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Accueil - Information professionnelle sur Flutiform 50/5 - Changements - 21.07.2021
112 Changements de l'information professionelle Flutiform 50/5
  • -Principes actifs: propionate de fluticasone et fumarate de formotérol dihydraté.
  • -Excipients: apaflurane (HFA 227), cromoglycate de sodium, éthanol.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Suspension.
  • -Flutiform 50/5 µg, aérosol-doseur: chaque bouffée (délivrée par la valve) contient 50 µg de propionate de fluticasone et 5 µg de fumarate de formotérol dihydraté.
  • -Ceci équivaut à une dose délivrée (au travers de l'embout buccal) d'environ 46 µg de propionate de fluticasone et 4,5 µg de fumarate de formotérol dihydraté.
  • -Flutiform 125/5 µg, aérosol-doseur: chaque bouffée (délivrée par la valve) contient 125 µg de propionate de fluticasone et 5 µg de fumarate de formotérol dihydraté.
  • -Ceci équivaut à une dose délivrée (au travers de l'embout buccal) d'environ 115 µg de propionate de fluticasone et 4,5 µg de fumarate de formotérol dihydraté.
  • -Flutiform 250/10 µg, aérosol-doseur: chaque bouffée (délivrée par la valve) contient 250 µg de propionate de fluticasone et 10 µg de fumarate de formotérol dihydraté.
  • -Ceci équivaut à une dose délivrée (au travers de l'embout buccal) d'environ 230 µg de propionate de fluticasone et 9 µg de fumarate de formotérol dihydraté.
  • +Principes actifs
  • +Propionate de fluticasone, fumarate de formotérol dihydraté.
  • +Excipients
  • +Apaflurane (HFA 227), cromoglycate de sodium, éthanol.
  • -Flutiform 50/5 µg et Flutiform 125/5 µg sont indiqués chez l'adulte et l'adolescent âgé de 12 ans et plus.
  • -Flutiform 250/10 µg est indiqué uniquement chez l'adulte.
  • +Flutiform 50/5 µg, aérosol-doseur et Flutiform 125/5 µg, aérosol-doseur sont indiqués chez l'adulte et l'adolescent âgé de 12 ans et plus.
  • +Flutiform 250/10 µg, aérosol-doseur est indiqué uniquement chez l'adulte.
  • -Posologie
  • +Posologie usuelle
  • -Flutiform est délivré par un inhalateur pressurisé (pMDI – pressurised Metered Dose Inhaler) déclenché manuellement («breathe and press») muni d'un compteur de doses intégré. Chaque inhalateur délivre au moins 120 bouffées (soit 60 doses).
  • +Flutiform est délivré par un inhalateur pressurisé (pMDI – en anglais «pressurised Metered Dose Inhaler») déclenché manuellement («breathe and press») muni d'un compteur de doses intégré. Chaque inhalateur délivre au moins 120 bouffées (soit 60 doses).
  • -Si l'asthme reste mal contrôlé par les dosages de Flutiform 50/5 µg ou Flutiform 125/5 µg, la dose quotidienne totale du corticoïde inhalé peut encore être augmentée par l'administration du dosage supérieur de cette association. Flutiform 250/10 µg est uniquement réservé à l'utilisation chez l'adulte.
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • -Patients souffrant de maladies hépatiques ou rénales
  • -Aucune donnée n'est disponible concernant l'utilisation de Flutiform chez des patients insuffisants hépatiques ou rénaux (voir rubrique «Pharmacocinétique»). Il convient que ces patients soient régulièrement examinés par un médecin afin de rechercher la dose minimale efficace permettant de contrôler les symptômes. Etant donné que les composantes de la fluticasone et du formotérol passant dans la circulation systémique sont principalement éliminées via une métabolisation hépatique, un risque d'exposition accru n'est pas à exclure en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • +Si l'asthme reste mal contrôlé par les dosages de Flutiform 50/5 µg, la dose quotidienne totale du corticoïde inhalé peut encore être augmentée en passant à Flutiform 125/5 µg.
  • +Si l'asthme reste mal contrôlé par les dosages de Flutiform 125/5 µg, la dose quotidienne totale du corticoïde inhalé peut encore être augmentée en passant à Flutiform 250/10 µg.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique ou des troubles de la fonction rénale
  • +Aucune donnée n'est disponible concernant l'utilisation de Flutiform chez des patients insuffisants hépatiques ou rénaux (voir «Pharmacocinétique»). Il convient que ces patients soient régulièrement examinés par un médecin afin de rechercher la dose minimale efficace permettant de contrôler les symptômes. Etant donné que les composantes de la fluticasone et du formotérol passant dans la circulation systémique sont principalement éliminées via une métabolisation hépatique, un risque d'exposition accru n'est pas à exclure en cas d'insuffisance hépatique sévère.
  • -Population pédiatrique
  • -L'expérience avec Flutiform chez l'enfant âgé de moins de 12 ans est limitée (voir rubriques «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables», «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»).
