14 Ã„nderungen an Fachinfo Gerti Gynial 2 mg/30 mcg |
-Composition
-Principes actifs: Chlormadinoni acetas, Ethinylestradiolum.
-Excipients: Excip. pro compresso obducto.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Comprimés pelliculés: Chlormadinoni acetas 2 mg, Ethinylestradiolum 0,03 mg.
-Indications/Possibilités d’emploi
-Contraception hormonale.
-La décision de prescrire Gerti Gynial doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à Gerti Gynial en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-Posologie/Mode d’emploi
-Les CHC tels que Gerti Gynial ne devraient être prescrits que par des médecins ayant l'expérience de ces traitements et qui sont en mesure, d'une part, de fournir aux patientes toutes les explications requises sur les avantages et inconvénients de toutes les méthodes contraceptives disponibles et, d'autre part, de procéder à un examen général et gynécologique.
-La prescription d'un CHC doit en principe se faire conformément aux dernières recommandations de la Société Suisse de Gynécologie et d'Obstétrique (SSGO).
-Prendre un comprimé pelliculé chaque jour à la même heure (de préférence le soir) pendant 21 jours consécutifs, puis observer une pause de 7 jours sans prendre de comprimé pelliculé; les règles doivent arriver deux à quatre jours après la prise du dernier comprimé pelliculé. Après la pause de 7 jours, prendre le premier comprimé du prochain emballage Gerti Gynial, et ceci que les règles soient déjà terminées ou durent encore.
-Le comprimé pelliculé correspondant au jour de la semaine doit être sorti de la plaquette et avalé sans être mâché, éventuellement avec un peu de liquide. Les comprimés pelliculés sont ensuite pris tous les jours en suivant le sens de la flèche.
-L'oubli d'un comprimé pelliculé (voir «Prise irrégulière»), des vomissements ou d'autres problèmes intestinaux, dont une diarrhée, la prise concomitante et au long cours de certains médicaments (voir rubrique «Interactions») ou de très rares cas de troubles métaboliques peuvent atténuer l'efficacité de la contraception. Comme pour tous les inhibiteurs de l'ovulation, il est impossible d'obtenir une efficacité de 100%.
-Début du traitement
-Absence de contraceptif oral antérieur (pendant le dernier cycle menstruel)
-La prise du premier comprimé pelliculé doit commencer le premier jour des règles suivantes (menstruation). Si le premier comprimé pelliculé est bien pris le premier jour du cycle, la protection anticonceptionnelle est assurée dès le premier jour de la prise et se maintient également pendant les 7 jours de pause.
-Si les règles ont déjà commencé, le premier comprimé pelliculé doit être pris entre le 2ème et le 5ème jour du cycle menstruel, que les saignements aient cessé ou non. Dans ce cas, une méthode contraceptive mécanique supplémentaire est nécessaire pendant les 7 premiers jours de la prise (règle des 7 jours).
-Si les règles ont commencé depuis plus de 5 jours, il faut indiquer à la femme d'attendre les prochaines règles avant de commencer la prise de Gerti Gynial.
-Passage d'une autre pilule à Gerti Gynial
-Relais d'une pilule de 22 jours ou d'une autre pilule de 21 jours (pilule combinée)
-Tous les comprimés de l'ancien emballage doivent être pris normalement. Le premier comprimé pelliculé de Gerti Gynial doit être pris le jour suivant. Dans ce cas, il n'y pas de pause danse la prise et la femme ne doit pas non plus attendre le premier jour de ses prochaines règles. La prise de Gerti Gynial peut aussi débuter le premier jour qui suit l'intervalle habituel sans comprimé, sans qu'il soit nécessaire d'utiliser une méthode contraceptive supplémentaire.
-Relais d'une pilule combinée à prendre tous les jours (pilule de 28 jours avec 21 ou 22 comprimés actifs et 6 ou 7 comprimés de placebo)
-La prise de Gerti Gynial doit commencer le jour suivant la prise du dernier comprimé actif de l'emballage de la «pilule quotidienne» (c.-à -d. après avoir pris les 21 ou 22 comprimés). Il n'y a pas de pause dans la prise et la femme ne doit pas attendre non plus le premier jour de ses prochaines règles. Il est également possible de commencer Gerti Gynial le jour suivant la prise du dernier comprimé de placebo. Aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire.
-Relais d'une pilule progestative pure («POP» [Progesteron Only Pill] ou minipilule)
-Le passage entre les deux types de pilule peut se faire n'importe quel jour. Cependant, il faut prendre des mesures anticonceptionnelles supplémentaires pendant les 7 premiers jours de prise de Gerti Gynial.
-Relais d'une contraception hormonale injectable, d'un DIU libérant un progestatif ou d'un implant
-Il est possible de commencer la prise de Gerti Gynial le jour du retrait de l'implant ou du DIU libérant un progestatif, ou le jour initialement prévu pour l'injection. Il faut prendre des mesures anticonceptionnelles supplémentaires pendant les 7 premiers jours.
-Après une fausse couche ou une interruption de grossesse au 1er trimestre
-Il est possible de commencer la prise de Gerti Gynial immédiatement après une fausse couche ou une interruption de grossesse du 1er trimestre. Dans ce cas, aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire.
-Après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement
-La décision quant à la (re)prise d'un CHC tel que Gerti Gynial après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d'accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu'à 12 semaines après l' accouchement; cf. «Mises en garde et précautions»).
-Dans tous les cas, après un accouchement ou un avortement au 2ème trimestre de grossesse, la prise de Gerti Gynial doit débuter au plus tôt entre le 21ème et le 28 ème jour. Si le traitement débute plus tard, il est recommandé d'appliquer des méthodes contraceptives supplémentaires non hormonales durant les 7 premiers jours de la prise. Si des rapports sexuels ont eu lieu entre-temps, il convient d'exclure l'éventualité d'une grossesse ou d'attendre les premières règles avant de débuter le traitement.
-Arrêt de Gerti Gynial
-Après l'arrêt de Gerti Gynial, le premier cycle peut être allongé d'une semaine environ.
-Prise irrégulière
-Si un comprimé pelliculé a été oublié, mais que le retard peut être rattrapé dans les 12 heures, aucune autre méthode contraceptive n'est nécessaire. La prise de la pilule doit être poursuivie comme d'habitude.
-Si le retard de la prise d'un comprimé date de plus de 12 heures, la sécurité contraceptive du produit est diminuée. Le dernier comprimé pelliculé oublié doit être pris dès que possible. Les autres comprimés pelliculés doivent être pris selon le schéma normal. D'autres mesures contraceptives, p.ex. des préservatifs, sont alors nécessaires pendant les 7 jours suivants. Si ces 7 jours vont au-delà de la fin de la plaquette, commencer un nouvel emballage de Gerti Gynial le jour suivant la prise du dernier comprimé de l'ancien emballage, sans aucune pause («règle des 7 jours»). Si les règles ne viennent pas après la fin du nouvel emballage, effectuer un test de grossesse.
-Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux
-En cas de troubles gastro-intestinaux sévères – quelle que soit leur cause (c.-à d. aussi en cas de diarrhée d'origine médicamenteuse etc.) – l'absorption peut être incomplète et des méthodes de contraception supplémentaires doivent être utilisées.
-Groupes particuliers de patientes
-Insuffisance rénale: Gerti Gynial n'a pas été étudié chez les femmes présentant une insuffisance rénale, et l'on ne peut donc pas procéder à des recommandations de posologie.
-Insuffisance hépatique: Gerti Gynial ne doit pas être utilisé chez les femmes souffrant d'insuffisance hépatique.
-Adolescentes: L'efficacité et la sécurité de Gerti Gynial ont été étudiées chez des femmes dès 18 ans. Chez l'adolescente, si l'utilisation est indiquée, la même posologie est recommandée que chez les adultes.
-Contre-indications
-·Présence ou risque de thrombo-embolie veineuse (TEV)
-·Thromboembolie veineuse (patiente traitée par des anticoagulants) ou antécédents de TEV (p.ex. thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire)
-·Facteurs de risque majeurs de thrombo-embolie veineuse tels que:
-·Prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu'une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
-·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
-·Présence ou risque de thrombo-embolie artérielle (TEA)
-·Thromboembolie artérielle, antécédents de TEA ou prodromes de TEA (p.ex. angine de poitrine, infarctus du myocarde, accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral)
-·Facteurs de risque majeurs de TEA comme
-·Diabète avec complications vasculaires
-·Hypertension artérielle sévère
-·Dyslipoprotéinémie sévère
-·Antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
-·Prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu'une hyperhomocystéinémie ou la présence d'anticorps anti-phospholipides (anticorps anticardiolipine, anticoagulant lupique)
-·Présence simultanée de multiples facteurs de risque de TEA, selon tableau sous la rubrique «Mises en garde et précautions».
-·Affection hépatique sévère ou antécédent d'affection hépatique sévère, en l'absence de normalisation des tests fonctionnels hépatiques;
-·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique;
-·Tumeur maligne hormonodépendante connue ou suspectée (p.ex. appareil génital ou seins);
-·Présence ou antécédents connus de pancréatite, si elle est ou était associée à une hypertriglycéridémie sévère;
-·Saignements vaginaux d'origine inconnue;
-·Grossesse confirmée ou suspicion de grossesse;
-·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Gerti Gynial.
-Mises en garde et précautions
-Le risque de thrombo-embolie veineuse (TEV) et de thrombo-embolie artérielle (TEA) est augmenté chez les femmes utilisant un CHC par rapport à celles qui n'en utilisent pas. Les mises en garde et précautions décrites ci-après doivent être prises en considération avant toute prescription (cf. «Risque de thrombo-embolie veineuse [TEV]» et «Risque de thrombo-embolie artérielle [TEA]»). Il est en outre important d'informer la patiente des risques d'accidents thrombo-emboliques veineux et artériels, des facteurs de risques vasculaires et en particulier des symptômes de TEV et de TEA ainsi que des mesures à prendre en présence de ces symptômes et de suspicion de thrombose (cf. «Les symptômes d'une TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire]» et «Les symptômes d'une TEA»).
-Avant de prescrire Gerti Gynial, les bénéfices associés à son utilisation doivent être évalués par rapport aux maladies/risques détaillés ci-dessous. Le degré de gravité de chaque facteur individuel ainsi que la présence concomitante de plusieurs facteurs de risque doivent être pris en compte et discutés avec la patiente (cf. également «Contre-indications»). La patiente est en outre invitée à lire attentivement la notice d'emballage et à suivre les conseils qui y figurent.
-Avant le début ou le renouvellement de la prise d'un CHC tel que Gerti Gynial, il est nécessaire de procéder à une anamnèse personnelle et familiale minutieuse ainsi qu'à un examen général et gynécologique approfondi en prenant en compte les «Contre-indications» et les «Mises en garde et précautions» afin de dépister les affections nécessitant un traitement ainsi que les états à risque, et de pouvoir exclure l'éventualité d'une grossesse. Ces examens comprennent généralement une mesure de la tension artérielle, un examen des seins, de l'abdomen et des organes pelviens avec frottis cytologique du col et examens de laboratoire appropriés.
-Les examens doivent être répétés à intervalle régulier pendant la durée d'utilisation des CHC. La fréquence et le type d'examen doivent toutefois être déterminés individuellement et se référer aux directives de la Société suisse de gynécologie et d'obstétrique (SSGO). Les contre-indications (p.ex. accident ischémique transitoire) et les facteurs de risque (p.ex. anamnèse familiale de thrombose veineuse ou artérielle; voir «Facteurs de risque de TEV» et «Facteurs de risque de TEA») peuvent apparaître pour la première fois en cours d'utilisation d'un CHC et doivent dès lors être recherchés lors de chaque contrôle.
-La patiente doit être informée du fait que la prise d'un contraceptif oral ne protège ni d'une infection par le VIH (SIDA) ni d'autres maladies sexuellement transmissibles.
-Motifs imposant l'arrêt immédiat de la prise du médicament
-La patiente doit être informée qu'en cas d'apparition de l'une des contre-indications précitées ou de l'une des situations suivantes, il lui faut consulter au plus vite un médecin, qui décidera de la poursuite ou de l'arrêt de la prise du CHC:
-·première manifestation ou exacerbation de céphalées migraineuses et fréquence accrue de céphalées anormalement violentes;
-·troubles visuels, auditifs, du langage ou autres troubles sensitivo-moteurs d'apparition subite;
-·dès les premiers signes d'événements thromboemboliques (voir «Symptômes de TEV [thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire]» et «Symptômes de TEA»);
-·4 semaines au moins avant une intervention chirurgicale programmée et pendant une immobilisation (p.ex. à la suite d'un accident ou d'une opération);
-·troubles moteurs (en particulier parésies);
-·augmentation marquée de la tension artérielle (confirmée par plusieurs mesures);
-·apparition d'un ictère, d'une hépatite, d'un prurit généralisé;
-·violente douleur abdominale haute ou hépatomégalie;
-·symptômes de saignements intra-abdominaux;
-·augmentation de la fréquence de crises épileptiques.
-Risque de thromboembolie veineuse (TEV)
-Le risque de TEV est augmenté chez les femmes utilisant un CHC par rapport à celles qui n'en utilisent pas. Les CHC contenant du lévonorgestrel, du norgestimate ou de la noréthistérone sont associés au risque de TEV le plus faible. Le risque de TEV lié à Gerti Gynial par rapport à celui des CHC présentant le risque de TEV le plus bas n'est jusqu'ici pas connu.
