11 Changements de l'information professionelle Emtricitabin/Tenofovir Viatris |
- +Prophylaxie pré-exposition (PrEP)
- +Emtricitabin/Tenofovir Mylan, associé à des pratiques sexuelles à moindre risque, est indiqué en prophylaxie pré-exposition pour réduire le risque d'infection par le VIH-1 par voie sexuelle chez les adultes à haut risque de contamination par le VIH-1.
- +(Pour les résultats de l'efficacité en fonction du sexe, voir «Efficacité clinique»).
-La dose recommandée de Emtricitabin/Tenofovir Mylan pour le traitement d'une infection par le VIH-1 est d'un comprimé pelliculé une fois par jour.
- +La dose recommandée de Emtricitabin/Tenofovir Mylan pour le traitement d'une infection par le VIH-1 ou en prophylaxie pré-exposition est d'un comprimé pelliculé une fois par jour.
- +L'efficacité et la sécurité d'un schéma posologique non journalier (à la demande) en prophylaxie pré-exposition n'ayant pas été établies, un tel schéma posologique n'est pas recommandé.
- +Insuffisance rénale lors de l'utilisation en prophylaxie pré-exposition (PrEP)
- +En raison des données disponibles limitées, Emtricitabin/Tenofovir Mylan ne doit pas être utilisé chez les personnes présentant une clairance de la créatine <60 ml/min.
- +·Utilisation en prophylaxie pré-exposition chez les personnes séropositives au VIH-1 ou de statut virologique VIH-1 inconnu.
- +Stratégie globale de prévention de l'infection par le VIH-1
- +Emtricitabin/Tenofovir Mylan n'est pas toujours efficace pour la prévention d'une infection par le VIH-1. L'intervalle de temps jusqu'à ce que la protection soit efficace après le début du traitement par Emtricitabin/Tenofovir Mylan n'est pas connu.
- +Emtricitabin/Tenofovir Mylan doit être utilisé dans la prophylaxie pré-exposition au VIH uniquement dans le cadre d'une stratégie globale de prévention d'une infection par le VIH-1, comprenant l'utilisation d'autres méthodes de prévention du VIH-1 (p.ex. usage correct et systématique de préservatifs, connaissance du statut sérologique du VIH-1, dépistage tous les 3 mois des autres infections sexuellement transmissibles).
- +Risque de résistance en cas d'infection par le VIH-1 non détectée
- +Pour réduire le risque d'infection par le VIH-1, Emtricitabin/Tenofovir Mylan ne doit être utilisé que chez les personnes dont le statut sérologique du VIH est contrôlé négatif (voir «Contre-indications»). Pendant l'utilisation de Emtricitabin/Tenofovir Mylan en prophylaxie pré-exposition, la séronégativité pour le VIH doit être confirmée au moins tous les 3 mois à l'aide d'un test antigène-anticorps. Après le diagnostic d'une infection sexuellement transmissible, il est recommandé d'effectuer un test de dépistage du VIH. Certaines personnes peuvent bénéficier d'examens et de conseils plus fréquents.
- +L'utilisation de Emtricitabin/Tenofovir Mylan seul ne constitue pas un traitement complet de l'infection par le VIH-1. Des mutations de résistance au VIH-1 sont apparues chez des personnes présentant une infection par le VIH-1 non détectée, qui prenaient uniquement du Emtricitabin/Tenofovir Mylan.
- +Si des symptômes cliniques compatibles avec une infection virale aiguë sont présents et si l'on suspecte une exposition récente au VIH-1 (<1 mois), l'utilisation de Emtricitabin/Tenofovir Mylan doit être retardée d'au moins un mois et le statut VIH-1 négatif doit être reconfirmé avant de débuter une prophylaxie pré-exposition par Emtricitabin/Tenofovir Mylan.
- +Importance de l'observance
- +Il convient toutefois d'expliquer à intervalles réguliers aux personnes non infectées par le VIH-1 que le schéma posologique quotidien recommandé doit être strictement respecté. L'efficacité de Emtricitabin/Tenofovir Mylan dans la réduction du risque d'une infection par le VIH-1 est fortement corrélée à l'observance, comme cela a été démontré à l'aide des concentrations sanguines en principes actifs.
