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Accueil - Information professionnelle sur Striascan 74 MBq/ml - Changements - 26.04.2023
20 Changements de l'information professionelle Striascan 74 MBq/ml
  • -Zusammensetzung
  • -Wirkstoffe
  • -Ioflupanum [123I] 74 MBq/ml am Kalibrierungstermin (corresp. 0,07 - 0,13 μg Ioflupanum/ml).
  • -Hilfsstoffe
  • -Ioflupanum [127I], Acidum aceticum glaciale (E 260), Natrii acetas trihydricus (E 262) (entspricht 4,9 mg Natrium), Ethanolum anhydricum (E 1510), Acidum phosphoricum concentratum (E 338), Aqua ad injectabilia.
  • -Dieses Arzneimittel enthält 39,5 g/l Ethanol.
  • -Spezifikationen
  • -Spezifische Aktivitt: 2,5 - 4,5 × 1014 Bq/mmol am Kalibrierungstermin
  • -Radiochemische Reinheit: ≥ 96 %
  • -Radionuklidreinheit: ≥ 99,7 %
  • -Wichtigste Verunreinigungen: 123I ≤ 4 %, [123I]-Ioflupansäure ≤ 2 %
  • -Kalibrierungszeitpunkt: siehe Lieferschein und Packungsetiketten
  • +Composition
  • +Principes actifs
  • +Ioflupanum [123I] 74 MBq/ml au moment de la calibration (correspondant à 0,07 - 0,13 µg d’ioflupanum par ml).
  • +Excipients
  • +Ioflupanum [127I], Acidum aceticum glaciale (E 260), Natrii acetas trihydricus (E 262) (correspondant à 4,9 mg de sodium), Ethanolum anhydricum (E 1510), Acidum phosphoricum concentratum (E 338), Aqua ad injectabilia.
  • +Ce produit contient 39,5 g/l d’éthanol.
  • +Spécifications
  • +Activit spécifique: 2,5 - 4,5 × 1014 Bq/mmol au moment de la calibration
  • +Pureté radiochimique: ≥ 96 %
  • +Pureté du radionucléide: ≥ 99,7 %
  • +Impuretés les plus importantes: 123I- ≤ 4 %, [123I]-acide d’ioflupanum ≤ 2 %
  • +Moment de la calibration: voir le bon de livraison et les étiquettes sur l’emballage
  • -Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten
  • -Radiodiagnostikum.
  • -Striascan ist bestimmt zur Ermittlung des Verlustes funktionsfähiger dopaminerger Neuronenendigungen im Striatum (in Erkrankungen wie Parkinson’sche Krankheit, Multisystematrophie, progressiver supranukleärer Blicklähmung, kortikobasale Degeneration, spinozerebelläre Ataxie (Typus 1, 2 & 3), Demenz bei Parkinson’scher Krankheit (PDD) und Lewy-Körperchen-Demenz) von Patienten mit klinisch unklaren Parkinson-Symptomen und als unterstützende Massnahme zur Differenzierung zwischen essentiellem Tremor und Parkinson- Syndromen, die auf die idiopathische Parkinson’sche Krankheit, Multisystematrophie oder progressive supranukleäre Blicklähmung zurückzuführen sind. Striascan kann nicht zwischen Parkinson’scher Krankheit und Multisystematrophie oder progressiver supranukleärer Blicklähmung unterscheiden.
  • -Striascan ist ebenfalls angezeigt zur Unterstützung der Differenzierung zwischen einer wahrscheinlichen Lewy-Körperchen-Demenz und der Alzheimer-Krankheit. Striascan kann nicht zwischen der Lewy-Körperchen-Demenz und einer Demenz bei Parkinson’scher Krankheit (PDD) unterscheiden.
  • -Dosierung/Anwendung
  • -Die Anwendung von Striascan soll von einem Nuklearmediziner erfolgen, und die Resultate der Untersuchung von Ärzten mit Erfahrung in der Behandlung von Bewegungsstörungen interpretiert werden.
  • -Übliche Dosierung
  • -Die klinische Wirksamkeit wurde mit Aktivitten von 111 185 MBq belegt. Es sollen nicht mehr als 185 MBq und nicht weniger als 110 MBq verabreicht werden. Im Falle einer Überdosierung ist die entsprechende Rubrik «Überdosierung» zu beachten.
  • -Um die Aufnahme von radioaktivem Iod in die Schilddrüse auf ein Minimum zu reduzieren, muss bei den Patienten vor der Injektion eine Schilddrüsenblockade durchgeführt werden. Dem Patienten wird 400 mg Natriumperchlorat 1 Stunde vor der Striascan-Injektion gegeben.
  • -Striascan ist eine 5%ige (V/V) ethanolische Lösung zur intravenösen Injektion und muss unverdünnt angewendet werden. Dies kann zu Schmerzen führen, falls die Lösung in einer kleinen Vene zu schnell injiziert wird. Um mögliche Schmerzen an der Injektionsstelle zu vermeiden, wird eine langsame (nicht weniger als 15 - 20 Sekunden dauernde) intravenöse Injektion in eine Armvene empfohlen.
  • -Bilderfassung
  • -Die SPECT-Untersuchung sollte 3 - 6 Stunden nach der Injektion durchgeführt werden. Für die Bildakquisition wird die Verwendung einer Gammakamera mit hochauflösendem Kollimator empfohlen, die auf den 159 keV Photopeak mit einem Energiefenster von +/- 10% kalibriert ist. Die Winkelabtastung sollte nicht weniger als 120 Projektionen über eine Rotation von 360 Grad ergeben.
  • -Bei hochauflösenden Kollimatoren ist der Rotationsradius konstant zu halten und so klein wie möglich einzustellen (typischerweise 11 15 cm). Experimentelle Studien mit einem striatalen Phantom weisen darauf hin, dass bestmögliche Aufnahmen erzielt werden, wenn Matrixgrösse und Zoomfaktoren so gewählt werden, dass die Pixelgrösse bei den derzeit verwendeten Systemen 3,5 - 4,5 mm beträgt. Für optimale Darstellungen sollten mindestens 500000 Counts erfasst werden.
  • -Kinder und Jugendliche
  • -Striascan wird nicht zur Anwendung bei Kindern oder Jugendlichen empfohlen, da für diese Altersgruppen keine Daten vorliegen.
