urines foncées, une tendance aux saignements ou une encéphalopathie hépatique. La fonction hépatique doit être contrôlée en cas de signes évoquant un trouble.
  • -Des cas menaçant potentiellement le pronostic vital de réactions cutanées bulleuses du type syndrome de Stevens-Johnson ou nécrose épidermique toxique ont été également rapportés. En cas de réactions cutanées et/ou des muqueuses, les patients doivent être avertis de demander l’avis du médecin avant de poursuivre le traitement.
  • +L'utilisation de la moxifloxacine doit être évitée chez les patients chez lesquels des effets indésirables graves sont survenus lors de l'utilisation de médicaments à base de quinolone ou de fluoroquinolone (voir rubrique «Effets indésirables»). Le traitement de ces patients par la moxifloxacine doit être instauré uniquement si aucune autre possibilité de traitement n'est disponible et si une évaluation soigneuse du rapport risque/bénéfice a été effectuée (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Chez certains patients, la moxifloxacine provoque un allongement de l'intervalle QTc à l'ECG. L'analyse des ECG enregistrés dans le cadre du programme d’essai clinique a montré sous moxifloxacine un allongement du QTc de 6 msec ± 26 msec, 1,4% de la valeur initiale. Chez les patients traités par des médicaments susceptibles de réduire le taux de potassium, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Les femmes présentant, par rapport aux hommes, un QTc initial tendanciellement plus long, elles sont probablement plus sensibles à des médications concomitantes prolongeant l’intervalle QTc. Les patients âgés peuvent réagir également plus sensiblement aux effets médicamenteux sur l’intervalle QT. Chez les patients traités par des médicaments pouvant entraîner une bradycardie cliniquement significative, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence. Étant donné l’expérience clinique limitée, la moxifloxacine doit être utilisée avec prudence chez les patients présentant une prédisposition aux arythmies (en particulier les femmes et les patients âgés), p.ex. ceux souffrant d’ischémie aiguë du myocarde. Un allongement du QT peut entraîner un risque accru d’arythmies ventriculaires (y compris de torsades de pointes) et d’arrêt cardiaque. L’importance de l’allongement du QT peut augmenter de manière dose-dépendante, c’est pourquoi la dose recommandée ne doit pas être dépassée. Dans les infections peu sévères surtout, il faut soupeser le bénéfice d’un traitement par la moxifloxacine et le contenu du paragraphe «Mises en garde et précautions». Si des signes d’arythmie cardiaque surviennent sous la moxifloxacine, il faut interrompre le traitement et effectuer un ECG.
  • +Les fluoroquinolones, y compris la Moxifloxacine peuvent provoquer des effets indésirables graves potentiellement irréversibles touchant différents systèmes d'organes, qui sont susceptibles de se manifester simultanément chez le même patient. Ces effets indésirables comprennent tendinites et ruptures tendineuses, arthralgies et effets sur le système nerveux central et périphérique. Ces effets indésirables peuvent survenir quelques heures, voire quelques semaines après la prise de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés et peuvent affecter des patients de toute classe d'âge, de même que des patients sans facteurs de risque préexistants.
  • +Dès l'apparition des premiers signes ou symptômes d'un effet indésirable grave, la prise de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés doit être arrêtée immédiatement. Il convient d'éviter l'utilisation de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés chez les patients ayant déjà eu des effets indésirables graves lors de traitements par les fluoroquinolones.
  • +Tendinites et ruptures tendineuses
  • +Des tendinites et des ruptures tendineuses bilatérales, en particulier touchant le tendon d'Achille, peuvent survenir avec les fluoroquinolones, y compris la moxifloxacine, dès les premières 48 heures qui suivent le début du traitement, mais aussi éventuellement plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Le risque de tendinite ou de rupture tendineuse est majoré chez les patients de plus de 60 ans, chez les patients présentant un trouble de la fonction rénale, chez les patients ayant subi une greffe d'organes solides, en cas d'administration concomitante de corticostéroïdes et en cas d'activité physique astreignante.
  • +L’utilisation concomitante de corticostéroïdes doit donc être évitée.
  • +En cas de suspicion de tendinite, le traitement par la moxifloxacine doit être immédiatement arrêté et un traitement approprié du ou des tendon(s) affecté(s) doit être instauré (p.ex. immobilisation).
  • +En cas de signes de tendinopathie, les corticostéroïdes ne doivent pas être utilisés.
  • +Neuropathie périphérique
  • +Chez les patients traités par des fluoroquinolones, y compris la moxifloxacine, des cas de polyneuropathies sensorielles ou sensorimotrices ont été rapportés; ils peuvent être associés à une paresthésie, hypoesthésie, dysesthésie ou une sensation de faiblesse. De telles neuropathies peuvent se manifester rapidement. Les patients sous moxifloxacine doivent être avertis d'arrêter le traitement et de consulter leur médecin lors de l'apparition de symptômes neuropathiques tels que douleurs, sensation de brûlure, fourmillement, engourdissement ou sensation de faiblesse. Le risque possible de survenue d'une lésion irréversible des nerfs peut ainsi être réduit.
  • +Système nerveux central (SNC)
  • +Chez les patients traités par fluoroquinolones, y compris la moxifloxacine, un risque accru d'effets indésirables sur le système nerveux central pouvant se manifester dès la première administration ont été observés tels que crises convulsives, pression intracrânienne accrue (y compris pseudo-tumeur cérébrale), tremor, psychose toxique.
  • +Les fluoroquinolones telles que la moxifloxacine peuvent déclencher des crises convulsives ou abaisser le seuil convulsif. Lors de l'apparition de crises convulsives, le traitement par Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés doit être interrompu. Chez les patients épileptiques ou porteurs d'autres lésions du système nerveux central (p.ex. abaissement du seuil convulsif, antécédents de crises épileptiques, diminution de la circulation cérébrale, modifications de la structure cérébrale ou accident vasculaire cérébral), Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculé n'est à utiliser qu'après une soigneuse évaluation des risques et du bénéfice attendu car ces patients encourent des risques par d'éventuels effets secondaires au niveau du système nerveux central.
  • +Des réactions psychiatriques (nervosité, agitation, insomnie, états anxieux, cauchemars, pensées paranoïdes, confusion, tremor, hallucinations et dépression) sont également possibles dès la première prise de fluoroquinolones, p.ex. la moxifloxacine.
  • +Dans de très rares cas, une dépression ou des réactions psychotiques se sont aggravées et ont conduit à des idées suicidaires ou un comportement autodestructeur comme des tentatives de suicide (cf. rubrique «Effets indésirables»). Lors de l'apparition de telles réactions, il faut arrêter le traitement par Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés et instaurer des mesures adéquates. La prudence est de rigueur lors de la prescription de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés à des patients psychotiques ou à des patients ayant des antécédents de maladies psychiatriques.