  • +Enfants et adolescents
  • +L'expérience avec Flutiform chez l'enfant âgé de moins de 12 ans est limitée (voir «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables», «Propriétés/Effets» et «Pharmacocinétique»).
  • -L'utilisation d'une chambre d'inhalation avec Flutiform est recommandée chez les patients qui présentent des difficultés à synchroniser le déclenchement de l'aérosol et l'inspiration. La seule chambre d'inhalation recommandée avec Flutiform est la chambre AeroChamber Plus.
  • +Utilisation d'une chambre d'inhalation
  • +L'utilisation d'une chambre d'inhalation avec Flutiform est recommandée chez les patients qui présentent des difficultés à synchroniser le déclenchement de l'aérosol et l'inspiration. La chambre d'inhalation recommandée avec Flutiform est la chambre AeroChamber Plus® Flow-Vu®.
  • -L'inhalateur possède un compteur de doses intégré qui décompte le nombre de déclenchements (bouffées) restants. Le compteur de doses dispose dun code de couleurs: il est initialement au vert avant de passer graduellement au jaune dès quil reste moins de 50 bouffées et graduellement au rouge lorsquil ny a plus que 30 bouffées disponibles. Le décompte se fait dabord par tranches de dix (de 120 à 60 bouffées restantes), puis par tranches de cinq (à partir de 60 bouffées restantes). Le patient doit être informé que lorsque l'indicateur de doses approche de zéro, il doit prendre les dispositions auprès de son médecin pour prévoir le renouvellement de la prescription. L'inhalateur ne doit plus être utilisé dès que l'indicateur de doses indique «0».
  • -Amorçage de l'inhalateur
  • -Avant d'utiliser l'inhalateur pour la première fois ou si l'inhalateur n'a pas été utilisé pendant 3 jours ou plus (voir rubrique «Remarques particulières»), il doit être amorcé avant son utilisation.
  • -·Retirer le capuchon protecteur de l'embout buccal et bien agiter l'inhalateur.
  • -·Déclencher une bouffée (nébulisation) en veillant à ce que l'inhalateur ne soit pas dirigé vers le visage. Répéter l'opération à 4 reprises.
  • -·Toujours bien agiter l'inhalateur avant chaque utilisation.
  • -Dans la mesure du possible, les patients doivent se tenir debout ou en position assise lors des inhalations.
  • -Utilisation de l'inhalateur par le patient
  • -1.Retirer le capuchon protecteur de l'embout buccal et vérifier que l'embout buccal est propre et exempt de poussière et de saleté.
  • -2.L'inhalateur doit être agité immédiatement avant chaque utilisation afin de s'assurer que son contenu est uniformément réparti.
  • -3.Expirer à fond et aussi lentement et profondément que possible.
  • -4.Tenir l'inhalateur à la verticale de façon à ce que la cartouche soit dirigée vers le haut et serrer les lèvres autour de l'embout buccal. Tenir l'inhalateur verticalement entre le(s) pouce(s) à la base de l'embout buccal et le(s) index sur le dessus de la cartouche. Ne pas mordre l'embout buccal.
  • -5.Inspirer lentement et profondément par la bouche. Après avoir commencé à inspirer, appuyer sur le haut de l'inhalateur pour libérer une bouffée et continuer à inspirer régulièrement et profondément (idéalement, environ 4 à 5 secondes).
  • -6.Retirer l’inhalateur de la bouche en retenant son souffle. Il convient de retenir sa respiration aussi longtemps que possible. Ne pas expirer dans l'embout buccal.
  • -7.Pour le deuxième déclenchement, garder l'inhalateur en position verticale, puis répéter les étapes 2 à 6.
  • -8.Après utilisation, replacer le capuchon protecteur de l'embout buccal.
  • -IMPORTANT: ne pas effectuer les étapes 2 à 6 trop rapidement.
  • -Il peut être conseillé aux patients de réaliser leur inhalation devant un miroir. Si un nuage sort de l'inhalateur ou de chaque côté de la bouche au cours de l'administration du produit, l'inhalation devra être recommencée à partir de l'étape 2.
  • -Chez les patients n'ayant pas suffisamment de force dans les mains, la manipulation de l'appareil peut être facilitée en tenant l'inhalateur à deux mains. Dans ce cas, il faut placer les index sur le haut de la cartouche et les deux pouces à la base de l'inhalateur.
  • -Les patients doivent se rincer la bouche, se gargariser à l'eau ou se brosser les dents après l'inhalation et cracher le résidu de principe actif afin de minimiser le risque de candidose buccale ou de dysphonie.
  • -Nettoyage
  • -Indiquer au patient de lire attentivement les informations figurant dans la notice d'emballage pour le nettoyage du dispositif.
  • -·Retirer le capuchon protecteur de l'embout buccal.
  • -·Ne pas retirer la cartouche du boîtier.
  • -·Essuyer l'intérieur et l'extérieur de l'embout buccal et du boîtier avec un tissu propre et sec.
  • -·Replacer le capuchon protecteur de l'embout buccal en veillant à ce qu'il soit placé dans le bon sens.
