54 Änderungen an Fachinfo Kanjinti 150 mg |
-Wirkstoff
- +Wirkstoffe
- +KANJINTI-Durchstechflasche:
-Vitamine D3 Spirig HC®, capsules molles
-Qu'est-ce que Vitamine D3 Spirig HC et quand doit-il être utilisé?
-Vitamine D3 Spirig HC consiste en des capsules molles contenant du cholécalciférol (vitamine D3). Vitamine D3 Spirig HC est utilisé pour prévenir et traiter les carences en vitamine D et les troubles du métabolisme du calcium. Normalement, la vitamine D est produite dans la peau sous l'influence du rayonnement solaire. Une exposition insuffisante au soleil ou une alimentation trop pauvre en vitamine D peut entraîner un trouble de la formation des os. La vitamine D est nécessaire pour pouvoir absorber le calcium des aliments et elle garantit la formation normale des os et des dents. Pendant la croissance, pendant la grossesse et l'allaitement, ainsi qu'en cas de carences, l'organisme a besoin de plus de vitamine D que d'habitude.
-Vitamine D3 Spirig HC s'utilise normalement sur prescription médicale
-·pour prévenir une décalcification des os (rachitisme et ostéomalacie)
-·pour la prévention en cas de risque reconnaissable d'une carence en vitamine D chez des personnes en bonne santé qui s'alimentent normalement (trouble de l'absorption)
-·pour la prévention en cas de risque reconnaissable d'une carence en vitamine D lors
-d'une baisse des apports par l'alimentation (malabsorption)
-·pour le traitement d'une carence grave et avérée en vitamine D
-·pour le traitement de la décalcification osseuse (rachitisme et ostéomalacie)
-·pour la prévention pendant des périodes de forte croissance, pendant la grossesse et pendant l'allaitement
-Quand Vitamine D3 Spirig HC ne doit-il pas être pris?
-Vitamine D3 Spirig HC ne doit pas être utilisé
-·en cas d'administration de vitamine D à hautes doses (poussées de vitamine D)
-·en présence d'un taux élevé de calcium dans le sang, de troubles d'élimination des reins et d'affections qui entraînent une augmentation de la teneur en calcium du sang ou de l'urine (hypercalcémie et/ou hypercalciurie)
-·si vous avez tendance à former des calculs rénaux contenant du calcium
-·si vous présentez une concentration élevée de vitamine D dans le sang (hypervitaminose D)
-·en cas de pseudohypoparathyroïdie (trouble génétique des taux de parathormone)
-·si vous souffrez d'une tuberculose aiguë du poumon
-·si vous devez rester alité pendant une longue période (par ex. après des opérations orthopédiques)
-·si vous prenez certains médicaments diurétiques (dérivés de la benzothiadiazine)
-·si vous êtes hypersensible à la substance vitamine D3 ou à l'un des excipients
-·en même temps que d'autres médicaments contenant de la vitamine D
-Quelles sont les précautions à observer lors de la prise de Vitamine D3 Spirig HC?
-Toutes les vitamines D sont nocives à hautes doses.
-Pour cette raison, pendant la prise de vitamine D3 Spirig HC, il faut éviter
-·la prise incontrôlée (sans prescription médicale), pendant des mois ou même des années, de doses élevées de vitamine D, tout particulièrement si vous prenez en même temps du calcium et/ou d'autres aliments vitaminés
-·l'administration de capsules molles supplémentaires après des apports élevés de vitamine (poussées de vitamine D)
-Surveillez les signes possibles d'un surdosage (tels que la fatigue, la somnolence, les maux de tête, la perte d'appétit, les nausées, les vomissements, la diarrhée suivie d'une constipation, les douleurs musculaires et articulaires, la faiblesse musculaire, l'augmentation de la soif, une évacuation excessive d'urine).
-Les capsules molles de Vitamine D3 Spirig HC ne doivent pas être utilisés chez les enfants de moins de 6 ans.
-La prudence s'impose en cas de troubles du métabolisme du calcium, de maladies rénales, de maladies cardiaques, d'une maladie inflammatoire qui crée de petits «nœuds» dans le tissu conjonctif (sarkoïdose) et de maladies thyroïdiennes. Dans ces cas, il faut consulter un médecin.
-Informez votre médecin, pharmacien ou droguiste si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre d'autres médicaments. Ceci est particulièrement important pour les médicaments suivants:
-·les médicaments ayant un effet sur le cœur ou les reins, tels que les glycosides cardiaques (par ex. la digoxine) ou les diurétiques (par ex. les thiazides)
-·les médicaments contenant de la vitamine D3 ou des substances similaires à la vitamine D (par ex. le calcitriol), ou si vous prenez en grandes quantités des aliments riches en vitamine D, tels que certains types de lait enrichi en vitamine D3
-·certains médicaments pour le traitement des mycoses
-·les médicaments contre l'épilepsie (par ex. la phénytoïne, les barbituriques)
-·les glucocorticoïdes (pour le traitement des affections allergiques, tels que l'hydrocortisone ou la prednisolone)
-·les médicaments employés pour baisser le taux de cholestérol dans le sang (tels que la cholestyramine ou le colestipol)
-·certains médicaments employés pour baisser le poids en réduisant l'absorption de graisse dans le corps (par ex. l'orlistat)
-·certains laxatifs (par ex. la paraffine liquide).
-Veuillez informer votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste si
-·vous souffrez d'une autre maladie,
-·vous êtes allergique ou
-·vous prenez déjà d'autres médicaments (même en automédication!)
-Vitamine D3 Spirig HC peut-il être pris pendant la grossesse ou l'allaitement?
-Si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, vous ne pouvez prendre Vitamine D3 Spirig HC qu'après en avoir discuté avec le médecin, le pharmacien ou le droguiste.
-Comment utiliser Vitamine D3 Spirig HC?
-Les capsules molles doivent être prises avec suffisamment d'eau.
-Prévention d'une carence en vitamine D
-Généralement, les recommandations de posologie suivantes sont émises pour la vitamine D3:
-Enfants à partir de 6 ans et adolescents: 500 U.I. par jour
-Adultes de 18 à 59 ans: 500 U.I. par jour
-Adultes ≥60 ans 1000 U.I. par jour
-Femmes enceintes et allaitantes: 500 U.I. (voir également la rubrique «Grossesse et allaitement»)
-Adultes avec malabsorption: 3000–5000 U.I. par jour
-En raison des dosages disponibles de Vitamin D3 Spirig HC, le médecin, le/la pharmacien(ne) ou le/la droguiste détermine la dose individuelle.
-Indication Groupes de patients Posologie capsules molles (1 fois par jour)
-Pour prévenir une carence en vitamine D en cas de risque identifiable chez les personnes par ailleurs en bonne santé Enfants et adolescents de 6 à 18 ans 1 capsule molle (correspond à 20 µg ou 800 U.I.)
-Adultes de 19 à 59 ans 1 capsule molle (correspond à 20 µg ou 800 U.I.)
-Adultes de plus de 60 ans 1 capsule molle (correspond à 20 µg ou 800 U.I. de vitamine D3)
-Pour la substitution de la vitamine D3 pendant la grossesse ou l'allaitement Femmes enceintes ou allaitantes 1 capsule molle (correspond à 20 µg ou 800 U.I.)
-Pour la prévention en présence d'un risque identifiable de carence en vitamine D en cas de malabsorption Adultes 4-6 capsules molles (correspondent à 80 -120 µg ou 3 200-4 800 U.I.)1)
-
-1) La posologie est fixée par le médecin traitant.
-Traitement d'une carence en vitamine D
-Le dosage sera établi individuellement par le médecin traitant en fonction du type et de la gravité de l'affection.
-En général, les recommandations de posologie pour Vitamine D3 Spirig HC sont les suivantes:
-Enfants à partir de 6 ans et adolescents atteints d'une carence grave en vitamine D:
-500–1000 UI par jour
-Adultes:
-Traitement de l'ostéomalacie: 1000–5000 UI par jour
-Traitement d'une carence grave en vitamine D: 1500–2000 UI par jour
-Femmes enceintes et allaitantes: 1500–2000 UI par jour (voir aussi «Grossesse/allaitement»)
-Éventuellement, le médecin vous dira de sauter la prise du médicament un jour par semaine.
-La durée de l'utilisation du médicament dépend de l'évolution de la maladie.
-Veuillez vous conformer au dosage figurant sur la notice d'emballage ou prescrit par votre médecin. Si vous estimez que l'efficacité du médicament est trop faible ou au contraire trop forte, veuillez vous adresser à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre droguiste.
-Quels effets secondaires Vitamine D3 Spirig HC peut-il provoquer?
-Comme tous les médicaments, celui-ci peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde.
-ARRÊTEZ de prendre Vitamine D3 Spirig HC, comprimés et informez immédiatement votre médecin si vous présentez l'un des signes suivants d'une réaction allergique grave:
-·gonflement des lèvres, de la gorge, du visage ou de la langue
-·éruption cutanée
-·difficultés à respirer
-Occasionnel (concerne 1 à 10 utilisateurs sur 1000)
-Occasionnellement, une augmentation des concentrations de calcium dans le sang et/ou l'urine (hypercalcémie et hypercalciurie) peut se produire.
-Rare (concerne 1 à 10 utilisateurs sur 10 000)
-Rarement, des démangeaisons, des éruptions cutanées et de l'urticaire apparaissent.
-Cas isolés
-Dans des cas isolés, il peut y avoir des réactions d'hypersensibilité (réactions allergiques), éventuellement graves, telles qu'un gonflement rapide, par exemple du visage, de la langue, des mains ou de la gorge. Des problèmes du système gastro-intestinal peuvent apparaître, tels que constipation, ballonnements, nausées, maux de ventre ou diarrhée.
-Si vous constatez d'autres effets secondaires qui ne sont pas décrits ici, veuillez informer votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste.
-À quoi faut-il encore faire attention?
-Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver à une temperature ne dépassant pas 30 °C, dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière. Ne pas conserver dans le réfrigérateur et ne pas congeler. Tenir hors de portée des enfants.
-Votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste vous fournira de plus amples informations. Ces personnes disposent d'une information détaillée destinée aux professionnels.
-Que contient Vitamine D3 Spirig HC?
-Principes actifs
-1 capsule molle de Vitamine D3 Spirig HC 800 U.I. contient 800 U.I. de cholécalciférol en tant que principe actif.
-Excipients:
-1 capsule molle de Vitamine D3 Spirig HC 800 U.I. contient de l'huile de maïs raffinée comme excipient et de l'hydroxytoluène butylé comme antioxydant. L'enveloppe de la capsule composée de gélatine (E441), de glycérol (E422) et d'eau purifiée est colorée à l'aide de bleu brillant (E133).
-Où obtenez-vous Vitamine D3 Spirig HC? Quels sont les emballages à disposition sur le marché?
-En pharmacie et droguerie, sans ordonnance médicale.
-Vitamine D3 Spirig HC 800 UI: boîtes de 30 et 90 capsules molles.
-Numéro d'autorisation
-67495 (Swissmedic).
-Titulaire de l'autorisation
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
-Cette notice d'emballage a été vérifiée pour la dernière fois en décembre 2016 par l'autorité de contrôle des médicaments (Swissmedic).
-
- +Durchstechflasche mit 20 ml Lösungsmittel (bakteriostatisches Wasser für Injektionszwecke):
- +Benzylalkohol (E1519) (220 mg), aqua ad iniectabile.
- +
- +
-Allgemein
-Verabreichung in Kombination mit einem Aromatasehemmer
- +Kombinationstherapie mit einem Aromatasehemmer
-Alternativ zur wöchentlichen Verabreichung wird in der Monotherapie und in Kombination mit Paclitaxel, Docetaxel oder einem Aromatasehemmer folgendes 3wöchentliches Schema empfohlen.
-Die Initialdosis beträgt 8 mg/kg Körpergewicht KANJINTI, gefolgt von 6 mg/kg Körpergewicht 3 Wochen später. Die anschliessenden KANJINTI-Dosen von 6 mg/kg Körpergewicht werden in 3-wöchentlichen Abständen wiederholt. Die Verabreichung erfolgt mittels Infusion über etwa 90 Minuten. Wurde die Initialdosis gut vertragen, so kann die Erhaltungsdosis als 30-minütige Infusion verabreicht werden.
- +Monotherapie und Kombinationstherapie
- +Alternativ zur wöchentlichen Verabreichung wird in der Monotherapie und in Kombination mit Paclitaxel, Docetaxel oder einem Aromatasehemmer folgendes 3wöchentliches Schema empfohlen:
- +Die Initialdosis beträgt 8 mg/kg Körpergewicht KANJINTI, gefolgt von 6 mg/kg Körpergewicht 3 Wochen später. Die anschliessenden KANJINTI-Dosen von 6 mg/kg Körpergewicht werden in 3-wöchentlichen Abständen wiederholt. Die Verabreichung erfolgt mittels Infusion über etwa 90 Minuten.
- +Wurde die Initialdosis gut vertragen, so kann die Erhaltungsdosis als 30-minütige Infusion verabreicht werden.
-Fortgeschrittenes Magenkarzinom oder Karzinom des gastroösophagealen Übergangs - 3-wöchentliches Therapieschema
- +Fortgeschrittenes Magenkarzinom oder Karzinom des gastroösophagealen Übergangs – 3wöchentliches Therapieschema
-Mammakarzinom (im Frühstadium oder metastasiert), metastasiertes Magenkarzinom oder Karzinom des gastroösophagealen Übergangs
-Dauer der Anwendung
-Patienten mit metastasiertem Mammakarzinom oder fortgeschrittenem Magenkarzinom und Karzinom des gastroösophagealen Übergangs sollten bis zur Krankheitsprogression bzw. bis zum Auftreten nicht beherrschbarer Toxizität mit KANJINTI behandelt werden. Patienten mit einem Mammakarzinom im Frühstadium sollten 1 Jahr lang oder bis zum Wiederauftreten der Krankheit bzw. bis zum Auftreten nicht beherrschbarer Toxizität behandelt werden, je nachdem, welcher Fall zuerst eintritt. Die Behandlung eines Mammakarzinoms im Frühstadium über die Dauer eines Jahres hinaus wird nicht empfohlen (siehe Abschnitt «Eigenschaften/Wirkungen: Klinische Daten»).