  • +Anévrisme aortique et dissection aortique, et régurgitation/insuffisance des valves cardiaques
  • +Des études épidémiologiques ont mis en évidence, en particulier chez les patients âgés, un risque accru de survenue d'anévrisme aortique et de dissection aortique ainsi que de régurgitation de la valve aortique et mitrale suite à un traitement par des fluoroquinolones. Des cas d'anévrisme aortique et de dissection, parfois compliqués par une rupture (y compris mortelle), et de régurgitation/insuffisance de l'une des valves cardiaques ont été signalés chez des patients recevant des fluoroquinolones (voir «Effets indésirables»).
  • +Aussi les fluoroquinolones ne doivent-elles être utilisées qu'après une analyse attentive du rapport bénéfices-risques et prise en compte des alternatives thérapeutiques chez les patients ayant des antécédents familiaux positifs d'anévrisme, de valvulopathie cardiaque congénitale, ou chez qui un anévrisme et/ou une dissection aortique ou une maladie de la valve cardiaque pré-existant(e) a déjà été diagnostiqué(e) ou qui présentent d'autres facteurs de risque ou de prédisposition
  • +•à l'anévrisme et la dissection de l'aorte et la régurgitation/insuffisance des valves cardiaques (par exemple, troubles du tissu conjonctif tels que le syndrome de Marfan ou le syndrome d'Ehlers Danlos, le syndrome de Turner, la maladie de Bechet, l'hypertension, la polyarthrite rhumatoïde) ou aditionellement
  • +•à un anévrisme aortique et une dissection (par exemple, des troubles vasculaires tels que l'artérite de Takayasu ou l'artérite à cellules géantes, ou une athérosclérose connue, ou le syndrome de Sjögren) ou aditionnellement
  • +•à la régurgitation/insuffisance des valves cardiaques (par exemple, endocardite infectieuse).
  • +Le risque d'anévrisme aortique et de dissection, et leur rupture peut également être augmenté chez les patients traités simultanément avec des corticostéroïdes systémiques.
  • +Les patients doivent être avertis de la nécessité de se rendre immédiatement aux urgences pour être examinés par un médecin en cas d'apparition soudaine de douleurs abdominales, thoraciques ou dorsales.
  • +Il convient de conseiller aux patients de consulter immédiatement un médecin en cas de dyspnée aiguë, d'apparition de nouvelles palpitations cardiaques ou de développement d'un oedème de l'abdomen ou des membres inférieurs.
  • +Organe de la vue
  • +En cas de troubles de la vue ou de l'organe de la vue, il faut consulter l'ophtalmologue sans délai.
  • +Hépatite
  • +Des cas d’hépatite fulminante, allant éventuellement jusqu’à une défaillance hépatique totale (y compris des cas de décès), ont été rapportés sous moxifloxacine (voir rubrique «Effets indésirables»). Il faut informer les patients qu’ils doivent immédiatement consulter un médecin lorsqu’ils développent des signes et des symptômes d’hépatite fulminante comme une asthénie au développement rapide accompagnée d’un ictère, des urines foncées, une tendance aux saignements ou une encéphalopathie hépatique. La fonction hépatique doit être contrôlée en cas de signes évoquant un trouble.
  • +Effets indésirables cutanés sévères
  • +Des effets indésirables cutanés sévères, incluant la nécrolyse épidermique toxique (également connue sous le nom de syndrome de Lyell), le syndrome de Stevens-Johnson et la Pustulose Exanthématique Aiguë Généralisée (PEAG), pouvant engager le pronostic vital voire être fatals, ont été rapportés avec la moxifloxacine (voir rubrique «Effets indésirables»). Au moment de la prescription, les patients doivent être informés des signes et symptômes de réactions cutanées sévères et être étroitement surveillés. Si des signes et symptômes évocateurs de ces réactions apparaissent, la moxifloxacine doit être arrêtée immédiatement et un autre traitement doit être envisagé. Si le patient a développé une réaction grave telle qu'un syndrome de Stevens Johnson, une nécrolyse épidermique toxique ou une Pustulose Exanthématique Aiguë Généralisée (PEAG) lors de l'utilisation de moxifloxacine, le traitement par la moxifloxacine ne doit à aucun moment être repris chez ce patient.
  • +Colite pseudomembraneuse
  • +Myasthénie grave
  • +Neisseria gonorrhoeae
  • +La maladie inflammatoire pelvienne peut être provoquée par Neisseria gonorrhoeae résistant aux fluoroquinolones. C'est pourquoi dans ces cas, le traitement empirique par la moxifloxacine doit être complété par un autre antibiotique approprié (p.ex. une céphalosporine), sauf si la présence de Neisseria gonorrhoeae résistant à la moxifloxacine peut être exclue. Si aucune amélioration clinique n'intervient au bout de 3 jours de traitement, il convient de réévaluer la thérapie.
  • +Déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase
  • -Les quinolones peuvent provoquer des réactions de photosensibilité. Dans les études, la moxifloxacine a toutefois présenté un faible risque de déclenchement d’une photosensibilité. Il faut néanmoins conseiller aux patients d’éviter les rayons UV pendant le traitement par la moxifloxacine et de ne pas s’exposer de manière excessive à la lumière solaire.
  • +Troubles glycémiques
  • +Comme pour toutes les fluoroquinolones, des troubles glycémiques ont également été décrits pour la moxifloxacine, entre autres des hypoglycémies et des hyperglycémies. Chez les patients traités par Moxifloxacine, une dysglycémie est apparue, surtout chez des diabétiques âgés, qui prennent en même temps un antidiabétique oral (p.ex. sulfonylurée) ou de l'insuline. Chez les diabétiques, une surveillance étroite de la glycémie est recommandée (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Réactions de photosensibilité
  • +Les fluoroquinolones peuvent provoquer des réactions de photosensibilité. Dans les études, la moxifloxacine a toutefois présenté un faible risque de déclenchement d’une photosensibilité. Il faut néanmoins conseiller aux patients d’éviter les rayons UV pendant le traitement par la moxifloxacine et de ne pas s’exposer de manière excessive à la lumière solaire.
  • +Réactions allergiques
  • +
  • -La moxifloxacine n’est pas recommandée dans le traitement des infections provoquées par S. aureus résistant à la méthicilline (SARM). En cas d’infection à SARM présumée ou avérée, le traitement doit être initié avec un anti-infectieux approprié.
  • -Chez les patients traités par des quinolones comme p.ex. la moxifloxacine, des cas de polyneuropathies sensorielles ou senso-motrices ont été rapportés, ils peuvent être associés à une paresthésie, hypesthésie, dysesthésie ou une sensation de faiblesse. Les patients sous moxifloxacine doivent être avertis de demander l’avis de leur médecin avant de poursuivre le traitement lors de l’apparition de symptômes neuropathiques tels que douleurs, sensation de brûlure, fourmillement, engourdissement ou sensation de faiblesse (cf. rubrique «Effets indésirables»).
