| 35 Changements de l'information professionelle Jemperli 500 mg/10 ml |
- +Indication en tant que thérapie combinée
- +Jemperli est indiqué en association avec un traitement contenant du carboplatine et du paclitaxel pour le traitement des patientes adultes atteintes d'un cancer de l'endomètre primairement avancé ou récidivant, qui présentent un risque élevé de récidive (voir «Mises en garde et précautions» et «Efficacité clinique»).
-Indication en tant que thérapie combinée
-Jemperli est indiqué en association avec un traitement contenant du carboplatine et du paclitaxel pour le traitement des patientes adultes atteintes d'un cancer de l'endomètre primairement récidivant ou avancé, avec réparation défectueuse des mésappariements de l'ADN (dMMR)/une instabilité microsatellitaire élevée (MSI-H), qui présentent un risque élevé de récidive (voir «Mises en garde et précautions» et «Efficacité clinique»).
-La dose recommandée lors d'un traitement en association est de 500 mg de dostarlimab toutes les 3 semaines pour 6 cycles, puis de 1000 mg toutes les 6 semaines pour tous les cycles suivants.
- +La dose recommandée lors d'un traitement en association est de 500 mg de dostarlimab toutes les 3 semaines pour 6 cycles, puis de 1000 mg toutes les 6 semaines en monothérapie pour tous les cycles suivants.
-En raison de la petite taille du sous-groupe et de la faible maturité des données au moment de l'analyse primaire de la PFS dans l'étude RUBY, les informations sur l'efficacité dans le sous-groupe de patients atteints d'une maladie de stade III ne confirment actuellement aucun avantage en termes de survie sans progression ou de survie globale (Pour les critères d'inclusion précis des patients au stade III primaire, voir «Efficacité clinique»).
- +Dans le sous-groupe de patientes atteintes d'une maladie de stade III, en raison de la petite taille du sous-groupe et de la faible maturité des données au moment de l'analyse primaire de la PFS (analyse intérimaire 1) ainsi qu'au moment de l'analyse intérimaire 2 pour l'OS, les informations sur l'efficacité ne confirment actuellement aucun avantage en termes de survie sans progression ou de survie globale dans l'étude RUBY (Pour les critères d'inclusion précis des patients au stade III primaire, voir «Efficacité clinique»).
-Chez les patients atteints d'une maladie auto-immune (MAI) préexistante, les données issues d'études observationelles indiquent un risque accru d'effets indésirables à médiation immunitaire après un traitement par un inhibiteur de point de contrôle immunitaire par rapport aux patients ne présentant pas de MAI préexistante. En outre, des poussées de la MAI sous-jacente sont souvent survenues, mais elles étaient pour la plupart légères et faciles à traiter.
- +Chez les patients atteints d'une maladie auto-immune (MAI) préexistante, les données issues d'études observationnelles indiquent un risque accru d'effets indésirables à médiation immunitaire après un traitement par un inhibiteur de point de contrôle immunitaire par rapport aux patients ne présentant pas de MAI préexistante. En outre, des poussées de la MAI sous-jacente sont souvent survenues, mais elles étaient pour la plupart légères et faciles à traiter.
-La sécurité du dostarlimab en association avec une chimiothérapie a été évaluée dans l’étude RUBY chez 241 patientes atteintes d’un cancer de l’endomètre primairement récidivant ou avancé. Les patientes ont tout d’abord reçu du dostarlimab pendant 6 cycles, à des doses de 500 mg à 3 semaines d’intervalle, suivies de 1000 mg toutes les 6 semaines pour tous les cycles suivants.
-Les effets indésirables observés chez plus de 800 patientes atteintes de tumeurs solides qui ont été traitées par le dostarlimab en monothérapie ou en association avec du carboplatine ou du paclitaxel ou d'autres agents anticancéreux sont présentés dans le Tableau 4.
- +La sécurité du dostarlimab en association avec une chimiothérapie a été évaluée dans l'étude RUBY chez 241 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre primairement récidivant ou avancé. Les patientes ont tout d'abord reçu du dostarlimab pendant 6 cycles, à des doses de 500 mg à 3 semaines d'intervalle, suivies de 1000 mg toutes les 6 semaines pour tous les cycles suivants.
- +Les effets indésirables observés chez plus de 2000 patientes atteintes de tumeurs solides qui ont été traitées par le dostarlimab en monothérapie ou en association avec du carboplatine ou du paclitaxel ou d'autres agents anticancéreux sont présentés dans le Tableau 4.