- +La sécurité et l'efficacité de Emtricitabin/Tenofovir Mylan dans la prophylaxie pré-exposition n'ont pas été établies chez les patients infectés par le VHB ou le VHC.
- +En raison du risque d'une exacerbation aiguë de l'hépatite après la fin du traitement, l'utilisation de Emtricitabin/Tenofovir Mylan pour la PrEP chez des patients infectés par le VHB ne doit s'effectuer qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfices/risques par un infectiologue, en incluant dans l'évaluation du rapport bénéfices/risques en particulier le risque d'une recrudescence de l'hépatite après arrêt de la PrEP.
-Il est recommandé de calculer la clairance de la créatinine chez toutes les personnes avant l'initiation du traitement par Emtricitabin/Tenofovir Mylan dans l'infection par le VIH-1. Chez les personnes ne présentant pas de facteurs de risque d'une insuffisance rénale, il est recommandé de surveiller la fonction rénale (clairance de la créatinine et phosphate sérique) après 2 à 4 semaines de traitement, après 3 mois de traitement et tous les 3 à 6 mois par la suite.
- +Il est recommandé de calculer la clairance de la créatinine chez toutes les personnes avant l'initiation du traitement par Emtricitabin/Tenofovir Mylan dans l'infection par le VIH-1 ou dans la prophylaxie pré-exposition. Chez les personnes ne présentant pas de facteurs de risque d'une insuffisance rénale, il est recommandé de surveiller la fonction rénale (clairance de la créatinine et phosphate sérique) après 2 à 4 semaines de traitement, après 3 mois de traitement et tous les 3 à 6 mois par la suite.
- +Contrôle de la fonction rénale en prophylaxie pré-exposition
- +Emtricitabin/Tenofovir Mylan n'a pas été étudié chez les personnes non infectées par le VIH-1 présentant une clairance de la créatinine <60 ml/min et par conséquent, son utilisation n'est pas recommandée dans cette population. Chez toutes les personnes ayant un taux de phosphate sérique <1,5 mg/dl (0,48 mmol/l) ou présentant une clairance de la créatinine abaissée à <60 ml/min, qui reçoivent Emtricitabin/Tenofovir Mylan pour la prophylaxie pré-exposition, l'évaluation de la fonction rénale doit être répétée dans la semaine. En même temps une détermination de la glycémie, de la kaliémie et de la glycosurie doit également être effectuée (voir «Tubulopathie rénale proximale» dans «Effets indésirables»). Chez les personnes présentant une clairance de la créatinine abaissée à <60 ml/min ou un taux de phosphate sérique diminué à <1,0 mg/dl (0,32 mmol/l), une interruption de l'utilisation de Emtricitabin/Tenofovir Mylan doit être envisagée. Une interruption du traitement par Emtricitabin/Tenofovir Mylan doit aussi être envisagée en cas de progression de la dégradation de la fonction rénale si aucune autre cause n'a été identifiée.
- +
-Des maladies auto-immunes (comme p.ex. la maladie de Basedow) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire; cependant, le moment de l'apparition est très variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après le début du traitement.
- +Des maladies auto-immunes (comme p.ex. la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire; cependant, le moment de l'apparition est très variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après le début du traitement.
- +Prophylaxie pré-exposition
- +Une légère diminution de la DMO a été observée dans des études cliniques réalisées auprès de personnes non infectées par le VIH-1. Dans une étude menée chez 498 hommes qui recevaient une prophylaxie journalière avec emtricitabine/ténofovir disoproxil (n = 247), une variation moyenne de la DMO de -0,4% à -1,0% s'est manifestée au niveau de la hanche, de la colonne vertébrale, du col du fémur et du trochanter par rapport au placebo (n = 251) au cours de la période entre le début de l'étude et la semaine 24.