  • -Strahlenexposition
  • -Die Strahlenexposition eines durchschnittlichen erwachsenen Patienten (70 kg) nach intravenöser Injektion von Ioflupanum [123I] ist nachfolgender Tabelle zu entnehmen. Bei der Berechnung der absorbierten Strahlendosen wurde von einer Blasenentleerung in Abständen von 4,8 Stunden und einer angemessenen Schilddrüsenblockade ausgegangen.
  • -Zur Minimierung der Strahlenexposition ist der Patient nach Verabreichung der Dosis zu häufiger Blasenentleerung aufzufordern.
  • -Zielorgan Absorbierte Strahlendosis [µGy/MBq]
  • -Nebennieren 17,0
  • -Knochenoberflächen 15,0
  • -Gehirn 16,0
  • -Mammae 7,3
  • -Gallenblasenwand 44,0
  • -Gastrointestinaltrakt
  • -Magenwand 12,0
  • -Dünndarmwand 26,0
  • -Kolonwand 59,0
  • -Obere Dickdarmwand 57,0
  • -Untere Dickdarmwand 62,0
  • -Herzwand 32,0
  • -Nieren 13,0
  • -Leber 85,0
  • -Lungen 42,0
  • -Muskeln 8,9
  • -Speiseröhre 9,4
  • -Ovarien 18,0
  • -Pankreas 17,0
  • -Rotes Knochenmark 9,3
  • -Speicheldrüsen 41,0
  • -Haut 5,2
  • -Milz 26,0
  • -Hoden 6,3
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +Produit radiodiagnostique.
  • +Striascan est destiné à déterminer la perte de terminaisons neuronales dopaminergiques fonctionnelles dans le striatum (lors de maladies telles que la maladie de Parkinson, l’atrophie multisystématisée, la paralysie supranucléaire progressive, la dégénérescence cortico-basale, l’ataxie spinocérébelleuse (de types 1, 2 et 3), la démence parkinsonienne (PDD) et la démence à corps de Lewy) chez les patients présentant des symptômes parkinsoniens cliniquement vagues et sert comme mesure de soutien dans le diagnostic différentiel entre un tremblement essentiel et des syndromes parkinsoniens liés à la maladie de Parkinson idiopathique, à l’atrophie multisystématisée ou à la paralysie supranucléaire progressive. Striascan ne permet pas de différencier entre une maladie de Parkinson et une atrophie multisystématisée ou une paralysie supranucléaire progressive.
  • +Striascan est également indiqué pour soutenir le diagnostic différentiel entre une probable démence à corps de Lewy et une maladie d’Alzheimer. Striascan ne permet pas de différencier la démence à corps de Lewy de la démence parkinsonienne (PDD).
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • +L’utilisation de Striascan est réservée à un médecin spécialisé en médecine nucléaire et les résultats de l’examen doivent être interprétés par des médecins expérimentés dans le traitement des troubles moteurs.
  • +Posologie usuelle
  • +L’efficacité clinique a été confirmée pour des activits comprises entre 111 et 185 MBq. L’activité de la quantité administrée ne doit pas dépasser 185 MBq et elle ne doit pas être inférieure à 110 MBq. En cas de surdosage, les indications correspondantes figurant à la rubrique « Surdosage » doivent être suivies.
  • +Afin de réduire à un minimum l’absorption d’iode radioactif par la thyroïde, il convient de bloquer la thyroïde des patients avant l’injection en leur administrant 400 mg de perchlorate de sodium 1 heure avant l’injection de Striascan.
  • +Striascan est une solution éthanolique à 5 % (v/v) destinée à l’injection intraveineuse et doit être administrée non diluée. Cette injection peut être douloureuse si la solution est injectée trop vite dans une petite veine. Afin d’éviter d’éventuelles douleurs au site d’injection, il est recommandé d’effectuer une injection intraveineuse lente (sur une durée non inférieure à 15 à 20 secondes) dans une veine du bras.
  • +Acquisition des images
  • +L’examen par tomographie par émission monophotonique (TEMP) doit être effectué dans les 3 à 6 heures suivant l’injection. Pour l’acquisition des images, il est conseillé d’utiliser une gamma-caméra munie d’un collimateur à haute résolution calibrée sur le pic d’émission photonique de 159 keV avec une fenêtre d’énergie de ± 10 %. L’échantillonnage angulaire ne doit pas être inférieur à 120 projections sur une rotation de 360 degrés. Pour les collimateurs à haute résolution, le rayon de rotation doit être maintenu constant et réglé aussi petit que possible (généralement 11 à 15 cm). Des études expérimentales effectuées sur un fantôme striatal indiquent que les meilleures images possibles sont obtenues lorsque la taille de la matrice et le zoom sont réglés de sorte à obtenir une taille de pixel de 3,5 à 4,5 mm dans les systèmes utilisés à l’heure actuelle. Pour réaliser des images optimales, un compte d’au moins 500 000 doit être obtenu.
  • +Enfants et adolescents
  • +L’utilisation de Striascan n’est pas recommandée chez les enfants ou les adolescents car aucune donnée n’est disponible pour cette tranche d’âge.
  • +Exposition aux rayonnements
  • +L’exposition aux rayonnements d’un patient adulte (70 kg) moyen après injection intraveineuse d’ioflupanum [123I] est représentée dans le tableau ci-dessous. Le calcul des doses radioactives absorbées est basé sur une vessie vidée à intervalles de 4,8 heures et sur un blocage adéquat de la thyroïde.
  • +Afin de minimiser l’exposition aux rayonnements, le patient doit être invité à uriner fréquemment après l’administration de la dose.