  • -·Ne pas mettre l'inhalateur dans l'eau.
  • -Si un patient nécessite une chambre d'inhalation AeroChamber Plus, il doit lui être conseillé de lire les instructions fournies par le fabricant pour s'assurer que l'utilisation, le nettoyage et l'entretien soient corrects.
  • +L'inhalateur possède un compteur de doses intégré qui décompte le nombre de déclenchements (bouffées) restants. Le compteur de doses dispose d'un code de couleurs: il est initialement au vert avant de passer graduellement au jaune dès qu'il reste moins de 50 bouffées et graduellement au rouge lorsqu'il n'y a plus que 30 bouffées disponibles. Le décompte se fait d'abord par tranches de dix (de 120 à 60 bouffées restantes), puis par tranches de cinq (à partir de 60 bouffées restantes). Le patient doit être informé que lorsque l'indicateur de doses approche de zéro, il doit prendre les dispositions auprès de son médecin pour prévoir le renouvellement de la prescription. L'inhalateur ne doit plus être utilisé dès que l'indicateur de doses indique «0».
  • +Si un patient nécessite une chambre d'inhalation AeroChamber Plus® Flow-Vu®, il doit lui être conseillé de lire les instructions fournies par le fabricant pour s'assurer que l'utilisation, le nettoyage et l'entretien soient corrects.
  • -Hypersensibilité à l'un des principes actifs ou à l'un des excipients (voir la rubrique «Composition»).
  • +Hypersensibilité à l'un des principes actifs ou à l'un des excipients (voir «Composition»).
  • -Dès que les symptômes de l'asthme sont contrôlés, une diminution progressive de la dose de Flutiform peut être envisagée. Il est important que les patients soient suivis régulièrement lors de la période de réduction du traitement. La posologie minimale efficace de Flutiform doit être utilisée (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Dès que les symptômes de l'asthme sont contrôlés, une diminution progressive de la dose de Flutiform peut être envisagée. Il est important que les patients soient suivis régulièrement lors de la période de réduction du traitement. La posologie minimale efficace de Flutiform doit être utilisée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Des troubles de la vision peuvent apparaître lors dune corticothérapie systémique ou topique. En présence de symptômes comme une vision floue ou dautres troubles de la vision, il convient denvisager dorienter le patient vers un ophtalmologiste afin quil puisse évaluer les causes possibles, dont notamment la cataracte, un glaucome ou des maladies rares (choriorétinopathie séreuse centrale, p.ex.), qui ont été signalées après une corticothérapie systémique ou topique.
  • +Des troubles de la vision peuvent apparaître lors d'une corticothérapie systémique ou topique. En présence de symptômes comme une vision floue ou d'autres troubles de la vision, il convient d'envisager d'orienter le patient vers un ophtalmologiste afin qu'il puisse évaluer les causes possibles, dont notamment la cataracte, un glaucome ou des maladies rares (choriorétinopathie séreuse centrale, p. ex.), qui ont été signalées après une corticothérapie systémique ou topique.
  • -L'administration de longue durée de doses élevées de corticoïdes par voie inhalée peut entraîner une inhibition de la fonction surrénalienne et la survenue d'une insuffisance surrénalienne aiguë. Les enfants et adolescents de moins de 16 ans prenant de fortes doses de propionate de fluticasone (généralement ≥1'000 µg/jour) peuvent être particulièrement à risque. De très rares cas d'inhibition de la fonction surrénalienne et d'insuffisance surrénalienne aiguë ont également été décrits avec des doses de propionate de fluticasone comprises entre 500 et moins de 1'000 µg. Les situations qui pourraient déclencher des insuffisances surrénaliennes aiguës incluent un traumatisme, une intervention chirurgicale, une infection ou une réduction rapide de la dose de corticoïdes. Le tableau clinique est généralement non spécifique et peut inclure anorexie, douleurs abdominales, perte de poids, fatigue, céphalées, nausées, vomissements, hypotension, baisse de l'état de conscience, hypoglycémie et convulsions. En cas de stress important ou lorsqu'une intervention chirurgicale est prévue, une corticothérapie systémique additionnelle est à envisager.
  • +L'administration de longue durée de doses élevées de corticoïdes par voie inhalée peut entraîner une inhibition de la fonction surrénalienne et la survenue d'une insuffisance surrénalienne aiguë. Les enfants et adolescents de moins de 16 ans prenant de fortes doses de propionate de fluticasone (généralement ≥1'000 µg/jour) peuvent être particulièrement à risque. De très rares cas d'inhibition de la fonction surrénalienne et d'insuffisance surrénalienne aiguë ont également été décrits avec des doses de propionate de fluticasone comprises entre 500 et moins de 1'000 µg. Les situations qui pourraient déclencher des insuffisances surrénaliennes aiguës incluent un traumatisme, une intervention chirurgicale, une infection ou une réduction rapide de la dose de corticoïdes. Le tableau clinique est généralement non spécifique et peut inclure anorexie, douleurs abdominales, perte de poids, fatigue, céphalées, nausées, vomissements, hypotension, baisse de l'état de conscience, hypoglycémie et convulsions. En cas de stress important ou lorsqu'une intervention chirurgicale est prévue, une corticothérapie additionnelle est à envisager.