-La décision d'utiliser le médicament doit être prise uniquement après un entretien approfondi avec la patiente, afin de s'assurer qu'elle comprenne:
-·Le risque de TEV associé à Gerti Gynial;
-·Comment ses facteurs de risque personnels influent sur ce risque;
-·Le risque plus élevé de développer une TEV pendant la première année d'utilisation (et en particulier pendant les 3 premiers mois);
-·Le risque accru de TEV aussi bien lors de la première prise d'un CHC que lors de la reprise du même ou d'un autre CHC après une interruption d'au moins 4 semaines ou plus;
-·Gerti Gynial est un médicament. En cas d'accident ou d'intervention chirurgicale, la patiente doit informer le médecin traitant qu'elle prend Gerti Gynial.
-Environ 2 femmes sur 10'000 n'utilisant pas de CHC et qui ne sont pas enceintes développeront une TEV au cours d'une année. Le risque peut toutefois être considérablement plus élevé, selon les facteurs de risque individuels (voir cidessous).
-A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 5 à 12 femmes sur 10'000 utilisant un CHC faiblement dosé (éthinylestradiol <50 µg) développeront une TEV au cours d'une année; ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10'000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel. Les données actuelles sont insuffisantes pour estimer le risque de TEV lié aux CHC contenant du chlormadinone par rapport au risque de TEV lié aux CHC contenant du lévonorgestrel.
-Dans les deux cas, le nombre de TEV par année est inférieur à celui attendu pendant la grossesse ou en période post-partum.
-La TEV peut être fatale dans 1 à 2% des cas.
-Très rarement, chez des utilisatrices de CHC, des cas de thrombose veineuse ont été signalés en dehors des membres (p.ex. thromboses des veines sinusales ou thromboses des veines hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes).
-Facteurs de risque de TEV
-Le risque de complications thrombo-emboliques veineuses chez les utilisatrices de CHC peut être considérablement accru si d'autres facteurs de risque sont présents, en particulier s'ils sont multiples (voir le tableau ci-dessous). Lors de l'évaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération l'augmentation particulière du risque d'accident thrombo-embolique en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEV doit être pris en compte. Gerti Gynial est contre-indiqué chez les femmes présentant simultanément de multiples facteurs de risque qui les exposent globalement à un risque élevé de thrombose veineuse.
-Tableau: Facteurs de risque de TEV
-Facteur de risque Commentaire
-Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
-Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation de la pilule (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Gerti Gynial n'a pas été interrompu à l'avance.
-Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à -d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Gerti Gynial. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Gerti Gynial est contre-indiquée.
-Autres affections médicales associées à un risque accru de TEV Lupus érythémateux disséminé, syndrome hémolytique et urémique, maladies inflammatoires chroniques intestinales (maladie de Crohn ou rectocolite hémorragique), drépanocytose, cancer.
-Âge En particulier audelà de 35 ans.
- +Zusammensetzung
- +Wirkstoffe: Chlormadinoni acetas, Ethinylestradiolum.
- +Hilfsstoffe: Excip. pro compresso obducto.
- +Galenische Form und Wirkstoffmenge pro Einheit
- +Filmtabletten: Chlormadinoni acetas 2 mg, Ethinylestradiolum 0,03 mg.
- +Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten
- +Hormonale Kontrazeption.
- +Bei der Entscheidung Gerti Gynial zu verschreiben, sollten die aktuellen, individuellen Risikofaktoren der einzelnen Frau, insbesondere im Hinblick auf venöse Thromboembolien (VTE), berücksichtigt werden. Auch sollte das Risiko für eine VTE bei Anwendung von Gerti Gynial mit jenem anderer kombinierter hormonaler Kontrazeptiva (CHC) verglichen werden (vgl. «Kontraindikationen» und «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
- +Dosierung/Anwendung
- +CHC wie Gerti Gynial sollten nur von einem Arzt bzw. einer Ärztin, mit entsprechender Erfahrung verordnet werden, welche in der Lage sind, eine umfassende Aufklärung der Patientin über die Vor- und Nachteile sämtlicher verfügbarer Kontrazeptionsmethoden sowie neben einer allgemeinen auch eine gynäkologische Untersuchung durchzuführen.
- +Die Verordnung eines CHC sollte grundsätzlich unter Beachtung der jeweils aktuellen Richtlinien der Schweizer Gesellschaft für Gynäkologie und Geburtshilfe erfolgen.
- +Es sollte jeden Tag zur selben Zeit eine Filmtablette (vorzugsweise am Abend) an 21 aufeinanderfolgenden Tagen eingenommen werden, gefolgt von einer 7-tägigen Pause, in der keine Filmtabletten eingenommen werden; innerhalb dieses Zeitraums sollte die Menstruationsblutung zwei bis vier Tage nach Einnahme der letzten Filmtablette eintreten. Nach der 7-tägigen Pause wird die Einnahme aus der nächsten Packung Gerti Gynial fortgesetzt, und zwar unabhängig davon, ob die Blutung schon beendet ist oder noch andauert.
- +Die Filmtabletten sollten aus der Packung gedrückt werden, wobei jeweils die mit dem entsprechenden Wochentag gekennzeichnete Filmtablette eingenommen und unzerkaut mit etwas Flüssigkeit geschluckt werden sollte. Die Filmtabletten werden täglich in Pfeilrichtung entnommen.
- +Das Vergessen der Einnahme einer Filmtablette (siehe «Unregelmässige Einnahme»), Erbrechen oder Darmbeschwerden einschliesslich Durchfall, die gleichzeitige langfristige Einnahme von bestimmten Medikamenten (siehe «Interaktionen») oder in sehr seltenen Fällen Stoffwechselstörungen können die Wirksamkeit der Empfängnisverhütung beeinflussen. Wie bei allen Ovulationshemmern kann keine 100%ige Wirksamkeit erwartet werden.
- +Beginn der Anwendung
- +Keine vorherige Einnahme eines hormonalen Kontrazeptivums (während des letzten Menstruationszyklus)
- +Die erste Filmtablette sollte am ersten Tag der nächsten Monatsblutung (Menstruation) eingenommen werden. Wenn die erste Filmtablette am ersten Zyklustag genommen wird, beginnt der Empfängnisschutz mit dem ersten Einnahmetag und besteht auch während der 7-tägigen Pause.
- +Wenn die Monatsblutung bereits eingesetzt hat, sollte die erste Filmtablette am 2.–5. Tag des Menstruationszyklus eingenommen werden, unabhängig davon, ob die Blutung aufgehört hat oder nicht. In diesem Fall müssen während der ersten 7 Einnahmetage (7-Tage-Regel) zusätzliche Massnahmen zur Empfängnisverhütung ergriffen werden.
- +Wenn die Menstruation mehr als 5 Tage vorher eingesetzt hat, sollte die Frau angewiesen werden, ihre nächste Menstruation abzuwarten, bevor sie mit der Einnahme von Gerti Gynial beginnt.
- +Bei Umstellung von einem anderen Präparat auf Gerti Gynial
- +Umstellung von einer 22-Tage-Pille oder von einer anderen 21-Tage-Pille (Kombinationspille)
- +Alle Tabletten in der alten Packung sollten regulär eingenommen werden. Die erste Filmtablette Gerti Gynial sollte am darauf folgenden Tag genommen werden. In diesem Fall gibt es keine Einnahmepause und die Frau muss auch nicht warten, bis ihre nächste Menstruation beginnt. Mit der Einnahme von Gerti Gynial kann auch am ersten Tag nach dem üblichen einnahmefreien Intervall begonnen werden. Zusätzliche empfängnisverhütende Massnahmen sind nicht erforderlich.
- +Umstellung von einer täglich einzunehmenden Kombinationspille (28-Tage-Pille mit 21 oder 22 aktiven und 6 oder 7 Placebo-Tabletten)
- +Mit der Einnahme von Gerti Gynial sollte nach der Einnahme der letzten aktiven Tablette aus der Packung mit der «Pille für jeden Tag» begonnen werden (d.h. nach Einnahme von 21 oder 22 Tabletten). Die erste Gerti Gynial Filmtablette sollte am nächsten Tag eingenommen werden. Es gibt keine Einnahmepause und die Frau muss auch nicht den Beginn ihrer nächsten Menstruation abwarten. Mit der Einnahme von Gerti Gynial kann auch im Anschluss an die letzte Placebo-Tablette begonnen werden. Weitere empfängnisverhütende Massnahmen sind nicht erforderlich.
- +Umstellung von einer nur Gestagen enthaltenden Pille (POP [Progesteron only pill] oder Minipille)
- +Die Umstellung kann an jedem beliebigen Tag erfolgen. Während der ersten 7 Tage der Gerti Gynial-Einnahme müssen jedoch zusätzliche empfängnisverhütende Massnahmen ergriffen werden.
- +Umstellung von einer kontrazeptiven Hormoninjektion, einem Gestagenabgebenden IUD oder einem Implantat
- +Mit der Einnahme von Gerti Gynial kann am Tag der Entfernung des Implantats bzw. des Gestagenabgebenden IUD oder dem Tag der ursprünglich geplanten Injektion begonnen werden. Während der ersten 7 Tage müssen zusätzliche empfängnisverhütende Massnahmen ergriffen werden.
- +Nach einer Fehlgeburt oder einem Schwangerschaftsabbruch im 1. Trimenon
- +Nach einer Fehlgeburt oder einem Schwangerschaftsabbruch im 1. Trimenon kann mit der Einnahme von Gerti Gynial sofort begonnen werden. In diesem Fall sind keine weiteren empfängnisverhütenden Massnahmen erforderlich.
- +Nach einem Abort im 2. Trimenon oder nach einer Geburt
- +Bei der Entscheidung, zu welchem Zeitpunkt nach einer Geburt bzw. nach einem Abort im 2. Trimenon (wieder) mit der Anwendung eines CHC wie Gerti Gynial begonnen werden kann, ist zu berücksichtigen, dass postpartal das Risiko für venöse thromboembolische Ereignisse erhöht ist (während bis zu 12 Wochen; vgl. „Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen“).
- +In jedem Fall sollte nach einer Geburt bzw. einem Abort im 2. Trimenon mit der Anwendung von Gerti Gynial frühestens zwischen dem 21. und dem 28. Tag begonnen werden. Bei einem späteren Beginn wird an den ersten 7 Tagen der Anwendung die zusätzliche Anwendung nicht-hormonaler Kontrazeptionsmethoden empfohlen. Hat in der Zwischenzeit bereits Geschlechtsverkehr stattgefunden, ist vor Beginn der Anwendung eine Schwangerschaft auszuschliessen oder die erste Monatsblutung abzuwarten.
- +Absetzen von Gerti Gynial
- +Nachdem Gerti Gynial abgesetzt worden ist, kann der erste Zyklus um ungefähr eine Woche verlängert sein.
- +Unregelmässige Einnahme
- +Wenn eine Filmtablette vergessen wurde, die Einnahme jedoch innerhalb von 12 Stunden nachgeholt wurde, sind keine weiteren empfängnisverhütenden Massnahmen erforderlich. Die Pilleneinnahme sollte normal fortgesetzt werden.
- +Wenn der Zeitraum, in dem die Einnahme einer Tablette vergessen wird, 12 Stunden überschreitet, ist die kontrazeptive Sicherheit des Präparates vermindert. Die letzte vergessene Filmtablette sollte umgehend eingenommen werden. Die weiteren Filmtabletten sollten nach dem normalen Einnahmeschema erfolgen. Zusätzlich sind weitere Massnahmen zur Empfängnisverhütung, z.B. Kondome, für die nächsten 7 Tage anzuwenden. Wenn diese 7 Tage über das Ende der laufenden Packung hinaus gehen, muss mit der nächsten Packung Gerti Gynial begonnen werden, sobald die laufende Packung verbraucht ist, d.h. es sollte zwischen den Packungen keine Pause bestehen («7-Tage-Regel»). Falls nach Einnahme der zweiten Medikationspackung die Menstruation ausbleibt, sollte ein Schwangerschaftstest durchgeführt werden.
- +Verhalten bei gastrointestinalen Störungen
- +Im Falle von schweren gastrointestinalen Störungen – unabhängig von deren Ursache (d.h. auch bei Arzneimittel-induzierter Diarrhoe etc.) – ist die Resorption möglicherweise unvollständig, und zusätzliche kontrazeptive Methoden sollten angewendet werden.
- +Besondere Patientengruppen
- +Niereninsuffizienz: Gerti Gynial wurde bei Frauen mit Niereninsuffizienz nicht untersucht und es können keine Dosierungsempfehlungen gemacht werden.
- +Leberinsuffizienz: Gerti Gynial darf bei Frauen mit Leberinsuffizienz nicht angewendet werden.
- +Jugendliche: Die Wirksamkeit und Sicherheit von Gerti Gynial wurde an Frauen ab einem Alter von 18 Jahren untersucht. Für Jugendliche wird, falls indiziert, die gleiche Dosierung wie bei Erwachsenen empfohlen.
- +Kontraindikationen
- +·Vorliegen einer oder Risiko für eine venöse Thromboembolie (VTE)
- +oVenöse Thromboembolie - bestehende VTE (auch unter Therapie mit Antikoagulanzien) oder VTE in der Anamnese (z.B. tiefe Venenthrombose oder Lungenembolie)
- +oVorliegen starker Risikofaktoren für venöse thromboembolische Ereignisse wie
- +–hereditäre oder erworbene Prädisposition für venöse thromboembolische Ereignisse, wie z.B. APC-Resistenz (einschliesslich Faktor-V-Leiden-Mutation), Antithrombin-III-Mangel, Protein-C-Mangel oder Protein-S-Mangel
- +oGleichzeitiges Vorliegen mehrerer Risikofaktoren für venöse thromboembolische Ereignisse, wie sie in der Rubrik «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» beschrieben sind.