  • +Organe cible Dose radioactive absorbée [µGy/MBq]
  • +Surrénales 17,0
  • +Surfaces osseuses 15,0
  • +Cerveau 16,0
  • +Seins 7,3
  • +Paroi de la vésicule biliaire 44,0
  • +Tractus gastro-intestinal
  • +Paroi de l’estomac 12,0
  • +Paroi de l’intestin grêle 26,0
  • +Paroi du côlon 59,0
  • +Paroi du côlon supérieur 57,0
  • +Paroi du côlon inférieur 62,0
  • +Paroi du cœur 32,0
  • +Reins 13,0
  • +Foie 85,0
  • +Poumons 42,0
  • +Muscles 8,9
  • +Œsophage 9,4
  • +Ovaires 18,0
  • +Pancréas 17,0
  • +Moelle osseuse rouge 9,3
  • +Glandes salivaires 41,0
  • +Peau 5,2
  • +Rate 26,0
  • +Testicules 6,3
  • -Schilddrüse 6,7
  • -Harnblasenwand 35,0
  • -Uterus 14,0
  • -Restliche Organe Gesamtkörper 10,0
  • -Effektive Dosis (Gewichtung nach ICRP 128) 25,0 μSv/MBq
  • +Thyroïde 6,7
  • +Paroi de la vessie 35,0
  • +Utérus 14,0
  • +Autres organes 10,0
  • +Organisme entier
  • +Dose effective (pondération selon la CIPR 128) 25,0 μSv/MBq
  • -Die effektive Dosis (ED, Gewichtung nach ICRP 128), die sich nach Injektion von 185 MBq Striascan ergibt, beträgt 4,63 mSv für einen Erwachsenen mit 70 kg Körpergewicht. Die obigen Daten gelten bei normaler pharmakokinetischer Verteilung.
  • -Bei beeinträchtigter Nierenoder Leberfunktion aufgrund von Erkrankungen oder vorangegangener Therapie können die effektive Dosis und die von den Organen absorbierte Strahlendosis erhöht sein.
  • -Kontraindikationen
  • -·Schwangerschaft, während des Stillens
  • -·Überempfindlichkeit gegenüber dem Wirkstoff oder einem der Hilfsstoffe gemäss Zusammensetzung
  • -Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen
  • -Jede Anwendung von Radiopharmazeutika an Patienten liegt ausschliesslich in der Kompetenz und Verantwortung eines Arztes. Untersuchungen sind nur dann angezeigt, wenn der Nutzen einer solchen das mit der Strahlenexposition verbundene Risiko übersteigt. In jedem Fall hat die Verabreichung unter den Kautelen des Strahlenschutzes stattzufinden. Alternative Untersuchungsmethoden, bei denen keine ionisierenden Strahlen angewendet werden, sollten in Erwägung gezogen werden.
  • -Die Möglichkeit einer Überempfindlichkeit einschließlich anaphylaktischen/anaphylaktoiden Reaktionen sollte immer in Betracht gezogen werden. Beim Auftreten von Überempfindlichkeitsreaktionen muss die Verabreichung des Arzneimittels sofort beendet und gegebenenfalls eine intravenöse Behandlung eingeleitet werden. Vor der Verabreichung ist das Vorhandensein einer entsprechenden Wiederbelebungsausrüstung sicherzustellen.
  • -Bei Patienten mit Nierenoder Leberinsuffizienz wurden keine klinischen Studien durchgeführt. Da keine Daten vorliegen, wird Striascan nicht für die Anwendung bei Patienten mit mässiger bis schwerer Nieren- oder Leberinsuffizienz empfohlen. Bei diesen Patienten ist eine sorgfältige Abwägung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses erforderlich, da ein erhöhtes Strahlenexpositionsrisiko vorliegen kann.
  • -Dieses Arzneimittel enthält bis zu 100 mg Alkohol (Ethanol) pro Durchstechfläschchen, entsprechend 5% V/V, dies entspricht weniger als 2 ml Bier oder 1 ml Wein. Die geringe Alkoholmenge in diesem Arzneimittel hat keine wahrnehmbaren Auswirkungen.
  • -Dieses Arzneimittel enthält weniger als 1 mmol Natrium (23 mg) pro Durchstechfläschchen, d.h. es ist nahezu «natriumfrei».
  • -Auswertung von Striascan-Bildern
  • -Striascan-Bilder werden basierend auf dem Aussehen der Striata visuell interpretiert.
  • -Die optimale Darstellung der rekonstruierten Bilder zur visuellen Interpretation sind transaxiale Schnitte parallel zur Linie anteriore Kommissurposteriore Kommissur (AC-PC). Die Bestimmung, ob ein Bild normal oder abnormal ist, erfolgt durch Beurteilung der Ausdehnung (wie durch die Form angezeigt) und der Intensitt (in Bezug auf den Hintergrund) des striatalen Signals. Normale Bilder zeichnen sich durch zwei symmetrische halbmondförmige Bereiche gleicher Intensitt aus. Abnormale Bilder sind entweder asymmetrisch oder symmetrisch mit ungleicher oder verringerter Intensität und/oder Verlust der Sichel- Form.
  • -Als Ergänzung kann die visuelle Auswertung durch eine semi-quantitative Bewertung unter Verwendung einer CE-gekennzeichneten Software unterstützt werden, bei der die Striascan-Aufnahme im Striatum mit der Aufnahme in einer Referenzregion verglichen und die Ratios mit einer altersangepassten Datenbank gesunder Probanden verglichen werden. Die Auswertung von Ratios wie der Striascan-Aufnahme (Symmetrie) im linken/rechten Striatum oder der Aufnahme im Caudatum/Putamen kann zusätzlich bei der Bildauswertung hilfreich sein.
  • -Die folgenden Vorsichtsmaßnahmen sollten beachtet werden, wenn semi-quantitative Methoden angewendet werden:
  • -·Die Semi-Quantifizierung sollte nur als Ergänzung zur visuellen Bewertung verwendet werden.
  • -·Es darf nur CE-gekennzeichnete Software verwendet werden.
  • -·Benutzer sollten vom jeweiligen Hersteller in der Verwendung von CE-gekennzeichneter Software geschult werden und die EANM-Richtlinien für die Bilderfassung, -rekonstruktion und -bewertung befolgen.
  • -·Die Auswerter sollten den Scan visuell interpretieren und danach die semi-quantitative Analyse gemäß den Anweisungen des Herstellers durchführen, einschließlich Qualittsprüfungen für den Quantifizierungsprozess:
  • -oROI/VOI-Techniken sollten verwendet werden, um die Aufnahme im Striatum mit der Aufnahme in einer Referenzregion zu vergleichen.
  • -oEin Vergleich mit einer altersbereinigten Datenbank gesunder Probanden wird empfohlen, um die altersbedingte Abnahme der striatalen Bindung zu berücksichtigen.
