ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Information professionnelle sur Prazine® dragées:Tentan AG
Information professionnelle complèteDDDAfficher les changementsimprimé 
Composit.Forme gal.Indic./emploiPosolog./mode d'empl.Contre-Ind.PrécautionsInteract.Grossesse
Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
PrésentationsTitulaireMise à jourPhoto 

Mises en garde et précautions

Population pédiatrique
Prazine ne doit pas être administré aux enfants de moins de 12 ans.
La consommation d'alcool doit être évitée en raison d'une éventuelle potentialisation des effets du médicament et d'un risque d'hypotension.
Concernant l'apparition de dyskinésies tardives, de syndromes neuroleptiques malins et d'agranulocytose, se référer à la rubrique « Effets indésirables ».
Prazine ne devrait être administré qu'avec prudence chez les patients souffrant de sclérose cérébrale, de maladies coronariennes, d'hypotension sévère ou d'autres états dans lesquels une diminution de la pression artérielle n'est pas souhaitable.
Les patients présentant des antécédents d'épilepsie ne doivent être traités par des phénothiazines qu'en cas de nécessité absolue. Dans de tels cas, un traitement concomitant par des anticonvulsivants appropriés doit être pratiqué.
Prazine doit être administrée avec précaution aux personnes qui sont exposées à une forte chaleur ainsi qu'aux patients souffrant de maladies cardiovasculaires et hépatiques.
L'effet antiémétique de Prazine peut masquer l'effet toxique d'autres médicaments ou d'autres diagnostics comme par ex. l'obstruction gastro-intestinale.
Prazine doit être administrée avec prudence chez les patients souffrant d'insuffisance respiratoire consécutive à des infections pulmonaires aiguës ou à des troubles respiratoires chroniques (asthme sévère ou emphysème).
Une urticaire légère et une photosensibilité ont été observées. Pour maintenir ces effets secondaires au minimum, le patient doit éviter une exposition excessive au rayonnement solaire. Le personnel infirmier sensible aux phénothiazines devrait manipuler ces produits avec circonspection pour éviter une dermatite de contact.
Agranulocytose
Une agranulocytose apparaît en général entre la quatrième et la dixième semaine de traitement. L'attention des patients devrait être attirée sur le fait que toute apparition soudaine de symptômes d'infection, tels qu'une angine, devra immédiatement être signalée au médecin traitant.
Effet sédatif
L'action sédative du médicament est le plus souvent souhaitée. Dans certains cas cependant, Prazine peut entraîner une somnolence indésirable. Celle-ci disparaît en général en cours de traitement ou peut être atténuée par une réduction de la posologie.
Dyskinésies tardives
Les symptômes sont persistants et, chez certains patients, irréversibles. Le risque d'une dyskinésie tardive semble être accru chez les femmes âgées, traitées par de fortes doses. Il n'existe aucun traitement efficace pour les dyskinésies tardives. Il semblerait que des mouvements vermiculaires de la langue puissent être considérés comme un signe avant-coureur du syndrome. De plus fortes doses d'antipsychotiques risquent de masquer ce syndrome pendant une certaine période, donnant ainsi l'impression d'une amélioration. On ignore quels effets cette suppression de symptômes peut produire à long terme sur l'évolution de la maladie. Pour réduire l'apparition de dyskinésies tardives à un minimum, il faut prescrire la posologie la plus faible pour la période la plus brève que possible aux patients dont l'état exige un traitement de longue durée et contrôler périodiquement la nécessité de poursuivre le traitement.
Syndrome neuroleptique malin
Sous traitement par des neuroleptiques, des cas de syndrome neuroleptique malin, associé à une hyperthermie, une rigidité, une altération de l'état psychique ou à une fragilité du système végétatif, ont été observés. Ce syndrome se développe rapidement et conduit probablement à une issue fatale. À son apparition, il faut donc immédiatement arrêter le traitement antipsychotique et instaurer une thérapie symptomatique, pratiquée sous surveillance étroite.
Hypotension orthostatique
Il a été rapporté que le syndrome a spontanément régressé et que la faiblesse et les vertiges ont disparu. Dans certains cas, surtout chez les éthyliques, il a fallu réduire la dose ou supprimer le médicament. Lorsqu'un effet vasopresseur doit être obtenu, il convient d'utiliser la noradrénaline. L'adrénaline ne doit pas être utilisée vu que Prazine est susceptible d'en inverser l'effet et d'aggraver par la même occasion l'hypotension.
Ictère
L'ictère apparaît d'habitude au cours des premières semaines de traitement. Son incidence totale est faible. L'ictère est en général réversible à l'arrêt du traitement par les phénothiazines; cependant, des cas d'ictère chronique ont également été rapportés.
Interruption brusque de la médication
Les phénothiazines (dont Prazine) ne créent en général aucune dépendance psychique. Cependant, lorsqu'un traitement à fortes doses a été brusquement interrompu, des cas de gastrite, de nausées et de vomissements, de vertiges et de tremblements ont été signalés. Selon ces rapports, une administration concomitante d'un antiparkinsonien permet de réduire de tels symptômes, à condition que celui-ci soit utilisé plusieurs semaines encore après l'arrêt du traitement par les phénothiazines.
Potentialisation
Voir «Interactions».
Saccharose
Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au fructose/galactose, une malabsorption du glucose-galactose ou un déficit en sucrase-isomaltase ne devraient pas utiliser ce médicament.
Jaune orangé S (E 110)
Les dragées de Prazine à 50 mg contiennent le colorant azoïque E 110 (jaune orangé S) qui peut provoquer des réactions allergiques.

2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home