- +·Vorliegen einer oder Risiko für eine arterielle Thromboembolie (ATE)
- +obestehende oder vorausgegangene arterielle thromboembolische Ereignisse und deren Prodromi (z.B. Angina pectoris, Myokardinfarkt, transitorische ischämische Attacke, zerebrovaskulärer Insult)
- +oVorliegen starker Risikofaktoren für arterielle thromboembolische Ereignisse wie
- +–Diabetes mellitus mit Gefässkomplikationen
- +–schwere arterielle Hypertonie
- +–schwere Dyslipoproteinämie
- +–Migräne mit fokalen neurologischen Symptomen (auch in der Anamnese)
- +–hereditäre oder erworbene Prädisposition für eine arterielle Thromboembolie, wie z.B. Hyperhomocysteinämie oder Antiphospholipid-Antikörper (Anticardiolipin-Antikörper, Lupusantikoagulans)
- +o Gleichzeitiges Vorliegen mehrerer Risikofaktoren für arterielle thromboembolische Ereignisse, wie sie in der Rubrik «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» beschrieben sind.
- +·bestehende oder vorausgegangene schwere Lebererkrankung, solange abnorme Leberfunktionsparameter bestehen;
- +·bestehende oder vorangegangene benigne oder maligne Lebertumoren;
- +·bestehende oder vermutete maligne Erkrankungen der Genitalorgane oder der Mammae, wenn diese sexualhormonabhängig sind;
- +·bestehende oder vorausgegangene Pankreatitis, falls diese mit einer schweren Hypertriglyceridämie assoziiert ist bzw. war;
- +·ungeklärte vaginale Blutungen;
- +·vermutete oder bestehende Schwangerschaft;
- +·Überempfindlichkeit gegenüber den Wirkstoffen oder einem der Hilfsstoffe von Gerti Gynial.
- +Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen
- +Die Anwendung eines CHC erhöht das Risiko für venöse Thromboembolien (VTE) und für arterielle Thromboembolien (ATE) im Vergleich zur Nichtanwendung. Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen, welche nachfolgend beschrieben werden, müssen vor jeder Verschreibung berücksichtigt werden (vgl. «Risiko für venöse Thromboembolien [VTE]» und «Risiko für arterielle Thromboembolien [ATE]»). Es ist wichtig, die Patientin auf die Informationen zu venösen und arteriellen thromboembolischen Ereignissen hinzuweisen, insbesondere auf die möglichen Symptome von VTE und ATE und die bekannten vaskulären Risikofaktoren sowie darauf, was im Falle einer vermuteten Thrombose zu tun ist (vgl. «Symptome einer VTE [tiefe Venenthrombose und Lungenembolie]» und «Symptome einer ATE»).
- +Der Nutzen einer Anwendung eines CHC, wie Gerti Gynial, sollte gegen die nachfolgend aufgeführten Erkrankungen/Risiken - unter Berücksichtigung des Schweregrades jedes einzelnen oder dem Aufeinandertreffen mehrerer Faktoren - abgewogen und mit jeder Patientin besprochen werden, bevor man sich zur Anwendung von Gerti Gynial entschliesst (siehe auch «Kontraindikationen»). Die Patientin ist zudem anzuweisen, die Packungsbeilage sorgfältig zu lesen und die darin gegebenen Ratschläge zu befolgen.
- +Vor Beginn oder Wiederaufnahme der Anwendung eines CHC wie Gerti Gynial soll eine sorgfältige Eigen- und Familienanamnese erhoben, sowie unter Beachtung der «Kontraindikationen» und «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» eine gründliche allgemeine und gynäkologische Untersuchung durchgeführt werden, um behandlungsbedürftige Erkrankungen sowie deren Risikofaktoren feststellen und eine Schwangerschaft ausschliessen zu können. Diese Untersuchungen schliessen im Allgemeinen Blutdruck, Mammae, Abdomen, Beckenorgane (inkl. Zervixzytologie) und relevante Laboruntersuchungen ein.
- +Während der Anwendung des CHC müssen diese Untersuchungen in regelmässigen Abständen wiederholt werden, wobei Häufigkeit und Art auf die individuelle Anwenderin abgestimmt werden und sich an den Richtlinien der Schweizer Gesellschaft für Gynäkologie und Geburtshilfe (SGGG) orientieren sollten. Bei diesen Kontrollen sollten die Kontraindikationen (z.B. eine transitorische ischämische Attacke) und Risikofaktoren (z.B. Familienanamnese venöser oder arterieller Thrombosen, vgl. «Risikofaktoren für VTE» und «Risikofaktoren für ATE») erneut überprüft werden, da diese während der Anwendung eines CHC zum ersten Mal auftreten können.
- +Es soll darüber aufgeklärt werden, dass CHC keinen Schutz vor HIV-Infektionen (AIDS) und anderen sexuell übertragbaren Krankheiten bieten.
- +Gründe für das sofortige Absetzen
- +Die Anwenderin muss darüber informiert werden, dass sie bei Auftreten einer der oben genannten Kontraindikationen sowie bei Eintreten einer der nachfolgenden Situationen schnellstmöglich einen Arzt I eine Ärztin konsultieren muss, der/die dann über die weitere Anwendung des CHC entscheiden wird:
- +·erstmaliges Auftreten oder Exazerbation migräneartiger oder häufigeres Auftreten ungewohnt starker Kopfschmerzen;
- +·plötzliche Seh-, Hör-, Sprech- oder sonstige Wahrnehmungsstörungen;
- +·erste Anzeichen von thromboembolischen Ereignissen (vgl. «Symptome einer VTE [tiefe Venenthrombose und Lungenembolie]» und «Symptome einer ATE»);
- +·mindestens 4 Wochen vor geplanten Operationen und während einer Immobilisation (z.B. nach Unfall oder Operation);
- +·motorische Störungen (insbesondere Paresen);
- +·signifikanter Blutdruckanstieg (bei wiederholter Messung);
- +·Auftreten von Ikterus, Hepatitis, generalisiertem Pruritus;
- +·starke Oberbauchschmerzen oder Lebervergrösserung;
- +·Symptome für intraabdominale Blutungen;
- +·Zunahme epileptischer Anfälle.
- +Risiko für venöse Thromboembolien (VTE)
- +Die Anwendung jedes CHC erhöht das Risiko für VTE im Vergleich zur Nichtanwendung. Arzneimittel, die Levonorgestrel, Norgestimat oder Norethisteron enthalten, sind mit dem geringsten Risiko für eine VTE verbunden. Bisher ist nicht bekannt, wie hoch das Risiko mit Gerti Gynial im Vergleich zu diesen Arzneimitteln mit geringerem Risiko ist.
- +Die Entscheidung, das Arzneimittel anzuwenden, sollte nur nach einem Gespräch mit der Patientin getroffen werden, bei dem sicherzustellen ist, dass sie Folgendes versteht:
- +·Das Risiko für VTE bei Anwendung von Gerti Gynial.
- +·Wie beeinflussen ihre vorbestehenden individuellen Risikofaktoren dieses Risiko?
- +·Stärkste Risikoerhöhung für VTE im allerersten Anwendungsjahr (insbesondere während der ersten 3 Monate).
- +·Die vorhandenen Daten deuten darauf hin, dass dieses erhöhte Risiko sowohl bei der erstmaligen Anwendung eines CHC als auch bei der erneuten Anwendung des gleichen oder eines anderen CHC besteht (nach einem mindestens 4-wöchigen oder länger dauernden anwendungsfreien Intervall).
- +·Gerti Gynial ist ein Arzneimittel. Im Falle eines Unfalls oder eines operativen Eingriffs muss die Anwenderin die behandelnden Ärzte darüber informieren, dass sie Gerti Gynial anwendet.
- +Ungefähr 2 von 10’000 Frauen, die kein CHC anwenden und nicht schwanger sind, erleiden im Verlauf eines Jahres eine VTE. Bei der einzelnen Frau kann das Risiko jedoch in Abhängigkeit von ihren zugrundeliegenden Risikofaktoren bedeutend höher sein (siehe unten).
- +Aufgrund der vorliegenden epidemiologischen Daten wird geschätzt, dass im Verlauf eines Jahres 5-12 von 10‘000 Frauen, die ein niedrig dosiertes (< 50 μg Ethinylestradiol) CHC anwenden, eine VTE erleiden; ungefähr bei 5-7 von 10‘000 Frauen, die ein Levonorgestrel-haltiges CHC anwenden, kommt es im Verlauf eines Jahres zu einer VTE. Bisher ist nicht bekannt, wie das Risiko mit Chlormadinon-haltigen CHC im Vergleich zum Risiko mit Levonorgestrel-haltigen CHC ist.
- +In beiden Fällen ist die Anzahl an VTE pro Jahr geringer als die erwartete Anzahl während einer Schwangerschaft oder in der postpartalen Phase.
- +VTE verlaufen in 1-2 % der Fälle tödlich.
- +Äusserst selten wurde bei Anwenderinnen von CHC auch über venöse Thrombosen ausserhalb der Extremitäten berichtet, z.B. Sinusvenenthrombosen oder Thrombosen in hepatischen, mesenterialen, renalen oder retinalen Venen.
- +Risikofaktoren für VTE
- +Das Risiko für venöse thromboembolische Komplikationen bei Anwenderinnen von CHC kann deutlich ansteigen, wenn bei der Anwenderin zusätzliche Risikofaktoren bestehen, insbesondere wenn mehrere Risikofaktoren gleichzeitig vorliegen (siehe Tabelle). Insbesondere ist bei der Nutzen-Risiko-Abwägung zu berücksichtigen, dass das Risiko venöser thromboembolischer Ereignisse überadditiv erhöht sein kann, wenn eine Kombination von Risikofaktoren vorliegt. In diesem Fall muss das Gesamtrisiko für eine VTE in Betracht gezogen werden. Gerti Gynial ist kontraindiziert, wenn bei einer Frau mehrere Risikofaktoren gleichzeitig bestehen, die sie insgesamt einem hohen Risiko für eine Venenthrombose aussetzen.
- +Tabelle: Risikofaktoren für VTE
- +Risikofaktor Anmerkung
- +Adipositas (Body-Mass-Index über 30 kg/m2) Das Risiko nimmt mit steigendem BMI deutlich zu. Besonders wichtig, wenn weitere Risikofaktoren vorliegen.
- +Längere Immobilisierung, grössere chirurgische Eingriffe, jeder Eingriff an Beinen oder Hüfte, neurochirurgischer Eingriff oder schweres Trauma In diesen Fällen ist es ratsam, die Anwendung der Tablette zu unterbrechen (bei einer geplanten Operation mindestens vier Wochen vorher) und frühestens zwei Wochen nach vollständiger Mobilisierung wieder aufzunehmen. Ggf. ist eine andere Kontrazeptionsmethode anzuwenden, um eine ungewollte Schwangerschaft zu verhindern. Eine medikamentöse Thromboseprophylaxe muss erwogen werden, wenn Gerti Gynial nicht vorab abgesetzt wurde.
- +Positive Familienanamnese (jede venöse Thromboembolie bei einem Geschwister- oder Elternteil, insbesondere in relativ jungen Jahren, z.B. jünger als 50 Jahre) Bei Verdacht auf eine genetische Prädisposition ist die Patientin zur Beratung an einen Spezialisten zu überweisen, bevor eine Entscheidung über die Anwendung von Gerti Gynial getroffen wird. Falls die Untersuchung Hinweise auf eine Thrombophilie ergibt, ist eine Anwendung von Gerti Gynial kontraindiziert.
- +Andere Erkrankungen, die mit einem erhöhten VTE-Risiko assoziiert sind Systemischer Lupus erythematodes, hämolytischurämisches Syndrom, chronisch entzündliche Darmerkrankungen (Morbus Crohn oder Colitis ulcerosa), Sichelzellanämie, maligne Erkrankungen
- +Zunehmendes Alter Insbesondere älter als 35 Jahre
-Remarque: l'immobilisation temporaire, y compris les trajets aériens >4 heures, peut également constituer un facteur de risque de TEV, en particulier chez les femmes présentant d'autres facteurs de risque.
-Il n'existe aucun consensus quant au rôle éventuel joué par les varices et les thrombophlébites superficielles dans l'apparition ou la progression d'une thrombose veineuse.
-Le risque accru de thrombo-embolie pendant la période puerpérale doit être pris en compte. Certaines données indiquent en effet que le risque peut être encore augmenté jusqu'à 12 semaines après l'accouchement.
-Symptômes de TEV (thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire)
-La patiente doit être informée qu'en cas d'apparition d'un ou de plusieurs de ces symptômes, elle doit consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu'elle utilise Gerti Gynial.
-·Les symptômes de thrombose veineuse profonde des membres inférieurs peuvent inclure:
-·gonflement unilatéral d'une jambe et/ou d'un pied ou le long d'une veine de la jambe;
-·douleur ou sensibilité dans une jambe, pouvant n'être ressentie qu'en position debout ou lors de la marche;
-·sensation de chaleur, rougeur ou changement de la coloration cutanée de la jambe affectée.
-·Les symptômes de l'embolie pulmonaire peuvent inclure
-·difficulté respiratoire subite et inexpliquée, respiration rapide ou détresse respiratoire, intolérance à l'effort;
-·toux d'apparition soudaine, éventuellement accompagnée d'expectorations sanglantes;
-·douleur aiguë et soudaine dans la poitrine pouvant s'amplifier à la respiration profonde;
-·obnubilation sévère, vertiges ou sensation d'angoisse;
-·tachycardie ou arythmie.