  • -oDie verwendeten Rekonstruktionsund Filtereinstellungen (einschließlich Schwächungskorrektur) können die semi-quantitativen Werte beeinflussen. Die vom Hersteller der CE-gekennzeichneten Software empfohlenen Rekonstruktions- und Filtereinstellungen sollten befolgt werden und mit denen übereinstimmen, die für die Semi-Quantifizierung der Datenbank gesunder Probanden verwendet wurden.
  • -oDie Intensitt des striatalen Signals, gemessen durch SBR (striatale Bindungs-Ratio) und die Asymmetrie, sowie das Verhältnis von Caudatus zu Putamen liefern objektive numerische Werte, die den visuellen Bewertungsparametern entsprechen, und können in schwer lesbaren Fällen hilfreich sein.
  • -oWenn die semi-quantitativen Werte nicht mit der visuellen Interpretation übereinstimmen, sollte der Scan auf eine angemessene Platzierung der ROIs/VOIs, die korrekte Bildausrichtung und geeignete Parameter für die Bildaufnahme und Schwächungskorrektur überprüft werden. Einige Softwarepakete können diese Prozesse unterstützen, um die bedienerbedingte Variabilitt zu verringern.
  • -oBei der abschließenden Beurteilung sollten immer sowohl das visuelle Erscheinungsbild als auch die semi-quantitativen Ergebnisse berücksichtigt werden.
  • -Interaktionen
  • -Untersuchungen zu Wechselwirkungen wurden am Menschen bisher nicht durchgeführt.
  • -Ioflupanum bindet an den Dopamintransporter. Arzneimittel oder Substanzen, die mit starker Affinitt an den Dopamintransporter binden, können daher die Diagnostik mit Striascan beeinträchtigen; hierzu gehören z.B. Amphetamin, Benzatropin, Bupropion, Kokain, Mazindol, Methylphenidat, Norpseudoephedrin und Sertralin. Als allgemeine Regel gilt, dass die hier aufgeführten oder andere Substanzen weder gleichzeitig mit Striascan noch in kürzerem zeitlichem Abstand verabreicht werden sollten. Bei der Auswertung der Befunde muss die Medikation berücksichtigt werden.
  • -In klinischen Prüfungen wurden keine Wechselwirkungen u.a. mit folgenden Wirkstoffen festgestellt:
  • -Parkinson-Therapeutika Trihexyphenidyl, Amantadin, Levodopa, Selegilin
  • -Beta-Blocker Metoprolol, Propranolol
  • -Antiepileptikum Primidon
  • +La dose effective (DE, pondération selon la CIPR 128) résultant de l’injection de 185 MBq de Striascan, s’élève à 4,63 mSv pour un adulte de 70 kg de poids corporel. Les données indiquées ci-dessus sont valables en cas de distribution pharmacocinétique normale.
  • +La dose efficace et la dose radioactive absorbée par les organes peuvent être augmentées en cas d’insuffisance rénale ou hépatique consécutive à une affection concomitante ou à un traitement antérieur.
  • +Contre-indications
  • +·Grossesse, allaitement
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition
  • +Mises en garde et précautions
  • +Toute utilisation de produits radiopharmaceutiques chez les patients relève exclusivement de la compétence et de la responsabilité d’un médecin. Des examens ne sont indiqués que si leur bénéfice potentiel dépasse le risque lié à l’exposition aux rayonnements. L’administration doit dans tous les cas être effectuée en respectant les règles de radioprotection. Des méthodes d’examen alternatives réalisées sans radiations ionisantes doivent être envisagées.
  • +Il convient de toujours prendre en compte la possibilité d’une hypersensibilité, y compris de réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes. En cas d’apparition de réactions d’hypersensibilité, l’administration du médicament doit être immédiatement interrompue et un traitement intraveineux doit être instauré le cas échéant. Avant l’administration, il faut s’assurer de disposer du matériel de réanimation approprié.
  • +Aucune étude clinique n’a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique. En l’absence de données, l’utilisation de Striascan n’est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique modérée à sévère. Chez ces patients, une attention particulière doit être portée au rapport bénéfice/risque, car il peut y avoir un risque accru d'exposition aux rayonnements.
  • +Ce médicament contient au maximum 100 mg d’alcool (éthanol) par flacon, équivalant à 5 % V/V, ce qui équivaut à moins de 2 ml de bière ou 1 ml de vin. La faible quantité d’alcool contenue dans ce médicament n’est pas susceptible d’entraîner d’effet notable.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mml (23 mg) de sodium par flacon, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
  • +Interprétation des images Striascan
  • +Les images Striascan sont interprétées visuellement en fonction de l’apparence du striatum.
  • +La représentation optimale des images reconstruites en vue de leur interprétation visuelle consiste en la réalisation de coupes transaxiales parallèles à la ligne commissure antérieure – commissure postérieure (CA-CP). Pour déterminer si une image est normale ou anormale, on apprécie l’étendue (indiquée par la forme) et l’intensit (par rapport au bruit de fond) du signal du striatum.
  • +Les images normales se caractérisent par deux zones symétriques en forme de croissant d’intensit identique. Les images anormales sont soit asymétriques soit symétriques avec une intensité du signal inégale ou réduite et/ou une perte de la forme en croissant.
  • +En complément, l’appréciation visuelle peut être assistée par une évaluation semi-quantitative à l’aide d’un logiciel marqué CE permettant de comparer la fixation de Striascan dans le striatum avec celle dans une région de référence et de comparer les ratios avec ceux d’une base de données de sujets sains appariés selon l’âge. L’interprétation des ratios et de la fixation de Striascan (symétrie) dans le striatum gauche/droit ou le noyau caudé/putamen peut en outre être utile pour l’appréciation de l’image.
  • +Le recours à des méthodes semi-quantitatives impose les précautions suivantes:
  • +·La semi-quantification ne doit être utilisée qu’en complément de l’interprétation visuelle.
  • +·Seul un logiciel marqué CE doit être utilisé.
  • +·Les utilisateurs doivent être formés à l’utilisation du logiciel marqué CE par le fabricant et suivre les recommandations de l’EANM pour l’acquisition, la reconstruction et l’interprétation des images.
  • +·Les évaluateurs doivent procéder à une interprétation visuelle des images, puis réaliser une analyse semi-quantitative conforme aux instructions du fabricant, y compris des contrôles de qualit concernant le processus de quantification:
  • +oDes techniques ROI/VOI (Région d’intérêt / Volume d’intérêt) doivent être utilisées pour comparer la fixation dans le striatum à celle de la région de référence.