-Tableau 4: Effets indésirables chez les patientes atteintes de tumeurs solides avancées/récidivantes et traitées par le dostarlimab
- +Tableau 4: Effets indésirables chez les patientes atteintes de tumeurs solides et traitées par le dostarlimab
-Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Anémiea (32,3%)
-Affections endocriniennes Très fréquents Hypothyroïdieb (12,2%) Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne Occasionnels Thyroïditec, hypophysited
-Troubles du métabolisme et de la nutrition Très fréquents Diminution de l'appétit (18,9%) Fréquents Hypoalbuminémie, hypocalcémie Occasionnels Diabète sucré de type 1, acidocétose diabétique
-Affections du système nerveux Occasionnels Encéphalopathie, syndrome de Guillain-Barré, encéphalite, myasthénie grave, syndrome myasthéniquee
-Affections oculaires Occasionnels Uvéitef, kératite
-Affections cardiaques Fréquents Hypertension, tachycardie, palpitations Occasionnels Myocarditeg
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Très fréquents Toux (15,1%) Fréquents Pneumopathie inflammatoireh
-Affections gastro-intestinales Très fréquents Nausées (33,8%), diarrhée (27,4%), constipation (22,7%), vomissements (19,3%) Fréquents Colitei, pancréatitej, gastritek Occasionnels Œsophagite
-Affections hépatobiliaires Très fréquents Transaminases augmentéesl (15,1%) Occasionnels Hépatitem
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents Rash cutanén (25,8%), prurit (15,7%) Fréquents Sécheresse cutanée
-Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquents Arthralgie (22,3%), myalgie (12,9%) Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, pseudo-polyarthrite rhizomélique, myositeo
-Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Créatinine sanguine augmentée, insuffisance rénale aiguë Occasionnels Néphritep
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents Fatigueq (48,1%), fièvre (12,3%) Fréquents Frissons Occasionnels Syndrome de réponse inflammatoire généraliséer
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Anémiea ( 28,5%)
- +Affections endocriniennes Très fréquents Hypothyroïdieb (10,0%) Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne Occasionnels Thyroïditec, hypophysited
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Très fréquents Diminution de l'appétit (18,7%) Fréquents Hypoalbuminémie, hypocalcémie Occasionnels Diabète sucré de type 1, acidocétose diabétique
- +Affections du système nerveux Occasionnels Encéphalopathie, syndrome de Guillain-Barré, encéphalite Rares myasthénie grave, syndrome myasthénique
- +Affections oculaires Occasionnels Uvéitee Rares kératite
- +Affections cardiaques Fréquents Hypertension, tachycardie, palpitations Rares Myocarditef
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Très fréquents Toux (15,2%) Occasionnels Pneumopathie inflammatoireg
- +Affections gastro-intestinales Très fréquents Nausées (32,0%), diarrhée (22,5%), constipation (21,4%), vomissements (18,9%) Fréquents Coliteh, pancréatitei, Occasionnels gastritej, Œsophagite
- +Affections hépatobiliaires Très fréquents Transaminases augmentéesl (12,7%) Occasionnels Hépatitem
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents Rash cutanén (22,0%), prurit (13,7%) Fréquents Sécheresse cutanée
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquents Arthralgie (18,9%) Fréquents myalgie Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, pseudo-polyarthrite rhizomélique, myositen
- +Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Créatinine sanguine augmentée, insuffisance rénale aiguë Occasionnels Néphriteo
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents Fatiguep (43,9%), fièvre (12,8%) Fréquents Frissons Rares Syndrome de réponse inflammatoire généraliséer
-Lésions, intoxications et complications d'interventions Fréquents Réaction liée à la perfusions
- +Lésions, intoxications et complications d'interventions Fréquents Réaction liée à la perfusionq
-e Rapporté dans une étude en aveugle en cours, catégorie de fréquence estimée
-f Inclut uvéite et iridocyclite
-g Inclut myocardite et myocardite d'origine immunologique rapportée dans une étude en aveugle en cours, catégorie de fréquence estimée
-h Inclut pneumopathie inflammatoire, pneumopathie interstitielle et pneumopathies d'origine immunologique