- +Prophylaxie pré-exposition
- +Aucun nouvel effet indésirable lié à emtricitabine/ténofovir disoproxil n'a été identifié dans deux études randomisées contrôlées versus placebo (iPrEX, Partners PrEP) au cours desquelles 2830 adultes non infectés par le VIH-1 ont reçu emtricitabine/ténofovir disoproxil une fois par jour en prophylaxie pré-exposition. La durée médiane du suivi des participants de l'étude était de 71 semaines et 87 semaines respectivement. L'effet indésirable le plus fréquemment rapporté dans le bras emtricitabine/ténofovir disoproxil de l'étude iPrEX a été les céphalées (1%).
- +
-Syndrome de Restauration Immunitaire: Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Syndrome de Restauration Immunitaire: Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire au moment de l'instauration du traitement par ART. Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) ont également été rapportées; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Prophylaxie pré-exposition in vivo
- +Des échantillons de plasma de sujets non infectés par le VIH-1 provenant des deux études cliniques, (iPrEX et Partners PrEP), ont été analysés pour 4 variants du VIH-1 présentant des substitutions d'acides aminés (à savoir K65R, K70E, M184V et M184I) susceptibles de conférer une résistance au ténofovir ou à l'emtricitabine. Dans l'étude clinique iPrEX, aucun variant du VIH-1 exprimant K65R, K70E, M184V ou M184I n'a été détecté au moment de la séroconversion chez les sujets qui ont été infectés par le VIH-1 après leur inclusion dans l'étude. Les mutations M184I et M184V du VIH ont été détectées chez 3 des 10 sujets qui présentaient une infection aiguë par le VIH au moment de l'inclusion dans l'étude. Il s'agissait de deux sujets sur deux dans le bras emtricitabine/ténofovir disoproxil et d'un des 8 sujets du bras placebo.
- +Dans l'étude clinique Partners PrEP, aucun variant du VIH-1 exprimant K65R, K70E, M184V ou M184I n'a été détecté au moment de la séroconversion chez les sujets qui ont été infectés par le VIH-1 au cours de l'étude. Au moment de l'inclusion dans l'étude quatorze personnes avaient une infection à VIH aiguë. Une mutation de résistance du virus IH a été détectée chez 2 de celles-ci: la mutation K65R chez 1 des 5 sujets dans le bras recevant 245 mg de ténofovir disoproxil et la mutation M184V (liée à une résistance à l'emtricitabine) chez 1 sujet sur 3 dans le bras recevant emtricitabine/ténofovir disoproxil.
- +Prophylaxie pré-exposition
- +L'étude iPrEX (CO-US-104-0288) a comparé l'administration de emtricitabine/ténofovir disoproxil ou d'un placebo chez 2499 hommes (ou femmes transgenres) non infectés par le VIH-1, ayant des relations sexuelles avec des hommes et étant considérés comme présentant un haut risque d'infection par le VIH. Les sujets ont été suivis sur une période de 4237 personnes-années. Les caractéristiques à l'inclusion sont résumées dans le tableau 3.
- +Tableau 3: Population de l'étude CO-US-104-0288 (iPrEX)
- + Placebo (n = 1248) emtricitabine/ténofovir disoproxil n = 1251)
- +Âge (années), moyenne (ET) 27 (8,5) 27 (8,6)
- +Groupe ethnique, n (%)
- +Noirs/Afro-américains 97 (8) 117 (9)
- +Blancs 208 (17) 223 (18)
- +Métis/Autres 878 (70) 849 (68)
- +Asiatiques 65 (5) 62 (5)
- +Hispaniques/Latino-américains, n (%) 906 (73) 900 (72)
- +Facteurs de risque sexuels lors de la sélection
- +Nombre de partenaires au cours des 12 semaines précédentes, moyenne (ET) 18 (43) 18 (35)
- +RARNP au cours des 12 semaines précédentes, n (%) 753 (60) 732 (59)
- +RARNP avec partenaires VIH+ (ou à statut inconnu) au cours des 6 mois précédents, n (%) 1009 (81) 992 (79)
- +Ayant eu des rapports sexuels tarifés au cours des 6 mois précédents, n (%) 510 (41) 517 (41)
- +Partenaire VIH+ connu au cours des 6 mois précédents, n (%) 32 (3) 23 (2)
- +Séroréactivité pour la syphilis, n (%) 162/1239 (13) 164/1240 (13)
- +Infection sérique par le virus Herpes simplex de type 2, n (%) 430/1243 (35) 458/1241 (37)
- +Leucocyte estérase positive dans les urines, n (%) 22 (2) 23 (2)
- +
- +RARNP = rapport anal réceptif non protégé
- +Les incidences d'une séroconversion pour le VIH dans la population totale de l'étude et dans le sous-groupe rapportant des rapports anaux réceptifs non protégés sont présentées dans le tableau 4. L'efficacité a été fortement corrélée à l'observance telle qu'évaluée dans une étude cas-témoins par la détection des concentrations plasmatiques ou intracellulaires de principes actifs (tableau 5).