-Vergessene Dosen
-Falls der Patient eine KANJINTI-Dosis im Zeitraum von höchstens einer Woche versäumt hat, sollte die übliche Erhaltungsdosis (wöchentliches Therapieschema: 2 mg/kg Körpergewicht; 3-wöchentliches Therapieschema: 6 mg/kg Körpergewicht) so bald wie möglich verabreicht werden (nicht bis zum nächsten planmässigen Zyklus zuwarten). Nachfolgende KANJINTI-Erhaltungsdosen sollten gemäss dem wöchentlichen bzw. drei-wöchentlichen Behandlungsschema 7 bzw. 21 Tage später verabreicht werden.
-Falls der Patient eine KANJINTI-Dosis im Zeitraum von mehr als einer Woche versäumt hat, sollte erneut eine Initialdosis KANJINTI über ca. 90 Minuten so bald wie möglich verabreicht werden (wöchentliches Therapieschema: 4 mg/kg Körpergewicht; 3-wöchentliches Therapieschema: 8 mg/kg Körpergewicht). Nachfolgende KANJINTI-Erhaltungsdosen (wöchentliches Behandlungsschema: 2 mg/kg; dreiwöchentliches Behandlungsschema 6 mg/kg) sollten gemäss dem wöchentlichen bzw. dreiwöchentlichen Behandlungsschema 7 bzw. 21 Tage später verabreicht werden.
-Dosisanpassung
- +Therapiedauer
- +Patienten mit metastasiertem Mammakarzinom oder fortgeschrittenem Magenkarzinom und Karzinom des gastroösophagealen Übergangs sollten bis zur Krankheitsprogression bzw. bis zum Auftreten nicht beherrschbarer Toxizität mit KANJINTI behandelt werden. Patienten mit einem Mammakarzinom im Frühstadium sollten 1 Jahr lang oder bis zum Wiederauftreten der Krankheit bzw. bis zum Auftreten nicht beherrschbarer Toxizität behandelt werden, je nachdem, welcher Fall zuerst eintritt. Die Behandlung eines Mammakarzinoms im Frühstadium über die Dauer eines Jahres hinaus wird nicht empfohlen (siehe Abschnitt «Eigenschaften/Wirkungen: Klinische Wirksamkeit»).
- +Dosisanpassung aufgrund unerwünschter Wirkungen
- +Spezielle Dosierungsanweisungen
-Anwendung bei Kindern und Jugendlichen
- +Kinder und Jugendliche
- +Verspätete Dosisgabe
- +Falls der Patient eine KANJINTI-Dosis im Zeitraum von höchstens einer Woche versäumt hat, sollte die übliche Erhaltungsdosis (wöchentliches Therapieschema: 2 mg/kg Körpergewicht; 3wöchentliches Therapieschema: 6 mg/kg Körpergewicht) so bald wie möglich verabreicht werden (nicht bis zum nächsten planmässigen Zyklus zuwarten). Nachfolgende KANJINTI-Erhaltungsdosen sollten gemäss dem wöchentlichen bzw. drei-wöchentlichen Behandlungsschema 7 bzw. 21 Tage später verabreicht werden.
- +Falls der Patient eine KANJINTI-Dosis im Zeitraum von mehr als einer Woche versäumt hat, sollte erneut eine Initialdosis KANJINTI über ca. 90 Minuten so bald wie möglich verabreicht werden (wöchentliches Therapieschema: 4 mg/kg Körpergewicht; 3wöchentliches Therapieschema: 8 mg/kg Körpergewicht). Nachfolgende KANJINTI-Erhaltungsdosen (wöchentliches Behandlungsschema: 2 mg/kg; dreiwöchentliches Behandlungsschema 6 mg/kg) sollten gemäss dem wöchentlichen bzw. dreiwöchentlichen Behandlungsschema 7 bzw. 21 Tage später verabreicht werden.
-KANJINTI und Anthracycline sollten beim metastasierten Mammakarzinom und bei adjuvanter Behandlung nicht gleichzeitig verabreicht werden. Bei neoadjuvanter- Behandlung sollte die gleichzeitige Verabreichung von KANJINTI und Anthracyclinen mit Vorsicht und nur bei Chemotherapie-naiven Patienten eingesetzt werden.
- +KANJINTI und Anthracycline sollten beim metastasierten Mammakarzinom und bei adjuvanter Behandlung nicht gleichzeitig verabreicht werden. Bei neoadjuvanter Behandlung sollte die gleichzeitige Verabreichung von KANJINTI und Anthracyclinen mit Vorsicht und nur bei Chemotherapie-naiven Patienten eingesetzt werden.
- +Um die Rückverfolgbarkeit von biologischen Arzneimitteln zu verbessern, ist der Handelsname KANJINTI in der Patientenakte klar zu vermerken. Die Substituierung durch ein anderes biologisches Arzneimittel erfordert die Einwilligung des verschreibenden Arztes. Die Angaben in dieser Fachinformation treffen nur auf KANJINTI zu.
- +
-Benzylalkohol, das Konservierungsmittel im beiliegenden bakteriostatischen Wasser für Injektionszwecke, hat bei Neugeborenen und Kindern bis zu 3 Jahren zu toxischen Reaktionen geführt. Falls KANJINTI Patienten mit bekannter Überempfindlichkeit gegenüber Benzylalkohol verabreicht werden soll, ist das Lyophilisat zur Herstellung eines Infusionskonzentrats ausschliesslich mit Wasser für Injektionszwecke zu rekonstituieren und der Durchstechflasche nur eine Dosis KANJINTI zu entnehmen. Die unverbrauchte Restmenge ist zu verwerfen.
-Das sterile Wasser für Injektionszwecke, das zur Rekonstitution der 150 mg Durchstechflaschen zur Einfachdosierung verwendet wird, enthält kein Benzylalkohol.
- +Das Lösungsmittel für KANJINTI 440 mg (bakteriostatisches Wasser für Injektionszwecke) enthält 220 mg Benzylalkohol/20 ml als Konservierungsmittel. Benzylalkohol kann allergische Reaktionen hervorrufen. Benzylalkohol wurde mit dem Risiko schwerwiegender Nebenwirkungen, einschliesslich Atemproblemen (sogenanntes «Gasping-Syndrom») bei Kleinkindern in Verbindung gebracht. Das Präparat darf bei Neugeborenen und Kleinkindern nicht angewendet werden. Falls KANJINTI Patienten mit bekannter Überempfindlichkeit gegenüber Benzylalkohol verabreicht werden soll, ist das KANJINTI-Pulver ausschliesslich mit Wasser für Injektionszwecke zu rekonstituieren und der Durchstechflasche nur eine Dosis KANJINTI zu entnehmen. Die unverbrauchte Restmenge ist zu verwerfen.
- +Das sterile Wasser für Injektionszwecke, das zur Rekonstitution der KANJINTI 150 mg Durchstechflaschen zur Einfachdosierung verwendet wird, enthält kein Benzylalkohol.
-KANJINTI und Anthracycline sollten beim metastasierten Mammakarzinom und bei adjuvanter Behandlung nicht gleichzeitig verabreicht werden. Bei neoadjuvanter-Behandlung sollte die gleichzeitige Verabreichung von KANJINTI und Anthracyclinen mit Vorsicht und nur bei Chemotherapienaiven Patienten eingesetzt werden (siehe «Kontraindikationen»). Die maximale kumulative Dosis der niedrig dosierten Anthracyclin-Therapie sollte 180 mg/m2 (Doxorubicin) oder 360 mg/m2 (Epirubicin) nicht übersteigen. Wurden Patienten in der neoadjuvanten Therapie mit niedrig dosierten Anthracyclinen in Kombination mit KANJINTI behandelt, sollte nach der Operation keine zusätzliche zytotoxische Chemotherapie verabreicht werden. Die klinische Erfahrung in der neoadjuvanten-adjuvanten Therapie bei Patienten über 65 Jahren ist limitiert.
- +KANJINTI und Anthracycline sollten beim metastasierten Mammakarzinom und bei adjuvanter Behandlung nicht gleichzeitig verabreicht werden. Bei neoadjuvanter-Behandlung sollte die gleichzeitige Verabreichung von KANJINTI und Anthracyclinen mit Vorsicht und nur bei Chemotherapie-naiven Patienten eingesetzt werden (siehe «Kontraindikationen»). Die maximale kumulative Dosis der niedrig dosierten Anthracyclin-Therapie sollte 180 mg/m2 (Doxorubicin) oder 360 mg/m2 (Epirubicin) nicht übersteigen. Wurden Patienten in der neoadjuvanten Therapie mit niedrig dosierten Anthracyclinen in Kombination mit KANJINTI behandelt, sollte nach der Operation keine zusätzliche zytotoxische Chemotherapie verabreicht werden. Die klinische Erfahrung in der neoadjuvanten-adjuvanten Therapie bei Patienten über 65 Jahren ist limitiert.
-Über schwerwiegende unerwünschte Wirkungen der Lunge während der Behandlung mit Trastuzumab in der Post-Marketing Phase wurde berichtet (siehe «UnerwünschteWirkungen»). Diese Fälle hatten gelegentlich einen fatalen Ausgang und können als Teil einer infusionsbedingten Reaktion oder als verspätete Reaktion auftreten. Zusätzlich wurde über interstitielle Lungenerkrankung einschliesslich Lungeninfiltrationen, akutes Atemnot Syndrom, Pneumonie, Pneumonitis, pleurale Effusionen, Atembeschwerden, akute pulmonale Ödeme und Atemversagen berichtet.
- +Über schwerwiegende unerwünschte Wirkungen der Lunge während der Behandlung mit Trastuzumab in der Post-Marketing Phase wurde berichtet (siehe «Unerwünschte Wirkungen»). Diese Fälle hatten gelegentlich einen fatalen Ausgang und können als Teil einer infusionsbedingten Reaktion oder als verspätete Reaktion auftreten. Zusätzlich wurde über interstitielle Lungenerkrankung einschliesslich Lungeninfiltrationen, akutes Atemnot Syndrom, Pneumonie, Pneumonitis, pleurale Effusionen, Atembeschwerden, akute pulmonale Ödeme und Atemversagen berichtet.
-Pharmakokinetische/Pharmakodynamische Interaktionen
- +Pharmakokinetische Interaktionen
- +In-vivo-Daten
- +
-Schwangerschaft/Stillzeit
-Frauen im gebärfähigen Alter
-Frauen im gebärfähigen Alter sollten während der Behandlung mit KANJINTI und 7 Monate nach Abschluss der Behandlung eine wirksame Empfängnisverhütung durchführen (siehe «Pharmakokinetik»).
-
- +Schwangerschaft, Stillzeit
-KANJINTI sollte während der Schwangerschaft nicht angewendet werden, es sei denn, der potentielle Nutzen für die Mutter überwiegt gegenüber dem potentiellen Risiko für den Fetus.
-Nach der Markteinführung des Produkts sind bei schwangeren Frauen, die mit Trastuzumab behandelt worden waren, Fälle von Beeinträchtigungen des fetalen Nierenwachstums (z.B. renale Hypoplasie) und/oder der fetalen Nierenfunktion in Verbindung mit Oligohydramnie gemeldet worden, von denen einige mit einer tödlich verlaufenen pulmonalen Hypoplasie des Fetus einhergingen. Frauen, die schwanger werden, sollten auf die Möglichkeit einer Schädigung des Fetus hingewiesen werden. Wenn eine schwangere Frau mit KANJINTI behandelt wird oder wenn eine Patientin während der Behandlung mit KANJINTI oder innerhalb von 7 Monaten nach Verabreichung der letzten Dosis KANJINTI schwanger wird, ist eine engmaschige Überwachung durch ein multidisziplinäres Team angezeigt.
-Ob Trastuzumab bei Verabreichung an schwangere Frauen die Reproduktionsfähigkeit beeinträchtigen kann, ist nicht bekannt.
- +Frauen im gebärfähigen Alter sollten während der Behandlung mit KANJINTI und 7 Monate nach Abschluss der Behandlung eine wirksame Empfängnisverhütung durchführen (siehe «Pharmakokinetik»).
- +Das Arzneimittel hat schädliche pharmakologische Wirkungen auf die Schwangerschaft und/oder den Föten bzw. das Neugeborene.
- +KANJINTI sollte während der Schwangerschaft nicht angewendet werden, es sei denn, dies ist eindeutig erforderlich, d.h. der potentielle Nutzen für die Mutter überwiegt gegenüber dem potentiellen Risiko für den Fetus.
- +Nach der Markteinführung des Arzneimittels sind bei schwangeren Frauen, die mit Trastuzumab behandelt worden waren, Fälle von Beeinträchtigungen des fetalen Nierenwachstums (z.B. renale Hypoplasie) und/oder der fetalen Nierenfunktion in Verbindung mit Oligohydramnie gemeldet worden, von denen einige mit einer tödlich verlaufenen pulmonalen Hypoplasie des Fetus einhergingen. Frauen, die schwanger werden, sollten auf die Möglichkeit einer Schädigung des Fetus hingewiesen werden. Wenn eine schwangere Frau mit KANJINTI behandelt wird oder wenn eine Patientin während der Behandlung mit KANJINTI oder innerhalb von 7 Monaten nach Verabreichung der letzten Dosis KANJINTI schwanger wird, ist eine engmaschige Überwachung durch ein multidisziplinäres Team angezeigt.