  • -L'administration concomitante de Flutiform avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée (voir la rubrique «Interactions»).
  • +L'administration concomitante de Flutiform avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée (voir «Interactions»).
  • -L'utilisation d'une chambre d'inhalation peut augmenter la déposition pulmonaire des principes actifs et ainsi l'absorption systémique et le risque de survenue d'effets indésirables systémiques.
  • +L'utilisation d'une chambre d'inhalation peut augmenter la déposition pulmonaire des principes actifs en particulier en ce qui concerne le formotérol et ainsi l'absorption systémique et le risque de survenue d'effets indésirables systémiques.
  • -Population pédiatrique
  • +Enfants et adolescents
  • -Peu de données sont disponibles concernant l'utilisation de Flutiform chez l'enfant âgé de moins de 12 ans. L'utilisation de Flutiform N'est donc PAS recommandée chez l'enfant de moins de 12 ans avant que des données supplémentaires ne soient disponibles.
  • +Peu de données sont disponibles concernant l'utilisation de Flutiform chez l'enfant âgé de moins de 12 ans et ceux-ci se réfèrent exclusivement à l'inhalateur déclenché manuellement (Flutiform). L'utilisation de Flutiform N'est donc PAS recommandée chez l'enfant de moins de 12 ans avant que des données supplémentaires ne soient disponibles.
  • -Les corticostéroïdes (y compris le propionate de fluticasone) sont métabolisés par le CYP3A4. L’administration concomitante dinhibiteurs puissants du CYP3A4 (par exemple ritonavir, atazanavir, clarithromycine, indinavir, itraconazole, nelfinavir, saquinavir, kétoconazole, télithromycine, cobicistat) peut entraîner une exposition accrue aux corticostéroïdes et donc un risque accru deffets indésirables systémiques liés aux corticostéroïdes. Les avantages d'une administration concomitante par rapport au risque potentiel d'effets systémiques des corticostéroïdes doivent être soigneusement évalués. Dans ce cas, il convient de surveiller les effets indésirables des corticoïdes systémiques.
  • +Les corticostéroïdes (y compris le propionate de fluticasone) sont métabolisés par le CYP3A4.
  • +L'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 (par exemple ritonavir, atazanavir, clarithromycine, indinavir, itraconazole, nelfinavir, saquinavir, kétoconazole, télithromycine, cobicistat) peut entraîner une exposition accrue aux corticostéroïdes et donc un risque accru d'effets indésirables systémiques liés aux corticostéroïdes. Les avantages d'une administration concomitante par rapport au risque potentiel d'effets systémiques des corticostéroïdes doivent être soigneusement évalués. Dans ce cas, il convient de surveiller les effets indésirables des corticoïdes systémiques.
  • -Comme avec d'autres β2-agonistes, la prudence est de mise en cas d'administration de fumarate de formotérol chez les patients traités par antidépresseurs tricycliques ou par les inhibiteurs de la monoamine oxydase, ainsi que pendant les deux semaines suivant immédiatement leur arrêt. Il en est de même pour les patients recevant d'autres médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc, tels que antipsychotiques (dont les phénothiazines), quinidine, disopyramide, procaïnamide et antihistaminiques. Les médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc peuvent augmenter le risque d'arythmie ventriculaire (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Comme avec d'autres β2-agonistes, la prudence est de mise en cas d'administration de fumarate de formotérol chez les patients traités par antidépresseurs tricycliques ou par les inhibiteurs de la monoamine oxydase, ainsi que pendant les deux semaines suivant immédiatement leur arrêt. Il en est de même pour les patients recevant d'autres médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc, tels que antipsychotiques (dont les phénothiazines), quinidine, disopyramide, procaïnamide et antihistaminiques. Les médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc peuvent augmenter le risque d'arythmie ventriculaire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -On dispose de peu de données sur l'utilisation du propionate de fluticasone et du fumarate de formotérol administrés seuls, séparément via deux dispositifs d'inhalation, ou dans l'association fixe Flutiform chez des femmes enceintes. Les études conduites chez l'animal ont montré une toxicité sur les fonctions de reproduction (voir la rubrique «Données précliniques»).
  • +On dispose de peu de données sur l'utilisation du propionate de fluticasone et du fumarate de formotérol administrés seuls, séparément via deux dispositifs d'inhalation, ou dans l'association fixe Flutiform chez des femmes enceintes. Les études conduites chez l'animal ont montré une toxicité sur les fonctions de reproduction (voir «Données précliniques»).
  • -Fécondité
  • -On ne dispose d'aucune donnée sur les effets du traitement par Flutiform sur la fécondité. Au cours des études menées chez l'animal, aucun effet n'a été observé sur la fécondité après administration de chacune des substances actives aux doses utilisées en thérapeutique clinique (voir la rubrique «Données précliniques»).