-Certains de ces symptômes (p.ex. «essoufflement», «toux») ne sont pas spécifiques et peuvent être interprétés à tort comme des signes d'événements plus fréquents ou moins sévères (infections respiratoires, p.ex.).
-Risque de thromboembolie artérielle (TEA)
-Des études épidémiologiques ont montré une association entre l'utilisation de contraceptifs hormonaux et l'augmentation du risque de thrombo-embolie artérielle (infarctus du myocarde, accident cérébrovasculaire ou accident ischémique transitoire). Avant de décider de prescrire Gerti Gynial, la patiente doit être informée de ce risque et, surtout, du fait que des facteurs de risque individuels préexistants sont susceptibles d'aggraver ce risque.
-De très rares cas de thromboses dans d'autres vaisseaux sanguins (tels que les artères hépatiques, mésentériques, rénales ou rétiniennes) ont été observés.
-Facteurs de risque de TEA
-Le risque de complications thrombo-emboliques artérielles ou d'accident cérébrovasculaire chez les utilisatrices de CHC augmente avec la présence de facteurs de risque (voir tableau). Lors de l'évaluation du rapport bénéfices/risques, il est important de prendre en considération l'augmentation particulière du risque d'accident thrombo-embolique en présence de plusieurs facteurs de risques concomitants, augmentation qui peut être supérieure à la seule somme des risques pris individuellement. Dans ce cas, le risque global de TEA doit être pris en compte. Gerti Gynial est contre-indiqué chez les femmes présentant un facteur de risque sévère ou de multiples facteurs de risque de TEA qui les exposent à un risque élevé de thrombose artérielle.
-Tableau: Facteurs de risque de TEA
-Facteur de risque Commentaire
-Âge En particulier audelà de 35 ans
-Tabagisme Il doit être conseillé aux femmes de ne pas fumer si elles souhaitent utiliser un CHC comme Gerti Gynial. Une méthode de contraception différente doit être fortement conseillée aux femmes de plus de 35 ans qui continuent de fumer.
-Hypertension artérielle
-Diabète L'utilisation de CHC est contreindiquée chez les femmes diabétiques qui présentent déjà des complications vasculaires.
-Dyslipoprotéinémie
-Valvulopathie cardiaque
-Fibrillation auriculaire
-Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
-Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à -d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Gerti Gynial. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Gerti Gynial est contre- indiquée.
-Migraine L'accroissement de la fréquence ou de la sévérité des migraines lors de l'utilisation de Gerti Gynial (qui peut être le prodrome d'un événement cérébrovasculaire) peut constituer un motif d'arrêt immédiat de Gerti Gynial.
-Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA Hyperhomocystéinémie, Lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
- +Hinweis: Eine vorübergehende Immobilisierung wie beispielsweise eine Flugreise von > 4 Stunden Dauer kann ebenfalls einen Risikofaktor für eine VTE darstellen, insbesondere bei Patientinnen mit weiteren Risikofaktoren.
- +Über die mögliche Rolle von Varizen und oberflächlicher Thrombophlebitis bezüglich des Beginns oder Fortschreitens einer Venenthrombose besteht kein Konsens.
- +Es muss beachtet werden, dass das Risiko thromboembolischer Ereignisse in der postpartalen Phase erhöht ist. Es gibt Daten, die darauf hindeuten, dass das Thromboserisiko bis 12 Wochen nach der Entbindung erhöht sein kann.
- +Symptome einer VTE (tiefe Venenthrombose und Lungenembolie)
- +Der Patientin ist anzuraten, bei Auftreten eines oder mehrerer der folgenden Symptome, unverzüglich ärztliche Hilfe in Anspruch zu nehmen und das medizinische Fachpersonal darüber zu informieren, dass sie Gerti Gynial anwendet.
- +·Symptome einer tiefen Beinvenenthrombose können sein
- +– unilaterale Schwellung in einem Bein oder entlang einer Vene im Bein;
- +– Spannungsgefühl oder Schmerzen in einem Bein, auch wenn sie nur beim Stehen oder Gehen spürbar sind;
- +– Überwärmung, Rötung oder Verfärbung der Haut am betroffenen Bein.
- +·Symptome einer Lungenembolie können sein
- +– plötzliche unerklärliche Kurzatmigkeit, schnelles Atmen oder Atemnot,
- +Anstrengungsintoleranz;
- +– plötzliches Auftreten von Husten, eventuell mit blutigem Sputum;
- +– plötzlicher starker Schmerz im Brustkorb, welcher sich bei tiefer Atmung verstärken kann;
- +– starke Benommenheit, Schwindel, oder Angstgefühl;
- +– Tachykardie oder Arrhythmien.
- +Einige dieser Symptome (z.B. Kurzatmigkeit oder Husten) sind nicht spezifisch und können als häufige oder weniger schwere Ereignisse (z.B. Atemwegsinfektionen) missdeutet werden.
- +Risiko für arterielle Thromboembolien (ATE)
- +Epidemiologische Studien haben ausserdem die Anwendung hormonaler Kontrazeptiva mit einem erhöhten Risiko für arterielle thromboembolische Ereignisse (wie Myokardinfarkt, Schlaganfall oder transitorische ischämische Attacken) in Verbindung gebracht. Bevor die Entscheidung getroffen wird, Gerti Gynial zu verordnen, ist die Patientin über dieses Risiko sowie insbesondere auch darüber aufzuklären, wie eventuell vorbestehende individuelle Risikofaktoren dieses Risiko zusätzlich erhöhen können.
- +Äusserst selten wurde bei Anwenderinnen von CHC auch über Thrombosen in anderen Blutgefässen (wie z.B. hepatischen, mesenterialen, renalen oder retinalen Arterien) berichtet.
- +Risikofaktoren für ATE
- +Ein erhöhtes Risiko für einen zerebrovaskulären Insult oder andere arterielle thromboembolische Komplikationen bei Anwenderinnen von CHC besteht v.a. bei Frauen, die bereits Risikofaktoren für solche Erkrankungen aufweisen (siehe Tabelle). Insbesondere muss bei der Nutzen-Risiko-Abwägung beachtet werden, dass das Risiko für arterielle thromboembolische Ereignisse überadditiv erhöht sein kann, wenn eine Kombination von Risikofaktoren vorliegt. In diesem Fall muss das Gesamtrisiko für eine ATE betrachtet werden. Bei Patientinnen, die aufgrund eines schwerwiegenden oder des Vorliegens mehrerer Risikofaktoren ein hohes Risiko für eine ATE aufweisen, ist Gerti Gynial kontraindiziert.
- +Tabelle: Risikofaktoren für ATE
- +Risikofaktor Anmerkung
- +Zunehmendes Alter Insbesondere älter als 35 Jahre
- +Rauchen Frauen ist anzuraten, nicht zu rauchen, wenn sie ein CHC wie Gerti Gynial anwenden möchten. Frauen über 35 Jahren, die weiterhin rauchen, ist dringend zu empfehlen, eine andere Kontrazeptionsmethode anzuwenden.
- +Arterielle Hypertonie
- +Diabetes mellitus Bei Diabetikerinnen mit bereits bestehenden Gefässkomplikationen ist die Anwendung von CHC kontraindiziert.
- +Dyslipoproteinämie
- +Herzklappenerkrankungen
- +Vorhofflimmern
- +Adipositas (Body-Mass-Index über 30 kg/m2) Das Risiko nimmt mit steigendem BMI deutlich zu. Besonders wichtig bei Frauen mit zusätzlichen Risikofaktoren.
- +Positive Familienanamnese (jede arterielle Thromboembolie bei einem Geschwister- oder Elternteil, insbesondere in relativ jungen Jahren, d.h. jünger als 50 Jahre) Bei Verdacht auf eine genetische Prädisposition ist die Patientin zur Beratung an einen Spezialisten zu überweisen, bevor eine Entscheidung über die Anwendung von Gerti Gynial getroffen wird. Falls die Untersuchung Hinweise auf eine Thrombophilie ergibt, ist die Anwendung von Gerti Gynial kontraindiziert.
- +Migräne Ein Anstieg der Häufigkeit oder des Schweregrads einer Migräne während der Anwendung von Gerti Gynial kann ein Prodromalsymptom eines zerebrovaskulären Ereignisses darstellen und Grund für ein sofortiges Absetzen sein.
- +Andere Erkrankungen, die mit einem erhöhten Risiko für ATE assoziiert sind Hyperhomocysteinämie, Systemischer Lupus erythematodes, Sichelzellanämie, maligne Erkrankungen.
-Symptômes de TEA
-Les femmes doivent être informées qu'en cas d'apparition d'un ou de plusieurs de ces symptômes, elles doivent consulter un médecin en urgence et indiquer au personnel médical qu'elles utilisent Gerti Gynial.
-·Les symptômes d'un accident cérébrovasculaire peuvent inclure
-·perte soudaine de sensibilité ou de force au niveau du visage, d'un bras ou d'une jambe, touchant une moitié du corps;
-·confusion soudaine;
-·élocution incompréhensible ou difficulté de compréhension;
-·troubles subits de la vision d'un ou des deux yeux;
-·troubles subits de la marche;
-·vertiges;
-·troubles de l'équilibre ou de la coordination;
-·céphalées soudaines et sévères, ou de durée inhabituelle, de cause inconnue;
-·perte de connaissance ou évanouissement avec ou sans épisode convulsif.
-·Les symptômes de l'infarctus du myocarde peuvent inclure
-·douleurs, malaise, sensation de pression, sensation de pesanteur, sensation de serrement ou de tension dans la poitrine, le bras ou derrière le sternum;
-·douleurs irradiant dans le dos, la mâchoire, le cou, le bras ou l'estomac;
-·sensation de réplétion, troubles gastriques ou effort de vomissement;
-·sueurs, nausées, vomissements ou vertiges;
-·sensation de grande faiblesse, d'angoisse ou essoufflement;
-·tachycardie ou arythmies.
-·L'occlusion d'un vaisseau peut engendrer d'autres symptômes
-·douleur soudaine, tuméfaction ou cyanose discrète d'une extrémité;
-·abdomen aigu.
-Suspicion de prédisposition héréditaire ou acquise aux complications thromboemboliques
-En cas de suspicion de prédisposition héréditaire ou acquise aux complications thrombo-emboliques, un examen de la coagulation sanguine doit être effectué par un spécialiste, qui peut le cas échéant demander une analyse de certains paramètres hémostatiques.
-Maladies tumorales
-Un risque augmenté de cancer du col a été rapporté lors d'une utilisation au long cours des CHC (>5 ans) dans quelques études épidémiologiques. Néanmoins, ceci est toujours en discussion de façon controversée dans la mesure où ce résultat est influencé par d'autres facteurs, comme une infection par des papillomavirus humains (HPV) (facteur de risque le plus puissant), par la fréquence de la participation au screening du col de l'utérus ou par le comportement sexuel.
-Une méta-analyse de 54 études épidémiologiques montre que l'utilisation de CHC fait légèrement augmenter le risque de cancer du sein (RR = 1,24). Ce risque accru est passager et diminue progressivement au cours des 10 années suivant leur arrêt. Ces études n'en expliquent pas les causes. L'augmentation du risque observée peut être due à un diagnostic précoce du cancer du sein chez les utilisatrices de CHC, aux effets biologiques des CHC ou bien à l'association entre ces deux facteurs.
-De rares tumeurs hépatiques bénignes, et malignes, encore plus rares, ont été signalées sous CHC. Exceptionnellement, ces tumeurs ont induit des hémorragies intra-abdominales potentiellement mortelles. En cas de violentes douleurs abdominales supérieures ne disparaissant pas spontanément, d'hépatomégalie ou de signes d'hémorragie intra-abdominale, une tumeur hépatique doit être envisagée et la prise de Gerti Gynial doit être interrompue.
-Autres précautions
-Les femmes prenant un contraceptif hormonal ne doivent pas être traitées simultanément par des préparations à base de millepertuis (Hypericum), car celuici peut diminuer l'action contraceptive. Des saignements intermenstruels et des cas isolés de grossesses non désirées ont été rapportés (voir aussi «Interactions»).
-Chez les femmes atteintes d'hypertriglycéridémie ou ayant des antécédents familiaux d'hypertriglycéridémie, l'utilisation de CHC peut augmenter le risque de pancréatite.
-Bien qu'une légère augmentation de la tension artérielle pendant la prise de CHC ait été assez fréquemment rapportée, des valeurs élevées cliniquement significatives sont rares. Si la prise du CHC conduit à une augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par des mesures répétées), la prise du CHC devra être arrêtée. Dans les cas où l'indication semble justifiée, on pourra envisager la reprise d'un CHC, pour autant que la tension artérielle se soit normalisée (sous traitement).
-La prise de CHC peut entraîner une diminution de la tolérance au glucose. Les femmes diabétiques et celles ayant une tolérance au glucose réduite doivent donc toutes être attentivement surveillées, particulièrement au cours des premiers mois, lors de la prise d'un CHC. Sauf exception, il n'existe toutefois aucune raison de modifier le traitement antidiabétique.
-Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusqu'à ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées. La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
-Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et d'autres affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholécystite) ont été rapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
-Chez les femmes atteintes d'un angioœdème héréditaire et/ou acquis, des estrogènes exogènes peuvent induire ou aggraver les symptômes.
-Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; cholélithiase; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
-Certaines maladies/situations peuvent être influencées dans le sens négatif par les estrogènes ou les associations estrogènes/progestatifs. Dans les situations suivantes un contrôle particulier est nécessaire: endométriose; myomes de l'utérus; mastopathie; dépressions; épilepsie; sclérose en plaques; tétanie; insuffisance cardiaque ou rénale; asthme.