- +Ob Trastuzumab bei Verabreichung an schwangere Frauen die Reproduktionsfähigkeit beeinträchtigen kann, ist nicht bekannt.
-Patienten mit infusionsbedingten Symptomen sollten angewiesen werden, bis zum vollständigen Verschwinden der Symptome nicht Auto zu fahren und keine Maschinen zu bedienen.
- +Patienten mit infusionsbedingten Symptomen sollten angewiesen werden, bis zum vollständigen Verschwinden der Symptome kein Fahrzeug zu führen und keine Maschinen zu bedienen.
-Leukopenie, febrile Neutropenie Anämie und Thrombozytopenie kommen sehr häufig vor. Häufig vorkommende unerwünschte Ereignisse beinhalten Neutropenie. Die Häufigkeit, mit der Hypoprothrombinämie vorkommt, ist nicht bekannt.
- +Leukopenie, febrile Neutropenie, Anämie und Thrombozytopenie kommen sehr häufig vor. Häufig vorkommende unerwünschte Ereignisse beinhalten Neutropenie. Die Häufigkeit, mit der Hypoprothrombinämie vorkommt, ist nicht bekannt.
-Gutartige, bösartige und unspezifische Neubildungen (einschl. Zysten und Polypen)
- +Gutartige, bösartige und nicht spezifizierte Neubildungen (einschl. Zysten und Polypen)
-Nach der Markteinführung wurden seltene Fälle einer schweren Immunthrombozytopenie mit Hämorrhagie beobachtet, die innerhalb weniger Stunden nach der Infusion auftreten kann.
-Affektionen der Leber und Galleblase
- +Leber- und Gallenerkrankungen
-Erkrankungen der Haut und des Unterhautzellgewebes
- +Erkrankungen der Haut und des Unterhautgewebes
- +Unerwünschte Wirkungen nach Markteinführung
- +Nach der Markteinführung wurden seltene Fälle einer schweren Immunthrombozytopenie mit Hämorrhagie beobachtet, die innerhalb weniger Stunden nach der Infusion auftreten kann.
- +Beschreibung ausgewählter Nebenwirkungen
- +Die Meldung des Verdachts auf Nebenwirkungen nach der Zulassung ist von grosser Wichtigkeit. Sie ermöglicht eine kontinuierliche Überwachung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses des Arzneimittels. Angehörige von Gesundheitsberufen sind aufgefordert, jeden Verdacht einer neuen oder schwerwiegenden Nebenwirkung über das Online-Portal ElViS (Electronic Vigilance System) anzuzeigen. Informationen dazu finden Sie unter www.swissmedic.ch.
-Vitamin D3 Spirig HC®, ölige Lösung zum Einnehmen
-Was ist Vitamin D3 Spirig HC und wann wird es angewendet?
-Vitamin D3 Spirig HC ist eine ölige Lösung mit Cholecalciferol (Vitamin D3). Vitamin D3 Spirig HC wird angewendet zur Vorbeugung und Behandlung von Vitamin-D-Mangelerkrankungen und Störungen im Kalziumstoffwechsel.
-Vitamin D entsteht normalerweise unter Einfluss des Sonnenlichts in der Haut. Bei ungenügender Sonnenbestrahlung oder ungenügender Zufuhr von Vitamin D angereicherten Nahrungsmitteln kann eine Knochenbildungsstörung auftreten. Vitamin D ist für die Kalziumaufnahme aus der Nahrung notwendig und sichert die normale Knochen- und Zahnbildung. Im Wachstum sowie während der Schwangerschaft und Stillzeit und bei Mangelerscheinungen benötigt der Organismus mehr Vitamin D als üblich.
-Vitamin D3 Spirig HC wird in der Regel auf Verschreibung des Arztes bzw. der Ärztin verwendet
-·zur Vorbeugung möglicher Knochenerweichung beim Frühgeborenen, Säugling und Kleinkind (Rachitis)
-·zur Behandlung von allen Formen und Stadien der Rachitis
-·zur Vorbeugung bei erkennbarem Risiko einer Vitamin-D-Mangelerkrankung bei ansonsten Gesunden ohne Störung der Nahrungsaufnahme (Resorptionsstörung)
-·zur Vorbeugung bei erkennbarem Risiko einer Vitamin-D-Mangelerkrankung bei verminderter Aufnahme aus der Nahrung (Malabsorption)
-·zur Vorbeugung in Perioden starken Wachstums, in der Schwangerschaft und Stillzeit
-·zur Behandlung der Knochenerweichung (Osteomalazie) bei Erwachsenen
-·zur Therapie bei nachgewiesenem schwerwiegendem Vitamin D-Mangel.
-Wann darf Vitamin D3 Spirig HC nicht eingenommen werden?
-Vitamin D3 Spirig HC darf nicht eingenommen werden bei
-·Überempfindlichkeit gegenüber dem Wirkstoff Vitamin D3 oder einem der Hilfsstoffe (s. «Was ist in Vitamin D3 Spirig HC enthalten?»)
-·Verabreichung von Vitamin D-Zufuhren in hohen Dosen (Vitamin D-Stösse)
-·erhöhtem Kalziumgehalt im Blut, Ausscheidungsstörungen der Niere und bei allen Erkrankungen mit bereits bestehender Erhöhung des Kalziumgehaltes im Blut oder im Urin (Hypercalcämie und/oder Hypercalciurie).
-Wann ist bei der Einnahme von Vitamin D3 Spirig HC Vorsicht geboten?
-In zu hohen Tagesdosen (mehr als 1'000-3'000 I.E. pro Kilogramm Körpergewicht) sind alle D-Vitamine schädlich. Bei gesunden Erwachsenen liegt die Schwelle für Vitamin D-Vergiftungen zwischen 20'000 und 50'000 I.E. pro Tag über einen längeren Zeitraum. Säuglinge und Kleinkinder können schon auf weitaus geringere Konzentrationen empfindlich reagieren. Bei der Einnahme von Vitamin D3 Spirig HC sind deshalb zu vermeiden
-·die unkontrollierte – ohne ärztliche Verschreibung – während Monaten oder gar Jahren fortgesetzte Einnahme überhöhter Vitamin D-Dosen, insbesondere bei gleichzeitiger Einnahme von Kalzium und/oder vitaminisierten Nährmitteln (z.B. Schoppenpräparaten für Säuglinge und Kleinkinder)
-·die Verabreichung zusätzlicher öliger Lösung zum Einnehmen nach Vitamin-Zufuhren in hohen Dosen (Vitamin D-Stösse).
-Vorsicht geboten ist bei Störungen des Kalziumstoffwechsels, Nierenerkrankungen, Herzkrankheiten bei einer entzündlichen Erkrankung mit kleinen Bindegewebsknoten (Sarkoidose) und bei Schilddrüsenkrankheiten. In diesen Fällen ist der Arzt bzw. die Ärztin zu konsultieren.
-Informieren Sie Ihren Arzt, Apotheker oder Drogisten bzw. Ihre Ärztin, Apothekerin oder Drogistin, wenn Sie
-·an anderen Krankheiten leiden,
-·Allergien haben oder
-·andere Arzneimittel (auch selbst gekaufte!) einnehmen!
-Darf Vitamin D3 Spirig HC während einer Schwangerschaft oder in der Stillzeit eingenommen werden?
-Wenn Sie schwanger sind oder stillen, dürfen Sie Vitamin D3 Spirig HC nur nach Rücksprache mit dem Arzt, Apotheker oder Drogisten bzw. der Ärztin, Apothekerin oder Drogistin einnehmen.
-Wie verwenden Sie Vitamin D3 Spirig HC?
-Bei Säuglingen und Kleinkindern muss Vitamin D3 Spirig HC auf einen Löffel getropft und verdünnt werden oder mit einer kleinen Menge kalter oder lauwarmer Muttermilch, Milch oder Brei unmittelbar vor der Einnahme vermischtwerden. Bei Zusatz der öligen Lösung zum Einnehmen zu einer Flaschen- oder Breimahlzeit ist auf vollständigen Verzehr zu achten, da andernfalls nicht die gesamte Wirkstoffmenge zugeführt wird. Ältere Kinder sollen Vitamin D3 Spirig HC verdünnt in einem Glas Wasser einnehmen und Erwachsene können Vitamin D3 Spirig HC unverdünnt oder verdünnt in einem Glas Wasser einnehmen.
-Dosierung zur Vorbeugung
-Mit (*) gekennzeichnete Anwendung soll nur unter ärztlicher Aufsicht erfolgen.
-Anwendung Patientengruppe Dosierung1)
-(*) Zur Vorbeugung der Rachitis Frühgeborene 6-12 Tropfen täglich im 1. Lebensjahr
-Säuglinge von 0 bis 1 Jahr 4-7 Tropfen täglich ab der 2.-5. Lebenswoche
-Kinder von 2 bis 3 Jahren 9 Tropfen täglich
-Zur Vorbeugung bei erkennbarem Risiko einer Vitamin D-Mangelerkrankung bei ansonsten Gesunden Kinder und Jugendliche von 3 bis 18 Jahren 9 Tropfen täglich
-Erwachsene von 19 bis 59 Jahren 9 Tropfen täglich
-Erwachsene über 60 Jahre 12 Tropfen täglich
-Als Ersatz von Vitamin D3 während der Schwangerschaft und Stillzeit Schwangere/Stillende Frauen 9 Tropfen täglich
-Zur Vorbeugung bei erkennbarem Risiko einer Vitamin D-Mangelerkrankung bei Malabsorption Erwachsene 45-75 Tropfen täglich
-
-1) Vom Arzt bzw. der Ärztin in der Regel verschriebene Dosierung
-Dosierung zur Therapie
-Mit (*) gekennzeichnete Anwendung soll nur unter ärztlicher Aufsicht erfolgen.
-Anwendung Patientengruppe Dosierung1)
-(*) Zur Therapie bei nachgewiesenem schwerwiegendem Vitamin D-Mangel Säuglinge von 0 bis 1 Jahr 6-15 Tropfen täglich
-Kinder und Jugendliche von 1 bis 18 Jahren 9-15 Tropfen täglich
-Erwachsene ab 19 Jahren 22-30 Tropfen täglich
-Schwangere/Stillende Frauen 22-30 Tropfen täglich
-(*) Zur Behandlung der Rachitis Kinder und Jugendliche von 1 bis 18 Jahren 15-75 Tropfen täglich (maximal für 12 Wochen, danach Dosierung wie zur Vorbeugung)
-(*) Zur Behandlung der Osteomalazie Erwachsene 15-75 Tropfen täglich
-
-1) Vom Arzt bzw. der Ärztin in der Regel verschriebene Dosierung
-Halten Sie sich an die in der Packungsbeilage angegebene oder vom Arzt oder der Ärztin verschriebene Dosierung. Wenn Sie glauben, das Arzneimittel wirke zu schwach oder zu stark, so sprechen Sie mit Ihrem Arzt, Apotheker oder Drogisten bzw. mit Ihrer Ärztin, Apothekerin oder Drogistin.
-Welche Nebenwirkungen kann Vitamin D3 Spirig HC haben?
-Für Vitamin D3 Spirig HC sind bisher bei bestimmungsgemässem Gebrauch keine Nebenwirkungen beobachtet worden. Wenn Sie dennoch Nebenwirkungen beobachten, informieren Sie Ihren Arzt, Apotheker oder Drogisten bzw. Ihre Ärztin, Apothekerin oder Drogistin.
-Was ist ferner zu beachten?
-Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf dem Behälter mit «EXP» bezeichneten Datum verwendet werden.
-Lagerungshinweis
-In der Originalverpackung, nicht über 30°C, nicht im Kühlschrank lagern und nicht einfrieren. Vor Licht geschützt und für Kinder unerreichbar aufbewahren.
-Vitamin D3 Spirig HC, ölige Lösung zum Einnehmen, ist nach Anbruch 6 Monate haltbar.
-Weitere Auskünfte erteilt Ihnen Ihr Arzt, Apotheker oder Drogist bzw. Ihre Ärztin, Apothekerin oder Drogistin. Diese Personen verfügen über die ausführliche Fachinformation.
-Was ist in Vitamin D3 Spirig HC enthalten?
-Wirkstoffe
-1 ml ölige Lösung zum Einnehmen (= 41 Tropfen) enthält 68.5 µg Cholecalciferolum, entsprechend 2'740 I.E. Vitamin D3 (1 Tropfen enthält 67 I.E.).
-Hilfsstoffe
-Mittelkettige Triglyceride als Lösungsmittel.
-Wo erhalten Sie Vitamin D3 Spirig HC? Welche Packungen sind erhältlich?
-In Apotheken und Drogerien, ohne ärztliche Verschreibung.
-Packung mit einer 25 ml Flasche mit Tropfeinsatz.
-Zulassungsnummer
-67496(Swissmedic)
-Zulassungsinhaberin
-Spirig HealthCare AG, 4622 Egerkingen.
-Diese Packungsbeilage wurde im Dezember 2013 letztmals durch die Arzneimittelbehörde (Swissmedic) geprüft.
-Vitamine D3 Spirig HC®, solution huileuse pour ingestion
-Qu'est-ce que Vitamine D3 Spirig HC et quand doit-il être utilisé?
-Vitamine D3 Spirig HC est une solution huileuse de cholécalciférol (vitamine D3). Vitamine D3 Spirig HC est utilisé pour prévenir et traiter les carences en vitamine D et les troubles du métabolisme calcique.
-La vitamine D est normalement produite dans la peau sous l'effet du rayonnement solaire. En cas d'ensoleillement insuffisant ou d'apport insuffisant en aliments enrichis en vitamine D, des troubles de l'ossification peuvent survenir. La vitamine D est nécessaire à l'absorption du calcium contenu dans les aliments et assure une formation normale des os et des dents. En période de croissance, pendant la grossesse et l'allaitement, et en cas de carence, les besoins de l'organisme en vitamines D sont plus élevés que d'ordinaire.