  • +Fertilité
  • +On ne dispose d'aucune donnée sur les effets du traitement par Flutiform sur la fécondité. Au cours des études menées chez l'animal, aucun effet n'a été observé sur la fécondité après administration de chacune des substances actives aux doses utilisées en thérapeutique clinique (voir «Données précliniques»).
  • -Flutiform n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
  • +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -Les effets indésirables associés à Flutiform lors des études cliniques sont énumérés ci-dessous par classes d'organes et par fréquence. La définition des catégories de fréquence de survenue est la suivante: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100 et <1/10), «occasionnel» (≥1/1000 et <1/100), «rare» (≥1/10'000 et <1/1000), «très rare» (<1/10'000) et «fréquence indéterminée» (ne pouvant être estimée à partir des données disponibles).
  • +Les effets indésirables associés à Flutiform lors des études cliniques sont énumérés ci-dessous par classes d'organes et par fréquence. La définition des catégories de fréquence de survenue est la suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à<1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000) et «fréquence indéterminée» (ne pouvant être estimée à partir des données disponibles).
  • -Rare: candidose buccale, mycose buccale, sinusite.
  • +Rares: candidose buccale, mycose buccale, sinusite.
  • -Rare: hyperglycémie.
  • +Rares: hyperglycémie.
  • -Occasionnel: troubles du sommeil, y compris insomnie.
  • -Rare: rêves anormaux, agitation.
  • +Occasionnels: troubles du sommeil, y compris insomnie.
  • +Rares: rêves anormaux, agitation.
  • -Occasionnel: céphalées, tremblements, étourdissements.
  • -Rare: dysgueusie.
  • +Occasionnels: céphalées, tremblements, étourdissements.
  • +Rares: dysgueusie.
  • -Rare: vertiges.
  • +Rares: vertiges.
  • -Occasionnel: palpitations, extrasystoles ventriculaires.
  • -Rare: angor, tachycardie.
  • +Occasionnels: palpitations, extrasystoles ventriculaires.
  • +Rares: angor, tachycardie.
  • -Rare: hypertension.
  • +Rares: hypertension.
  • -Occasionnel: exacerbation d'asthme, dysphonie, irritation de la gorge.
  • -Rare: dyspnée, toux.
  • +Occasionnels: exacerbation d'asthme, dysphonie, irritation de la gorge.
  • +Rares: dyspnée, toux.
  • -Occasionnel: sécheresse de la bouche.
  • -Rare: diarrhée, dyspepsie.
  • +Occasionnels: sécheresse de la bouche.
  • +Rares: diarrhée, dyspepsie.
  • -Occasionnel: rash.
  • -Rare: prurit.
  • -Affections musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Rare: crampes musculaires.
  • +Occasionnels: rash.
  • +Rares: prurit.
  • +Affections musculosquelettiques, du tissu conjonctif
  • +Rares: crampes musculaires.
  • -Rare: œdème périphérique, asthénie.
  • +Rares: œdème périphérique, asthénie.
  • -Des réactions d'hypersensibilité ont été rapportées chez des patients traités par les médicaments contenant du cromoglycate de sodium inhalé en tant que substance active. Flutiform ne contient qu'une faible concentration de cromoglycate de sodium présent en tant qu'excipient, néanmoins, la relation dose-effet du cromoglycate de sodium dans la survenue de réactions d'hypersensibilité n'est pas établie.
  • -Les réactions d'hypersensibilité au traitement par Flutiform doivent être traitées selon le traitement standard administré en présence d'autres réactions d'hypersensibilité, qui peut consister en des antihistaminiques ou d'autres traitements. Il peut être nécessaire d'interrompre immédiatement le traitement par Flutiform et d'instaurer une alternative thérapeutique le cas échéant.
  • +Des réactions d'hypersensibilité ont été rapportées chez des patients traités par les médicaments contenant du cromoglycate de sodium inhalé en tant que substance active. Flutiform ne contient qu'une faible concentration de cromoglycate de sodium présent en tant qu'excipient, néanmoins, la relation doseeffet du cromoglycate de sodium dans la survenue de réactions d'hypersensibilité n'est pas établie.
  • +Dans le cas peu probable d'une reaction d'hypersensibilité au traitement par Flutiform doivent être traitées selon le traitement standard administré en présence d'autres réactions d'hypersensibilité, qui peut consister en des antihistaminiques ou d'autres traitements. Il peut être nécessaire d'interrompre immédiatement le traitement par Flutiform et d'instaurer une alternative thérapeutique le cas échéant.