-Chez les femmes prédisposées, l'utilisation de CHC peut occasionnellement provoquer un chloasma, qui est encore renforcé par une exposition intense aux rayons solaires. Les femmes présentant une tendance au chloasma ne devraient donc pas s'exposer à des rayonnements UV importants.
-Chaque comprimé pelliculé contient moins de 48 mg de lactose monohydraté. Les patientes souffrant d'une intolérance au galactose, maladie héréditaire rare, d'un déficit en lactase de Lapp ou d'une malabsorption du glucose et du galactose, et qui suivent un régime sans lactose, doivent tenir compte de cette quantité.
-Diminution de l'efficacité
-L'oubli d'un comprimé pelliculé (voir «Posologie/Mode d'emploi, Prise irrégulière»), des vomissements ou d'autres problèmes intestinaux, dont une diarrhée, la prise concomitante et au long cours de certains médicaments (voir rubrique «Interactions») ou de très rares cas de troubles métaboliques peuvent atténuer l'efficacité de la contraception.
-Influence sur la stabilité du cycle
-Saignements intermenstruels et spotting
-Tous les contraceptifs oraux peuvent provoquer des saignements vaginaux irréguliers (saignements intermédiaires/spotting), surtout au cours des premiers cycles.
-C'est pourquoi une évaluation médicale de cycles irréguliers n'a de sens qu'après une période d'adaptation d'environ trois cycles. Si, pendant la prise de Gerti Gynial, les saignements irréguliers persistent ou se produisent après des cycles jusquelà réguliers, des examens approfondis sont recommandés afin d'exclure une grossesse ou un dysfonctionnement organique. Une fois ceux-ci exclus, Gerti Gynial pourra être continué ou remplacé par un autre contraceptif.
-Les saignements intermenstruels peuvent être le signe d'une efficacité contraceptive réduite (voir la rubrique «Prise irrégulière», ainsi que «Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux» et la rubrique «Interactions»).
-Absence de règles
-Les règles apparaissent normalement après les 21 jours de prise. Ces règles peuvent occasionnellement être absentes, surtout au cours des premiers mois de prise des comprimés, ce qui ne signifie pas toutefois que l'effet anticonceptionnel est atténué. S'il n'y a pas de saignement après un cycle au cours duquel aucune pilule n'a été oubliée, la période de 7 jours sans pilule n'a pas été prolongée, aucun autre médicament n'a été pris de manière concomitante et il n'y a eu ni vomissement, ni diarrhée, une grossesse est très peu probable et il est possible de poursuivre le traitement par Gerti Gynial. Lors des 10 premiers jours du nouveau cycle, une grossesse doit être exclue. S'il n'y a pas de règles après 2 cycles successifs, un examen de contrôle doit être mené et une grossesse doit être exclue.
-Interactions
-Il est recommandé de consulter également l'information professionnelle des médicaments co-administrés afin de pouvoir évaluer le potentiel d'interactions.
-Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique des contraceptifs hormonaux
-Ces données peuvent aussi s'appliquer aux médicaments nouvellement utilisés.
-·Inducteurs enzymatiques
-Des interactions peuvent survenir entre contraceptifs hormonaux et médicaments induisant les enzymes microsomales, ce qui peut conduire à une augmentation de la clairance des hormones sexuelles, à une diminution de l'effet contraceptif et à des saignements intermenstruels. Ceci vaut par exemple pour la barbexaclone, les barbituriques, le bosentan, la carbamazépine, le felbamate, la griséofulvine, le modafinil, l'oxcarbazépine, la phénytoïne, la primidone, la rifabutine, la rifampicine, le topiramate, quelques inhibiteurs de la protéase (p.ex. le ritonavir) ainsi que pour les médicaments contenant du millepertuis (Hypericum perforatum).
-L'induction enzymatique maximale est en général observée après 2 à 3 semaines et peut persister pendant au moins 4 semaines ou plus après l'arrêt de ces médicaments. Les femmes traitées sur une courte période par un de ces médicaments doivent provisoirement utiliser une méthode de contraception non hormonale en complément au CHC ou choisir une autre méthode contraceptive. Une méthode de contraception mécanique doit être poursuivie pendant toute la prise concomitante des médicaments et encore pendant 28 jours après l'arrêt du traitement. Lorsque la prise concomitante d'un inducteur enzymatique dure au-delà de la fin de l'emballage du CHC, il faut passer immédiatement à l'emballage suivant, donc sauter l'intervalle habituel sans prise de comprimés. Dans ce cas, il ne faut pas s'attendre à des règles avant la fin du deuxième emballage. En l'absence de règles pendant l'intervalle sans prise de comprimés à la fin du deuxième emballage, il est impératif d'exclure toute grossesse avant de poursuivre avec un nouvel emballage.
-En cas de traitement de longue durée avec des médicaments qui entraînent une induction enzymatique hépatique, il convient d'utiliser des méthodes contraceptives non hormonales fiables.
-On sait en outre que différents inhibiteurs de la protéase du VIH/VHC et inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse peuvent entraîner une baisse ou une augmentation des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs. Ces modifications peuvent être cliniquement significatives dans certains cas.
-Les inhibiteurs des protéases en particulier, tels que le ritonavir ou le nelfinavir (y compris leurs associations) sont connus comme étant des inhibiteurs puissants du CYP3A4, mais en cas de coadministration avec des hormones stéroïdiennes, ils peuvent entraîner une induction enzymatique et provoquer une baisse des concentrations plasmatiques en estrogènes et progestatifs.
-·Inhibiteurs enzymatiques
-Inhibiteurs forts et modérés du CYP3A4 comme les antifongiques azolés (p.ex. Itarconazol, Voriconazol, Flucinazol), les macrolides (Clarithromycin, Erythromycin), Diltiazem, Verapamil et le jus de pamplemousse peuvent augmenter les taux plasmatiques des estrogènes et ou des progestatifs et entraîner des effets indésirables plus nombreux.
-Interférence avec le métabolisme entéro-hépatique
-En cas de prise simultanée et sur une courte durée (jusqu'à 10 jours) d'antibiotiques qui n'interagissent pas avec le système enzymatique du CYP3A4, aucune interaction pharmacocinétique n'est à prévoir. Il est cependant nécessaire d'avertir la patiente que dans certains cas, la maladie (p.ex. maladie vénérienne) contre laquelle l'antibiotique est utilisé peut nécessiter en complément l'utilisation d'une méthode contraceptive mécanique.
-En cas de co-médication de longue durée avec des antibiotiques (p.ex. en cas d'ostéomyélite ou de borréliose), les données d'interaction actuellement disponibles sont insuffisantes. Pour exclure avec certitude toute grossesse, il est dans de tels cas recommandé d'utiliser en complément une méthode contraceptive mécanique pendant la durée de l'antibiothérapie et pendant les 7 jours qui suivent la fin de ce traitement.
-En cas d'apparition de diarrhées et/ou de vomissements sous traitement antibiotique, se référer aux indications dans le paragraphe «Conduite à tenir en cas de troubles gastro-intestinaux» dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
-Influence des contraceptifs hormonaux sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
-Les contraceptifs hormonaux peuvent, par différents mécanismes d'interaction, influer également sur la pharmacocinétique de certains autres médicaments: ils peuvent inhiber les enzymes hépatiques microsomaux ou induire la conjugaison hépatique, en particulier la glucuroconjugaison. Les concentrations plasmatiques ou tissulaires d'autres médicaments peuvent par conséquent être soit augmentées (p.ex. la cyclosporine) soit diminuées (p.ex. la lamotrigine, voir ci-dessous). Par ailleurs, l'effet pharmacologique des groupes médicamenteux suivants peut également être influencé: analgésiques, antidépresseurs, antidiabétiques, antimalariques, certaines benzodiazépines, certains béta-bloquants, corticostéroïdes, anticoagulants oraux et théophylline.
-Les modifications des taux plasmatiques résultant de ces interactions ne sont pas toujours cliniquement pertinentes.
-Lamotrigine
-Une étude sur l'interaction avec la lamotrigine, un antiépileptique, et un contraceptif oral combiné (30 µg d'éthinylestradiol/150 µg de lévonorgestrel) a montré une hausse significative de la clairance de la lamotrigine et une diminution significative des taux plasmatiques de lamotrigine lorsque ces médicaments sont administrés en même temps. Une telle diminution des concentrations plasmatiques peut s'accompagner d'une réduction du contrôle des crises. On ignore cependant dans quelle mesure ces résultats sont transposables à d'autres contraceptifs combinés contenant un autre composant progestatif et/ou une autre dose d'estrogène. Mais on peut partir du principe que ces préparations présentent un profil d'interactions comparable.
-Lorsqu'un traitement par Gerti Gynial est nouvellement instauré chez une patiente prenant de la lamotrigine, une adaptation de la dose de lamotrigine peut donc être nécessaire, et les concentrations de lamotrigine devraient être surveillées étroitement au début du traitement. En l'occurrence, il peut y avoir une hausse significative du taux de lamotrigine (selon les cas jusqu'à un niveau toxique) lors de l'arrêt de la prise du contraceptif hormonal (ainsi dans certains cas pendant la période de 7 jours sans prise).
-Grossesse/Allaitement
-La prise de Gerti Gynial est contre-indiquée pendant la grossesse. Il faut donc exclure toute grossesse avant le début du traitement. Si une grossesse survient ou est suspectée lors de l'utilisation de Gerti Gynial, la prise du médicament doit être arrêtée immédiatement et le médecin consulté.
-Des études expérimentales animales suggèrent des risques pour le fœtus (voir aussi «Données précliniques»). La plupart des études épidémiologiques réalisées jusqu'ici n'ont toutefois montré aucun indice en faveur d'un effet embryotoxique ou tératogène lors de la prise accidentelle de CHC pendant la grossesse.
-Le médicament ne doit pas être pris pendant l'allaitement, car il peut réduire la production de lait et modifier sa qualité; d'autre part, de faibles concentrations du principe actif peuvent être mesurées dans le lait. Des méthodes de contraception non hormonales devront si possible être utilisées jusqu'à ce que la mère ait complètement cessé d'allaiter.
-Concernant le risque d'événements thrombo-emboliques chez la mère pendant la période puerpérale, voir la rubrique «Mises en garde et précautions».
-Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines
-Gerti Gynial n'a aucune influence sur l'aptitude à la conduite ni sur l'utilisation de machines.
-Effets indésirables
-Les effets indésirables les plus graves en rapport avec la prise de CHC sont décrits dans la rubrique «Mises en garde et précautions» (voir la rubrique). Les effets indésirables sérieux incluent en particulier des thrombo-embolies artérielles et veineuses.
-Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) au cours des études cliniques menées tel que Gerti Gynial contenant 0,03 mg d'éthinylestradiol et 2 mg d'acétate de chlormadinone sont des saignements intermenstruels et des spottings, des céphalées et des douleurs mammaires.
-Les effets indésirables mentionnés ci-dessous ont été rapportés suite à la prise d'un contraceptif contenant 0,03 mg d'éthinylestradiol et 2 mg d'acétate de chlormadinone dans une étude clinique chez 1629 femmes. Les fréquences respectives de ces effets sont ainsi définies:
-Très fréquents: ≥1/10.
-Fréquents: ≥1/100, <1/10.
-Occasionnels: ≥1/1'000, <1/100.
-Rares: ≥1/10'000, <1/1'000.
-Très rares: <1/10'000.
-Troubles du système immunitaire
-Occasionnels: réactions d'hypersensibilité au produit y compris des réactions allergiques.
-Troubles du métabolisme
-Occasionnels: modifications des concentrations lipidiques sériques et hypertriglycéridémie.
-Troubles psychiatriques
-Fréquents: dépressions, nervosité, irritabilité.
-Troubles du système nerveux
-Fréquents: céphalées, vertiges, migraine (et/ou aggravation).
-Troubles oculaires
-Fréquents: troubles visuels.
-Rares: conjonctivite (notamment avec lentilles de contact), problèmes de port de lentilles.
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif
-Rares: perte auditive brutale, acouphènes.
-Troubles cardiaques et vasculaires
-Fréquents: augmentation de la tension artérielle.
-Rares: thrombo-embolie veineuse (p.ex. thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire), thrombo-embolie artérielle (p.ex. accident ischémique transitoire, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde), hypertension, hypotension, collapsus cardio-vasculaire, varices.
-Troubles gastro-intestinaux
-Très fréquents: nausées.
-Fréquents: vomissements.
-Occasionnels: douleurs abdominales, flatulence, diarrhée.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Fréquents: acné.
-Occasionnels: anomalies pigmentaires, chloasma, alopécie, peau sèche.
-Rares: urticaire, eczéma, érythème, prurit, aggravation d'un psoriasis, hirsutisme.
-Très rares: érythème noueux.
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
-Fréquents: sensation de pesanteur.
-Occasionnels: dorsalgies, myalgies.
-Troubles des organes de reproduction et des seins
-Très fréquents: écoulement vaginal, dysménorrhée, aménorrhée.
-Fréquents: douleurs dans le bas ventre.
-Occasionnels: galactorrhée, fibroadénomes du sein, candidose génitale, kystes ovariens.
-Rares: augmentation de volume des seins, vulvovaginite, ménorragie, syndrome prémenstruel.
-Troubles généraux
-Fréquents: fatigue, œdèmes, prise de poids.
-Occasionnels: baisse de la libido, sudation.
-Rares: augmentation de l'appétit.