-Vitamine D3 Spirig HC est généralement utilisé sur ordonnance médicale pour les indications suivantes:
-·Prévention d'un éventuel ramollissement osseux chez le prématuré, le nourrisson et l'enfant en bas âge (rachitisme)
-·Traitement de toutes les formes et de tous les stades du rachitisme
-·Prévention en cas de risque identifiable d'une carence en vitamine D chez des sujets par ailleurs sains et ne présentant pas de troubles d'absorption des nutriments (troubles de la résorption)
-·Prévention en cas de risque identifiable d'une carence en vitamine D liée à une absorption réduite des nutriments (malabsorption)
-·Prévention lors des périodes de croissance rapide, pendant la grossesse et l'allaitement
-·Traitement du ramollissement des os (ostéomalacie) chez l'adulte
-·Traitement en cas de carence grave avérée en vitamine D.
-Quand Vitamine D3 Spirig HC ne doit-il pas être pris?
-Vitamine D3 Spirig HC ne doit pas être pris dans les cas suivants:
-·Hypersensibilité au principe actif, la vitamine D3, ou à l'un de ses excipients (voir la rubrique «Que contient Vitamine D3 Spirig HC?»)
-·Apport de doses élevées de vitamine D (fortes doses à intervalles rapprochés)
-·Calcémie élevée, troubles de la clairance rénale et toute maladie marquée par un taux préexistant élevé de calcium dans le sang ou l'urine (hypercalcémie et/ou hypercalciurie).
-Quelles sont les précautions à observer lors de la prise de Vitamine D3 Spirig HC?
-A des doses journalières élevées (plus de 1000-3000 UI par kilogramme de poids corporel), toutes les vitamines D sont toxiques. Chez les adultes en bonne santé, le seuil d'intoxication par la vitamine D est compris entre 20 000 et 50 000 UI par jour sur une période prolongée. Les nourrissons et enfants en bas âge peuvent réagir à des concentrations beaucoup plus faibles. C'est pourquoi chez les patients sous Vitamine D3 Spirig HC, il convient d'éviter
-·une prise non contrôlée, sans ordonnance médicale, poursuivie pendant des mois ou même des années, de doses très élevées de vitamine D, en particulier en cas de prise concomitante de calcium et/ou d'aliments vitaminés (p.ex. dans les préparations pour biberons chez les nourrissons et enfants en bas âge)
-·l'administration de gouttes supplémentaires de la solution huileuse pour ingestionaprès un apport de vitamines D à hautes doses.
-La prudence est de rigueur en cas de troubles du métabolisme du calcium, d'affections rénales, de troubles cardiaques, de maladies inflammatoires avec petites tumeurs conjonctives (sarcoïdose) et de pathologies de la thyroïde. Dans ces cas, il convient de consulter un médecin.
-Veuillez informer votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste si
-·vous souffrez d'une autre maladie,
-·vous êtes allergique ou
-·vous prenez déjà d'autres médicaments (même en automédication!).
-Vitamine D3 Spirig HC peut-il être pris pendant la grossesse ou l'allaitement?
-Si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, ne prenez Vitamine D3 Spirig HC qu'après en avoir parlé avec votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste.
-Comment utiliser Vitamine D3 Spirig HC?
-Chez les nourrissons et les enfants en bas âge, verser les gouttes de Vitamine D3 Spirig HC dans une cuillère et les diluer ou les mélanger avec une petite quantité de lait maternel, de lait ou de bouillie froide ou tiède immédiatement avant l'administration. Lorsque la solution huileuse à avaler est ajoutée dans un biberon ou une bouillie, veiller à l'ingestion de l'intégralité du volume, sinon la prise de la quantité totale du principe actif n'est pas assurée. Pour les enfants plus âgés, les gouttes de Vitamine D3 Spirig HC sont à diluer dans un verre d'eau. Les adultes peuvent prendre Vitamine D3 Spirig HC non dilué ou dilué dans un verre d'eau.
-Posologie à visée préventive
-L'utilisation marquée par un astérisque (*) doit intervenir uniquement sous surveillance médicale.
-Utilisation Groupes de patients Posologie1)
-(*) Pour la prévention du rachitisme Prématurés 6-12 gouttes par jour au cours de la 1ère année de vie
-Nourrissons de 0 à 1 ans 4-7 gouttes par jour à partir de la 2e-5e semaine de vie
-Enfants de 2 à 3 ans 9 gouttes par jour
-Pour la prévention en cas de risque identifiable de carence en vitamine D chez les personnes par ailleurs en bonne santé Enfants et adolescents de 3 à 18 ans 9 gouttes par jour
-Adultes de 19 à 59 ans 9 gouttes par jour
-Adultes de plus de 60 ans 12 gouttes par jour
-Pour la substitution de la vitamine D3 pendant la grossesse ou l'allaitement Femmes enceintes ou allaitantes 9 gouttes par jour
-Pour la prévention en présence d'un risque identifiable de carence en vitamine D en cas de malabsorption Adultes 45-75 gouttes par jour
-
-1) Posologie généralement prescrite par le médecin
-Posologie à visée thérapeutique
-L'utilisation marquée par un astérisque (*) doit intervenir uniquement sous surveillance médicale.
-Utilisation Groupes de patients Posologie1)
-(*) Pour le traitement d'une carence en vitamine D sévère et avérée Nourrissons de 0 à 1 ans 6-15 gouttes par jour
-Enfants et adolescents de 1 à 18 ans 9-15 gouttes par jour
-Adultes à partir de 19 ans 22-30 gouttes par jour
-Femmes enceintes ou allaitantes 22-30 gouttes par jour
-(*) Pour le traitement du rachitisme Enfants et adolescents de 1 à 18 ans 15-75 gouttes par jour (pendant 12 semaines au maximum, puis posologie comme pour la prévention)
-(*) Pour le traitement de l'ostéomalacie Adultes 15-75 gouttes par jour
-
-1) Posologie généralement prescrite par le médecin
-Veuillez vous conformer au dosage figurant sur la notice d'emballage ou prescrit par votre médecin. Adressez-vous à votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste si vous estimez que l'efficacité du médicament est trop faible ou trop forte.
-Quels effets secondaires Vitamine D3 Spirig HC peut-il provoquer?
-Aucun effet secondaire de Vitamine D3 Spirig HC n'a été constaté à ce jour en cas d'usage conforme à celui auquel le médicament est destiné. Si vous remarquez toutefois des effets secondaires, veuillez en informer votre médecin, votre pharmacien ou votre droguiste.
-A quoi faut-il encore faire attention?
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver à une temperature ne dépassant pas 30 °C, dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière. Ne pas conserver dans le réfrigérateur et ne pas congeler. Tenir hors de portée des enfants.
-Vitamine D3 Spirig HC, solution huileuse pour ingestion, peut se conserver 6 mois après ouverture.
-Pour de plus amples renseignements, consultez votre médecin ou votre pharmacien ou votre droguiste qui disposent d'une information détaillée destinée aux professionnels.
-Que contient Vitamine D3 Spirig HC?
-Principes actifs
-1 ml de solution huileuse pour ingestion (= 41 gouttes) contient 68,5 µg de Cholecalciferolum, équivalent à 2740 U.I. de vitamine D3 (1 goutte contient 67 U.I.).
-Excipients:
-Triglycérides à chaînes moyennes en tant que solvant.
-Où obtenez-vous Vitamine D3 Spirig HC? Quels sont les emballages à disposition sur le marché?
-En pharmacie et en droguerie, sans ordonnance médicale.
-Boîte contenant un flacon compte-gouttes de 25 ml.
-Numéro d'autorisation
-67496 (Swissmedic).
-Titulaire de l'autorisation
-Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen
-Cette notice d'emballage a été vérifiée pour la dernière fois en décembre 2013 par l'autorité de contrôle des médicaments (Swissmedic).
- +Eigenschaften/Wirkungen
- +ATC-Code
- +L01XC03
- +KANJINTI ist ein Trastuzumab Biosimilar. Die Biosimilarität zum Trastuzumab Vergleichspräparat wurde in Vergleichbarkeitsstudien zur pharmazeutischen Qualität, biologischen Aktivität, Pharmakokinetik, Wirksamkeit und Sicherheit bestätigt.
- +Wirkungsmechanismus
- +Trastuzumab ist ein in CHO (Chinese Hamster Ovary)-Zellen produzierter, rekombinanter, humanisierter monoklonaler IgG1 kappa Antikörper mit murinen hypervariablen Bereichen der variablen Region. Der Antikörper bindet spezifisch an die extrazelluläre Domäne des Human Epidermal Growth Factor Rezeptors 2 (HER2).
- +Das HER2 Protoonkogen (oder c-erbB2) codiert für ein rezeptorähnliches transmembranes 185 kDa grosses Einzelstrangprotein, das strukturell mit dem Epidermal Growth Factor Rezeptor verwandt ist. Eine Überexpression von HER2 ist bei 15% bis 20% aller primären Mammakarzinome zu beobachten. Die im Rahmen des Screenings für die Studie BO18255 beobachtete Gesamtrate der HER2-Positivität bei fortgeschrittenem Magenkarzinom bezogen auf IHC3+ oder IHC2+/FISH+ beträgt 15%. Bei Anwendung der weiter gefassten Definition bei der IHC3+ oder FISH+ für eine HER2-Positivität beträgt sie 22,1%. Durch die HER2-Genamplifikation steigt die HER2-Proteinexpression auf der Zelloberfläche dieser Tumorzellen, welche mit einer starken Aktivierung des HER2-Proteins einhergeht.
- +Pharmakodynamik
- +Wie aus Studien hervorgeht, haben Mammakarzinom-Patienten mit Tumoren, die HER2 überexprimieren, gegenüber Patienten ohne HER2-überexprimierende Tumoren eine kürzere krankheitsfreie Überlebenszeit.
- +Sowohl in vitro als auch in Tieren wurde gezeigt, dass Trastuzumab die Proliferation menschlicher Tumorzellen, die HER2 überexprimieren, hemmt. Trastuzumab ist ein Mediator für die Antikörper-abhängige zellvermittelte Zytotoxizität (ADCC). In vitro Daten zeigen eine Trastuzumab-vermittelte ADCC vorzugsweise an HER2überexprimierenden Krebszellen.
- +Detektion der HER2-Überexpression oder HER2-Genamplifikation beim Mammakarzinom
- +KANJINTI sollte nur zur Behandlung von Patienten angewendet werden, deren Tumoren eine HER2-Überexpression oder eine HER2-Genamplifikation aufweisen. Eine HER2-Überexpression sollte durch eine immunhistochemische Untersuchung (IHC) fixierter Tumorblöcke diagnostiziert werden (siehe «Dosierung/Anwendung»). Eine HER2-Genamplifikation sollte mittels Fluoreszenz-in-situ-Hybridisierung (FISH) oder chromogener In-situ-Hybridisierung (CISH) fixierter Tumorblöcke nachgewiesen werden. Patienten sind dann für eine Therapie mit KANJINTI geeignet, wenn sie eine starke HER2-Überexpression aufweisen, wie unter der 3+-Einstufung für IHC beschrieben ist oder bei einem positiven FISH- oder CISH-Resultat.
- +Um genaue und reproduzierbare Ergebnisse zu erhalten, muss die Testung in spezialisierten Laboratorien durchgeführt werden, die eine Validierung der Testmethoden sicherstellen können.
- +Das folgende Bewertungssystem wird für die Beurteilung der IHC-Färbungsmuster empfohlen:
- +Einstufung der Färbungsintensität Färbungsmuster Beurteilung der HER2- Überexpression
- +0 Es ist keine Färbung oder eine Membranfärbung bei <10% der Tumorzellen zu beobachten. Negativ
- +1+ Eine schwache/kaum wahrnehmbare Membranfärbung ist bei >10% der Tumorzellen zu beobachten. Die Zellen sind nur an Teilen ihrer Membran gefärbt. Negativ
- +2+ Eine schwache bis mässige Färbung der gesamten Membran ist bei >10% der Tumorzellen zu beobachten. Nicht eindeutig
- +3+ Eine mässige bis starke vollständige Membranfärbung ist bei >10% der Tumorzellen zu beobachten. Positiv
- +
- +Das Resultat des FISH-Tests wird im Allgemeinen als positiv eingestuft, wenn das Verhältnis zwischen der Zahl der HER2-Genkopien pro Tumorzellen und der Anzahl Kopien von Chromosom 17 grösser oder gleich 2 ist, oder - falls Chromosom 17 nicht als Kontrolle mitgeführt wird - wenn mehr als 4 Kopien des HER2-Gens pro Tumorzelle vorhanden sind.
- +Das Resultat des CISH-Tests wird im Allgemeinen als positiv eingestuft, wenn bei über 50% der Tumorzellen mehr als 5 Kopien des HER2-Gens pro Zellkern vorhanden sind.
- +Vollständige Angaben über die Leistung und Interpretation dieser Tests finden Sie in den Packungsprospekten validierter FISH- und CISH-Assays.
- +Detektion der HER2-Überexpression oder HER2-Genamplifikation beim metastasierten Magenkarzinom oder Karzinom des gastroösophagealen Übergangs
- +Für die Bestimmung einer HER2-Überexpression oder einer HER2-Genamplifikation darf nur ein zuverlässiger und validierter Test eingesetzt werden. IHC wird als erste Testmodalität empfohlen. In Fällen, in denen ein zusätzlicher HER2 Gen-Amplifikationsstatus benötigt wird, muss entweder eine Silber-in-situ-Hybridisierungs- (SISH-) oder FISH-Methode angewendet werden. Um genaue und reproduzierbare Ergebnisse zu erhalten, muss die Testung in spezialisierten Laboratorien durchgeführt werden, die eine Validierung der Testmethoden sicherstellen können. Vollständige Angaben über die Leistung und Interpretation dieser Tests finden Sie in den Produktinformationen validierter FISH- und SISH-Assays.