  • +Adolescents
  • +Comme rapporté pour chacun des composants de Flutiform les effets indésirables systémiques éventuels sont un syndrome de Cushing, des symptômes cushingoïdes, une inhibition de la fonction surrénalienne et un retard de croissance chez les adolescents. Il peut également y avoir de l'anxiété, des troubles du sommeil, et des changements de comportement tels que l' hyperactivité psychomotrice ou l' irritabilité.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Le traitement du surdosage de formotérol consiste en l'arrêt de l'administration du médicament, la mise en route d'un traitement symptomatique adapté et/ou d'un traitement de soutien. Si l'on envisage comme contre-mesure d'utiliser avec précaution des β-bloquants cardiosélectifs, il convient de tenir compte du fait que ces derniers peuvent induire un bronchospasme. On ne dispose pas de données suffisantes qui permettent de déterminer les bénéfices d'une dialyse dans le cas d'un surdosage de formotérol. Il est recommandé de surveiller la fonction cardiaque.
  • -Si le traitement par Flutiform doit être arrêté en raison d'un surdosage des β2-agonistes, une corticothérapie substitutive adaptée est à prendre en compte. La kaliémie sérique doit être surveillée, étant donné qu'il existe un risque d'hypokaliémie. Il convient alors d'envisager une substitution potassique.
  • +Le traitement du surdosage de formotérol consiste en l'arrêt de l'administration du médicament, la mise en route d'un traitement symptomatique adapté et/ou d'un traitement de soutien. Si l'on envisage comme contre-mesure d'utiliser avec précaution des βbloquants cardiosélectifs, il convient de tenir compte du fait que ces derniers peuvent induire un bronchospasme. On ne dispose pas de données suffisantes qui permettent de déterminer les bénéfices d'une dialyse dans le cas d'un surdosage de formotérol. Il est recommandé de surveiller la fonction cardiaque.
  • +Si le traitement par Flutiform doit être arrêté en raison d'un surdosage des β2-agonistes, une corticothérapie substitutive adaptée est à prendre en compte. La kaliémie sérique doit être surveillée, étant donné qu'il existe un risque d'hypokaliémie. Il convient alors d'envisager une substitution
  • -Des cas rares d'insuffisance surrénalienne aiguë ont été rapportés. Les enfants et adolescents de moins de 16 ans prenant de fortes doses de propionate de fluticasone (généralement ≥1'000 µg/jour) sont particulièrement à risque. Les symptômes présentés peuvent être non spécifiques (anorexie, douleurs abdominales, perte de poids, fatigue, maux de tête, nausées, vomissements et hypotension). Les symptômes typiques d'une crise surrénalienne sont une diminution du niveau de conscience, une hypoglycémie et/ou des convulsions.
  • -A la suite de l'utilisation chronique de très fortes doses, une atrophie du cortex surrénalien et une inhibition de l'axe HHS peuvent se produire. Un suivi de la réserve surrénalienne peut être nécessaire. Les effets systémiques possibles incluent syndrome de Cushing, tableau cushingoïde, inhibition de la fonction surrénalienne, retard de croissance chez les enfants et les adolescents, diminution de la densité minérale osseuse, cataracte et glaucome (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Des cas rares d'insuffisance surrénalienne aiguë ont été rapportés. Les enfants et adolescents de moins de 16 ans prenant de fortes doses de propionate de fluticasone (généralement ≥1000 µg/jour) sont particulièrement à risque. Les symptômes présentés peuvent être non spécifiques (anorexie, douleurs abdominales, perte de poids, fatigue, maux de tête, nausées, vomissements et hypotension). Les symptômes typiques d'une crise surrénalienne sont une diminution du niveau de conscience, une hypoglycémie et/ou des convulsions.
  • +A la suite de l'utilisation chronique de très fortes doses, une atrophie du cortex surrénalien et une inhibition de l'axe HHS peuvent se produire. Un suivi de la réserve surrénalienne peut être nécessaire. Les effets systémiques possibles incluent syndrome de Cushing, tableau cushingoïde, inhibition de la fonction surrénalienne, retard de croissance chez les enfants et les adolescents, diminution de la densité minérale osseuse, cataracte et glaucome (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Code ATC: R03AK11
  • -Mécanismes d'action et effets pharmacodynamiques
  • +Code ATC
  • +R03AK11
  • +Mécanisme d'action
  • -Flutiform
  • -Dans les essais cliniques conduits sur 12 semaines chez des adultes et des adolescents, l'administration du formotérol en association avec le propionate de fluticasone par le biais d'un inhalateur à déclenchement manuel a amélioré les symptômes de l'asthme et la fonction respiratoire et a réduit les exacerbations d'asthme. L'effet thérapeutique observé avec Flutiform a été supérieur à celui du propionate de fluticasone utilisé seul. On ne dispose d'aucune donnée à long terme permettant de comparer Flutiform au propionate de fluticasone.
  • -Dans un essai clinique de 8 semaines, l'effet de Flutiform sur la fonction respiratoire a été au moins équivalent à celui de l'association de propionate de fluticasone et de fumarate de formotérol administrés séparément par voie inhalée. On ne dispose d'aucune donnée comparative à long terme sur le traitement par l'inhalateur à déclenchement manuel face au propionate de fluticasone et au fumarate de formotérol.