- +Tableau 4: Efficacité dans l'étude CO-US-104-0288 (iPrEX)
- + Placebo emtricitabine/ténofovir disoproxil Valeur de pa, b
- +Analyse intention de traiter modifiée (ITTm)
- +Séroconversions/n 83/1217 48/1224 0,002
- +Réduction du risque relatif (IC à 95%)b 42% (18%; 60%)
- +RARNP dans les 12 mois précédant la sélection, analyse ITTm
- +Séroconversions/n 72/753 34/732 0,0349
- +Réduction du risque relatif (IC à 95%)b 52% (28%; 68%)
- +
- +a Valeurs de p par test du log-rank. Les valeurs de p pour les RARNP se réfèrent à l'hypothèse nulle selon laquelle l'efficacité différait entre les catégories de sous-groupes (RARNP, non-RARNP).
- +b La réduction du risque relatif a été calculée pour la population ITTm d'après l'incidence de séroconversion, c.-à-d. survenant après l'inclusion et jusqu'à la première visite post-traitement (environ 1 mois après la dernière dispensation de médicament de l'étude).
- +Tableau 5: Efficacité et observance dans l'étude CO-US-104-0288 (iPrEX, analyse cas-témoins appariés)
- +Cohorte Principe actif détecté Principe actif non détecté Réduction du risque relatif (IC bilatéral à 95%)a
- +Sujets VIH-positifs 4 (8%) 44 (92%) 94% (78%; 99%)
- +Sujets VIH-négatifs appariés 63 (44%) 81 (56%) —
- +
- +a La réduction du risque relatif a été calculée à l'aide de l'incidence de la séroconversion (après l'inclusion) dans le cadre de la phase de traitement en double aveugle et pendant la période de suivi de 8 semaines. Les concentrations plasmatiques ou intracellulaires détectables de principe actif ténofovir disoproxil-DP ont été évaluées uniquement dans les prélèvements des sujets randomisés dans le groupe emtricitabine/ténofovir disoproxil.
- +Dans l'étude clinique Partners PrEP (CO-US-104-0380) emtricitabine/ténofovir disoproxil, 245 mg de ténofovir disoproxil et un placebo ont été comparés au sein de couples hétérosexuels sérodiscordants chez 4758 sujets non infectés par le VIH-1 provenant du Kenya ou de l'Ouganda. Les sujets ont été suivis sur une période de 7830 personnes-années. Les caractéristiques lors de l'inclusion sont récapitulées dans le tableau 6.