-i Inclut colite, entérocolite, entérocolite d'origine immunologique et entérite, rapportées dans une étude en cours
-j Inclut pancréatite et pancréatite aiguë
-k Inclut gastrite, gastrite d'origine immunologique et vascularite gastro-intestinale, rapportées dans une étude en aveugle en cours, catégorie de fréquence estimée
-l Inclut transaminases augmentées, alanine aminotransférase augmentée, aspartate aminotransférase augmentée et hypertransaminasémie
-m Inclut hépatite, hépatite auto-immune et cytolyse hépatique
-n Inclut rash cutané, rash maculo-papuleux, érythème, rash maculeux, toxicité cutanée, syndrome d'érythrodysesthésie palmoplantaire, rash prurigineux, rash médicamenteux, rash papuleux, rash pustuleux, rash érythémateux, éruption cutanée toxique, érythème polymorphe, rash avec exfoliation, pemphigoïde, desquamation cutanée, rash vulvovaginal
-o Inclut myosite, rapportée dans une étude en aveugle en cours (fréquence estimée) et myosite d'origine immunologique
-p Inclut néphrite et néphrite tubulo-interstitielle
-q Inclut fatigue et asthénie
-r Rapporté dans une étude en aveugle en cours
-s Inclut réaction liée à la perfusion et hypersensibilité
- +e Inclut uvéite et iridocyclite
- +f Inclut myocardite et myocardite d'origine immunologique
- +g Inclut pneumopathie inflammatoire, pneumopathie interstitielle et pneumopathies d'origine immunologique
- +h Inclut colite, entérocolite, entérocolite d'origine immunologique et entérite
- +i Inclut pancréatite et pancréatite aiguë
- +j Inclut gastrite, gastrite d'origine immunologique et vascularite gastro-intestinale
- +k Inclut transaminases augmentées, alanine aminotransférase augmentée, aspartate aminotransférase augmentée et hypertransaminasémie
- +l Inclut hépatite, hépatite auto-immune et cytolyse hépatique
- +m Inclut rash cutané, rash maculo-papuleux, érythème, rash maculeux, toxicité cutanée, syndrome d'érythrodysesthésie palmoplantaire, rash prurigineux, rash médicamenteux, rash papuleux, rash pustuleux, rash érythémateux, éruption cutanée toxique, érythème polymorphe, rash avec exfoliation, pemphigoïde, desquamation cutanée, rash vulvovaginal
- +n Inclut myosite et myosite d'origine immunologique
- +o Inclut néphrite et néphrite tubulo-interstitielle
- +p Inclut fatigue et asthénie
- +q Inclut réaction liée à la perfusion et hypersensibilité
- +RUBY: étude contrôlée randomisée portant sur le dostarlimab associé au carboplatine et au paclitaxel dans le traitement des patientes adultes atteintes d'un cancer de l'endomètre primairement récidivant ou avancé
-Les critères d’efficacité primaires étaient la survie sans progression (progression-free survival, PFS), évaluée par le médecin investigateur selon les critères RECIST v1.1, chez les volontaires présentant un CE primairement récidivant ou avancé dMMR/MSI-H et chez toutes les volontaires (population ITT totale) présentant un CE primairement récidivant ou avancé, ainsi que la survie globale (overall survival, OS) chez toutes les volontaires (population ITT totale) présentant un CE primairement récidivant ou avancé. Les critères d’évaluation secondaires comprenaient le taux de réponse objective (objective response rate, ORR) et la durée de la réponse (duration of response, DOR), évalués par une revue centralisée indépendante en aveugle (BICR) et par le médecin investigateur selon les critères RECIST v1.1, ainsi que la PFS2, définie comme le temps écoulé entre la randomisation pour le traitement et la date d’évaluation de la progression lors du premier traitement anticancéreux suivant le traitement à l’étude ou jusqu’au décès, quelle qu’en soit la cause, selon la première de ces éventualités.
-Au total, la sécurité a été évaluée chez 118 patientes atteintes de CE dMMR/MSI-H dans le cadre de l'étude RUBY. À l'inclusion, la population totale de patientes atteintes de CE dMMR/MSI-H présentait les caractéristiques démographiques et autres suivantes: âge médian de 64 ans (49% de 65 ans ou plus); 85% de Caucasiennes, 9% de Noires, 2% d'Asiatiques, indice de performance (PS) selon l'Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) de 0 (57%) ou 1 (43%) et de stade III primaire 20%, de stade IV primaire 30%, de CE récidivant 50.