  • -Des réactions psychiatriques sont également possibles dès la première prise de fluoroquinolones p.ex. la moxifloxacine. Dans des cas exceptionnels, une dépression ou des réactions psychotiques se sont aggravées et ont conduit à des idées suicidaires ou un comportement autodestructeur comme des tentatives de suicide (cf. rubrique «Effets indésirables»). Lors de l’apparition de telles réactions, il faut interrompre le traitement par moxifloxacine et instaurer des mesures adéquates. La prudence est de rigueur lors de la prescription d’ moxifloxacine à des patients psychotiques ou des patients ayant des antécédents de maladies psychiatriques.
  • +Infections à SARM
  • +La moxifloxacine n’est pas recommandée dans le traitement des infections provoquées par S. aureus résistant à la méthicilline (SARM). En cas d’infection à SARM présumée ou avérée, le traitement doit être instauré avec un anti-infectieux approprié.
  • +Teneur en sodium du comprimé pelliculés
  • +Moxifloxacin Rivopharm comprimés pelliculés contiennent moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Moxifloxacin Rivopharm comprimés pelliculés contiennent du Jaune orangé S (E 110) qui peut provoquer des réactions allergiques.
  • -Aucune interaction ne s’est manifestée lors de l’administration en parallèle de la moxifloxacine et de la théophylline, la ranitidine, le probénécide, les contraceptifs oraux, l’itraconazole ou la warfarine. Des études in vitro avec des enzymes humains du cytochrome P-450 étayent ces résultats. En considération de ces données, il n’y a pas lieu de craindre d’interactions métaboliques par des enzymes du cytochrome P-450.
  • +Aucune interaction ne s’est manifestée lors de l’administration concomitante de la moxifloxacine et de la théophylline, la ranitidine, le probénécide, la cyclosporine, les contraceptifs oraux, l’itraconazole ou la warfarine. Des études in vitro avec des enzymes humains du cytochrome P-450 étayent ces résultats. En considération de ces données, il n’y a pas lieu de craindre d’interactions métaboliques par des enzymes du cytochrome P-450.
  • -Morphine
  • -Chez des volontaires sains, aucun effet pertinent sur l’ASC et la Cmax de la moxifloxacine d’une dose de 10 mg de morphine i.m. n’a pu être prouvé après une dose unique de 400 mg p.o.
  • +Glibenclamide
  • +Chez des diabétiques qui avaient été traités au préalable par 2,5 mg de glibenclamide une fois par jour pendant 2 semaines et avaient pris ensuite en plus 400 mg par jour de moxifloxacine pendant 5 jours, une diminution de l’ASC moyenne de 12% et une diminution de la Cmax de 21% ont été constatées par comparaison avec le placebo. Les glycémies ont cependant été un peu plus faibles chez les patients ayant pris le glibenclamide et la moxifloxacine que chez les patients n’ayant pris que le glibenclamide. On suppose donc que la moxifloxacine ne perturbe pas l’efficacité du glibenclamide. Ces résultats d’interactions sont considérés comme cliniquement non significatifs.
  • +Effet de Moxifloxacin Rivopharm 400 mg sur d'autres medicaments
  • -Compléments en calcium oraux
  • -Chez des volontaires sains, aucun effet pertinent sur l’ASC et la Cmax d’une dose unique de 400 mg p.o. de moxifloxacine n’a pu être prouvé lors de l’administration concomitante de 500 mg de calcium oral suivi par d’autres administrations après 12 et 24 heures.
  • -Glibenclamide
  • -Chez des diabétiques qui avaient été traités au préalable par 2,5 mg de glibenclamide une fois par jour pendant 2 semaines et avaient pris ensuite en plus 400 mg par jour de moxifloxacine pendant 5 jours, une diminution de l’ASC moyenne de 12% et une diminution de la Cmax de 21% ont été constatées par comparaison avec le placebo. Les glycémies ont cependant été un peu plus faibles chez les patients ayant pris le glibenclamide et la moxifloxacine que chez les patients n’ayant pris que le glibenclamide. On suppose donc que la moxifloxacine ne perturbe pas l’efficacité du glibenclamide. Ces résultats d’interactions sont considérés comme cliniquement non significatifs.
  • -Préparations à base de magnésium/aluminium
  • -Un intervalle d’environ 6 heures devrait être respecté entre l’administration d’un médicament contenant des cations bi ou trivalents (p.ex. antiacides à base de magnésium ou d’aluminium, comprimés de didanosine, sucralfate, médicaments à base de fer ou de zinc) et l’administration des comprimés filmés de Moxifloxacine Rivopharm.
  • -Un effet additif de la moxifloxacine et des médicaments suivants sur l’allongement du QT ne peut être exclu: antiarythmiques des classes IA (p.ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), neuroleptiques (p.ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride), antidépresseurs tricycliques, certains principes actifs antimicrobiens (sparfloxacine, érythromycine i.v., pentamidine, antipaludéens, en particulier halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine) et autres (cisapride, vincamine i.v.). Ceci pourrait entraîner un risque accru d’arythmies ventriculaires, notamment de torsades de pointe. La moxifloxacine est donc contre-indiquée chez les patients traités par ces médicaments (voir aussi «Contre-indications»).
  • +Un effet additif de la moxifloxacine et des médicaments suivants sur l’allongement du QT ne peut être exclu: antiarythmiques des classes IA (p.ex. quinidine, hydroquinidine, disopyramide) et III (p.ex. amiodarone, sotalol, dofétilide, ibutilide), neuroleptiques (p.ex. phénothiazines, pimozide, sertindole, halopéridol, sultopride), antidépresseurs tricycliques, certains principes actifs antimicrobiens (sparfloxacine, érythromycine i.v., pentamidine, antipaludéens, en particulier halofantrine), certains antihistaminiques (mizolastine) et autres (cisapride, vincamine i.v.). Ceci pourrait entraîner un risque accru d’arythmies ventriculaires, notamment de torsades de pointes. La moxifloxacine est donc contre-indiquée chez les patients traités par ces médicaments (voir aussi «Contre-indications»).
  • +Effet d'autres médicaments sur Moxifloxacin Rivopharm 400 mg
  • +Morphine
  • +Chez des volontaires sains, aucun effet pertinent sur l’ASC et la Cmax de la moxifloxacine d’une dose de 10 mg de morphine i.m. n’a pu être prouvé après une dose unique de 400 mg p.o.