- +In der ToGA-Studie wurden Patienten mit entweder IHC3+ oder FISH-positiven Tumoren als HER2-positiv definiert und in die Studie eingeschlossen. Basierend auf den klinischen Studienergebnissen waren die positiven Effekte auf Patienten mit den höchsten Werten an HER2-Protein-Überexpression begrenzt, definiert durch IHC3+ oder IHC2+ und einen positiven FISH-Befund.
- +In einer Methodenvergleichsstudie (Studie D008548) von SISH- und FISH-Methoden zur Feststellung der HER2-Genamplifikation bei Patienten mit Magenkarzinom wurde eine hohe Übereinstimmungsrate (>95%) beobachtet.
- +KANJINTI sollte nur bei Patienten eingesetzt werden, deren Tumor eine starke HER2-Überexpression aufweist, d.h. IHC3+ oder IHC2+ plus ein positives FISH- oder SISH-Resultat.
- +Die Amplifikation des HER2-Gens ist mittels in-situ Hybridisierung z.B. FISH oder SISH fixierter Tumorblöcke nachzuweisen.
- +Das folgende Bewertungssystem wird für die Beurteilung der IHC-Färbungsmuster empfohlen:
- +Einstufung Chirurgisches Probenmaterial – Färbungsmuster Biopsie-Probenmaterial – Färbungsmuster Beurteilung der HER2- Überexpression
- +0 Keine Reaktivität oder Membranreaktivität bei <10% der Tumorzellen Keine Reaktivität oder Membranreaktivität in keinerlei Tumorzellen Negativ
- +1+ Schwache/kaum wahrnehmbare Membranreaktivität bei ≥10% der Tumorzellen; die Zellen sind nur an Teilen ihrer Membran reaktiv Tumorzellencluster mit einer schwachen/kaum wahrnehmbaren Membranreaktivität unabhängig vom Prozentsatz gefärbter Tumorzellen Negativ
- +2+ Schwache bis mässige vollständige oder basolaterale Membranreaktivität bei ≥10% der Tumorzellen Tumorzellencluster mit einer schwachen bis mässigen vollständigen basolateralen oder lateralen Membranreaktivität unabhängig vom Prozentsatz gefärbter Tumorzellen Nicht eindeutig
- +3+ Starke vollständige, basolaterale oder laterale Membranreaktivität in ≥10% der Tumorzellen Tumorzellencluster mit einer starken vollständigen, basolateralen oder lateralen Membranreaktivität unabhängig vom Prozentsatz gefärbter Tumorzellen Positiv
- +
- +Im Allgemeinen wird das Resultat des FISH- respektive SISH-Testes als positiv eingestuft, wenn das Verhältnis zwischen der Zahl der HER2-Genkopien pro Tumorzellen und der Anzahl Kopien von Chromosom 17 grösser oder gleich 2 ist.
- +Überwiegend findet sich eine HER2 Expression beim intestinalen histologischen Subtyp. Im Unterschied zu Mammakarzinom ist die Anfärbung in der Immunhistochemie bei Magenkarzinom meist inkomplett.
- +HER2 kann als freies Molekül im Plasma nachgewiesen werden (Shedding). Das Ausmass der HER2 Expression im Plasma korreliert aber nicht mit dem klinischen Verlauf. Angaben zum Shedding bei Magenkarzinom liegen nicht vor.
- +Klinische Wirksamkeit
- +Metastasiertes Mammakarzinom
- +Trastuzumab wurde in klinischen Prüfungen als Monotherapeutikum an Patienten mit metastasiertem Mammakarzinom verabreicht, deren Tumoren HER2 überexprimierten und die auf eine oder mehrere Chemotherapien ihrer metastasierten Erkrankung nicht angesprochen hatten (Trastuzumab allein).
- +Trastuzumab wurde auch in Kombination mit Paclitaxel oder Docetaxel zur Behandlung von Patienten eingesetzt, die vorher noch keine Chemotherapie gegen ihr metastasiertes Mammakarzinom erhalten hatten. Patienten, die vorher eine adjuvante Chemotherapie auf Anthracyclin-Basis erhalten hatten, erhielten Paclitaxel (175 mg/m2, Infusionsdauer 3 Stunden) mit oder ohne Trastuzumab. In der Pivotal-Studie von Docetaxel (100 mg/m2 infundiert über 1 Stunde) mit oder ohne Trastuzumab, erhielten 60% der Patienten vorher eine adjuvante Chemotherapie auf Anthracyclin-Basis. Die Patienten wurden bis zur Progredienz der Erkrankung mit Trastuzumab behandelt.
- +Die Wirksamkeit von Trastuzumab in Kombination mit Paclitaxel bei Patienten, die keine adjuvante Chemotherapie mit Anthracyclinen erhalten haben, ist nicht untersucht worden. Dennoch war Trastuzumab plus Docetaxel bei allen Patienten wirksam - ob sie adjuvantes Anthracyclin erhalten haben oder nicht.
- +Die Testmethode auf HER2-Überexpression, die in der Pivotal-Studie (Trastuzumab Monotherapie und Trastuzumab plus Paclitaxel) eingesetzt wurde, um die Eignung der Patienten zu bestimmen, basierte auf immunhistochemischer Färbung des HER2 an fixiertem Material von Brustkrebstumoren unter Verwendung der monoklonalen Mausantikörper CB11 und 4D5. Diese Gewebe wurden in Formalin oder Bouin's Lösung fixiert. Dieser Assay der klinischen Prüfung wurde in einem zentralen Laboratorium durchgeführt, wobei eine Skala von 0 bis 3+ verwendet wurde. Patienten, deren Anfärbung als 2+ und 3+ eingestuft wurde, wurden eingeschlossen, während diejenigen mit einer Anfärbung von 0 oder 1+ ausgeschlossen wurden. Mehr als 70% der aufgenommenen Patienten zeigten eine Überexpression von 3+. Die Daten legen nahe, dass die positiven Effekte bei Patienten mit stärkerer Überexpression von HER2 (3+) ausgeprägter waren.
- +In der Pivotal-Studie von Docetaxel mit oder ohne Trastuzumab war die Immunohistochemie die wesentliche Testmethode zur Bestimmung der HER2-Überexpression. Eine Minderheit der Patienten wurde mittels FISH getestet. In dieser Studie hatten 87% der eingeschlossenen Patienten eine IHC3+-Überexpression und 95% der Patienten waren IHC3+- und/oder FISH-positiv.
- +Kombinationstherapie mit Trastuzumab und Paclitaxel oder Docetaxel:
- +Die Wirksamkeitsdaten der Studien zur Monotherapie und zur Kombinationstherapie (mit Paclitaxel oder Docetaxel) sind in der folgenden Tabelle zusammengefasst:
- +Parameter Kombinationstherapie Monotherapie
- + Trastuzumab plus Paclitaxel1 Paclitaxel1 Trastuzumab plus Docetaxel2 Docetaxel2 Trastuzumab1
- + n=68 n=77 n=92 n=94 n=172
- +Mediane Ansprechzeit (Monate) (95% Konfidenzintervall) 8,3 (7,3−8,8) 4,6 (3,7−7,4) 11,7 (9,3−15,0) 5,7 (4,6−7,6) 9,1 (5,6−10,3)
- +Median TTP (Monate) (95% Konfidenzintervall) 7,1 (6,2−12,0) 3,0 (2,0−4,4) 11,7 (9,2−13,5) 6,1 (5,4−7,2) 3,2 (2,6−3,5)
- +Mediane Überlebenszeit (Monate) (95% Konfidenzintervall) 24,8 (18,6−33,7) 17,9 (11,2−23,8) 31,2 (27,3−40,8) 22,7 (19,1−30,8) 16,4 (12,3−n.b.)
- +Ansprechrate (%) (95% Konfidenzintervall) 49% (36−61) 17% (9−27) 61% (50−71) 34% (25−45) 18% (13−25)
- +
- +TTP = time to progression (Zeitspanne bis zur Progredienz); «n.b.» bedeutet, dass der Wert nicht bestimmt werden konnte oder noch nicht erreicht war.
- +1 IHC3+ Patienten-Subgruppe
- +2 «Full Analysis»-Population (intent-to-treat)
- +Kombinationsbehandlung mit Trastuzumab und Anastrozol:
- +Trastuzumab wurde in Kombination mit Anastrozol zur Erstlinientherapie bei HER2-überexprimierenden und Hormonrezeptor-positiven (z.B. Östrogenrezeptor (ER)-positiven und/oder Progesteronrezeptor (PR)-positiven) postmenopausalen Patienten mit metastasiertem Mammakarzinom untersucht, die noch keine Chemotherapie gegen ihre metastasierte Erkrankung erhalten haben. Ausgeschlossen waren auch Patienten mit Hirnmetastasen. Das progressionsfreie Überleben wurde in der Gruppe mit Trastuzumab plus Anastrozol im Vergleich zu Anastrozol allein signifikant verbessert (4,8 Monate versus 2,4 Monate, p=0,0016). Zudem wurden die folgenden Parameter durch die Zugabe von Trastuzumab verbessert: Gesamtansprechrate (16,5% versus 6,7%), Clinical-Benefit-Rate (42,7% versus 27,9%) und Zeitdauer bis zum Fortschreiten der Krankheit (4,8 Monate versus 2,4 Monate). Bezüglich der Zeit bis zum Ansprechen sowie der Dauer des Ansprechens konnte zwischen den beiden Gruppen kein Unterschied festgestellt werden. Die mittlere Gesamtüberlebenszeit wurde bei den Patienten mit der Kombinationstherapie um 4,6 Monate verlängert. Der Unterschied war statistisch nicht signifikant. Dabei ist zu berücksichtigen, dass über die Hälfte der Patienten aus der Gruppe mit Anastrozol als Monotherapeutikum nach dem Fortschreiten der Krankheit auf eine Trastuzumab-haltige Therapie wechselten (Crossover). 52% der Patienten, welche Trastuzumab plus Anastrozol erhielten, überlebten mindestens 2 Jahre im Vergleich zu 45% der Patienten, welche lediglich zu Beginn der Therapie Anastrozol erhielten (Unterschied nicht statistisch signifikant).
- +Mammakarzinom im Frühstadium
- +Für die adjuvante Therapie wurde Trastuzumab im Rahmen von vier randomisierten, multizentrischen Phase III-Studien geprüft:
- +Ziel der Studie BO16348 (HERA) war der Vergleich einer 3wöchentlichen Therapie mit Trastuzumab (über 1 und 2 Jahre) versus Beobachtung bei Patienten mit HER2-positivem Mammakarzinom im Frühstadium. Die Patienten erhielten vorgängig eine Operation, eine etablierte Chemotherapie und (falls anwendbar) eine Strahlentherapie. Zusätzlich wurde die 2jährige Behandlung mit Trastuzumab mit der entsprechenden einjährigen Behandlung verglichen. Patienten, die der Behandlung mit Trastuzumab zugeteilt worden waren, erhielten eine Initialdosis von 8 mg/kg Körpergewicht und anschliessend alle drei Wochen 6 mg/kg Körpergewicht während einem oder zwei Jahren.
- +In der Studie BO16348 (HERA) waren die HER2-positiven Mammakarzinome im Frühstadium auf primäre operable invasive Adenokarzinome der Brust mit positiven axillären Lymphknoten oder negativen axillären Lymphknoten bei Tumoren mit einem Durchmesser von mindestens 1 cm beschränkt.
- +Die Resultate zur Wirksamkeit in der Studie BO16348 (HERA) sind in der nachstehenden Tabelle zusammengefasst:
- +Resultate der Wirksamkeit (Studie BO16348/HERA) von Trastuzumab (Behandlung für 1 Jahr) versus Nicht-Behandlung: Resultate der medianen Nachbeobachtung nach 12 Monaten* und 8 Jahren**
- +Parameter Mediane Nachbeobachtung 12 Monate Mediane Nachbeobachtung 8 Jahre
- + Kein Trastuzumab, nur Beobachtung Trastuzumab, 1 Jahr Kein Trastuzumab, nur Beobachtung Trastuzumab, 1 Jahr
- + n=1693 n=1693 n=1697*** n=1702***
- +Krankheitsfreies Überleben
- +Anzahl Patienten mit Ereignis 219 (12,9%) 127 (7,5%) 570 (33,6%) 471 (27,7%)
- +Anzahl Patienten ohne Ereignis 1474 (87,1%) 1566 (92,5%) 1127 (66,4%) 1231 (72,3%)
- +p-Wert vs. Nachbeobachtung <0,0001 <0,0001
- +Hazard Ratio vs. Nachbeobachtung 0,54 0,76
- +Rezidiv-freies Überleben
- +Anzahl Patienten mit Ereignis 208 (12,3%) 113 (6,7%) 506 (29,8%) 399 (23,4%)
- +Anzahl Patienten ohne Ereignis 1485 (87,7%) 1580 (93,3%) 1191 (70,2%) 1303 (76,6%)
- +p-Wert vs. Nachbeobachtung <0,0001 <0,0001
- +Hazard Ratio vs. Nachbeobachtung 0,51 0,73
- +Überleben ohne Erkrankung anderer Organe
- +Anzahl Patienten mit Ereignis 184 (10,9%) 99 (5,8%) 488 (28,8%) 399 (23,4%)
- +Anzahl Patienten ohne Ereignis 1508 (89,1%) 1594 (94,6%) 1209 (71,2%) 1303 (76,6%)
- +p-Wert vs. Nachbeobachtung <0,0001 <0,0001
- +Hazard Ratio vs. Nachbeobachtung 0,50 0,76
- +Gesamtüberlebensrate (Todesfälle)
- +Anzahl Patienten mit Ereignis 40 (2,4%) 31 (1,8%) 350 (20,6%) 278 (16,3%)
- +Anzahl Patienten ohne Ereignis 1653 (97,65%) 1662 (98,2%) 1347 (79,4%) 1424 (83,7%)
- +p-Wert vs. Nachbeobachtung 0,24 0,0005
- +Hazard Ratio vs. Nachbeobachtung 0,75 0,76
- +
- +* Der co-primäre Endpunkt krankheitsfreies Überleben nach einem Jahr versus Beobachtung lag innerhalb der vordefinierten statistischen Grenzen.