- +Les critères d'efficacité primaires étaient la survie sans progression (progression-free survival, PFS), évaluée par le médecin investigateur selon les critères RECIST v1.1, chez les volontaires présentant un CE primairement récidivant ou avancé dMMR/MSI-H et chez toutes les volontaires (population totale) présentant un CE primairement récidivant ou avancé, ainsi que la survie globale (overall survival, OS) chez toutes les volontaires (population totale) présentant un CE primairement récidivant ou avancé. Les critères d'évaluation secondaires comprenaient le taux de réponse objective (objective response rate, ORR) et la durée de la réponse (duration of response, DOR), évalués par une revue centralisée indépendante en aveugle (blinded independent central review, BICR) et par le médecin investigateur selon les critères RECIST v1.1, ainsi que la PFS2, définie comme le temps écoulé entre la randomisation pour le traitement et la date d'évaluation de la progression lors du premier traitement anticancéreux suivant le traitement à l'étude ou jusqu'au décès, quelle qu'en soit la cause, selon la première de ces éventualités.
- +Au total, l'efficacité a été évaluée chez 494 patientes atteintes de CE dans le cadre de l'étude RUBY. À l'inclusion, la population totaleprésentait les caractéristiques démographiques et autres suivantes: âge médian de 65 ans (51% de 65 ans ou plus); 77% de Caucasiennes, 12% de Noires, 3% d'Asiatiques, indice de performance (PS) selon l'Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) de 0 (63%) ou 1 (37%) et de stade III primaire 18,6%, de stade IV primaire 33,6%, de CE récidivant 47,8%.
-Les résultats d'efficacité sont présentés dans le Tableau 5. L'étude RUBY a montré une amélioration statistiquement significative de la PFS chez les patientes ayant reçu de manière randomisée le dostarlimab plus carboplatine-paclitaxel par rapport aux patientes ayant reçu de manière randomisée le placebo plus carboplatine-paclitaxel.
- +Les résultats d'efficacité sont présentés dans le Tableau 5.
-Critère d'évaluation Population dMMR/MSI-Ha
-Dostarlimab + carboplatine-paclitaxel (N = 60) Placebo + carboplatine-paclitaxel (N = 62)
-Survie sans progression (PFS)
-Médiane en mois (IC à 95%)b 30,3 (11,8, NR) 7,7 (5,6; 9,7)
-Nombre (%) de patientes avec un événement 23 (38,3) 47 (75,8)
-Hazard ratio (IC à 95%)c 0,29 (0,17; 0,50)
-Valeur de pb <0,0001
-Survie globale (OS)d,e
-Médiane en mois Non atteinte Non atteinte (20,3, NR)
-Nombre (%) de patientes avec un événement 8 (13,3) 25 (40,3)
-Hazard ratio (IC à 95%)c 0,29 (0,13; 0,64)
-
- +Critère d'évaluation Population totale Population dMMR/MSI-H
- + Dostarlimab + carboplatine-paclitaxel (N = 245) Placebo + carboplatine-paclitaxel (N = 249) Dostarlimab + carboplatine-paclitaxel (N = 53) Placebo + carboplatine-paclitaxel (N = 65)
- +Survie sans progression (PFS) a
- +Médiane en mois (IC à 95%)b 11,8 (9,6; 17,1) 7,9 (7,6; 9,5) NR 7,7 (5,6; 9,7 )
- +Nombre (%) de patientes avec un événement 135 (55,1) 177 (71,1) 19 (35,8) 47 (72,3)
- +Hazard ratio (IC à 95%)c 0,64 (0,51; 0,80) 0,28 (0,16; 0,50)
- +Valeur de pd <0,0001 <0,0001
- +Survie globale (OS)f, g
- +Médiane en mois (IC à 95%) 44,6 (32,6; NR) 28,2 (22,1; 35,6) NR 31,4 (20,3; NR)
- +Nombre (%) de patientes avec un événement 109 (44,5) 144 (57,8) 12 (22,6) 35 (53,8)
- +Hazard ratio (IC à 95%)c 0,69 (0,54; 0,89) 0,32 (0,17; 0,63)
- +Valeur de pd 0,0020 NAf
- +
-IC = Intervalle de confiance, NR = Not reached/non atteint
- +IC = Intervalle de confiance, NR = Not reached/non atteint, NE = non évaluable, NA = not applicable/non applicable
-b Valeur de p unilatérale basée sur le test du log-rank stratifié.