  • +Compléments en calcium oraux
  • +Chez des volontaires sains, aucun effet pertinent sur l’ASC et la Cmax d’une dose unique de 400 mg p.o. de moxifloxacine n’a pu être prouvé lors de l’administration concomitante de 500 mg de calcium oral suivi par d’autres administrations après 12 et 24 heures
  • +Préparations à base de magnésium/aluminium
  • +Un intervalle d’environ 6 heures devrait être respecté entre l’administration d’un médicament contenant des cations bivalents ou trivalents (p.ex. antiacides à base de magnésium ou d’aluminium, comprimés de didanosine, sucralfate, médicaments à base de fer ou de zinc) et l’administration de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés.
  • -En cas d’administration concomitante de charbon actif et de comprimés filmés de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg, l’absorption du principe actif est inhibée, la disponibilité systémique de la moxifloxacine est réduite de plus de 80%. C’est pourquoi l’administration concomitante des deux médicaments n’est pas recommandée (voir aussi «Surdosage»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +En cas d’administration concomitante de charbon actif et de comprimés pelliculés de Moxifloxacine Rivopharm 400 mg, l’absorption du principe actif est inhibée, la disponibilité systémique de la moxifloxacine est réduite de plus de 80%. C’est pourquoi l’administration concomitante des deux médicaments n’est pas recommandée (voir aussi «Surdosage»).
  • +Grossesse, allaitement
  • -Aucune étude n’a été effectuée sur l’effet de la moxifloxacine sur l’aptitude à la conduite ou la vigilance. Les fluoroquinolones peuvent diminuer l’aptitude des patients à conduire une voiture et à travailler sur des machines, du fait de réactions SNC comme l’apathie et les troubles visuels. Dans les études cliniques sur la moxifloxacine, l’incidence de l’apathie a été de 2,9%. Les patients doivent être attentifs à leur réaction à la moxifloxacine avant de prendre le volant ou de travailler sur des machines.
  • +Aucune étude n’a été effectuée sur l’effet de la moxifloxacine sur l’aptitude à la conduite ou la vigilance. Les fluoroquinolones peuvent diminuer l’aptitude des patients à conduire une voiture et à utliser des machines, du fait de réactions du SNC comme l’apathie et les troubles visuels. Dans les études cliniques sur la moxifloxacine, l’incidence de l’apathie a été de 2,9%. Les patients doivent être attentifs à leur réaction à la moxifloxacine avant de prendre le volant ou d’utiliser des machines.
  • -Dans le cadre des essais cliniques portant sur 17’951 patients (mise à jour: mai 2010) ainsi que dans le cadre des mesures de pharmacovigilance (mise à jour des annonces: mai 2010), les effets indésirables suivants ont été observés après l’administration de la moxifloxacine.
  • +Dans le cadre des essais cliniques portant sur 17’951 patients (mise à jour: mai 2010) ainsi que dans le cadre des mesures de pharmacovigilance (mise à jour des annonces: mai 2010), les effets indésirables suivants ont été observés après l’administration de la moxifloxacine.
  • -Les fréquences sont définies comme suit: fréquent: 1–10%, occasionnel: 0,1–1%, rare: 0,01–0,1%, très rare: <0,01%.
  • +Les fréquences sont définies comme suit:
  • +Fréquents (≥1/100 à <1/10)
  • +Occasionnels (≥1/1000 à <1/100)
  • +Rares (≥1/10'000 à <1/1000)
  • +Très rares (<1/10'000)
  • +Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
  • -Fréquent (1–10%): surinfections mycotiques (candidose orale, candidose vaginale).
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Occasionnel (0,1–1%): anémie, leucopénie, neutropénie, thrombopénie, thrombocytose, élévation de l’INR/prolongation du temps de prothrombine.
  • -Rare (0,01–0,1%): valeurs de la thromboplastine en dehors de la norme, hémolyse.
  • -Très rare (<0,01%): élévation du taux de prothrombine/INR réduit, taux de prothrombine/INR en dehors de la norme.
  • -Troubles du système immunitaire
  • -Occasionnel (0,1–1%): réactions allergiques, urticaire, éosinophilie.
  • -Rare (0,01–0,1%): réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, oedème allergique/angiooedème (y compris oedème du larynx; mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • -Très rare (<0,01%): choc anaphylactique/anaphylactoïde (mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • +Fréquent: surinfections mycotiques (candidose orale, candidose vaginale).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Occasionnel: anémie, leucopénie, neutropénie, thrombopénie, thrombocytose, élévation de l’INR/prolongation du temps de prothrombine.
  • +Rare: valeurs de la thromboplastine en dehors de la norme, hémolyse.
  • +Très rare: élévation du taux de prothrombine/INR réduit, taux de prothrombine/INR en dehors de la norme.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Occasionnel : réactions allergiques, urticaire, éosinophilie.
  • +Rare : réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, oedème allergique/angio-oedème (y compris oedème du larynx; mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • +Très rare: choc anaphylactique/anaphylactoïde (mettant potentiellement en jeu le pronostic vital).
  • -Occasionnel (0,1–1%): hyperlipidémie, hyperglycémie.
  • -Rare (0,01–0,1%): hyperuricémie.
  • -Très rare (<0,01%): hypernatriémie, hypercalcémie.
  • -Troubles psychiatriques
  • -Occasionnel (0,1–1%): états anxieux, hyperactivité motrice/agitation, confusion, nervosité.
  • -Rare (0,01–0,1%): instabilité émotionnelle, dépressions (dans de très rares cas jusqu’à un comportement dangereux pour la personne comme p.ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide), hallucinations, pensées confuses.
  • -Très rare (<0,01%): dépersonnalisation, réactions psychotiques (jusqu’ à un comportement dangereux pour la personne comme p.ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide).
  • -Troubles du système nerveux
  • -Fréquent (1–10%): céphalées, torpeur.
  • -Occasionnel (0,1–1%): paresthésies et dyesthésies, troubles du goût (y compris de très rares cas d’agueusie), confusion, troubles de l’orientation, troubles du sommeil, tremor, vertiges, somnolence.
  • -Rare (0,01–0,1%): hypesthésie, troubles de l’odorat (y compris anosmie), insomnie, rêves anormaux, troubles de la coordination (y compris troubles de la marche à la suite de vertiges et de torpeur, dans de très rares cas ceci peut entraîner des chutes avec blessures, particulièrement chez les patients âgés), convulsions de degrés cliniques différents (y compris convulsions toniques-cloniques), déficits de l’attention, troubles du langage, amnésie, troubles de l’équilibre y compris ataxie, troubles du goût de longue durée, neuropathie périphérique et polyneuropathie.
  • -Très rare (<0,01): hyperesthésie.
  • -Troubles oculaires
  • -Occasionnel (0,1–1%): troubles de la vue (particulièrement en rapport avec des effets indésirables sur le SNC), amblyopie
  • -Très rare (<0,01%): perte transitoire des capacités visuelles (notamment en rapport avec des effets indésirables sur le SNC).
  • -Troubles de l’oreille et du conduit auditif
  • -Rare (0,01–0,1%): acouphènes, perturbation de la capacité auditive y compris surdité (normalement réversible).