  • +oUne comparaison avec une base de données de sujets sains appariés selon l’âge est recommandée pour tenir compte de la diminution de la fixation dans le striatum liée à l’âge.
  • +oLes paramètres de reconstruction et de filtres utilisés (y compris la correction d’atténuation) peuvent influencer les valeurs semi-quantitatives. Les paramètres de reconstruction et de filtres recommandés par le fabricant du logiciel marqué CE doivent être respectés et correspondre à ceux utilisés pour la semi-quantification de la base de données de sujets sains.
  • +oL’intensit du signal du striatum, mesurée par SBR (ratio de la fixation dans le striatum) et l’asymétrie, de même que le rapport noyau caudé/putamen fournissent des valeurs numériques objectives qui correspondent aux paramètres d’interprétation visuelle et peuvent être utiles dans les cas difficilement interprétables.
  • +oSi les valeurs semi-quantitatives ne correspondent pas à l’interprétation visuelle, il faut vérifier le placement adéquat des ROI/VOI, l’orientation correcte de l’image et les paramètres appropriés pour l’acquisition des images et la correction d’atténuation. Certains logiciels sont capables de prendre en charge ces processus pour diminuer la variabilit dépendante de l’utilisateur.
  • +oL’évaluation finale doit toujours tenir compte à la fois de l’interprétation visuelle et des résultats semi-quantitatifs.
  • +Interactions
  • +Jusqu’à présent, aucune étude d’interaction n’a été effectuée chez l’être humain.
  • +L’ioflupanum se lie au transporteur de la dopamine. Les médicaments ou substances caractérisés par une forte affinit pour le transporteur de la dopamine peuvent donc compromettre le diagnostic par Striascan; en font par ex. partie l’amphétamine, la benzatropine, le bupropion, la cocaïne, le mazindol, le méthylphénidate, la norpseudoéphédrine et la sertraline. En règle générale, les substances mentionnées ci-dessus ou d’autres substances similaires ne doivent donc pas être administrées en même temps que Striascan ou à un intervalle rapproché. Il faut tenir compte du traitement médicamenteux lors de l’évaluation des résultats.
  • +Au cours des études cliniques, aucune interaction n’a été constatée entre autres avec les principes actifs suivants:
  • +Antiparkinsoniens trihexyphénidyle, amantadine, lévodopa, sélégiline
  • +Bêtabloquants métoprolol, propranolol
  • +Antiépileptiques primidone
  • -Von Dopamin-Agonisten und -Antagonisten, die an post-synaptische Dopamin-Rezeptoren binden, wird nicht erwartet, dass sie die Bildgebung mit Striascan beeinträchtigen. Sie können daher bei Bedarf weiter verabreicht werden.
  • -Im Tierversuch wurde gezeigt, dass Pergolid nicht mit Ioflupanum in Wechselwirkung tritt.
  • -Schwangerschaft, Stillzeit
  • -Schwangerschaft
  • -Die Anwendung von Striascan während der Schwangerschaft ist kontraindiziert (siehe Rubrik
  • -«Kontraindikation»).
  • -Tierexperimentelle Studien zur Reproduktionstoxizität sind mit diesem radioaktiven Arzneimittel nicht durchgeführt worden.
  • -Stillzeit
  • -Es ist nicht bekannt, ob Ioflupanum [123I] in die Muttermilch übergeht.
  • -Vor der Verabreichung eines Radiopharmazeutikums während der Stillzeit sollte eine Verschiebung der Radionuklidbehandlung bis nach dem Abstillen in Betracht gezogen werden, da die Radioaktivitt in die Muttermilch ausgeschieden wird. Falls die Anwendung unerlässlich ist, muss das Stillen 3 Tage lang unterbrochen und durch Flaschennahrung ersetzt werden. Während dieses Zeitraums muss die Muttermilch regelmäßig abgepumpt werden, die abgepumpte Milch ist zu verwerfen.
  • -Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen
  • -Es wurden keine entsprechenden Studien durchgeführt.
  • -Unerwünschte Wirkungen
  • -Die Nebenwirkungshäufigkeiten sind wie folgt definiert:
  • -„Sehr häufig” (≥ 1/10), „häufig” (≥ 1/100, < 1/10), „gelegentlich” (≥ 1/1000, < 1/100), „selten” (≥ 1/10‘000, < 1/1000), „sehr selten” (< 1/10000) und „nicht bekannt” (kann aus den verfügbaren Daten nicht abgeschätzt werden). Innerhalb jeder Häufigkeitsgruppe werden die Nebenwirkungen nach abnehmendem Schweregrad angegeben.
  • -Erkrankungen des Immunsystems
  • -Nicht bekannt: Überempfindlichkeit
  • -Stoffwechsel- und Ernährungsstörungen
  • -Gelegentlich: Appetitsteigerung
  • -Erkrankungen des Nervensystems
  • -Häufig: Kopfschmerzen
  • -Gelegentlich: Schwindelgefühl, Ameisenlaufen (Parästhesie), Dysgeusie
  • -Erkrankungen des Ohrs und des Labyrinths
  • -Gelegentlich: Vertigo
  • -Erkrankungen der Haut und des Unterhautgewebes
  • -Nicht bekannt: Erythem, Pruritus, Ausschlag, Urtikaria, Hyperhidrosis
  • -Erkrankungen der Atemwege, des Brustraums und Mediastinums
  • -Nicht bekannt: Dyspnoe
  • -Erkrankungen des Gastrointestinaltrakts
  • -Gelegentlich: Übelkeit, Mundtrockenheit
  • -Nicht bekannt: Erbrechen
  • -Gefässerkrankungen
  • -Nicht bekannt: Blutdruck erniedrigt
  • -Allgemeine Erkrankungen und Beschwerden am Verabreichungsort
  • -Gelegentlich: Schmerzen an der Injektionsstelle (intensive Schmerzen oder Brennen nach Injektion in kleine Venen)
  • -Nicht bekannt: Wärmegefühl
  • -Die Exposition ionisierender Strahlen wird mit einer Induktion von Krebserkrankungen und dem Potenzial zur Entstehung von Erbschäden in Zusammenhang gebracht. Da die Effektivdosis 4,63 mSv beträgt, wenn die maximal empfohlene Aktivität von 185 MBq verabreicht wird, werden diese unerwünschten Ereignisse erwartungsgemäß mit geringer Wahrscheinlichkeit auftreten.