- +** Abschliessende Analyse (einschliesslich 52% der Patienten aus dem Beobachtungs-Arm, die zum Trastuzumab-Arm wechselten).
- +*** Es besteht eine Diskrepanz bezüglich der Gesamtprobengrösse, die darauf zurückzuführen ist, dass eine kleine Patientengruppe nach dem Stichtag der 12-monatigen medianen Nachbeobachtung randomisiert wurde.
- +In der Zwischenanalyse überschritten die Resultate bezüglich der Wirksamkeit die im Protokoll vordefinierten statistischen Grenzen für den Vergleich der einjährigen Therapie mit Trastuzumab versus Beobachtung. Nach einer medianen Nachbeobachtungszeit von 12 Monaten betrug die Hazard Ratio (HR) für das krankheitsfreie Überleben 0,54 (95% KI: 0,44; 0,67), was ein absoluter Nutzen von 7,6 Prozentpunkten (85,8% vs. 78,2%) krankheitsfreies Überleben nach zwei Jahren zugunsten des Trastuzumab-Arms.
- +Eine nach einer medianen Nachbeobachtungszeit von 8 Jahren durchgeführte abschliessende Analyse zeigte, dass die Behandlung mit Trastuzumab über ein Jahr das Risiko verglichen mit der reinen Observationsgruppe (HR=0,76; 95% KI: 0,67; 0,86) um 24% verringert. Dies kommt einem absoluten Nutzen von 6,4 Prozentpunkten krankheitsfreien Überlebens nach 8 Jahren zugunsten des Trastuzumab-Arms (einjährige Behandlung) gleich.
- +In dieser abschliessenden Analyse zeigte die Verlängerung der Trastuzumab-Behandlung auf zwei Jahre keinen zusätzlichen Nutzen gegenüber der einjährigen Behandlung [HR krankheitsfreies Überleben mit der Absicht (intent to treat, ITT), die Population 2 Jahre vs. 1 Jahr zu behandeln = 0,99 (95% KI: 0,87; 1,13), p-Wert = 0,90 und HR Gesamtüberleben = 0,98 (0,83; 1,15); p-Wert=0,78]. Die Rate asymptomatischer kardialer Dysfunktion war im 2-Jahres- Behandlungs-Arm erhöht (8,1% versus 4,6% im 1-Jahres-Behandlungsarm). Im 2-Jahres-Behandlungsarm erlebten mehr Patienten mindestens ein unerwünschtes Ereignis von Grad 3 oder Grad 4 (20,4%) als im 1-Jahres-Behandlungsarm (16,3%).
- +Die Studien NCCTG N9831 und NSABP B-31, welche gemeinsam ausgewertet wurden, waren zur Untersuchung des klinischen Nutzens der Kombination einer Trastuzumab (H)-Behandlung mit Paclitaxel (P) im Anschluss an eine AC-(Doxorubicin plus Cyclophosphamid) Chemotherapie konzipiert. Die Studie NCCTG N9831 untersuchte zusätzlich die sequentielle Gabe von Trastuzumab zu einer Chemotherapie mit AC/Paclitaxel bei Patienten mit HER2-positivem Mammakarzinom im Frühstadium im Anschluss an eine Operation.
- +In der gemeinsamen Auswertung der Studien NCCTG N9831 und NSABP B-31 waren die Mammakarzinome im Frühstadium beschränkt auf Frauen mit operablen Tumoren mit hohem Risiko, definiert als HER2-positiv mit positiven axillären Lymphknoten oder HER2-positiv mit negativen axillären Lymphknoten bei Vorliegen von Hochrisikomerkmalen (Tumorgrösse >1 cm und ER-negativ oder Tumorgrösse >2 cm unabhängig vom hormonellen Zustand).
- +Trastuzumab wurde in Kombination mit Paclitaxel im Anschluss an eine AC-Chemotherapie verabreicht. Paclitaxel wurden wie folgt verabreicht:
- +·Paclitaxel intravenös – 80 mg/m2 in Form einer i.v. Dauerinfusion, verabreicht jede Woche während 12 Wochen
- +oder
- +·Paclitaxel intravenös – 175 mg/m2 in Form einer i.v. Dauerinfusion, verabreicht alle 3 Wochen über 4 Zyklen (Tag 1 jedes Zyklus).
- +Trastuzumab i.v. wurde in den Studien NCCTG N9831 und NSABP B-31 wöchentlich zusammen mit der Chemotherapie verabreicht: Initialdosis 4 mg/kg Körpergewicht als 90minütige Infusion, gefolgt von 2 mg/kg Körpergewicht als 30minütige Infusion. Die Behandlung mit Trastuzumab wurde über eine Dauer von 1 Jahr ab dem Zeitpunkt der ersten Gabe fortgesetzt.
- +Zum Zeitpunkt der Interimsanalyse betrug die mediane Dauer der Nachbeobachtung 1,8 Jahre für den AC→P Arm und 2,0 Jahre für den AC→PH Arm.
- +Zusammenfassung der Wirksamkeitsresultate der gemeinsamen Auswertung der Studien NCCTG N9831 und NSABP B-31 zum Zeitpunkt der endgültigen Auswertung des krankheitsfreien Überlebens*:
- +Parameter AC→P n=1679 AC→P+H n=1672 p-Wert Hazard Ratio
- +Krankheitsfreies Überleben
- +·Patienten mit Ereignis 261 (15,5%) 133 (8,0%) <0,0001 0,48 (0,39-0,59)
- +·Patienten ohne Ereignis 1418 (84,5%) 1539 (92,0%)
- +Rezidiv
- +·Patienten mit Ereignis 235 (14,0%) 117 (7,0%) <0,0001 0,47 (0,37-0,58)
- +·Patienten ohne Ereignis 1444 (86,0%) 1555 (93,0%)
- +Fernrezidiv (Metastase)
- +·Patienten mit Ereignis 193 (11,5%) 96 (5,7%) <0,0001 0,47 (0,37-0,60)
- +·Patienten ohne Ereignis 1486 (88,5%) 1576 (94,3%)
- +Gesamtüberleben
- +·Patienten mit Ereignis 92 (5,5%) 62 (3,7%) 0,014** 0,67 (0,48-0,92)
- +·Patienten ohne Ereignis 1587 (94,5%) 1610 (96,3%)
- +
- +* bei einer medianen Nachbeobachtungsdauer von 1,8 Jahren bei den Patienten im AC→P-Arm und 2,0 Jahren bei den Patienten im AC→PH-Arm.
- +** p-Wert für das Gesamtüberleben überschritt die im Voraus festgelegte statistische Grenze für den Vergleich zwischen AC→PH und AC→P nicht.
- +Hinsichtlich des primären Endpunkts, des krankheitsfreien Überlebens, resultierte der Zusatz von Trastuzumab zu einer Chemotherapie mit Paclitaxel in einer Verminderung des Risikos für Krankheitsrezidive um 52%. Bezüglich der Rate des krankheitsfreien 3-Jahresüberlebens widerspiegelt die Hazard Ratio einen absoluten Vorteil von 11,8 Prozentpunkten (87,2% vs. 75,4%) zugunsten des AC→PH (Trastuzumab)-Arms.
- +Die im Voraus geplante abschliessende Analyse des Gesamtüberlebens im Rahmen der gemeinsamen Auswertung der Studien NSABP B-31 und NCCTG N9831 wurde nach Eintreten von 707 Todesfällen durchgeführt (mediane Nachbeobachtungsdauer 8,3 Jahre in der AC→PH-Gruppe). Die Behandlung mit AC→PH bewirkte eine statistisch signifikante Verlängerung des Gesamtüberlebens im Vergleich zur Behandlung mit AC→P (stratifizierte HR=0,64; 95% KI [0,55; 0,74]; Log-Rank-p-Wert <0,0001). Nach 8 Jahren wurde die Überlebensrate auf 86,9% im AC→PH-Arm und 79,4% im AC→P-Arm geschätzt; dies entspricht einem absoluten Nutzen von 7,4% (95% KI: 4,9%, 10,0%).
- +Die BCIRG 006 Studie untersuchte die Kombination von Trastuzumab und Docetaxel entweder im Anschluss an eine AC-Chemotherapie oder von Trastuzumab in Kombination mit Docetaxel und Carboplatin bei Patienten mit HER2-positivem Mammakarzinom im Frühstadium im Anschluss an eine Operation.
- +In der Studie BCIRG 006 waren die HER2-positiven Mammakarzinome im Frühstadium entweder beschränkt auf Patienten mit positiven Lymphknoten oder auf Patienten mit negativen Lymphknoten bei hohem Risiko, definiert als negative (pN0) Lymphknotenbeteiligung und mindestens 1 der folgenden Faktoren: Tumorgrösse >2 cm, Östrogenrezeptor- und Progesteronrezeptor-negativ, histologischer und/oder nukleärer Grad 2-3 oder Alter <35 Jahre.
- +In der BCIRG 006 Studie wurde Trastuzumab entweder in Kombination mit Docetaxel im Anschluss an eine AC-Chemotherapie (AC-DH) oder in Kombination mit Docetaxel und Carboplatin (DCarbH) verabreicht.
- +Docetaxel wurde wie folgt verabreicht:
- +·intravenös – 100 mg/m2 in Form einer i.v. Infusion über 1 Stunde, verabreicht alle 3 Wochen über 4 Zyklen (Tag 2 des Docetaxel-Zyklus 1, dann Tag 1 jedes weiteren Zyklus)
- +oder
- +·intravenös – 75 mg/m2 in Form einer i.v. Infusion über 1 Stunde, verabreicht alle 3 Wochen über 6 Zyklen (Tag 2 des Zyklus 1, dann Tag 1 jedes weiteren Zyklus), gefolgt von Carboplatin - bei einer Ziel-AUC von 6 mg/ml/min in Form einer i.v. Infusion über 30-60 Minuten, verabreicht alle 3 Wochen über insgesamt 6 Zyklen.
- +Trastuzumab i.v. wurde wöchentlich zusammen mit der Chemotherapie verabreicht: Initialdosis 4 mg/kg Körpergewicht als 90minütige Infusion, gefolgt von 2 mg/kg Körpergewicht als 30minütige Infusion. Nach Beendigung der Therapie mit Chemotherapie wurde Trastuzumab alle 3 Wochen verabreicht (Initialdosis 8 mg/kg Körpergewicht als 90minütige Infusion, gefolgt von 6 mg/kg Körpergewicht als 30minütige Infusion). Die Behandlung mit Trastuzumab wurde über eine Dauer von 1 Jahr ab dem Zeitpunkt der ersten Gabe fortgesetzt.
- +Die mediane Dauer der Nachbeobachtung betrug im AC→D Arm 2,9 Jahre und im AC→DH Arm sowie im DCarbH Arm jeweils 3,0 Jahre.
- +Die Wirksamkeitsresultate der Studie BCIRG 006 sind in den folgenden Tabellen zusammengefasst:
- +Übersicht Wirksamkeitsanalysen AC→D versus AC→DH (Studie BCIRG 006)
- +Parameter AC→D (n=1073) AC→DH (n=1074) p-Wert vs. AC→D (Log-Rank) Hazard Ratio vs. AC→D (95% KI)
- +Krankheitsfreies Überleben
- +·Anzahl Patienten mit Ereignis 195 (18,2%) 134 (12,5%) <0,0001 0,61 (0,49-0,77)
- +·Anzahl Patienten ohne Ereignis 878 (81,8%) 940 (87,5%)
- +Fernmetastasen
- +·Anzahl Patienten mit Ereignis 144 (13,4%) 95 (8,8%) <0,0001 0,59 (0,46-0,77)
- +·Anzahl Patienten ohne Ereignis 929 (86,6%) 979 (91,2%)
- +Tod (Ereignis betreffend das Gesamtüberleben)
- +·Anzahl Patienten mit Ereignis 80 (7,5%) 49 (4,6%) 0,0024 0,58 (0,40-0,83)
- +·Anzahl Patienten ohne Ereignis 993 (92,5%) 1025 (95,4%)
- +
- +AC→D = Doxorubicin plus Cyclophosphamid, gefolgt von Docetaxel; AC→DH = Doxorubicin plus Cyclophosphamid, gefolgt von Docetaxel plus Trastuzumab; KI = Konfidenzintervall
- +Übersicht Wirksamkeitsanalysen AC→D versus DCarbH (Studie BCIRG 006)
- +Parameter AC→D (n=1073) DCarbH (n=1075) p-Wert vs. AC→D (Log-Rank) Hazard Ratio vs. AC→D (95% KI)
- +Krankheitsfreies Überleben
- +·Anzahl Patienten mit Ereignis 195 (18,2%) 145 (13,5%) 0,0003 0,67 (0,54-0,83)
- +·Anzahl Patienten ohne Ereignis 878 (81,8%) 930 (86,5%)
- +Fernmetastasen
- +·Anzahl Patienten mit Ereignis 144 (13,4%) 103 (9,6%) 0,0008 0,65 (0,50-0,84)
- +·Anzahl Patienten ohne Ereignis 929 (86,6%) 972 (90,4%)
- +Tod (Ereignis betreffend das Gesamtüberleben)
- +·Anzahl Patienten mit Ereignis 80 (7,5%) 56 (5,2%) 0,0182 0,66 (0,47-0,93)
- +·Anzahl Patienten ohne Ereignis 993 (92,5%) 1019 (94,8%)
- +
- +AC→D = Doxorubicin plus Cyclophosphamid, gefolgt von Docetaxel; DCarbH = Docetaxel, Carboplatin und Trastuzumab; KI = Konfidenzintervall
- +Hinsichtlich des primären Endpunktes, des krankheitsfreien Überlebens, widerspiegelt die Hazard Ratio in der BCIRG 006 Studie einen absoluten Vorteil im krankheitsfreien 3-Jahresüberleben von 5,8 Prozentpunkten (86,7 vs. 80,9%) zugunsten des AC→DH (Trastuzumab)-Arms und von 4,6 Prozentpunkten (85,5 vs. 80,9%) zugunsten des DCarbH (Trastuzumab)-Arms verglichen mit AC→D.