  • -Troubles cardiaques
  • -Fréquent (1–10%): chez les patients souffrant également d’hypokaliémie: allongement de l’intervalle QT.
  • -Occasionnel (0,1–1%): patients présentant une normokaliémie: allongement de l’intervalle QT, palpitations, tachycardie.
  • -Rare (0,01–0,1%): tachyarythmies ventriculaires, syncopes, fibrillation auriculaire, angine de poitrine, arythmie ventriculaire.
  • -Très rare (<0,01%): arythmies non spécifiques, torsades de pointe et arrêt cardiaque surtout chez les patients souffrant de maladies primaires sévères prédisposant aux arythmies telles une bradycardie cliniquement significative ou une ischémie myocardique aiguë.
  • -Troubles vasculaires
  • -Occasionnel (0,1–1%): vasodilatation, hypertension.
  • -Rare (0,01–0,1%): hypotension, oedèmes du visage, oedèmes périphériques, oedèmes.
  • -Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
  • -Occasionnel (0,1–1%): dyspnée (y compris états asthmatiques), douleurs thoraciques.
  • -Rare (0,01–0,1%): asthme.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquent (1–10%): nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales et dans le bas ventre, diarrhée, dyspepsie.
  • -Occasionnel (0,1–1%): réduction de l’appétit et de la prise de nourriture, constipation, flatulence, gastroentérite (y compris gastroentérite érosive), augmentation de valeurs des amylases, sécheresse buccale, sensation générale de malaise.
  • -Rare (0,01–0,1%): dysphagie, stomatite, colite associée aux antibiotiques (dans de très rares cas avec complications mettant en jeu le pronostic vital), glossite.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -Fréquent (1–10%): élévation des transaminases.
  • -Occasionnel (0,1–1%): troubles de la fonction hépatique (y compris élévation LDH), élévation des taux de bilirubine, des GGT, des taux sanguins de la phosphatase alcaline.
  • -Rare (0,01–0,1%): ictère, hépatite (principalement cholestatique).
  • -Très rare (<0,01%): hépatite fulminante, pouvant potentiellement entraîner une insuffisance hépatique pouvant mettre en jeu le pronostic vital (y compris décès, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Occasionnel (0,1–1%): rash, prurit, transpiration.
  • -Rare (0,01–0,1%): sécheresse de la peau.
  • -Très rare (<0,01%): des réactions cutanées bulleuses du type syndrome de Stevens-Johnson ou nécrolyse épidermique toxique (menaçant éventuellement le pronostic vital, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles musculosquelettique, du tissu conjonctif et des os)
  • -Occasionnel (0,1–1%): arthralgie, myalgie, douleurs non spécifiques.
  • -Rare (0,01–0,1%): arthrite, tendinite, augmentation du tonus musculaire, crampes musculaires, faiblesse musculaire, douleurs dans les jambes, douleurs dans le bassin, douleurs dorsales.
  • -Très rare (<0,01%): rupture tendineuse, troubles de la marche (entraînés par des troubles touchant les muscles, les tendons ou les articulations). Aggravation des symptômes liés à une myasthénie grave (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Occasionnel (0,1–1%): déshydratation à la suite de diarrhées ou d’une ingestion réduite de liquide.
  • -Rare (0,01–0,1%): troubles de la fonction rénale, élévation de l’urée ou de la créatinine, insuffisance rénale aiguë (à la suite d’une déshydratation, particulièrement chez les patients plus âgés avec maladie rénale préexistante).
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • -Rare (0,01–0,1%): vaginite.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
  • -Rare (0,01–0,1%): asthénie.
  • +Occasionnel : hyperlipidémie, hyperglycémie.
  • +Rare : hyperuricémie, hypoglycémie.
  • +Très rare : hypernatriémie, hypercalcémie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Occasionnel : états anxieux, hyperactivité psychomotrice/agitation, confusion, nervosité.
  • +Rare : instabilité émotionnelle, dépressions (dans de très rares cas jusqu’à un comportement dangereux pour la personne comme p.ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide), hallucinations, pensées confuses.
  • +Très rare : dépersonnalisation, réactions psychotiques (jusqu’ à un comportement dangereux pour la personne comme p.ex. idées suicidaires ou tentatives de suicide).
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquent: céphalées, obnubilation.
  • +Occasionnel : paresthésies et dyesthésies, troubles du goût (y compris de très rares cas d’agueusie), confusion, troubles de l’orientation, troubles du sommeil, tremor, vertiges, somnolence.
  • +Rare : hypoesthésie, troubles de l’odorat (y compris anosmie), insomnie, rêves anormaux, troubles de la coordination (y compris troubles de la marche à la suite de vertiges et d’obnubilation, dans de très rares cas ceci peut entraîner des chutes avec blessures, particulièrement chez les patients âgés), convulsions de degrés cliniques différents (y compris convulsions toniques-cloniques), déficits de l’attention, troubles du langage, amnésie, troubles de l’équilibre y compris ataxie, troubles du goût de longue durée, neuropathie périphérique et polyneuropathie.
  • +Très rare : hyperesthésie.
  • +Affections oculaires
  • +Occasionnel : troubles de la vue (particulièrement en rapport avec des effets indésirables sur le SNC), amblyopie
  • +Très rare : perte transitoire de l’acuité visuelle (notamment en rapport avec des effets indésirables sur le SNC).
  • +Affections de l’oreille et du labyrinthe
  • +Rare : acouphènes, perturbation de l’acuité auditive y compris surdité (normalement réversible).
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquent : chez les patients souffrant également d’hypokaliémie: allongement de l’intervalle QT.
  • +Occasionnel : patients présentant une normokaliémie: allongement de l’intervalle QT, palpitations, tachycardie.
  • +Rare : tachyarythmies ventriculaires, syncopes, fibrillation auriculaire, angine de poitrine, arythmie ventriculaire.
  • +Très rare : arythmies non spécifiques, torsades de pointes et arrêt cardiaque surtout chez les patients souffrant de maladies primaires sévères prédisposant aux arythmies telles une bradycardie cliniquement significative ou une ischémie myocardique aiguë.
  • +Des cas d'anévrisme aortique et de dissection, parfois compliqués par une rupture (y compris mortelle), et de régurgitation/insuffisance de l'une des valves cardiaques ont été signalés chez des patients recevant des fluoroquinolones (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections vasculaires
  • +Occasionnel : vasodilatation, hypertension.
  • +Rare : hypotension, oedèmes du visage, oedèmes périphériques, oedèmes.
  • +Des cas d'anévrisme aortique et de dissection, parfois compliqués par une rupture (y compris mortelle), et de régurgitation/insuffisance de l'une des valves cardiaques ont été signalés chez des patients recevant des fluoroquinolones (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnel : dyspnée (y compris états asthmatiques), douleurs thoraciques.