  • -Die Meldung des Verdachts auf Nebenwirkungen nach der Zulassung ist von grosser Wichtigkeit. Sie ermöglicht eine kontinuierliche Überwachung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses des Arzneimittels. Angehörige von Gesundheitsberufen sind aufgefordert, jeden Verdacht einer neuen oder schwerwiegenden Nebenwirkung über das Online-Portal ElViS (Electronic Vigilance System) anzuzeigen. Informationen dazu finden Sie unter www.swissmedic.ch.
  • -Überdosierung
  • -Im Falle einer Überdosierung sollte der Patient aufgefordert werden, häufig die Blase und den Darm zu entleeren, um die Strahlenexposition auf ein Minimum zu reduzieren.
  • -Eigenschaften/Wirkungen
  • -ATC-Code
  • +Aucune altération de l’imagerie par Striascan n’est attendue en ce qui concerne les agonistes et les antagonistes de la dopamine qui se lient aux récepteurs dopaminergiques post-synaptiques. Ces traitements peuvent donc être poursuivis en cas de nécessité.
  • +L’expérimentation animale a montré que le pergolide n’interagit pas avec l’ioflupanum.
  • +Grossesse, Allaitement
  • +Grossesse
  • +L’utilisation de Striascan est contre-indiquée pendant la grossesse (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Aucune étude de toxicité sur la reproduction n’a été effectuée chez l’animal avec cet agent radiopharmaceutique.
  • +Allaitement
  • +On ne sait pas si l’ioflupanum [123I] passe dans le lait maternel.
  • +Avant toute administration d’un produit radiopharmaceutique pendant l’allaitement, il convient d’envisager de repousser le traitement par des radionucléides après l’arrêt de l’allaitement car la radioactivit est éliminée dans le lait maternel. Si l’utilisation est essentielle, l’allaitement doit être interrompu pendant 3 jours et remplacé par un biberon. Pendant cette période, le lait maternel doit être tiré régulièrement et le lait tiré doit être jeté.
  • +Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines
  • +Aucune étude correspondante n’a été effectuée.
  • +Effets indésirables
  • +Les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit:
  • +«très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (≥ 1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥ 1/1000 à < 1/100), «rares» (≥ 1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000) et «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre décroissant de gravité.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Fréquence inconnue: hypersensibilité
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Occasionnels: appétit augmenté
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: céphalée
  • +Occasionnels: sensation vertigineuse, fourmillements (paresthésie), dysgueusie
  • +Affections de l’oreille et du labyrinthe
  • +Occasionnels: vertige
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquence inconnue: érythème, prurit, rash, urticaire, hyperhidrose
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquence inconnue: dyspnée
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Occasionnels: nausée, bouche sèche
  • +Fréquence inconnue: vomissement
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquence inconnue: pression artérielle diminuée
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Occasionnels: douleur au site d’injection (douleurs intenses ou brûlure après l’injection dans de petites veines)
  • +Fréquence inconnue: sensation de chaleur
  • +L’exposition aux rayonnements ionisants est associée à l’induction d’affections cancéreuses et à un risque de maladies héréditaires. Comme la dose efficace est de 4,63 mSv lorsque l’on administre l’activité maximale recommandée de 185 MBq, la probabilité de tels événements indésirables devrait être faible.
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Surdosage
  • +En cas de surdosage, il faut inciter le patient à uriner et déféquer fréquemment afin de réduire à un minimum l’exposition aux rayonnements.
  • +Propriétés/Effets
  • +Code ATC
  • -Physikalische Eigenschaften
  • -123I hat eine physikalische Halbwertszeit von 13,2 Stunden. 123I zerfällt durch Elektroneneinfang unter Aussendung von Gammastrahlung zu stabilerem Te-123. Die wichtigsten Anteile der Gammastrahlung haben eine Energie von 159 keV (83%), 440 keV (0,4%) und 529 keV (1,4%).
  • -Wirkungsmechanismus
  • -Siehe Rubrik «Physikalische Eigenschaften»
  • -Pharmakodynamik
  • -Aufgrund der geringen injizierten Ioflupanum-Menge sind nach intravenöser Verabreichung von Striascan in der empfohlenen Dosierung keine pharmakologischen Wirkungen zu erwarten. Ioflupanum ist ein Kokain-Analogon. Tierexperimentelle Studien haben gezeigt, dass Ioflupanum mit hoher Affinität an das prsynaptische Dopamin-Transporterprotein bindet. Mit radioaktiv
  • -markiertem Ioflupanum [123I] als Surrogat-Marker kann deshalb die Integritt der dopaminergen nigrostriatalen Neuronen untersucht werden.
  • -Ioflupanum bindet auch an Serotonin-Transporterproteine der 5-HT Neuronen, jedoch mit einer etwa 10-fach geringeren Bindungsaffinität.
  • -Erfahrungen in Bezug auf andere Tremortypen ausser dem essentiellen Tremor liegen nicht vor.
  • -Klinische Wirksamkeit
  • -Nicht anwendbar.
  • -Klinische Studien, die den zusätzlichen Einsatz semi-quantitativer Informationen zur Bildinterpretation belegen: Die Zuverlässigkeit der Verwendung semi-quantitativer Informationen als Ergänzung zur visuellen Untersuchung wurde in vier klinischen Studien analysiert, in denen Sensitivität, Spezifität oder Gesamtgenauigkeit zwischen den beiden Methoden der Bildinterpretation verglichen wurden.
  • -In den vier Studien (insgesamt n = 578) wurde eine CE-gekennzeichnete Semi- Quantifizierungssoftware verwendet. Die Unterschiede (d.h. Verbesserungen durch Hinzufügen semi- quantitativer Informationen zur visuellen Untersuchung) in der Sensitivität lagen zwischen 0,1% und 5,5%, in der Spezifität zwischen 0,0% und 2,0% und in der Gesamtgenauigkeit zwischen 0,0% und 12,0%.