-Surdosage
-Il n'y a aucune information sur des effets toxiques graves d'un surdosage. Les symptômes suivants sont possibles: nausées, vomissements et saignement vaginal chez la fillette. Un contrôle de l'équilibre hydroélectrolytique ainsi que de la fonction hépatique n'est nécessaire que dans de rares cas.
-Propriétés/Effets
-Code ATC: G03AA15
-L'acétate de chlormadinone a des propriétés antiandrogènes en déplaçant les androgènes de leur récepteur.
-L'éthinylestradiol augmente la SHBG (globuline liant les hormones sexuelles) et diminue ainsi la quantité de testostérone libre dans le sang. Le progestatif acétate de chlormadinone ne contrebalance pas cet effet, car l'acétate de chlormadinone n'exerce aucun effet androgénique partiel.
-Comme pour tous les contraceptifs hormonaux combinés (CHC), l'action contraceptive de Gerti Gynial repose sur différents facteurs dont les plus importants sont le blocage de l'ovulation et la modification de la glaire cervicale. En outre, l'endomètre offre des conditions défavorables à une nidation en raison des altérations morphologiques et enzymatiques qu'il subit. Enfin, du fait des modifications hormonales induites par le CHC, les cycles deviennent plus réguliers et les saignements moins abondants.
-La dose journalière la plus faible d'acétate de chlormadinone inhibant l'ovulation est d'1,7 mg. La pleine dose de transformation endométriale est de 25 mg par cycle.
-Efficacité clinique
-Dans les études cliniques qui ont testé un contraceptif contenant 0,03 mg d'éthinylestradiol et 2 mg d'acétate de chlormadinone jusqu'à 2 ans chez 1'655 femmes, soit sur plus de 24'000 cycles menstruels, il y a eu 13 grossesses. Chez 7 de ces femmes, il y a eu soit erreur de prise, soit maladies accompagnées de nausées et de vomissements, soit prise de médicaments connus pour atténuer l'efficacité anticonceptionnelle des contraceptifs hormonaux.
-L'indice de Pearl calculé sur l'ensemble des études s'est chiffré à 0,644 (IC 95%: 0,89 à 1,059) et l'indice de Pearl corrigé (correspondant à une prise correcte du contraceptif) à 0,227 (IC 95%: 0,139 à 0,635).
-Pharmacocinétique
- +Symptome einer ATE
- +Der Patientin ist anzuraten, beim Auftreten eines oder mehrerer der folgenden Symptome unverzüglich ärztliche Hilfe in Anspruch zu nehmen und das medizinische Fachpersonal darüber zu informieren, dass sie Gerti Gynial anwendet.
- +·Symptome eines zerebrovaskulären Insults können sein
- +– plötzliche Taubheit oder Kraftlosigkeit des Gesichtes, eines Armes oder Beines, vor allem einer Körperhälfte;
- +– plötzliche Verwirrtheit;
- +– undeutliche Aussprache oder Verständnisprobleme;
- +– plötzliche Sehstörungen in einem oder beiden Augen;
- +– plötzliche Gehstörungen;
- +– Schwindel;
- +– Gleichgewichts- oder Koordinationsstörungen;
- +– plötzliche schwere oder länger anhaltende Kopfschmerzen unbekannter Ursache;
- +– Bewusstseinsverlust oder Ohnmacht mit oder ohne Krampfanfall.
- +·Symptome eines Myokardinfarktes können sein
- +– Schmerzen, Unwohlsein, Druckgefühl, Schweregefühl, Enge- oder Spannungsgefühl in der Brust, im Arm oder hinter dem Brustbein;
- +– Beschwerden, welche in Rücken, Kiefer, Hals, Arm oder Magen ausstrahlen;
- +– Völlegefühl, Magenbeschwerden oder Würgereiz;
- +– Schwitzen, Nausea, Erbrechen oder Schwindel;
- +– extremes Schwäche-, oder Angstgefühl oder Kurzatmigkeit;
- +– Tachykardie oder Arrhythmien.
- +·Andere Symptome eines vaskulären Verschlusses können sein
- +– plötzlicher Schmerz, Schwellung oder leichte Cyanose einer Extremität;
- +– akutes Abdomen.
- +Verdacht auf hereditäre oder erworbene Prädisposition für thromboembolische Komplikationen
- +Bei Verdacht auf eine hereditäre oder erworbene Prädisposition für thromboembolische Komplikationen ist eine gerinnungsphysiologische Abklärung durch einen Spezialisten angezeigt, welcher ggf. eine Bestimmung bestimmter hämostatischer Parameter veranlassen wird.
- +Tumorerkrankungen
- +In einigen epidemiologischen Untersuchungen wurde über ein erhöhtes Zervixkarzinom-Risiko bei Langzeitanwendung von CHC (> 5 Jahre) berichtet. Es wird jedoch nach wie vor kontrovers diskutiert, in wie weit dieses Ergebnis durch andere Faktoren wie eine Infektion durch humane Papillomaviren (HPV) (stärkster Risikofaktor), die Frequenz der Teilnahme am Zervix-Screening oder das Sexualverhalten beeinflusst wird.
- +Eine Metaanalyse von 54 epidemiologischen Studien zeigt, dass es unter Anwendung von CHC zu einer geringfügigen Erhöhung des Brustkrebsrisikos kommt (RR = 1,24). Das erhöhte Risiko ist vorübergehend und geht allmählich innerhalb von 10 Jahren nach Beendigung der Anwendung zurück. Diese Studien geben keinen Aufschluss über die Ursachen. Das beobachtete höhere Risiko ist möglicherweise auf eine frühzeitige Diagnose von Brustkrebs bei CHC-Anwenderinnen, die biologischen Wirkungen von CHC oder auf eine Kombination von beidem zurückzuführen.
- +In seltenen Fällen wurden unter der Anwendung von CHC gutartige und in noch selteneren Fällen bösartige Lebertumore gemeldet. In Einzelfällen führten diese Tumoren zu lebensbedrohlichen intraabdominalen Blutungen. Bei Auftreten starker, nicht spontan reversibler Schmerzen im Oberbauch, eine Lebervergrösserung oder Zeichen intraabdominalen Blutungen muss daher ein Lebertumor in Betracht gezogen werden und Gerti Gynial abgesetzt werden.
- +Sonstige Vorsichtsmassnahmen
- +Frauen, die ein hormonales Kontrazeptivum anwenden, sollen nicht gleichzeitig mit Johanniskrautpräparaten (Hypericum) behandelt werden, da die kontrazeptive Wirkung beeinträchtigt sein kann. Über Zwischenblutungen und Einzelfälle unerwünschter Schwangerschaften wurde berichtet (vgl. auch „Interaktionen“).
- +Bei Frauen mit bestehender oder familiärer Hypertriglyceridämie ist unter der Anwendung von CHC möglicherweise mit einem erhöhten Pankreatitis-Risiko zu rechnen.
- +Obwohl unter der Anwendung von CHC relativ häufig über einen geringfügigen Blutdruckanstieg berichtet wird, sind klinisch relevant erhöhte Blutdruckwerte selten. Kommt es unter der Anwendung eines CHC zu einer klinisch relevanten Blutdruckerhöhung (bei wiederholter Messung), sollte das CHC abgesetzt werden. Wo es angezeigt erscheint, kann die erneute Anwendung eines CHC erwogen werden, wenn sich die Blutdruckwerte (unter Behandlung) normalisiert haben.
- +Unter Anwendung von CHC wurde über eine reduzierte Glukosetoleranz berichtet. Diabetikerinnen sowie Frauen mit reduzierter Glukosetoleranz sollten daher während der Anwendung eines CHC, insbesondere während der ersten Monate, sorgfältig überwacht werden. Eine Anpassung der antidiabetischen Therapie ist jedoch im Allgemeinen nicht erforderlich.
- +Akute oder chronische Störungen der Leberfunktion können das Absetzen des CHC erforderlich machen bis sich die Leberfunktionswerte normalisiert haben. Beim Wiederauftreten eines cholestatischen Ikterus, der erstmalig während einer Schwangerschaft oder während einer früheren Anwendung von Sexualsteroidhormonen aufgetreten ist, müssen CHC abgesetzt werden.
- +Östrogene können die Lithogenität der Galle erhöhen. Über eine Cholelithiasis und andere Erkrankungen der Gallenblase (z.B. Cholezystitis) wurde im Zusammenhang mit der Anwendung hormoneller Kontrazeptiva berichtet.
- +Bei Frauen mit hereditärem und/oder erworbenem Angioödem können exogene Östrogene die Symptome des Angioödems induzieren oder verschlimmern.
- +Die folgenden Erkrankungen können sowohl während einer Schwangerschaft als auch während der Anwendung eines CHC auftreten oder ungünstig beeinflusst werden, doch lassen die verfügbaren Daten keine eindeutigen Schlüsse auf einen Kausalzusammenhang mit der Anwendung eines CHC zu: cholestatischer Ikterus und/oder Pruritus; Cholelithiasis; Porphyrie; systemischer Lupus erythematodes; hämolytisch-urämisches Syndrom; Chorea minor; Herpes gestationis; Otosklerose-bedingter Hörverlust. Die Anwendung von CHC wurde ausserdem auch mit dem Auftreten von Enteritis regionalis Crohn sowie Colitis ulcerosa assoziiert.
- +Bestimmte Krankheiten/Zustände können durch die Einnahme von Östrogen oder Östrogen/Gestagenkombinationen negativ beeinflusst werden. Hier ist eine besondere ärztliche Überwachung erforderlich: Endometriose; Gebärmuttermyome; Mastopathie; Depressionen; Epilepsie; multiple Sklerose; Tetanie; Herz- oder Niereninsuffizienz; Asthma.
- +Bei prädisponierten Frauen kann die Anwendung von CHC gelegentlich ein Chloasma verursachen, dass durch intensive Sonnenbestrahlung noch verstärkt wird. Frauen, die hierzu neigen, sollten sich deshalb keiner starken UV-Strahlung aussetzen.
- +Jede Filmtablette enthält <48 mg Laktose-Monohydrat. Patientinnen mit der seltenen hereditären Galaktose-Intoleranz, Lapp-Laktase-Mangel oder Glukose-Galaktose-Malabsorption, die eine laktosefreie Diät einhalten, sollten diese Menge beachten.
- +Verminderung der Wirksamkeit
- +Die vergessene Einnahme einer Filmtablette (siehe «Dosierung/Anwendung, Unregelmässige Einnahme»), Erbrechen oder Darmbeschwerden einschliesslich Durchfall, die gleichzeitige langfristige Einnahme von bestimmten Arzneimitteln (siehe Kapitel «Interaktionen») oder in sehr seltenen Fällen Stoffwechselstörungen können die Wirksamkeit der Empfängnisverhütung beeinflussen.
- +Beeinflussung der Zyklusstabilität
- +Zwischenblutungen und Schmierblutungen
- +Alle oralen Kontrazeptiva können irreguläre vaginale Blutungen (Durchbruchblutung/Schmierblutung) insbesondere in den ersten Einnahmezyklen hervorrufen.
- +Aus diesem Grund ist eine medizinische Beurteilung unregelmässiger Zyklen erst nach einer Anpassungsperiode von ca. drei Zyklen sinnvoll. Wenn die Durchbruchblutungen anhalten oder es nach zuvor regelmässigen Zyklen unter Gerti Gynial zu Durchbruchblutungen kommt, empfiehlt sich eine eingehende Untersuchung, zum Ausschluss einer Schwangerschaft oder einer organischen Störung. Wenn dies ausgeschlossen wurde, kann Gerti Gynial weiter eingenommen oder zu einem anderen Präparat gewechselt werden.
- +Zwischenblutungen können Hinweise auf eine reduzierte kontrazeptive Wirksamkeit sein (siehe Kapitel «Dosierung/Anwendung, Unregelmässige Einnahme» sowie «Verhalten bei gastrointestinalen Störungen» und Kapitel «Interaktionen»).
- +Ausbleiben der Entzugsblutung
- +Nach der 21-tägigen Einnahme kommt es normalerweise zu einer Entzugsblutung. Gelegentlich und insbesondere in den ersten Monaten der Tabletteneinnahme kann die Entzugsblutung ausbleiben, aber dies muss kein Hinweis auf eine verminderte empfängnisverhütende Wirkung sein. Wenn die Blutung nach einem Einnahmezyklus ausbleibt, in dem keine Pille vergessen worden ist, der tablettenfreie Zeitraum von 7 Tagen nicht verlängert worden ist, keine anderen Medikamente gleichzeitig eingenommen worden sind und es nicht zum Erbrechen oder Durchfall gekommen ist, ist eine Empfängnis unwahrscheinlich und die Einnahme von Gerti Gynial kann fortgesetzt werden. Während der ersten 10 Tage des neuen Zyklus sollte eine Schwangerschaft ausgeschlossen werden. Wenn die Entzugsblutung in 2 aufeinanderfolgenden Zyklen nicht eintritt, sollte eine Kontrolluntersuchung vorgenommen und eine Schwangerschaft ausgeschlossen werden.
- +Interaktionen
- +Es wird empfohlen, auch die Fachinformation gleichzeitig verabreichter Arzneimittel zu konsultieren, um das Potential für Interaktionen abschätzen zu können.
- +Einfluss anderer Arzneimittel auf die Pharmakokinetik hormonaler Kontrazeptiva
- +Die Angaben können auch für vor kurzem angewandte Arzneimittel gelten.