  • +Rare : asthme.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquent : nausées, vomissements, douleurs gastro-intestinales et dans le bas ventre, diarrhée, dyspepsie.
  • +Occasionnel : diminution de l’appétit et de l’ingestion de nourriture, constipation, flatulence, gastroentérite (y compris gastroentérite érosive), élévation des valeurs des amylases, sécheresse buccale, sensation générale de malaise.
  • +Rare : dysphagie, stomatite, colite associée aux antibiotiques (dans de très rares cas avec complications mettant en jeu le pronostic vital), glossite.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Fréquent : élévation des transaminases.
  • +Occasionnel : troubles de la fonction hépatique (y compris élévation de LDH), élévation des taux de bilirubine, des GGT, des taux sanguins de la phosphatase alcaline.
  • +Rare : ictère, hépatite (principalement cholestatique).
  • +Très rare : hépatite fulminante, pouvant potentiellement entraîner une défaillance hépatique pouvant mettre en jeu le pronostic vital (y compris décès, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Occasionnel : rash, prurit, transpiration.
  • +Rare : sécheresse de la peau.
  • +Très rare : des réactions cutanées bulleuses du type syndrome de Stevens-Johnson ou nécrolyse épidermique toxique (menaçant éventuellement le pronostic vital, voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence inconnue: Pustulose Exanthématique Aiguë Généralisée (PEAG).
  • +Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif
  • +Occasionnel : arthralgie, myalgie, douleurs non spécifiques.
  • +Rare : arthrite, tendinite, augmentation du tonus musculaire, crampes musculaires, faiblesse musculaire, douleurs dans les jambes, douleurs dans le bassin, douleurs dorsales.
  • +Très rare : rupture tendineuse, troubles de la marche (entraînés par des troubles touchant les muscles, les tendons ou les articulations). Aggravation des symptômes liés à une myasthénie grave (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Fréquence inconnue: rhabdomyolyse.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Occasionnel : déshydratation à la suite de diarrhées ou d’une ingestion réduite de liquide.
  • +Rare : troubles de la fonction rénale, élévation de l’urée ou de la créatinine, insuffisance rénale aiguë (à la suite d’une déshydratation, particulièrement chez les patients plus âgés avec maladie rénale préexistante).
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Rare : vaginite.
  • +Affections généraux et anomalies au site d’administration
  • +Rare : asthénie.
  • -Fréquent (1–10%): modifications des tests de la fonction hépatique (souvent élévation modérée des ASAT/ALAT et/ou de la bilirubine).
  • -Occasionnel (0,1–1%): élévation des gamma GT, élévation des amylases.
  • +Fréquent : modifications des tests de la fonction hépatique (souvent élévation modérée des ASAT/ALAT et/ou de la bilirubine).
  • +Occasionnel : élévation des gamma GT, élévation des amylases.
  • -Occasionnel: tachyarythmies ventriculaires, hypotension, oedèmes, colite associée aux antibiotiques (y compris colite pseudomembraneuse, dans de très rares cas avec complications mettant en jeu le pronostic vital), convulsions y compris crises de grand mal, hallucination, troubles de la fonction rénale (y compris augmentation du taux sanguin d’urée et de créatinine) et insuffisance rénale aiguë.
  • +Occasionnel: tachyarythmies ventriculaires, hypotension, oedèmes, colite associée aux antibiotiques (y compris colite pseudomembraneuse, dans de très rares cas avec complications mettant en jeu le pronostic vital), convulsions y compris crises de grand mal, hallucinations, troubles de la fonction rénale (y compris augmentation du taux sanguin d’urée et de créatinine) et défaillance rénale.
  • +Dans de très rares cas, des effets indésirables graves persistants (durant des mois ou des années) altérant la qualité de vie et potentiellement irréversibles ont été rapportés en lien avec l'utilisation de quinolones et de fluoroquinolones. Ces effets indésirables touchaient différents, quelquefois plusieurs, système de classes d'organes et organes sensoriels (comprenant des effets indésirables tels que tendinite, rupture tendineuse, arthralgie, douleurs dans les extrémités, trouble de la marche, neuropathies associées à une paresthésie, dépression, fatigue, diminution de la mémoire, troubles du sommeil et altération de l'acuité auditive, de l'acuité visuelle, du goût et de l'odorat), dans certains cas indépendamment de facteurs de risque préexistants (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Il n’existe pas d’expérience de surdosage avec la moxifloxacine. Aucune mesure spécifique n’est recommandée après un surdosage accidentel, toutefois, il faut surveiller l’ECG en raison de la survenue potentielle d’un allongement de l‘intervalle QT. Un traitement symptomatique général doit être initié.
  • -Après un surdosage p.o., une administration de charbon actif au cours de la phase précoce de résorption peut être utile afin d’éviter des taux plasmatiques trop élevés (voir rubrique «Interactions»).
  • +Il n’existe pas d’expérience de surdosage avec la moxifloxacine.
  • +Traitement
  • +Aucune mesure spécifique n’est recommandée après un surdosage accidentel, toutefois, il faut surveiller l’ECG en raison de la survenue potentielle d’un allongement de l‘intervalle QT. Un traitement symptomatique général doit être initié.
  • +Après un surdosage p.o., une administration de charbon actif au cours de la phase précoce de résorption peut être utile afin d’éviter des taux plasmatiques trop élevés (voir rubrique «Interactions»).
  • -Code ATC: J01MA14
  • +Code ATC:
  • +J01MA14
  • -La moxifloxacine est également efficace contre des bactéries résistantes aux antibiotiques β-lactames et macrolides. L’expérimentation animale confirme que son activité contre les bactéries Gram positives et négatives est comparable in vivo et in vitro.
  • +La moxifloxacine est également efficace contre des bactéries résistantes aux antibiotiques β-lactames et macrolides. L’expérimentation animale confirme que son activité contre les bactéries Gram positives et Gram négatives est comparable in vivo et in vitro.
  • -La résistance à la moxifloxacine se développe lentement, par mutations en plusieurs étapes, et provient de modifications des sites de liaison (p.ex. au niveau des topo-isomérases II et IV), et par mécanisme d’efflux. L’incidence des résistances est très faible (10–10). L’exposition répétée de germes à des concentrations sous-inhibitrices n’a fait qu’augmenter légèrement les CMI.
  • +La résistance à la moxifloxacine se développe lentement, par mutations en plusieurs étapes, et provient de modifications des sites de liaison (p.ex. au niveau des topo-isomérases II et IV), et par mécanisme d’efflux. L’incidence des résistances est très faible (10–7–10–10). L’exposition répétée de germes à des concentrations sous-inhibitrices n’a fait qu’augmenter légèrement les CMI.