- +Hinsichtlich des sekundären Endpunkts, des Gesamtüberlebens, verminderte die Behandlung mit AC→DH das Sterberisiko um 42% im Vergleich zu AC→D; bei den Patienten, die mit DCarbH behandelt wurden, war das Sterberisiko im Vergleich zu AC→D um 34% reduziert.
- +In der Studie BCIRG 006 hatten 213/1075 Patienten im DCarbH Arm, 221/1074 Patienten im AC→DH Arm und 217/1073 im AC→D Arm einen Karnofsky- Index von ≤90 (entweder 80 oder 90). Es wurde kein Vorteil für krankheitsfreies Überleben in dieser Patientensubgruppe festgestellt (Hazard Ratio = 1,16; 95% KI [0,73; 1,83] für DCarbH vs. AC→D; Hazard Ratio 0,97; 95% KI [0,60; 1,55] für AC→DH vs. AC→D).
- +Neoadjuvante/adjuvante Behandlung
- +In Studie MO16432 (NOAH) wurde die Verabreichung von Trastuzumab zusammen mit insgesamt 10 Zyklen einer neoadjuvanten Chemotherapie, die sowohl ein Anthracyclin als auch ein Taxan beinhaltete (Doxorubicin (A) und Paclitaxel (P) plus Trastuzumab (H), gefolgt von P+H, gefolgt von Cyclophosphamid/Methotrexat/Fluorouracil (CMF) plus H, gefolgt von adjuvantem Trastuzumab bis zu einer Gesamtbehandlungsdauer von 1 Jahr) bei Patienten mit neu diagnostiziertem lokal fortgeschrittenem (Stadium III) oder entzündlichem HER2-positivem Mammakarzinom untersucht.
- +Die mediane Dauer der Nachbeobachtung im Trastuzumab-Arm betrug 3,8 Jahre. Pathologische Komplettremission ist definiert als Abwesenheit von invasivem Tumor sowohl in der Brust als auch in den axillären Lymphknoten.
- +Parameter Chemotherapie + Trastuzumab (n=115) Alleinige Chemotherapie (n=116)
- +Ereignisfreies Überleben Hazard Ratio (95% KI)
- +Anzahl der Patienten mit einem Ereignis 46 59 0,65 (0,44; 0,96) p=0,0275
- +Pathologische Komplettremission insgesamt (95% KI) 40% (31,0; 49,6) 20,7% (13,7; 29,2) p=0,0014
- +
- +Hinsichtlich des primären Endpunktes, des ereignisfreien Überlebens, resultierte die Zugabe von Trastuzumab zu der neoadjuvanten Chemotherapie gefolgt von adjuvantem Trastuzumab während einer Gesamtdauer von 52 Wochen in einer Verminderung des Risikos für ein Rezidiv/Progression der Erkrankung um 35% (Hazard Ratio: 0,65 [95% KI: 0,44-0,96]; p<0,0275). Nach 3 Jahren waren 65% der Patienten im Trastuzumab-Arm und 52% im Kontrollarm ohne Ereignis. Dies spiegelt eine Verbesserung von 13% zugunsten des Trastuzumab-Arms wider.
- +ZNS Metastasen
- +In der HERA-Studie wurde bezüglich der Lokalisation von Erstrezidiven in der Gruppe Trastuzumab ein Unterschied von 0,3% in Bezug auf ZNS-Metastasen festgestellt (1,2% der Patienten verglichen mit 0,9% der Patienten der Kontrollgruppe). Insgesamt war jedoch die Inzidenz von ZNS-Metastasen (Erst- und Folgerezidive) in den zwei Therapiegruppen ähnlich (23 Patienten in der Beobachtungsgruppe gegenüber 25 in der Gruppe Trastuzumab). Dies weist auf die Wahrscheinlichkeit hin, dass am Ende der adjuvanten Chemotherapie in den zwei Behandlungsgruppen etwa gleich häufig Mikrometastasen im ZNS vorhanden waren.
- +Laut der gemeinsamen Auswertung der Studien NCCTG N9831 und NSABP B-31 kamen isolierte Hirnmetastasen als Erstereignis in der Gruppe Trastuzumab häufiger vor als in der Kontrollgruppe (21 gegenüber 11 in der Studie B-31 und 12 gegenüber 4 in der Studie N9831). Die Patienten der Studie B-31 wurden nach Auftreten der ersten Fernmetastasen bezüglich weiterer Rezidive nachbeobachtet. Insgesamt wurden in dieser Studie Hirnmetastasen als Erst- oder Folgeereignis bei 28 Patienten der Gruppe Trastuzumab und 35 Patienten der Kontrollgruppe diagnostiziert (Hazard Ratio 0,79; p=0,35).
- +Somit war die Inzidenz der Hirnmetastasen in der Trastuzumab Gruppe nicht höher als in der Kontrollgruppe. Die unterschiedliche Häufigkeit des Auftretens von Hirnmetastasen als Erstereignis bei Patienten in der Kontrollgruppe kann wahrscheinlich auf einen früheren Rückfall in einem anderen Organsystem zurückgeführt werden.
- +Metastasiertes Adenokarzinom des Magens oder des gastroösophagealen Übergangs:
- +Die Wirksamkeitsergebnisse der Studie BO18255 sind in der nachfolgenden Tabelle im Überblick dargestellt. An der Studie nahmen Patienten teil, die noch keine Behandlung gegen ein metastasiertes Adenokarzinom des Magens oder des gastroösophagealen Übergangs erhalten hatten. Der primäre Endpunkt war das Gesamtüberleben. Zum Zeitpunkt der Analyse waren insgesamt 349 der randomisierten Patienten verstorben: 182 Patienten (62,8%) im Kontrollarm und 167 Patienten (56,8%) im Behandlungsarm. Die Ursachen der meisten Todesfälle standen in Zusammenhang mit der zugrundeliegenden Krebserkrankung.
- +Im Trastuzumab + Capecitabin/5-FU und Cisplatin Arm war das Gesamtüberleben signifikant besser als im Arm mit Capecitabin/5-FU und Cisplatin (p=0,0046; Log-Rank-Test). Die mittlere Überlebensdauer lag bei 11,1 Monaten, wenn mit Capecitabin/5-FU und Cisplatin behandelt wurde, und bei 13,8 Monaten unter Trastuzumab + Capecitabin/5-FU und Cisplatin. Das Sterberisiko der Patienten im Trastuzumab Arm verringerte sich gegenüber den Patienten im Capecitabin/5-FU Arm um 26% (Hazard Ratio [HR] 0,74; 95% KI [0,60-0,91]).
- +Post-hoc-Analysen der Untergruppen ergaben, dass die Behandlung von Tumoren mit höheren Konzentrationen an HER2-Protein (IHC 2+/FISH+ und IHC 3+/unabhängig vom FISH-Status) zu einem ausgeprägteren Behandlungseffekt führte. Das mittlere Gesamtüberleben der Gruppe mit stärkerer Expression von HER2 betrug 11,8 Monate gegenüber 16 Monaten, HR 0,65 (95% KI: 0,51-0,83) und das mittlere progressionsfreie Überleben betrug 5,5 Monate gegenüber 7,6 Monaten, HR 0,64 (95% KI: 0,51-0,79) für Capecitabin/5-FU und Cisplatin respektive für Trastuzumab + Capecitabin/5-FU und Cisplatin.
- +Zusammenfassung der Wirksamkeitsdaten (Studie BO18255):
- +Population/Parameter FP n=290 H+FP n=294 HR (95% KI) p-Wert
- +Gesamtpopulation:
- +Medianes Gesamtüberleben (in Monaten) 11,1 13,8 0,74 (0,60-0,91) 0,0046
- +Medianes progressionsfreies Überleben (in Monaten) 5,5 6,7 0,71 (0,59-0,85) 0,0002
- +Gesamtansprechrate, % 34,5% 47,3% 1,70a (1,22; 2,38) 0,0017
- +IHC3+ (n= 287)
- +Medianes Gesamtüberleben (in Monaten) 12,5 17,9 0,59 (0,43-0,81) n.a.b
- +Medianes progressionsfreies Überleben (in Monaten) 5,7% 8,4% 0,59 (0,45-0,78) n.a. b
- +IHC2+ und FISH+ (n= 159)
- +Medianes Gesamtüberleben (in Monaten) 10,8 12,3 0,75 (0,51-1,11) n.a.b
- +Medianes progressionsfreies Überleben (in Monaten) 5,0 5,7 0,73 (0,53-1,03) n.a.b
- +Magenkarzinom
- +Medianes Gesamtüberleben (in Monaten) 11,1 14,6 0,76 (0,60-0,96) n.a.b
- +Medianes progressionsfreies Überleben (in Monaten) 5,4 6,3 0,73 (0,60-0,90) n.a.b
- +Gastroösophagealer Übergang
- +Medianes Gesamtüberleben (in Monaten) 8,6 10,9 0,67 (0,42-1,08) n.a.b
- +Medianes progressionsfreies Überleben (in Monaten) 5,6 7,6 0,61 (0,40-0,93) n.a.b
- +
- +FP: Fluoropyrimidin/Cisplatin
- +H+FP: Fluoropyrimidin/Cisplatin + Trastuzumab
- +a Odds-Ratio
- +b p-Werte für Subgruppen werden nicht aufgeführt, da die Power nicht ausreichend ist, um Unterschiede zwischen den Studienarmen aufzuzeigen.
- +Pharmakokinetik
- +Die Pharmakokinetik von Trastuzumab wurde in einer Modellanalyse der Populationspharmakokinetik beurteilt, für die gepoolte Daten von 1582 Probanden aus 18 Studien der Phase I, II und III, die intravenöses Trastuzumab erhalten hatten, herangezogen wurden.
- +Absorption
- +Nicht zutreffend.
- +Distribution
- +In den folgenden Tabellen sind die populationsbezogenen PK-Expositionsprognosen (mit dem 5. - 95. Perzentil) und die PK-Parameterwerte bei klinisch relevanten Konzentrationen (Cmax und Cmin) bei Brustkrebs- und bei AGC-Patienten gezeigt, die mit den zugelassenen Dosierungsregimes q1w und q3w behandelt wurden.
- +Populationsbezogene PK-Expositionsprognosen in Zyklus 1 (mit dem median 5. - 95. Perzentil) für intravenöse Regimes bei Brustkrebs- und AGC-Patienten
- +Dosierung Primärer Tumortyp N Cmin (µg/ml) Cmax (µg/ml) AUC (µg.Tag/ml)
- +8 mg/kg + 6 mg/kg q3w MBC/EBC 1195 29,4 (5,8-59,5) 178 (117-291) 1373 (736-2245)
- +AGC 274 23,1 (6,1-50,3) 132 (84,2-225) 1109 (588-1938)
- +4 mg/kg + 2 mg/kg qw MBC/EBC 1195 37,7 (12,3-70,9) 88,3 (58-144) 1066 (586-1754)
- +
- +Populationsbezogene PK-Expositionsprognosen im Steady-State (mit dem 5. - 95. Perzentil) für intravenöse Regimes bei Brustkrebs- und AGC-Patienten
- +Dosierung Primärer Tumortyp N Cmin,ss (µg/ml) Cmax,ss (µg/ml) AUCss (µg.Tag/ml) Zeit bis Steady-State (Woche) Gesamt-CL-Bereich im Steady-State (l/Tag)
- +8 mg/kg + 6 mg/kg q3w MBC/EBC 1195 47,4 (5-115) 179 (107-309) 1794 (673-3618) 12 0,173-0,283
- +AGC 274 32,9 (6,1-88,9) 131 (72,5-251) 1338 (557-2875) 9 0,189-0,337
- +4 mg/kg + 2 mg/kg qw MBC/EBC 1195 66,1 (14,9-142) 109 (51,0-209) 1765 (647-3578) 12 0,201-0,244
- +
- +Metabolismus
- +Nicht zutreffend.
- +Elimination
- +Auswaschen von Trastuzumab
- +Der Zeitraum des Auswaschens von Trastuzumab wurde unter Verwendung der jeweiligen Populations-PK-Modelle nach intravenöser und subkutaner Verabreichung beurteilt. Die Ergebnisse dieser Simulationen deuten darauf hin, dass mindestens 95% der Patienten 7 Monate nach der letzten Dosis Trastuzumab-Serumkonzentrationen <1 µg/ml erreicht haben (ca. 3% der populationsbezogenen prognostizierten Cmin,ss bzw. etwa 97% Auswaschung).