- +·Enzyminduktoren
- +Interaktionen zwischen hormonalen Kontrazeptiva und Arzneimitteln, die mikrosomale Enzyme induzieren und dadurch eine erhöhte Clearance von Sexualhormonen verursachen können, können zu einer Verminderung der kontrazeptiven Wirksamkeit sowie zu Durchbruchblutungen führen. Dies gilt z.B. für Barbexaclon, Barbiturate, Bosentan, Carbamazepin, Felbamat, Griseofulvin, Modafinil, Oxcarbazepin, Phenytoin, Primidon, Rifabutin, Rifampicin, Topiramat, einige Proteaseinhibitoren (z.B. Ritonavir) sowie für Arzneimittel, welche Johanniskraut (Hypericum perforatum) enthalten.
- +Die max. Enzyminduktion wird im Allgemeinen nach 2 bis 3 Wochen beobachtet und kann während mindestens 4 oder mehr Wochen nach dem Absetzen dieser Arzneimittel andauern. Frauen, welche kurzfristig mit einem dieser Arzneimittel behandelt werden, sollten dazu aufgefordert werden, vorübergehend zusätzlich zum CHC eine nicht-hormonale Kontrazeptionsmethode anzuwenden oder eine andere Art der Kontrazeption zu wählen. Die Barrieremethode sollte während der gleichzeitigen Anwendung der Arzneimittel sowie für weitere 28 Tage nach Absetzen der Behandlung verwendet werden. Wird die gleichzeitige Anwendung eines Enzyminduktors über das Ende der aktuellen Packung des CHC hinaus fortgesetzt, sollte sofort die nächste Packung des CHC begonnen werden, also ohne Einhaltung des gewohnten anwendungsfreien Intervalls. In diesem Fall ist eine Entzugsblutung nicht vor dem Ende der zweiten Packung zu erwarten. Kommt es während des anwendungsfreien Intervalls am Ende der zweiten Packung nicht zu einer Entzugsblutung, muss eine Schwangerschaft ausgeschlossen werden, bevor die Anwendung mit der nächsten Packung fortgesetzt wird.
- +Bei Langzeitbehandlung mit Arzneimitteln, welche zu einer Enzyminduktion in der Leber führen, sollten alternative Kontrazeptionsmethoden angewendet werden.
- +Darüber hinaus ist bekannt, dass verschiedene Inhibitoren der HIV/HCV-Protease und der Nichtnukleosidischen Reverse-Transkriptase zu einer Erniedrigung oder einer Erhöhung der Plasmakonzentrationen von Östrogenen oder Gestagenen führen können. Diese Veränderungen können in manchen Fällen klinisch relevant sein.
- +Insbesondere sind Proteaseinhibitoren wie Ritonavir oder Nelfinavir (einschliesslich deren Kombinationen) zwar als starke Inhibitoren von CYP3A4 bekannt, können jedoch bei gleichzeitiger Anwendung mit Steroidhormonen enzyminduzierende Eigenschaften aufweisen und dadurch die Plasmaspiegel von Östrogenen und Gestagenen reduzieren.
- +·Enzyminhibitoren
- +Starke und moderate CYP3A4-Inhibitoren wie Azol-Antimykotika (z.B. Itraconazol, Voriconazol, Fluconazol), Makrolid-Antibiotika (Clarithromycin, Erythromycin), Diltiazem, Verapamil und Grapefruitsaft können die Plasmaspiegelkonzentrationen von Östrogenen und/oder Gestagenen erhöhen und dadurch zum vermehrten Auftreten unerwünschter Wirkungen führen.
- +Interferenz mit dem enterohepatischen Kreislauf
- +Bei gleichzeitiger kurzdauernder (bis zu 10 Tagen) Anwendung von Antibiotika, welche keine Interaktionen mit dem CYP3A4-Enzymsystem aufweisen, ist nicht mit pharmakokinetischen Interaktionen zu rechnen. Bei der Beratung der Patientin sollte jedoch berücksichtigt werden, dass unter Umständen die Grunderkrankung (z.B. Geschlechtskrankheiten), deretwegen das Antibiotikum eingesetzt wird, die zusätzliche Verwendung einer Barrieremethode nahelegen kann.
- +Über mögliche Interaktionen bei längerfristiger Komedikation mit Antibiotika (z.B. bei Osteomyelitis oder Borreliose) liegen keine ausreichenden Daten vor. Soll eine Schwangerschaft sicher ausgeschlossen werden, wird in solchen Fällen während der Antibiotikatherapie sowie in den ersten 7 Tagen nach Absetzen die zusätzliche Verwendung einer Barrieremethode empfohlen.
- +Sollte es unter der antibiotischen Therapie zu Durchfällen und/oder Erbrechen kommen, sind ausserdem die Angaben im Abschnitt «Verhalten bei gastrointestinalen Störungen» in der Rubrik «Dosierung / Anwendung» zu beachten.
- +Einfluss hormonaler Kontrazeptiva auf die Pharmakokinetik anderer Arzneimittel
- +Hormonale Kontrazeptiva können - durch verschiedene Interaktionsmechanismen - auch die Pharmakokinetik einiger anderer Arzneimittel beeinflussen. Sie können die hepatischen mikrosomalen Enzyme hemmen oder die hepatische Konjugation, insbesondere die Glukuronidierung, induzieren. Entsprechend können die Plasmaund Gewebekonzentrationen anderer Arzneimittel entweder erhöht (z.B. Cyclosporin) oder erniedrigt (z.B. Lamotrigin, siehe unten) werden. Weiter kann auch die pharmakologische Wirkung folgender Arzneimittelgruppen beeinflusst werden: Analgetika, Antidepressiva, Antidiabetika, Antimalariamittel, einige Benzodiazepine, einige β-Blocker, Kortikosteroide, orale Antikoagulantien und Theophyllin.
- +Nicht in allen Fällen sind die aus diesen Interaktionen resultierenden Veränderungen der Plasmaspiegel klinisch relevant.
- +Lamotrigin
- +Eine Interaktionsstudie mit dem Antiepileptikum Lamotrigin und einem kombinierten oralen Kontrazeptivum (30 µg EthinylestradiolI150 µg Levonorgestrel) zeigte eine klinisch relevante Steigerung der Lamotrigin-Clearance mit einer entsprechenden signifikanten Abnahme der Lamotrigin-Plasmaspiegel, wenn diese Arzneimittel gleichzeitig verabreicht wurden. Eine derartige Senkung der Plasmakonzentrationen kann mit einer reduzierten Anfallskontrolle einhergehen. Es ist nicht bekannt, in wieweit diese Befunde auf andere kombinierte Kontrazeptiva mit anderer Gestagenkomponente und/oder anderer Östrogendosis übertragbar sind. Es ist jedoch davon auszugehen, dass diese Präparate ein vergleichbares Interaktionspotential aufweisen.
- +Beginnt eine Patientin, welche Lamotrigin einnimmt, neu mit der Anwendung von Gerti Gynial, kann daher eine Anpassung der Lamotrigindosis erforderlich sein, und die Lamotrigin-Konzentration sollte zu Beginn der Therapie engmaschig überwacht werden. Hierbei ist insbesondere auch zu beachten, dass es zu einem deutlichen Anstieg des Lamotriginspiegels (unter Umständen in den toxischen Bereich) kommen kann, wenn das hormonale Kontrazeptivum abgesetzt wird (sowie unter Umständen in den 7-tägigen Anwendungspausen).
- +Schwangerschaft/Stillzeit
- +Die Einnahme von Gerti Gynial ist während einer Schwangerschaft kontraindiziert. Vor Beginn der Anwendung des Arzneimittels ist eine Schwangerschaft auszuschliessen. Tritt unter der Anwendung eine Schwangerschaft ein oder wird eine solche vermutet, ist das Arzneimittel sofort abzusetzen und der Arzt/die Ärztin zu konsultieren.
- +Es gibt Hinweise auf fetale Risiken, basierend auf tierexperimentellen Untersuchungen (siehe «Präklinische Daten»). Die meisten bis heute durchgeführten epidemiologischen Studien haben jedoch keine eindeutigen Hinweise auf eine embryotoxische oder teratogene Wirkung ergeben, wenn Kombinationen aus Östrogenen und Gestagenen versehentlich während der Schwangerschaft angewendet wurden.
- +Das Arzneimittel sollte in der Stillzeit nicht angewendet werden, da die Milchproduktion reduziert und die Milchqualität verändert sein kann und geringe Wirkstoffkonzentrationen in der Milch gemessen werden können. Wenn möglich sollten bis zum vollständigen Abstillen des Kindes nichthormonale Kontrazeptionsmethoden angewendet werden.
- +Zum postpartalen Risiko thromboembolischer Ereignisse bei der Mutter siehe „Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen“.
- +Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen
- +Gerti Gynial hat keinen Einfluss auf die Fahrtüchtigkeit oder die Fähigkeit, Maschinen zu bedienen.
- +Unerwünschte Wirkungen
- +Die schwerwiegendsten unerwünschten Wirkungen im Zusammenhang mit der Anwendung von CHC sind in der Rubrik «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» beschrieben (siehe dort). Schwerwiegende unerwünschte Wirkungen sind insbesondere arterielle und venöse Thromboembolien.
- +Als häufigste Nebenwirkungen (>20%) wurden in den klinischen Studien mit einem Kontrazeptivum wie Gerti Gynial mit 0,03 mg Ethinylestradiol und 2 mg Chlormadinonacetat Zwischen- und Schmierblutungen, Kopfschmerzen und Brustschmerzen angegeben.
- +Die folgenden Nebenwirkungen wurden nach Einnahme eines Kontrazeptivums mit 0,03 mg Ethinylestradiol und 2 mg Chlormadinonacetat in einer klinischen Studie mit 1629 Frauen berichtet. Ihre Häufigkeiten sind folgendermassen definiert:
- +Sehr häufig: ≥1/10.
- +Häufig: ≥1/100, <1/10.
- +Gelegentlich: ≥1/1000, <1/100.
- +Selten: ≥1/10’000, <1/1000.
- +Sehr selten: <1/10’000.
- +Erkrankungen des Immunsystems
- +Gelegentlich: Überempfindlichkeitsreaktionen gegenüber dem Arzneimittel einschliesslich allergische Hautreaktionen.
- +Stoffwechselstörungen
- +Gelegentlich: Veränderungen der Blutfette einschliesslich Hypertriglyceridämie.
- +Psychiatrische Erkrankungen
- +Häufig: Depressionen, Nervosität, Reizbarkeit.
- +Erkrankungen des Nervensystems
- +Häufig: Kopfschmerz, Schwindel, Migräne (und/oder deren Verschlechterung).
- +Augenerkrankung
- +Häufig: Sehstörungen.
- +Selten: Konjunktivitis, (z.B. im Zusammenhang mit Kontaktlinsen), Beschwerden beim Tragen von Kontaktlinsen.
- +Ohr- und Labyrintherkrankungen
- +Selten: Hörsturz, Tinnitus.
- +Herz/Gefässerkrankungen
- +Häufig: Blutdruckanstieg.
- +Selten: Venöse thromboembolische Ereignisse (z.B. tiefe Venenthrombose, Lungenembolie), arterielle thromboembolische Ereignisse (z.B. transitorische ischämische Attacke, Schlaganfall, Myokardinfarkt), Hypertonie, Hypotonie, Kreislaufkollaps, Varikosis.
- +Gastrointestinale Erkrankungen
- +Sehr häufig: Übelkeit.
- +Häufig: Erbrechen.
- +Gelegentlich: Abdominelle Schmerzen, Blähungen, Durchfall.
- +Erkrankungen der Haut und Hautanhangsgebilde
- +Häufig: Akne.
- +Gelegentlich: Pigmentierungsstörungen, Chloasma, Haarausfall, trockene Haut.
- +Selten: Urticaria, Ekzeme, Erytheme, Juckreiz, Verschlechterung einer Psoriasis, Hirsutismus.
- +Sehr selten: Erythema nodusum.
- +Muskelerkrankungen, Bindegewebs- und Knochenerkrankungen
- +Häufig: Gefühl von Schwere.
- +Gelegentlich: Rückenschmerzen, Muskelbeschwerden.
- +Erkrankungen der Geschlechtsorgane und der Brust
- +Sehr häufig: Fluor vaginalis, Dysmenorrhö, Amenorrhö.
- +Häufig: Unterbauchschmerzen.
- +Gelegentlich: Galactorrhoe, Fibroadenom der Brust, genitale Candida-Infektion, Ovarialzyste.
- +Selten: Brustvergrösserung, Vulvovaginitis, Menorrhagie, prämenstruelles Syndrom.
- +Allgemeine Erkrankungen
- +Häufig: Müdigkeit, Ödeme, Gewichtszunahme.
- +Gelegentlich: Abnahme der Libido, Schweissneigung.
- +Selten: Appetitzunahme.
- +Ãœberdosierung
- +Es liegen keine Informationen über schwerwiegende toxische Wirkungen bei einer Überdosierung vor. Es können folgende Symptome auftreten: Übelkeit, Erbrechen und bei Mädchen eine leichte Scheidenblutung. Nur in seltenen Fällen kann eine Kontrolle des Elektrolyt- und Wasserhaushalts sowie der Leberfunktion erforderlich sein.
- +Eigenschaften/Wirkungen
- +ATC-Code: G03AA15
- +Chlormadinonacetat besitzt antiandrogene Eigenschaften durch Verdrängung der Androgene von ihrem Rezeptor.
- +Ethinylestradiol erhöht das SHBG (Sexualhormone bindendes Globulin) und vermindert somit die Menge an freiem Testosteron im Blut. Das Gestagen Chlormadinonacetat wirkt diesem Effekt nicht entgegen, da dem Chlormadinonacetat eine androgene Partialwirkung fehlt.