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -S. pneumoniae ≤1 mg/l≥18 mm 2 mg/l15–17 mm ≥4 mg/l≤14 mm
  • -Haemophilus spp. ≤1 mg/l≥18 mm –– ––
  • -Staphylococcus spp. ≤0,5 mg/l≥24 mm 1 mg/l21–23 mm ≥2 mg/l≤20 mm
  • +S. pneumoniae ≤1 mg/l ≥18 mm 2 mg/l 15–17 mm ≥4 mg/l ≤14 mm
  • +Haemophilus spp. ≤1 mg/l ≥18 mm – – –
  • +Staphylococcus spp. ≤0,5 mg/l ≥24 mm 1 mg/l 21–23 mm ≥2 mg/l ≤20 mm
  • -La prévalence de la résistance acquise peut varier selon la zone géographique et l’époque pour certaines espèces, il est souhaitable de pouvoir disposer des informations locales sur les résistances, en particulier lorsqu’il s’agit de traiter de graves infections. Si nécessaire, il faut demander l’avis d’un expert lorsque la prévalence locale de la résistance met en cause le bénéfice du principe actif pour au moins quelques infections.
  • +La fréquence de la résistance acquise peut varier selon la zone géographique et l’époque pour certaines espèces, il est souhaitable de pouvoir disposer des informations locales sur les résistances, en particulier lorsqu’il s’agit de traiter de graves infections. Si nécessaire, il faut demander l’avis d’un expert lorsque la prévalence locale de la résistance met en cause le bénéfice du principe actif pour au moins quelques infections.
  • -Streptococcus dysgalactiae. Streptococcus milleri groupe (S. anginosus*, S. constellatus* et S. intermedius*).
  • +Streptococcus dysgalactiae.
  • +Streptococcus milleri groupe (S. anginosus*, S. constellatus* et S. intermedius*).
  • -Haemophilus influenzae(y compris souches βlactamase-négative et -positive)*.
  • +Haemophilus influenzae(y compris souches β-lactamase-négative et -positive)*.
  • -Moraxella (Branhamella) catarrhalis (y compris souches βlactamase-négative et -positive)*.
  • +Moraxella (Branhamella) catarrhalis (y compris souches β-lactamase-négative et -positive)*.
  • -+ Moxifloxacine Rivopharm n’est pas recommandé dans le traitement des infections provoquées par S. aureus résistant à la méthicilline (SARM). En cas d’infection à SARM présumée ou avérée, il faut administrer un anti-infectieux adéquat.
  • -Sensibilité des agents pathogènes responsables de la PID (Pelvic Inflammatory Disease)
  • -Parmi les agents pathogènes généralement associés à la PID, Gardnerella vaginalis, Mycoplasma hominis, Mycoplasma genitalium et Chlamydia trachomatis peuvent être considérés comme sensibles. Neisseria gonorrhoeae s’avère souvent rèsistant.
  • ++ Moxifloxacine Rivopharm 400 mg comprimés pelliculés n’est pas recommandé dans le traitement des infections provoquées par S. aureus résistant à la méthicilline (SARM). En cas d’infection à SARM présumée ou avérée, il faut administrer un anti-infectieux adéquat.
  • +Sensibilité des agents pathogènes responsables de la PID (Pelvic Inflammatory Disease)Parmi les agents pathogènes généralement associés à la PID, Gardnerella vaginalis, Mycoplasma hominis, Mycoplasma genitalium et Chlamydia trachomatis peuvent être considérés comme sensibles. Neisseria gonorrhoeae s’avère souvent rèsistant.
  • -Chez les patients présentant une infection à pneumocoques acquise en ambulatoire, ces marqueurs sont généralement moin élevés, c.-à-d. les quotients ASC/CMI90 supérieurs à 30-40 sont associès à une guérison clinique. Le tableau suivant fournit les marqueurs PC/PD correspondants à une administration intraveineuse et orale par rapport à une dose unique de 400 mg de moxifloxacine :
  • -Forme galénique Intraveineuse
  • -Paramètre(moyennes) ASIC/CMI90[h] Cmax/CMI901
  • +Chez les patients présentant une infection à pneumocoques acquise en ambulatoire, ces marqueurs sont généralement moins élevés, c.-à-d. les quotients ASC/CMI90 supérieurs à 30-40 laissent entrevoir une guérison clinique. Le tableau suivant fournit les marqueurs PC/PD correspondants à une administration intraveineuse et orale par rapport à une dose unique de 400 mg de moxifloxacine :
  • +Forme galénique Intraveineuse
  • +Paramètre (moyennes) ASIC/CMI90 [h] Cmax/CMI901
  • -
  • -Forme galénique Orale
  • -Paramètre(moyennes) ASIC/CMI90[h] Cmax/CMI901
  • +
  • +Forme galénique Orale
  • +Paramètre (moyennes) ASIC/CMI90 [h] Cmax/CMI901
  • -.
  • +Efficacité clinique
  • +Voir le paragraphe «Mécanisme d'action».
  • -Absorption et biodisponibilité
  • +Absorption
  • -La prise simultanée d’aliments et de moxifloxacine prolonge d’environ 2 heures la durée pour atteindre les pics de concentration du principe actif et abaisse le pic de concentration d’environ 16%. Dans l’ensemble, l’importance de l’absorption reste cependant inchangée. C’est pourquoi la moxifloxacine peut être administrée sans tenir compte des repas.
  • +L'ingestion concomitante d’aliments et de moxifloxacine prolonge d’environ 2 heures la durée pour atteindre les pics de concentration du principe actif et abaisse le pic de concentration d’environ 16%. Dans l’ensemble, l’importance de l’absorption reste cependant inchangée. C’est pourquoi la moxifloxacine peut être administrée sans tenir compte des repas.
  • -Les pics de concentration suivants (moyenne géom.) ont été mesurés après la prise orale unique de 400 mg de moxifloxacine:
  • -Tissu Concentration Rapport tissu/plasma
  • +Les pics de concentration suivants (moyenne géom.) ont été mesurés après l’administration orale unique de 400 mg de moxifloxacine:
  • +Tissu Concentration Rapport tissu/plasma
  • -Macrophages alvéolaires 56,7 mg/kg 18,6–70,0
  • +Macrophages alvéolaires 56,7 mg/kg 18,6–70,0
  • -Liquide interstitiel 1,0² mg/l 0,8–1,4²³
  • +Liquide interstitiel 1,0² mg/l 0,8–1,4²,³
  • -L’administration simultanée de ranitidine et de probénécide n’a pas modifié la clairance rénale de la moxifloxacine.
  • +L’administration concomitante de ranitidine et de probénécide n’a pas modifié la clairance rénale de la moxifloxacine.
  • -Des concentrations plasmatiques plus élevées sont observées chez les volontaires de faible poids corporel (comme les femmes) et chez les volontaires âgés.