- +Tableau 6: Population de l'étude CO-US-104-0380 (Partners PrEP)
- + Placebo (n = 1584) Ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate) 245 mg (n = 1584) emtricitabine/ténofovir disoproxil (n = 1579)
- +Âge (années), médiane (Q1, Q3) 34 (28; 40) 33 (28; 39) 33 (28; 40)
- +Sexe, n (%)
- +Hommes 963 (61) 986 (62) 1013 (64)
- +Femmes 621 (39) 598 (38) 566 (36)
- +Caractéristiques importantes du couple, n (%) ou médiane (Q1, Q3)
- +Sujet marié à son/sa partenaire 1552 (98) 1543 (97) 1540 (98)
- +Nombre d'années de vie commune 7,1 (3,0; 14,0) 7,0 (3,0; 13,5) 7,1 (3,0; 14,0)
- +Nombre d'années depuis la connaissance du statut discordant 0,4 (0,1; 2,0) 0,5 (0,1; 2,0) 0,4 (0,1; 2,0)
- +
- +L'incidence de la séroconversion pour le VIH est présentée dans le tableau 7. Le taux de la séroconversion pour le VIH-1 s'élevait à 0,24/100 personnes-années de l'exposition à emtricitabine/ténofovir disoproxil chez les hommes et la réduction du risque relatif s'élevait à 84%. Chez les femmes le taux de la séroconversion pour le VIH-1 s'élevait à 0,95/100 personnes-années de l'exposition à emtricitabine/ténofovir disoproxil et la réduction du risque relatif s'élevait à 66%. L'efficacité était fortement corrélée à l'observance; cela a été déterminé à l'aide de la détection des concentrations plasmatiques ou intracellulaires du principe actif. L'efficacité était supérieure chez les participants d'une sous-étude qui avaient reçu un accompagnement actif en matière d'observance (voir tableau 8).
- +Tableau 7: Efficacité dans l'étude CO-US-104-0380 (Partners PrEP)
- + Placebo Ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate) 245 mg (n = 1584) emtricitabine/ténofovir disoproxil
- +Séroconversions/na 52/1578 17/1579 13/1576
- +Incidence pour 100 personnes-années (IC à 95%) 1,99 (1,49; 2,62) 0,65 (0,38; 1,05) 0,50 (0,27; 0,85)
- +Réduction du risque relatif (IC à 95%) — 67% (44%; 81%) 75% (55%; 87%)
- +
- +a La réduction du risque relatif a été calculé pour la cohorte ITTm à l'aide de l'incidence du Hazard ratio (après l'inclusion).
- +Tableau 8: Efficacité et observance dans l'étude CO-US-104-0380 (Partners PrEP)
- +Quantification du médicament de l'étude Nombre avec ténofovir détecté/nombre total d'échantillons (%) Risque estimé pour la protection contre le VIH-1: Détection versus Pas de détection du ténofovir
- + Cas Cohorte Réduction du risque relatif (IC à 95%) Valeur de p
- +Groupe FTC/TDFa 3/12 (25%) 375/465 (81%) 90% (56%; 98%) 0,002
- +Groupe TDFa 6/17 (35%) 363/437 (83%) 86% (67%; 95%) <0,001
- +Sous-étude sur l'observance Participants à la sous-étude sur l'observanceb Réduction du risque relatif (IC à 95%) Valeur de p
- +Placebo Ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate) 245 mg + emtricitabine/ténofovir disoproxil
- +Séroconversions/nb 14/404 (3,5%) 0/745 (0%) 100% (87%; 100%) <0,001
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- +a «Cas» = séroconvertis pour le VIH; «Cohorte» = 100 sujets randomisés chacun des groupes ténofovir disoproxil 245 mg et emtricitabine/ténofovir disoproxil. Les concentrations plasmatiques détectables de ténofovir ont été évaluées uniquement dans les prélèvements des sujets randomisés au ténofovir disoproxil 245 mg ou à emtricitabine/ténofovir disoproxil.
- +b Les participants à la sous-étude ont été surveillés activement, p.ex. ont bénéficié d'un accompagnement par des visites inopinées à domicile et un contrôle des comprimés, et eu égard à une amélioration de l'observance.
- +Emtricitabin/Tenofovir Mylan n'a pas été étudié chez les personnes non infectées par le VIH-1 et ayant une clairance de la créatinine <60 ml/min (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
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-Une étude de toxicité à doses répétées de 90 jours chez le rat a démontré un profil de toxicité comparable pour le fumarate de ténofovir disoproxil et le maléate de ténofovir disoproxil.
-Avril 2021
-[Emtricitabin/Tenofovir Mylan 105 F]
- +Mars 2022
- +[Emtricitabin/Tenofovir Mylan 106 F]
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