- +b Selon la méthode de Brookmeyer et Crowley.
-d Statistiquement non significative, car aucun test d'hypothèse n'a été réalisé pour la survie globale dans la population dMMR/MSI-H.
-e Évaluée par le médecin investigateur selon les critères RECIST v1.1.
- +d Valeur de p unilatérale basée sur le test du log-rank stratifié.
- +e Selon la méthode Kaplan-Meier
- +f Les données sur la OS pour la population dMMR/MSI-H sont des résultats descriptifs. Pour la population totale uniquement, la OS est un critère d'évaluation primaire.
- +g Durée médiane de suivi de 37 mois (date de référence: 22 septembre 2023).
- +h Évaluée par le médecin investigateur selon les critères RECIST v1.1.
- +i Pour les patientes en rémission partielle ou complète.
- +Des analyses descriptives de la PFS et de l'OS ont été effectuées chez des patientes présentant un CE MMRp/MSS (n = 376). Le HR de la PFS était de 0,76 (IC à 95%: 0,59; 0,98), avec une PFS médiane de 9,9 mois sous dostarlimab plus carboplatine-paclitaxel (n = 192) versus 7,9 mois sous placebo plus carboplatine-paclitaxel (n = 184) (date de référence: 28 septembre 2022). Le HR de l'OS était de 0,79 (IC à 95%: 0,60; 1,04), avec un OS médian de 34 mois sous dostarlimab plus caboplatine-paclitaxel contre 27 mois sous placebo-paclitaxel (date de référence: 22 septembre 2023).
- +Dans la population totale de patientes définies comme européennes, le HR de l'OS était de 1,15 (IC 95 %: 0,72; 1,83). Chez les patientes atteintes d'une maladie de stade III, le HR de l'OS était de 1,32 (IC à 95 %: 0,66; 2,66). Chez les patientes ne présentant pas de maladie mesurable au début de l'étude, le HR de l'OS était de 1,53 (IC à 95 %: 0,50; 4,69). Les résultats doivent être interprétés avec prudence en raison de la petite taille de l'échantillon au sein des sous-groupes. Dans une analyse descriptive (date de référence: 13 mai 2024), le HR de l'OS dans la population totale était de 0,72 (IC 95 %: 0,57; 0,92) avec un OS médian de 44,4 mois pour le dostarlimab plus carboplatine-paclitaxel (nombre ou événements = 125/245) contre 29,3 mois pour le placebo plus carboplatine-paclitaxel (nombre ou événements = 153/249).
- +GARNET: patientes adultes atteintes d'un cancer de l'endomètre dMMR/MSI-H récidivant ou avancé, qui ont présenté une progression pendant ou après un schéma thérapeutique à base de platine
-Au total, la sécurité a été évaluée chez 143 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre dMMR/MSI-H dans le cadre de l'étude GARNET. À l'inclusion, les 143 patientes présentaient les caractéristiques suivantes: âge médian de 65 ans (52% de 65 ans ou plus); 77% de Caucasiennes, 3% d'Asiatiques, 3% de Noires, indice de performance (PS) selon l'Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) de 0 (39%) ou 1 (61%). En médiane, les patientes avaient déjà suivi une ligne de traitement: 63% des patientes avaient reçu une ligne de traitement antérieure, 37% des patientes avant reçu deux lignes de traitement antérieures ou plus. Quarante-neuf patientes (34%) n'avaient été traitées qu'en néoadjuvant ou adjuvant avant de participer à l'étude.
- +Au total, l'efficacité a été évaluée chez 143 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre dMMR/MSI-H dans le cadre de l'étude GARNET. À l'inclusion, les 143 patientes présentaient les caractéristiques suivantes: âge médian de 65 ans (52% de 65 ans ou plus); 77% de Caucasiennes, 3% d'Asiatiques, 3% de Noires, indice de performance (PS) selon l'Eastern Cooperative Oncology Group (ECOG) de 0 (39%) ou 1 (61%). En médiane, les patientes avaient déjà suivi une ligne de traitement: 63% des patientes avaient reçu une ligne de traitement antérieure, 37% des patientes avant reçu deux lignes de traitement antérieures ou plus. Quarante-neuf patientes (34%) n'avaient été traitées qu'en néoadjuvant ou adjuvant avant de participer à l'étude.
-Taux de réponse objective (ORR)
- +Taux de réponse objective (ORR)
-Novembre 2024
- +Décembre 2024
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