- +Wie bei allen kombinierten hormonalen Kontrazeptiva (CHC) beruht die kontrazeptive Wirkung von Gerti Gynial auf verschiedenen Faktoren, als deren wichtigste die Ovulationshemmung und die Veränderung des Zervixsekrets anzusehen sind. Darüber hinaus bietet das Endometrium infolge der morphologischen und enzymatischen Veränderungen ungünstige Verhältnisse für die Nidation. Ausserdem führen die durch das CHC induzierten hormonellen Veränderungen zu regelmässigeren Zyklen und einer geringeren Blutungsstärke.
- +Die niedrigste tägliche Dosis Chlormadinonacetat zur vollen Ovulationshemmung beträgt 1,7 mg. Die volle Endometrium-Transformationsdosis beträgt 25 mg pro Zyklus.
- +Klinische Wirksamkeit
- +In klinischen Studien, bei denen die Einnahme eines Kontrazeptivums mit 0,03 mg Ethinylestradiol und 2 mg Chlormadinonacetat bis zu 2 Jahre bei 1655 Frauen getestet wurde und mehr als 24’000 Menstruationszyklen untersucht wurden, kam es zu 13 Schwangerschaften. Bei 7 Frauen lagen im Empfängniszeitraum entweder Einnahmefehler, Begleiterkrankungen, die Übelkeit oder Erbrechen verursachten, oder die gleichzeitige Einnahme von Arzneimitteln vor, die dafür bekannt sind, dass sie die empfängnisverhütende Wirkung hormoneller Kontrazeptiva vermindern.
- +Der Pearl Index über alle Studien betrug somit 0,644 (CI 95% 0,89–1,059). Der bereinigte Pearl Index (d.h. bei korrekter Einnahme), lag bei 0,227 (CI 95% 0,139–0,635).
- +Pharmakokinetik
-L'acétate de chlormadinone (CMA) est absorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale. La biodisponibilité systémique du CMA est élevée, car il n'est pas soumis à un métabolisme de premier passage. Les concentrations plasmatiques atteignent leur pic après 1 à 2 heures.
-L'éthinylestradiol (EE) est absorbé rapidement et pratiquement totalement après son administration orale; ses pics de concentration plasmatique sont atteints après 1,5 heure. Du fait de sa conjugaison présystémique et de son métabolisme de premier passage dans le foie, sa biodisponibilité absolue n'est que d'environ 40% et subit de très importantes variations (20 à 65%).
- +Chlormadinonacetat (CMA) wird nach oraler Einnahme rasch und nahezu vollständig absorbiert. Die systemische Bioverfügbarkeit von CMA ist hoch, da es keinem First-Pass-Metabolismus unterliegt. Die Konzentrationen im Plasma erreichen ihren Spitzenwert nach 1–2 Stunden.
- +Ethinylestradiol (EE) wird nach oraler Einnahme schnell und fast vollständig absorbiert; die durchschnittlichen Spitzenplasmawerte werden nach 1,5 Stunden erreicht. Aufgrund der präsystemischen Konjugation und des First-Pass-Metabolismus in der Leber beträgt die absolute Bioverfügbarkeit nur ungefähr 40% und unterliegt beträchtlichen interindividuellen Schwankungen (20–65%).
-La liaison de l'acétate de chlormadinone (CMA) aux protéines plasmatiques humaines, l'albumine surtout, est supérieure à 95%. Le CMA n'a aucune affinité de liaison pour la SHBG ni pour la CBG. Le CMA est stocké essentiellement dans le tissu adipeux.
-Éthinylestradiol (EE): Les concentrations plasmatiques d'EE données dans la littérature se caractérisent par une très grande variabilité. Env. 98% de l'EE est lié aux protéines plasmatiques, presque exclusivement à l'albumine.
-Métabolisme
-Acétate de chlormadinone (CMA): Plusieurs étapes d'oxydation et de réduction, et la conjugaison à l'acide glucuronique et au sulfate donnent de très nombreux métabolites. Dans le plasma humain, les principaux métabolites sont le 3α- et le 3β-hydroxy-CMA, dont les demi-vies biologiques ne sont pas fondamentalement différentes de celle du CMA non métabolisé. Les métabolites 3-hydroxy- ont une activité antiandrogène comparable à celle du CMA lui-même. Ces métabolites se retrouvent dans l'urine principalement sous forme conjuguée.
-Le clivage enzymatique donne comme métabolites principalement le 2α-hydroxy-CMA mais aussi le 3-hydroxy- et le dihydroxy-CMA.
-Éthinylestradiol (EE): comme les estrogènes naturels, l'EE est biotransformé par une hydroxylation (catalysée par le cytochrome P450) intervenant sur la chaîne aromatique. Le principal métabolite, le 2-hydroxy-EE, est décomposé en autres métabolites et en conjugués. L'EE subit une conjugaison présystémique dans la muqueuse de l'intestin grêle et dans le foie. Dans l'urine, ce sont surtout des glucuronides et dans la bile et le plasma, surtout des sulfates qui sont retrouvés.
-Élimination
-L'acétate de chlormadinone (CMA) est éliminé du plasma après une demi-vie moyenne d'environ 34 heures (après une dose unique) et d'environ 36 à 39 heures (après des doses répétées). Après administration orale, le CMA et ses métabolites sont éliminés en proportions semblables dans les urines et les selles.
-Éthinylestradiol (EE): La demi-vie plasmatique moyenne de l'EE est d'env. 12 à 14 heures. L'EE est éliminé sous la forme de ses métabolites dans les urines et les selles selon un quotient 2:3.
-Cinétique chez certains groupes de patientes
-On ne dispose d'aucune donnée concernant la cinétique chez la femme avec insuffisance hépatique ou rénale.
-Données précliniques
-Les études précliniques analysant les contraceptifs oraux combinés, en ce qui concerne leur toxicité après administration répétée, leur génotoxicité et leur potentiel carcinogène, n'ont montré aucune indication claire pour des risques particuliers pour l'être humain, même si certaines études épidémiologiques ont pu démontrer un risque de carcinome hépatique accru. Chez l'animal, l'éthinylestradiol a entraîné, à des posologies relativement faibles, un effet létal pour l'embryon; on a observé une malformation du tractus urogénital et une féminisation des fœtus masculins.
-Une embryolétalité due à l'acétate de chlormadinone a été mise en évidence chez le lapin, le rat et la souris. En outre, une tératogénicité a été observée à des doses embryotoxiques chez le lapin et dès la plus faible dose testée (1 mg/kg/jour) chez la souris. Il n'existe aucune certitude quant à l'applicabilité de ces résultats à l'homme.
-Les données précliniques d'études conventionnelles sur la toxicité chronique, la génotoxicité et le potentiel carcinogène n'attestent pas de risques spécifiques pour l'homme en dehors de ceux déjà décrits dans les autres rubriques de la présente information professionnelle.
-Remarques particulières
-Influence sur les méthodes de diagnostic
-L'administration de contraceptifs oraux peut fausser les résultats de certains examens de laboratoire, dont les paramètres biochimiques des fonctions du foie, de la corticosurrénale et de la thyroïde, la concentration plasmatique des protéines vectrices (p.ex. SHBG, lipoprotéines), les paramètres du métabolisme des hydrates de carbone, les paramètres de la coagulation et de la fibrinolyse. La vitesse de sédimentation peut être accélérée. Une augmentation des concentrations sériques de cuivre et de fer de même que de la phosphatase alcaline leucocytaire a été décrite.
-La nature et l'importance de ces effets dépend de la nature et de la dose de l'hormone administrée.
-Le personnel de laboratoire doit donc être informé de l'emploi de contraceptifs oraux s'il doit effectuer certains examens de laboratoire.
-Stabilité/Remarques concernant le stockage
-Ce médicament ne peut pas être utilisé au-delà de la date indiquée par «EXP» (= expiration) sur l'emballage. Il doit être conservé à une température de 15 à 30 °C.
-Numéro d’autorisation
- +Die Bindung von Chlormadinonacetat (CMA) an menschliche Plasmaproteine, hauptsächlich Albumin, beträgt mehr als 95%. CMA hat keine Bindungsaffinität zu SHBG oder CBG. CMA wird hauptsächlich im Fettgewebe gespeichert.
- +Ethinylestradiol (EE): Die in der Literatur angegebenen EE Konzentrationen im Plasma zeichnen sich durch eine deutliche Variabilität aus. Ca. 98% des EE ist an Plasmaproteine, fast ausschliesslich an Albumin, gebunden.
- +Metabolismus
- +Chlormadinonacetat (CMA): Verschiedene Reduktions- und Oxidationsprozesse und Konjugation zu Glukuroniden und Sulfaten resultieren in einer Vielzahl von Metaboliten. Die Hauptmetaboliten im menschlichen Plasma sind 3α- und 3β-Hydroxy-CMA, deren biologische Halbwertzeiten sich nicht wesentlich von nicht metabolisiertem CMA unterscheiden. Die 3-Hydroxy-Metaboliten weisen eine ähnliche antiandrogene Aktivität wie CMA selbst auf. Im Harn treten die Metaboliten hauptsächlich als Konjugate auf.
- +Nach enzymatischer Spaltung ist der Hauptmetabolit 2α-Hydroxy-CMA neben 3-Hydroxy-Metaboliten und Dihydroxy-Metaboliten.
- +Ethinylestradiol (EE): Wie natürliche Östrogene wird EE über (durch Cytochrom P-450 katalysierte) Hydroxylierung am aromatischen Ring biotransformiert. Der Hauptmetabolit ist 2-Hydroxy-EE, der zu weiteren Metaboliten und Konjugaten verstoffwechselt wird. EE unterliegt einer präsystemischen Konjugation sowohl in der Dünndarmschleimhaut als auch in der Leber. Im Harn werden hauptsächlich Glukuronide und in der Galle und im Plasma hauptsächlich Sulfate vorgefunden.
- +Elimination
- +Chlormadinonacetat (CMA) wird aus dem Plasma mit einer durchschnittlichen Halbwertzeit von ungefähr 34 Stunden (nach Einzeldosis) und ungefähr 36–39 Stunden (nach Mehrfachdosen) ausgeschieden. Nach der oralen Einnahme werden CMA und seine Metaboliten sowohl über die Nieren als auch über die Faeces in ungefähr gleichen Mengen ausgeschieden.
- +Ethinylestradiol (EE): Die durchschnittliche Plasmahalbwertzeit von EE beträgt ca. 12–14 Stunden. EE wird in Form von Metaboliten über die Nieren und die Faeces im Verhältnis 2:3 ausgeschieden.
- +Kinetik spezieller Patientengruppen
- +Daten zur Pharmakokinetik bei Frauen mit Leber- oder Niereninsuffizienz liegen nicht vor.
- +Präklinische Daten
- +Präklinische Untersuchungen mit kombinierten oralen Kontrazeptiva zur Toxizität nach wiederholter Gabe, zur Genotoxizität und zum karzinogenen Potential ergaben keine eindeutigen Hinweise auf besondere Risiken für den Menschen, wenn auch in epidemiologischen Studien ein erhöhtes Risiko für Leberkarzinome nachgewiesen werden konnte. Bei Versuchstieren zeigte Ethinylestradiol bereits in relativ geringer Dosierung einen embryoletalen Effekt; Missbildungen des Urogenitaltrakts und Feminisierung männlicher Feten wurden beobachtet.
- +Chlormadinonacetat zeigte bei Kaninchen, Ratte und Maus embryoletale Effekte. Zudem wurde Teratogenität bei embryotoxischen Dosen in Kaninchen und bereits bei der niedrigsten getesteten Dosis (1 mg/kg/Tag) in Mäusen beobachtet. Die Bedeutung dieser Befunde für die Anwendung am Menschen ist unklar.
- +Präklinische Daten aus konventionellen Studien zur chronischen Toxizität, Genotoxizität und zum karzinogenen Potential zeigten keine speziellen Risiken für den Menschen ausser denen, die bereits in anderen Kapiteln der Fachinformation beschrieben sind.
- +Sonstige Hinweise
- +Beeinflussung diagnostischer Methoden
- +Unter Anwendung von CHC können die Ergebnisse bestimmter Labortests verändert werden, einschliesslich derer zur Bestimmung der Leber-, Nebennierenrinden- und Schilddrüsenfunktion, der Plasmaspiegel von Trägerproteinen (z.B. SHBG, Lipoproteine), der Parameter des Kohlenhydratstoffwechsels, der Gerinnung und der Fibrinolyse, der Blutsenkungsgeschwindigkeit (Erhöhung), der Serumkupfer- und -eisenwerte und der alkalischen Leukozytenphosphatase.
- +Art und Ausmass sind zum Teil abhängig von der Art und Dosis der angewendeten Hormone.
- +Das Laborpersonal sollte daher über die Anwendung oraler Kontrazeptiva informiert werden, wenn Laboruntersuchungen durchgeführt werden sollen.
- +Haltbarkeit/Besondere Lagerungshinweise
- +Das Präparat darf nicht länger als bis zu dem auf der Packung mit «EXP:» (= Verfall) angegebenen Datum verwendet werden. Es soll bei 15-30°C gelagert werden.
- +Zulassungsnummer
-Présentation
-Gerti Gynial, comprimés pelliculés: 1x 21, 3x 21, 6x 21 (B).
-Titulaire de l’autorisation
- +Packungen
- +Gerti Gynial, Filmtabletten: 1x21, 3x21, 6x21 (B)
- +Zulassungsinhaberin
-Mise à jour de l’information
-Septembre 2015.
- +Stand der Information
- +September 2015.
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