  • -Insuffisance rénale
  • -Après dose unique, les courbes de concentration plasmatique/temps de moxifloxacine ont été comparables chez des insuffisants rénaux et chez des sujets sains. La clairance du métabolite M1, et surtout du M2, diminue proportionnellement à l’insuffisance rénale. Dans une étude portant sur 8 patients hémodialysés et 8 patients CAPD, après administration d’une dose unique et de doses répétées, l’ASC de M2 était supérieur d’un facteur de 7,5 et la Cmax de M2 supérieure d’un facteur de 2,5–3 lors de la comparaison historique avec des volontaires sains. Les métabolites de la moxifloxacine, M1 et M2, ne sont pas microbiologiquement actifs et la pertinence clinique de leur augmentation n’a pas été étudiée.
  • -Insuffisance hépatique
  • +Des concentrations plasmatiques plus élevées sont observées chez les volontaires de faible poids corporel (comme les femmes).
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Après dose unique, les courbes de concentration plasmatique/temps de moxifloxacine ont été comparables chez des insuffisants rénaux et chez des sujets sains. La clairance du métabolite M1, et surtout du M2, diminue proportionnellement à l’insuffisance rénale. Dans une étude portant sur 8 patients hémodialysés et 8 patients CAPD, après administration d’une dose unique et de doses répétées, l’ASC de M2 était supérieur d’un facteur de 7,5 et la Cmax de M2 supérieure d’un facteur de 2,5–3 lors de la comparaison historique avec des volontaires sains. Les métabolites de la moxifloxacine, M1 et M2, ne sont pas microbiologiquement actifs et la pertinence clinique de leur augmentation n’a pas été étudiée.
  • +Patients âgés
  • +Des concentrations plasmatiques plus élevées sont observées chez les volontaires âgés.
  • -La moxifloxacine était, à l’instar d’autres quinolones, génotoxique in vitro dans des bactéries et des cellules de mammifères. Étant donné que ces effets peuvent être attribués à l’interaction avec la gyrase bactérienne et – à une concentration nettement plus élevée – à l’interaction avec la topoisomérase II dans les cellules de mammifères, il est possible de définir une valeur seuil pour la génotoxicité. Dans des tests in vivo, aucun indice suggérant une génotoxicité n’a été retrouvé malgré des doses très élevées de moxifloxacine. Par conséquent, la marge de sécurité est suffisante lors d’un dosage thérapeutique chez l’homme. Dans un modèle d’initiation promotionnelle sur des rats, aucun indice sur un effet carcinogène de la moxifloxacine n’a été découvert.
  • +La moxifloxacine était, à l’instar d’autres quinolones, génotoxique in vitro dans des bactéries et des cellules de mammifères. Étant donné que ces effets peuvent être attribués à l’interaction avec la gyrase bactérienne et – à une concentration nettement plus élevée – à l’interaction avec la topoisomérase II dans les cellules de mammifères, il est possible de définir une valeur seuil pour la génotoxicité. Dans des tests in vivo, aucun indice suggérant une génotoxicité n’a été retrouvé malgré des doses très élevées de moxifloxacine. Par conséquent, la marge de sécurité est suffisante lors d’un dosage thérapeutique chez l’homme. Dans un modèle d’initiation promotionnelle sur des rats, aucun indice d’ un effet carcinogène de la moxifloxacine n’a été découvert.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Des études de reproduction sur des rats, des lapins et des singes montrent que la moxifloxacine passe la barrière placentaire. Des études menées sur des rats (p.o. et i.v.) et des singes (p.o.) n’ont fourni aucun indice de tératogénicité ou de diminution de la fertilité après l’administration de moxifloxacine. Chez des foetus de lapin, une incidence un peu plus élevée de malformations vertébrales et costales a été observée, toutefois seulement lors d’une dose clairement toxique pour la mère (20 mg/kg i.v.). À des concentrations plasmatiques dans la zone thérapeutique de l’homme, une incidence majorée d’avortement a été constatée chez les singes. Chez des rats ayant reçu des doses basées sur des mg/kg de 63 fois supérieures à la dose maximale recommandée et qui ont entraîné des concentrations plasmatiques dans la zone thérapeutique chez l’homme, on a observé un poids foetal diminué, une perte prénatale plus importante, une durée légèrement plus longue de la gestation et une activité spontanée augmentée chez quelques jeunes mâles et femelles.
  • +Autres données (toxicité locale, phototoxicité, immunotoxicité)
  • +
  • -Les quinolones sont connues pour provoquer des lésions dans le cartilage des grandes articulations chez les animaux en croissance. La plus faible dose orale de moxifloxacine associée à une toxicité articulaire chez les jeunes chiens, était quatre fois plus élevée que la dose thérapeutique recommandée de 400 mg (en estimant le poids corporel à 50 kg) sur une base de mg/kg avec des concentrations plasmatiques de deux à trois fois supérieures à celles de la dose thérapeutique maximale.
  • +Les fluoroquinolones sont connues pour provoquer des lésions dans le cartilage des grandes articulations chez les animaux en croissance. La plus faible dose orale de moxifloxacine associée à une toxicité articulaire chez les jeunes chiens, était quatre fois plus élevée que la dose thérapeutique recommandée de 400 mg (en estimant le poids corporel à 50 kg) sur une base de mg/kg avec des concentrations plasmatiques de deux à trois fois supérieures à celles de la dose thérapeutique maximale.
  • -Toxicité sur la reproduction
  • -Des études de reproduction sur des rats, des lapins et des singes montrent que la moxifloxacine passe la barrière placentaire. Des études menées sur des rats (p.o. et i.v.) et des singes (p.o.) n’ont fourni aucun indice de tératogénicité ou de diminution de la fertilité après l’administration de moxifloxacine. Chez des foetus de lapin, une incidence un peu plus élevée de malformations vertébrales et costales a été observée, toutefois seulement lors d’une dose clairement toxique pour la mère (20 mg/kg i.v.). À des concentrations plasmatiques dans la zone thérapeutique de l’homme, une incidence majorée d’avortement a été constatée chez les singes. Chez des rats ayant reçu des doses basées sur des mg/kg de 63 fois supérieures à la dose maximale recommandée et qui ont entraîné des concentrations plasmatiques dans la zone thérapeutique chez l’homme, on a observé un poids foetal diminué, une perte prénatale plus importante, une durée légèrement plus longue de la gestation et une activité spontanée augmentée chez quelques jeunes mâles et femelles.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +À conserver hors de la portée des enfants
  • +Conserver dans l'emballage original.
  • -Moxifloxacine Rivopharm 400 mg, comprimés filmés: 5, 7 et 10 (A)
  • +Moxifloxacine Rivopharm 400 mg, comprimés pelliculés: emballages à 5, 7 et 10 comprimés pelliculés. (A)
  • -Juin 2012.
  • +Mars 2021.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | Identification | Contact | Home