  • -Dans les études ayant des phases d'observation pouvant aller jusqu'à 12 mois menées chez des adultes et des adolescents, il n'y a pas eu de signes d'un affaiblissement de l'effet thérapeutique de Flutiform.
  • +Dans les essais cliniques conduits sur 12 semaines chez des adultes et des adolescents, l'administration du formotérol en association avec le propionate de fluticasone par le biais d'un inhalateur à déclenchement manuel (Flutiform) a amélioré les symptômes de l'asthme et la fonction respiratoire et a réduit les exacerbations d'asthme. L'effet thérapeutique observé avec Flutiform a été supérieur à celui du propionate de fluticasone utilisé seul. On ne dispose d'aucune donnée à long terme permettant de comparer Flutiform au propionate de fluticasone.
  • +Dans un essai clinique de 8 semaines, l'effet du traitement avec l'inhalateur manuel à déclenchement (Flutiform) sur la fonction respiratoire a été au moins équivalent à celui de l'association de propionate de fluticasone et de fumarate de formotérol administrés séparément par voie inhalée. On ne dispose d'aucune donnée comparative à long terme sur le traitement par l'inhalateur à déclenchement manuel face au propionate de fluticasone et au fumarate de formotérol.
  • +Dans les études ayant des phases d'observation pouvant aller jusqu'à 12 mois menées chez des adultes et des adolescents, il n'y a pas eu de signes d'un affaiblissement de l'effet thérapeutique avec l'inhalateur manuel à déclenchement (Flutiform).
  • -Population pédiatrique
  • -Dans une étude pédiatrique conduite sur 12 semaines et comprenant une phase de prolongation de 6 mois visant à évaluer l'innocuité à long terme, 210 enfants âgés de 4 à 12 ans ont été traités par une dose d'entretien de Flutiform (2 inhalations de 50/5 µg deux fois par jour) ou par un médicament comparateur en association fixe. La fonction pulmonaire a été au moins équivalente à celle du médicament comparateur en association fixe pendant les 12 semaines de l'étude. Après la phase principale de 12 semaines, les patients pouvaient entrer dans une phase de prolongation de 6 mois. 205 patients traités par Flutiform ont terminé cette phase de 6 mois, au cours de laquelle Flutiform a été sûr et bien toléré.
  • +Pharmacodynamique
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • +Efficacité clinique
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • -Propionate de fluticasone:
  • +Propionate de fluticasone
  • -Métabolisation
  • -La clairance totale du propionate de fluticasone est élevée (en moyenne, 1,093 ml/min), la clairance rénale représente moins de 0,02% de la clairance totale, ce qui indique l'importante clairance hépatique. Le seul métabolite circulant détecté chez l'homme est l'acide 17β-carboxylique, dérivé du propionate de fluticasone, qui est formé par la voie de l'isoforme 3A4 du cytochrome P450 (CYP3A4). In vitro, ce métabolite a une affinité moindre (environ 1/2'000) pour le récepteur au glucocorticoïde dans le cytosol pulmonaire humain par rapport à la substance mère. Les autres métabolites mis en évidence in vitro en utilisant des cultures de cellules d'hépatome humain n'ont pas été détectés chez l'homme.
  • -Elimination
  • +Métabolisme
  • +La clairance totale du propionate de fluticasone est élevée (en moyenne, 1,093 ml/min), la clairance rénale représente moins de 0,02% de la clairance totale, ce qui indique l'importante clairance hépatique. Le seul métabolite circulant détecté chez l'homme est l'acide 17β-carboxylique, dérivé du propionate de fluticasone, qui est formé par la voie de l'isoforme 3A4 du cytochrome P450 (CYP 3A4). In vitro, ce métabolite a une affinité moindre (environ 1/2'000) pour le récepteur au glucocorticoïde dans le cytosol pulmonaire humain par rapport à la substance mère. Les autres métabolites mis en évidence in vitro en utilisant des cultures de cellules d'hépatome humain n'ont pas été détectés chez l'homme.
  • +Élimination
  • -Fumarate de formotérol:
  • +Fumarate de formotérol
  • -Après inhalation d'une poudre sèche (12-96 µg) ou d'une formulation en aérosol (12-96 µg), les études sur l'excrétion urinaire cumulative de formotérol et/ou de ses énantiomères (RR) et (SS) ont montré que l'absorption augmente de façon linéaire en fonction de la dose administrée.
  • -Après 12 semaines d'administration de 12 µg ou 24 µg de formotérol en poudre deux fois par jour, l'excrétion urinaire du formotérol inchangé a augmenté de 63-73% chez des patients adultes asthmatiques, de 19-38% chez des patients adultes atteints de BPCO et de 18-84% chez des enfants, suggérant une accumulation modeste et limitée du formotérol dans le plasma après administration répétée.
  • +Après inhalation d'une poudre sèche (1296 µg) ou d'une formulation en aérosol (1296 µg), les études sur l'excrétion urinaire cumulative de formotérol et/ou de ses énantiomères (RR) et (SS) ont montré que l'absorption augmente de façon linéaire en fonction de la dose administrée.