- +Zirkulierendes HER2-Antigen
- +Brustkrebs: Messbare Konzentrationen der zirkulierenden extrazellulären Domäne des HER2-Rezeptors («shed antigen») wurden im Serum von 64% der Patienten mit HER2-überexprimierenden Brusttumoren nachgewiesen (bis zu 1880 ng/ml; median = 11 ng/ml). Patienten mit höheren Ausgangswerten von zirkulierendem HER2-Antigen hatten eher niedrigere minimale Serumkonzentrationen von Trastuzumab. Die meisten Patienten mit erhöhten zirkulierenden Antigen-Werten erreichten im Zuge der wöchentlichen Dosierung die angestrebten Serumkonzentrationen für Trastuzumab bis zur Woche 6. Es konnte keine signifikante Beziehung zwischen dem Ausgangswert des zirkulierenden Antigens und der klinischen Wirkung beobachtet werden.
- +Bei Patienten mit Magenkarzinom oder Karzinom des gastroösophagealen Übergangs liegen keine Daten zu den Mengen an zirkulierendem HER2-Antigen vor.
- +Linearität/Nicht Linearität
- +Ein Zwei-Kompartiment-Modell mit paralleler linearer und nicht-linearer Elimination aus dem zentralen Kompartiment beschrieb das Konzentrations-Zeit-Profil von Trastuzumab. Aufgrund der nicht-linearen Elimination erhöhte sich die Gesamtclearance mit abnehmenden Konzentrationen. Die lineare Clearance betrugt bei Brustkrebs (MBC/EBC) 0,127 l/Tag und bei AGC 0,176 l/Tag. Die maximale Eliminationsrate (Vmax) betrug bei nicht-linearer Elimination 8,81 mg/Tag und die Michaelis-Menten-Konstante (Km) betrug 8,92 mg/l. Das Volumen im zentralen Kompartiment belief sich bei Patienten mit Brustkrebs auf 2,62 l und bei Patienten mit AGC auf 3,63 l.
- +Kinetik spezieller Patientengruppen
- +Leberfunktionsstörungen
- +Es wurden keine detaillierten pharmakokinetischen Studien bei Patienten mit eingeschränkter Leberfunktion durchgeführt.
- +Nierenfunktionsstörungen
- +Es wurden keine detaillierten pharmakokinetischen Studien bei Patienten mit eingeschränkter Nierenfunktion durchgeführt. In einer populationspharmakokinetischen Analyse wurde gezeigt, dass sich eine Nierenfunktionsstörung nicht auf die Disposition von Trastuzumab auswirkt.
- +Es wurde kein Einfluss von Serum-Kreatinin auf die pharmakologische Disposition von Trastuzumab gefunden.
- +Ältere Patienten
- +Es wurden keine detaillierten pharmakokinetischen Studien bei älteren Patienten durchgeführt. Das Alter der Patienten hatte keinen Einfluss auf die Pharmakokinetik von Trastuzumab.
- +Sicherheitspharmakologie/Langzeittoxizität (bzw. Toxizität bei wiederholter Verabreichung)
-Reproduktionsstudien, die bei Cynomolgus-Affen mit Dosen von bis zu dem 25fachen der wöchentlichen Erhaltungsdosis beim Menschen von 2 mg/kg Trastuzumab durchgeführt wurden, ergaben keine Anzeichen für eine Beeinträchtigung der weiblichen Fertilität. Der Einfluss auf die Fruchtbarkeit männlicher Tiere wurde nicht geprüft. Studien zur Teratogenität und Toxizität am Ende der Gestation und zur Plazentagängigkeit lieferten keinen Hinweis auf eine Reproduktionstoxizität.
-Es wurden keine Karzinogenitätsstudien durchgeführt, um das karzinogene Potential von Trastuzumab zu untersuchen.
-
- +Karzinogenität
- +Es wurden keine Karzinogenitätsstudien durchgeführt, um das karzinogene Potential von Trastuzumab zu untersuchen.
- +Reproduktionstoxizität
- +Reproduktionsstudien, die bei Cynomolgus-Affen mit Dosen von bis zu dem 25fachen der wöchentlichen Erhaltungsdosis beim Menschen von 2 mg/kg Trastuzumab durchgeführt wurden, ergaben keine Anzeichen für eine Beeinträchtigung der weiblichen Fertilität. Der Einfluss auf die Fruchtbarkeit männlicher Tiere wurde nicht geprüft. Studien zur Teratogenität und Toxizität am Ende der Gestation und zur Plazentagängigkeit lieferten keinen Hinweis auf eine Reproduktionstoxizität.
-KANJINTI darf nicht mit anderen Arzneimitteln gemischt oder verdünnt werden.
- +Da keine Verträglichkeitsstudien durchgeführt wurden, darf KANJINTI nicht mit anderen Arzneimitteln gemischt oder verdünnt werden.
-Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf der Verpackung mit «EXP» bezeichneten Datum verwendet werden.
- +Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf der Packung mit «EXP» bezeichneten Datum verwendet werden.
- +Haltbarkeit nach Anbruch
- +KANJINTI 150 mg zur Einfachdosierung
- +Haltbarkeit des rekonstituierten Konzentrats
- +Das mit sterilem Wasser für Injektionszwecke rekonstituierte Konzentrat ist bei 2-8°C bis zu 48 Stunden physikalisch und chemisch stabil.
- +Aus mikrobiologischen Gründen sollte das rekonstituierte Konzentrat sofort in der Infusionslösung weiterverdünnt werden. Falls nicht, liegen die Aufbewahrungsdauer und bedingungen der fertigen Lösung vor der Anwendung in der Verantwortlichkeit des Anwenders und sollten 24 Stunden bei 2-8°C nicht überschreiten, es sei denn, die Rekonstitution wurde unter kontrollierten und validierten aseptischen Bedingungen durchgeführt.
- +Das rekonstituierte Konzentrat nicht einfrieren.
- +Haltbarkeit der fertig zubereiteten KANJINTI 150 mg-Infusionslösung
- +Die fertig zubereitete KANJINTI-Infusionslösung (verdünnt in 0,9%iger Natriumchloridlösung) ist bei 2-8°C bis zu 35 Tage und danach bei Raumtemperatur (≤30°C) 24 Stunden physikalisch und chemisch stabil.
- +Aus mikrobiologischen Gründen sollte die KANJINTI-Infusionslösung sofort verwendet werden. Falls sie nicht sofort verwendet wird, liegen deren Aufbewahrungsdauer und bedingungen der Infusionslösung vor der Anwendung in der Verantwortlichkeit des Anwenders und sollten 24 Stunden bei 2-8°C nicht überschreiten, es sei denn, Rekonstitution und Verdünnung wurden unter kontrollierten und validierten aseptischen Bedingungen durchgeführt.
- +KANJINTI 440 mg zur Mehrfachdosierung
- +Haltbarkeit des rekonstituierten Konzentrats
- +Das KANJINTI-Konzentrat, das mit dem der 440-mg-KANJINTI-Durchstechflasche beiliegenden bakteriostatischen Wasser für Injektionszwecke rekonstituiert wurde, ist bei 2-8°C 28 Tage lang stabil. Es enthält ein Konservierungsmittel und eignet sich daher für die Mehrfachdosierung. Jede Restmenge des rekonstituierten Konzentrats sollte nach 28 Tagen verworfen werden.
- +Für eine Verabreichung von KANJINTI an einen Patienten mit bekannter Überempfindlichkeit gegenüber Benzylalkohol [siehe Rubrik «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen Abschnitt KANJINTI zur Mehrfachdosierung (Benzylalkohol)»] sollte KANJINTI mit sterilem Wasser für Injektionszwecke rekonstituiert werden, wobei aus jeder Durchstechflasche nur eine Dosis KANJINTI entnommen werden sollte. Das mit sterilem Wasser für Injektionszwecke rekonstituierte Konzentrat sollte sofort verwendet werden. Restmengen sind zu verwerfen.
- +Das rekonstituierte Konzentrat nicht einfrieren.
- +Haltbarkeit der fertig zubereiteten KANJINTI 440 mg-Infusionslösung
- +Die fertig zubereitete KANJINTI-Infusionslösung (verdünnt in 0,9%iger Natriumchloridlösung) ist bei 2-8°C bis zu 24 Stunden und danach während 24 Stunden bei Temperaturen bis zu 30°C physikalisch und chemisch stabil.
- +Aus mikrobiologischen Gründen sollte die KANJINTI-Infusionslösung sofort verwendet werden. Falls sie nicht sofort verwendet wird, liegen die Aufbewahrungsdauer und bedingungen vor der Anwendung in der Verantwortlichkeit des Anwenders. Die Aufbewahrungsdauer soll 24 Stunden bei 2-8°C nicht überschreiten.
- +Hinweise zur Entsorgung
- +Nach Therapieabschluss oder Verfall sind nicht verwendete Arzneimittel in der Originalpackung der Abgabestelle (Arzt oder Apotheker) zur fachgerechten Entsorgung zu retournieren.
-Durchstechflasche mit Lyophilisat zur Herstellung eines Infusionskonzentrats im Kühlschrank (2-8°C) lagern.
- +Im Kühlschrank (2-8°C) lagern.
-Während der Rekonstitution von KANJINTI und der Verdünnung zur Infusionslösung ist Schütteln und übermässige Schaumbildung zu vermeiden, um eventuelles Ausfällen und damit verbunden die Verringerung der gelösten Menge KANJINTI zu verhindern. Ebenso ist rasches Herauspressen aus einer Spritze zu unterlassen.
- +Während der Rekonstitution von KANJINTI und der Verdünnung zur Infusionslösung ist Schütteln und übermässige Schaumbildung zu vermeiden, um eventuelles Ausfällen und damit verbunden die Verringerung der gelösten Menge von KANJINTI zu verhindern. Ebenso ist rasches Herauspressen aus einer Spritze zu unterlassen.
-Haltbarkeit von Rekonstitutionslösung und Infusionslösung
-Allfällige Restmengen von Rekonstitutionslösungen und Infusionslösungen, die nicht unter kontrollierten und validierten aseptischen Bedingungen hergestellt wurden, sind zu verwerfen.
-KANJINTI 150 mg zur Einfachdosierung
-Haltbarkeit des rekonstituierten Konzentrats
-Das mit sterilem Wasser für Injektionszwecke rekonstituierte Konzentrat ist bei 2-8°C bis zu 48 Stunden physikalisch und chemisch stabil.
-Aus mikrobiologischen Gründen sollte das rekonstituierte Konzentrat sofort in der Infusionslösung weiterverdünnt werden. Falls nicht, liegen die Aufbewahrungsdauer und -bedingungen der fertigen Lösung vor der Anwendung in der Verantwortlichkeit des Anwenders und sollten 24 Stunden bei 2-8°C nicht überschreiten, es sei denn, die Rekonstitution wurde unter kontrollierten und validierten aseptischen Bedingungen durchgeführt.
-Das rekonstituierte Konzentrat nicht einfrieren.
-Haltbarkeit der fertig zubereiteten KANJINTI 150 mg-Infusionslösung
-Die fertig zubereitete KANJINTI-Infusionslösung (verdünnt in 0,9%iger Natriumchloridlösung) ist bei 2-8°C bis zu 35 Tage und danach bei Raumtemperatur (≤30°C) 24 Stunden physikalisch und chemisch stabil.
-Aus mikrobiologischen Gründen sollte die KANJINTI-Infusionslösung sofort verwendet werden. Falls sie nicht sofort verwendet wird, liegen deren Aufbewahrungsdauer und -bedingungen der Infusionslösung vor der Anwendung in der Verantwortlichkeit des Anwenders und sollten 24 Stunden bei 2-8°C nicht überschreiten, es sei denn, Rekonstitution und Verdünnung wurden unter kontrollierten und validierten aseptischen Bedingungen durchgeführt.
-KANJINTI 440 mg zur Mehrfachdosierung
-Haltbarkeit des rekonstituierten Konzentrats
-Das KANJINTI-Konzentrat, das mit dem der 440-mg-KANJINTI-Durchstechflasche beiliegenden bakteriostatischen Wasser für Injektionszwecke rekonstituiert wurde, ist bei 2-8°C 28 Tage lang stabil. Es enthält ein Konservierungsmittel und eignet sich daher für die Mehrfachdosierung. Jede Restmenge des rekonstituierten Konzentrats sollte nach 28 Tagen verworfen werden.
-Für eine Verabreichung von KANJINTI an einen Patienten mit bekannter Überempfindlichkeit gegenüber Benzylalkohol [siehe Rubrik «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen Abschnitt KANJINTI zur Mehrfachdosierung (Benzylalkohol)»] sollte KANJINTI mit sterilem Wasser für Injektionszwecke rekonstituiert werden, wobei aus jeder Durchstechflasche nur eine Dosis KANJINTI entnommen werden sollte. Das mit sterilem Wasser für Injektionszwecke rekonstituierte Konzentrat sollte sofort verwendet werden. Restmengen sind zu verwerfen.
-Das rekonstituierte Konzentrat nicht einfrieren.
-Haltbarkeit der fertig zubereiteten KANJINTI 440 mg-Infusionslösung
-Die fertig zubereitete KANJINTI-Infusionslösung (verdünnt in 0,9%iger Natriumchloridlösung) ist bei 2-8°C bis zu 24 Stunden und danach während 24 Stunden bei Temperaturen bis zu 30°C physikalisch und chemisch stabil.
-Aus mikrobiologischen Gründen sollte die KANJINTI-Infusionslösung sofort verwendet werden. Falls sie nicht sofort verwendet wird, liegen die Aufbewahrungsdauer und -bedingungen vor der Anwendung in der Verantwortlichkeit des Anwenders. Die Aufbewahrungsdauer soll 24 Stunden bei 2-8°C nicht überschreiten.
-Hinweise zur Entsorgung
-Nach Therapieabschluss oder Verfall sind nicht verwendete Arzneimittel in der Originalpackung der Abgabestelle (Arzt oder Apotheker) zur fachgerechten Entsorgung zu retournieren.
-Domizil: 6343 Rotkreuz.
- +Domizil: 6343 Rotkreuz
-Version #040320
- +Version #150720
|
|