  • -Die größte dieser vier Studien bewertete retrospektiv insgesamt 304 Ioflupanum-Untersuchungen aus zuvor durchgeführten Phase 3- oder 4-Studien, darunter waren Teilnehmer mit einer klinischen Diagnose von Parkinson-Syndrom (PS), Nicht-Parkinson-Syndrom (hauptsächlich Essentieller Tremor (ET)), wahrscheinlicher Lewy-Körperchen-Demenz (DLB) und Nicht- Lewy-Körperchen-Demenz (hauptsächlich Alzheimer Demenz (AD)). Fünf Nuklearmediziner, die nur begrenzte Erfahrung mit der Ioflupanum- Interpretation hatten, bewerteten die Bilder in zwei Beurteilungen (allein und kombiniert mit semi- quantitativen Daten der DaTQUANT Software) im Abstand von mindestens einem Monat. Diese Ergebnisse wurden mit der 1- bis 3-Jahres-Follow-up-Diagnose der Teilnehmer verglichen, um die diagnostische Genauigkeit zu bestimmen. Die Verbesserungen der Sensitivität und Spezifität (mit 95%- Konfidenzintervallen) betrugen 0,1% (-6,2%, 6,4%) und 2,0% (-3,0%, 7,0%). Auch die Ergebnisse der kombinierten Auswertung waren mit einer Erhöhung des Vertrauens in die Auswertung verbunden.
  • -Pharmakokinetik
  • +Propriétés physiques
  • +L’iode-123 a une demi-vie physique de 13,2 heures. L’iode-123 se désintègre par capture d’électrons en Tellurium-123 plus stable en émettant un rayonnement gamma. Les principales fractions du rayonnement gamma ont une énergie de 159 keV (83 %), 440 keV (0,4 %) et 529 keV (1,4 %).
  • +Mécanisme d’action
  • +Voir rubrique «Propriétés physiques».
  • +Pharmacodynamique
  • +En raison de la faible quantité d’ioflupanum injectée, aucun effet pharmacologique n’est attendu après l’administration intraveineuse de Striascan à la posologie recommandée.
  • +L’ioflupanum est un analogue de la cocaïne. Des études expérimentales menées chez l’animal ont montré que l’ioflupanum prsente une forte affinité pour la protéine de transport présynaptique de la dopamine. L’intégrit des neurones dopaminergiques nigrostriataux peut donc être examinée avec l’ioflupanum [123I] radiomarqué en tant que marqueur de substitution.
  • +L’ioflupanum se lie également aux protéines de transport de la sérotonine des neurones 5-HT, mais avec une affinité de liaison environ 10 fois plus faible.
  • +On ne dispose d’aucune expérience en ce qui concerne d’autres types de tremblements que le tremblement essentiel.
  • +Efficacité clinique
  • +Non applicable.
  • +Études cliniques démontrant l’utilisation complémentaire d’informations semi-quantitatives pour l’interprétation des images: la fiabilité de l’utilisation d’informations semi-quantitatives en complément de l’examen visuel a été analysée dans le cadre de quatre études cliniques ayant comparé la sensibilité, la spécificité et la précision globale des deux méthodes d’interprétation des images.
  • +Un logiciel de semi-quantification marqué CE a été utilisé lors de ces quatre études (n = 578 au total). Les différences (c.-à-d. les améliorations apportées à l’interprétation visuelle par l’adjonction des informations semi-quantitatives) étaient comprises entre 0,1 % et 5,5 % pour la sensibilité, entre 0,0 % et 2,0 % pour la spécificité et entre 0,0 % et 12,0 % pour la précision globale.
  • +La plus grande de ces quatre études a évalué rétrospectivement un total de 304 examens d’Ioflupanum provenant d’études de phase 3 ou 4 réalisées antérieurement ayant inclus des patients avec un diagnostic clinique de syndrome parkinsonien (SP), de syndrome non parkinsonien (principalement tremblement essentiel (TE)), de démence à corps de Lewy probable (DCL) et de démence non à corps de Lewy (essentiellement maladie d’Alzheimer (AD)). Cinq spécialistes en médecine nucléaire n’ayant qu’une expérience limitée dans l’interprétation d’Ioflupanum ont procédé à deux évaluations des images (seules ou combinées avec les données semi-quantitatives fournies par le logiciel DaTQUANT) à un mois d’intervalle au minimum. Ces résultats ont été comparés au diagnostic de suivi à 1 et 3 ans des patients pour déterminer la précision diagnostique. Les améliorations de la sensibilité et de la spécificité (avec des intervalles de confiance à 95 %) étaient de 0,1 % (-6,2 %, 6,4 %) et 2,0 % (-3,0 %, 7,0 %). Les résultats de l’évaluation combinée étaient aussi associés à une augmentation de la confiance dans la lecture des résultats.
  • +Pharmacocinétique
  • -Siehe Rubrik «Distribution»
  • +Voir rubrique «Distribution».
  • -Ioflupanum [123I] wird nach intravenöser Injektion schnell aus dem Blut eliminiert; nur 5% der verabreichten Radioaktivitt verbleiben 5 Minuten nach der Injektion im Vollblut.
  • -Die Aufnahme in das Gehirn erfolgt rasch; 10 Minuten nach der Injektion beträgt die aufgenommene Aktivität ca. 7% der injizierten Dosis; nach 5 Stunden ist sie auf 3% abgesunken. Etwa 30% der gesamten Radioaktivitt im Gehirn sind auf die Aufnahme in das Striatum zurückzuführen. Da Ioflupanum eine geringfügige Bindungsaffinitt für den Serotonin-Transporter aufweist, hat man im Thalamus und im Neocortex ebenfalls Radioaktivitt festgestellt.
  • -Metabolismus
  • -Innerhalb von 48 Stunden nach der Injektion werden (ohne Berücksichtigung des natürlichen Zerfalls und unter Blockade der Schilddrüse) ungefähr 60% der injizierten Radioaktivität renal ausgeschieden. Die Exkretion in die Fäzes wurde auf ca. 14% errechnet. Die Hauptmetaboliten sind Ioflupansäure und ihr glukuronisiertes Konjugat. Ioflupansäure kann die Blut-Hirn-Schranke nicht überwinden und wird deshalb die szintigraphische Darstellung des Striatums nicht beeinträchtigen.
  • -Elimination
  • -Siehe Rubrik «Metabolismus»
  • -Kinetik spezieller Patientengruppen
  • -Es wurden keine Untersuchungen durchgeführt.