  • +Après 12 semaines d'administration de 12 µg ou 24 µg de formotérol en poudre deux fois par jour, l'excrétion urinaire du formotérol inchangé a augmenté de 6373% chez des patients adultes asthmatiques, de 1938% chez des patients adultes atteints de BPCO, suggérant une accumulation modeste et limitée du formotérol dans le plasma après administration répétée.
  • -Métabolisation
  • +Métabolisme
  • -Elimination
  • -Chez des patients asthmatiques ou atteints de BPCO traités pendant 12 semaines par 12 ou 24 µg de fumarate de formotérol deux fois par jour, environ 10% et 7% de la dose, respectivement, ont été retrouvés dans les urines sous forme inchangée de formotérol. Chez des enfants asthmatiques, environ 6% de la dose administrée a été retrouvée dans les urines sous forme inchangée après administration multiple de formotérol à 12 et 24 µg. Les énantiomères (RR) et (SS) ont représenté 40% et 60% respectivement du formotérol sous forme inchangée retrouvé dans les urines après administration de doses uniques (12 à 120 µg) chez des volontaires sains et après administration de doses uniques et répétées chez des patients asthmatiques.
  • +Élimination
  • +Chez des patients asthmatiques ou atteints de BPCO traités pendant 12 semaines par 12 ou 24 µg de fumarate de formotérol deux fois par jour, environ 10% et 7% de la dose, respectivement, ont été retrouvés dans les urines sous forme inchangée de formotérol. Les énantiomères (RR) et (SS) ont représenté 40% et 60% respectivement du formotérol sous forme inchangée retrouvé dans les urines après administration de doses uniques (12 à 120 µg) chez des volontaires sains et après administration de doses uniques et répétées chez des patients asthmatiques.
  • -Flutiform – association de propionate de fluticasone et de fumarate de formotérol
  • +Association de propionate de fluticasone et de fumarate de formotérol
  • -L'équivalence pharmacocinétique entre Flutiform et les composants individuels n'a pas été démontrée. Les données comparatives à long terme sur Flutiform par rapport au propionate de fluticasone et au fumarate de formotérol ne sont pas disponibles (voir la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +L'équivalence pharmacocinétique entre Flutiform et les composants individuels n'a pas été démontrée. Les données comparatives à long terme sur Flutiform par rapport au propionate de fluticasone et au fumarate de formotérol ne sont pas disponibles (voir «Propriétés/Effets»).
  • -Flutiform – propionate de fluticasone
  • +Propionate de fluticasone
  • -L'utilisation d'une chambre d'inhalation AeroChamber Plus augmente la biodisponibilité systémique moyenne (correspondant à l'absorption au niveau pulmonaire) de la fluticasone de 35% chez des volontaires sains par rapport à l'administration de Flutiform via un aérosol-doseur sans chambre d'inhalation.
  • -Flutiform – fumarate de formotérol
  • +L'utilisation d'une chambre d'inhalation AeroChamber Plus® Flow-Vu® augmente la biodisponibilité systémique moyenne (correspondant à l'absorption au niveau pulmonaire) de la fluticasone de 35% chez des volontaires sains par rapport à l'administration de Flutiform via un aérosol-doseur sans chambre d'inhalation.
  • +Fumarate de formotérol
  • -L'utilisation d'une chambre d'inhalation AeroChamber Plus diminue la biodisponibilité systémique moyenne du formotérol de 25% chez des volontaires sains par rapport à l'administration de Flutiform via un aérosol-doseur seul. Ceci est probablement dû à une réduction de la résorption par le tractus gastro-intestinal lorsqu'une chambre d'inhalation est utilisée, compensée par l'augmentation correspondante attendue de la résorption pulmonaire.
  • +L'utilisation d'une chambre d'inhalation AeroChamber Plus® Flow-Vu® diminue la biodisponibilité systémique moyenne du formotérol de 25% chez des volontaires sains par rapport à l'administration de Flutiform via un aérosol-doseur seul. Ceci est probablement dû à une réduction de la résorption par le tractus gastro-intestinal lorsqu'une chambre d'inhalation est utilisée, compensée par l'augmentation correspondante attendue de la résorption pulmonaire.
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Conservation
  • +Stabilité
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25 °C. Tenir hors de portée des enfants. Ne pas mettre au réfrigérateur, ni au congélateur. Si l'aérosol-doseur est exposé à des conditions de gel, le patient doit être informé qu'il faut le réchauffer à température ambiante pendant 30 minutes avant de l'amorcer à nouveau pour pouvoir l'utiliser (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C. Ne pas conserver au réfrigérateur. Ne pas congeler. Conserver hors de portée des enfants.
  • +Si l'aérosol-doseur est exposé à des conditions de gel, le patient doit être informé qu'il faut le réchauffer à température ambiante pendant 30 minutes avant de l'amorcer à nouveau pour pouvoir l'utiliser (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -63032 (Swissmedic).
  • +63032 (Swissmedic)
  • -Janvier 2019.
  • +Novembre 2020
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