  • -Präklinische Daten
  • -Es wurden Studien zur Toxizität mit Ioflupanum nach intravenöser Einzelgabe und wiederholter Verabreichung bei Ratten, Kaninchen und Hunden durchgeführt. Zusätzlich wurden Studien zur akuten Toxizität nach einmaliger Verabreichung bei Affen durchgeführt. Es konnte keine Mortalitt oder andere Toxizität nach 5‘500-fach höherer Dosierung von Ioflupanum beobachtet werden; bei Dosen 1‘500-fach höher als die maximal klinische Dosis wurden in manchen Spezies pharmakologische Reaktionen wie Mydriasis und Hyperaktivitt gesehen.
  • -In Mutagenitätsstudien, die in vitro und in vivo durchgeführt wurden, ergaben sich für Ioflupanum keine Hinweise auf ein mutagenes Potential.
  • -Untersuchungen zur Beurteilung des reproduktionstoxischen und karzinogenen Potentials von Ioflupanum sind nicht durchgeführt worden.
  • -Sonstige Hinweise
  • -Haltbarkeit
  • -Das Arzneimittel ist bis zu 7 Stunden nach dem auf dem Etikett angegebenen Kalibrierungstermin verwendbar (35 Stunden ab Ende Herstellung).
  • -Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf dem Behälter mit „EXP“ bezeichneten Datum verwendet werden.
  • -Besondere Lagerungshinweise
  • -Nicht über 25 °C lagern. Nicht einfrieren.
  • -In der Originalabschirmung aufbewahren.
  • -Gesetzliche Bestimmungen
  • -Die Anwendung radioaktiver Stoffe am Menschen ist in der Schweiz durch die letzte gültige Version der Strahlenschutzverordnung gesetzlich geregelt. Entsprechend ist für die Anwendung von Radiopharmazeutika nur autorisiert, wer über die erforderliche Bewilligung des Bundesamtes für Gesundheit verfügt. Beim Umgang mit radioaktiven Stoffen sowie bei der Beseitigung radioaktiven Abfalls sind die Schutzvorkehrungen oben erwähnter Verordnung zu beachten, um jede unnötige Bestrahlung von Patienten und Personal zu vermeiden. Es wird empfohlen, die Kennzeichnungsetiketten vor der Entsorgung zu entfernen.
  • -Zulassungsnummer
  • +Après injection intraveineuse, l’ioflupanum [123I] est rapidement éliminé du sang et seuls 5 % de la radioactivit administrée restent dans le sang total 5 minutes après l’injection.
  • +La fixation cérébrale est rapide et l’activité absorbée atteint environ 7 % de la dose injectée 10 minutes après l’injection et diminue à 3 % après 5 heures. Environ 30 % de la radioactivit cérébrale totale sont à mettre sur le compte de la fixation de l’ioflupanum par le striatum. Comme l’ioflupanum se caractérise par une faible affinit de liaison pour la protéine de transport de la sérotonine, une radioactivit est également constatée dans le thalamus et dans le néocortex.
  • +tabolisme
  • +Environ 60 % de la radioactivité injectée sont éliminés par voie rénale dans les 48 heures suivant l’injection (sans tenir compte de la désintégration naturelle et sous blocage de la thyroïde). L’excrétion par les fèces a été évaluée à environ 14 %. Les métabolites principaux sont l’acide d’ioflupanum et sa forme glucuroconjuguée. L’acide d’ioflupanum ne peut pas traverser la barrière hémato-encéphalique et n’affecte donc pas la scintigraphie du striatum.
  • +Élimination
  • +Voir rubrique «Métabolisme».
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Aucune étude n’a été réalisée à ce sujet.
  • +Données précliniques
  • +Des études de toxicité ont été menées sur des rats, des lapins et des chiens soumis à une injection intraveineuse unique et à une administration répétée d’ioflupanum. Des études de toxicité aiguë ont en outre été menées sur des singes après une administration unique. Aucune mortalit ou aucun autre signe de toxicité n’ont pu être observés à des doses 5500 fois supérieures à la posologie clinique maximale d’ioflupanum; des réactions pharmacologiques comme une mydriase ou une hyperactivit ont été observées chez certaines espèces soumises à des doses 1500 fois supérieures à la dose clinique maximale.
  • +Au cours des études de mutagénicité réalisées in vitro et in vivo, aucun indice suggérant un potentiel mutagène de l’ioflupanum n’a été constaté.
  • +Aucune étude n’a été effectuée dans le but d’évaluer le potentiel toxique sur la reproduction et le potentiel carcinogène de l’ioflupanum.
  • +Remarques particulières
  • +Stabilité
  • +Le médicament doit être utilisé au maximum dans les 7 heures qui suivent le moment de la calibration indiqué sur l’étiquette (35 heures après la fin de synthèse).
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25°C. Ne pas congeler.
  • +Conserver dans le pot de plomb d’origine.
  • +Dispositions légales
  • +En Suisse, l’emploi de substances radioactives chez l’être humain est réglementé par la dernière version en vigueur de l’Ordonnance sur la radioprotection. En conséquence, l’utilisation d’agents radiopharmaceutiques est permise uniquement aux personnes disposant de l’autorisation requise délivrée par I’Office fédéral de la santé publique. Les mesures de protection de l’ordonnance susmentionnée doivent être observées lors de la manipulation de substances radioactives et de I’élimination des déchets radioactifs afin d’éviter toute irradiation inutile des patients et du personnel. Il est recommandé de retirer les étiquettes d’identification avant l’élimination.
  • +Numéro d’autorisation
  • -Packungen
  • -1 Durchstechfläschchen (A): Striascan wird in Durchstechfläschchen aus bernsteinfarbenem Glas, verschlossen mit einem Gummistopfen und einer Bördelkappe aus Metall, geliefert.
  • -Jede Durchstechflasche enthält am Kalibrierungstermin 185 MBq in 2,5 ml Lösung.
  • -Zulassungsinhaberin
  • +Présentation
  • +1 flacon (A): Striascan est livré dans des flacons en verre ambré fermé par un bouchon en caoutchouc et scellé par une capsule métallique.
  • +Au moment de la calibration, chaque flacon contient 185 MBq dans 2,5 ml de solution.
  • +Titulaire de l’autorisation
  • -Stand der Information
  • -Juli 2021
  • +Mise à jour de l’information
  • +Juillet 2021
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