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Mises en garde et précautions

Étant donné que les complications pouvant survenir durant un traitement par glucocorticoïdes dépendent du dosage et de la durée du traitement, une évaluation individuelle entre bénéfice et risque doit être effectuée concernant le dosage et la durée du traitement afin de décider si le traitement à réaliser doit être quotidien ou intermittent. En règle générale, dans toutes les indications, il faut toujours utiliser la dose la plus faible possible, et le cas échéant (c'est-à-dire dès que possible) réduire progressivement la dose.
Effets endocriniens
Les dosages pharmacologiques de corticostéroïdes, qui sont appliqués sur une période prolongée (>2 semaines), peuvent conduire à une suppression de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénal (insuffisance surrénalienne secondaire). L'étendue et la durée d'une insuffisance adrénocorticale varient de patient à patient et dépend de la dose, de la fréquence, du moment de l'administration et de la durée du traitement par glucocorticoïdes. Cet effet peut être réduit par une thérapie alternée.
En cas de stress inhabituel (par exemple affection sévère, opérations majeures, traumatisme sévère) chez les patients soumis à un traitement par corticostéroïdes à long terme, la dose de corticostéroïdes à action rapide doit être augmentée à court terme avant, pendant et après la situation de stress (voir «Posologie/Mode d'emploi», rubrique «Traitement de longue durée»).
L'arrêt soudain des glucorticoïdes peut mener à une insuffisance corticosurrénalienne (avec, comme conséquence selon les circonstances, une issue fatale). C'est pourquoi les stéroïdes ne doivent pas être arrêtés soudainement, mais au contraire en réduisant graduellement la dose.
Une insuffisance corticosurrénalienne relative peut encore persister des mois après l'arrêt du traitement. Si, à ce moment, des situations de stress (par exemple affections sévères, opérations majeures, etc.) existent, une thérapie hormonale devra à nouveau être effectuée. Étant donné que la sécrétion de minéralocorticoïdes peut être limitée, du sel et/ou un corticoïde minéral peut également être administré complémentairement en accompagnement.
Un «syndrome de sevrage des stéroïdes», qui semble être indépendant d'une insuffisance corticosurrénalienne, peut également survenir en cas d'arrêt soudain des glucocorticoïdes. Ce syndrome montre des symptômes tels que: anorexie, nausées, vomissements, léthargie, céphalées, fièvre, douleurs articulaires, desquamation de la peau, myalgies, perte de poids et/ou hypotension.
Chez les patients présentant une hypothyroïdie, l'effet des glucocorticoïdes ajoutés en externe est renforcé.
Après administration systémique de corticostéroïdes, des crises de phéochromocytome ont été rapportées, en partie avec des issues fatales. Les corticostéroïdes ne doivent par conséquent être administrés aux patients présentant un phéochromocytome avéré ou supposé qu'après une évaluation correspondante du rapport des risques/avantages. Si des symptômes potentiels de crise de phéochromocytome tels qu'une crise hypertensive, une insuffisance cardiaque, une tachycardie, des céphalées, des douleurs abdominales et/ou thoraciques, apparaissent chez un patient soumis au traitement au Solu-Cortef, il faut envisager la possibilité d'un phéochromocytome inconnu jusqu'à présent.
Étant donné que les glucocorticoïdes peuvent provoquer ou aggraver un syndrome de Cushing, l'hydrocortisone doit être évitée chez les patients atteints de la maladie de Cushing.
Effets immunosuppresseurs/sensibilité accrue vis-à-vis des infections
Les corticostéroïdes peuvent augmenter la sensibilité aux infections ainsi que masquer les symptômes d'une infection. Ainsi la résistance vis-à-vis du pathogène peut être réduite en cas d'utilisation de corticostéroïdes et la localisation de l'infection peut être rendue difficile. De telles infections peuvent être légères, mais également évoluer de façon sévère et parfois avoir une issue fatale. Le taux de complications infectieuses augmente avec les doses de corticostéroïdes. En cas de maladies infectieuses sévères, il faut veiller à une protection antibiotique ou chimiothérapeutique suffisante.
Des infections causées par des germes pathogènes de toutes sortes (des virus, des bactéries, des champignons, des protozoaires et des helminthes) peuvent survenir et toucher tout l'organisme. Elles peuvent être favorisées par le traitement par un corticostéroïde seul ou en association à d'autres immunosuppresseurs qui altèrent l'immunité cellulaire et humorale ou la fonction neutrophile.
Une varicelle et une rougeole apparaissant pendant un traitement systémique par corticostéroïdes peuvent évoluer vers une forme grave et, surtout chez les enfants, avoir une issue fatale. La varicelle requiert un traitement immédiat par ex. par aciclovir i.v. Chez les patients à risque, une prévention par aciclovir ou une prévention immunitaire passive avec des immunoglobulines antivaricelleusesantizostériennes est indiquée.
L'utilisation de Solu-Cortef chez des patients présentant une tuberculose devrait être limitée aux cas de tuberculose fulminante ou miliaire et uniquement en association avec un traitement antituberculeux. Un contrôle rigoureux est obligatoire chez les patients présentant une tuberculose latente ou une réaction à la tuberculine, étant donné qu'une réactivation de l'affection peut apparaître. Un traitement prolongé à base de corticostéroïdes devrait s'accompagner d'une chimioprophylaxie.
Les corticostéroïdes peuvent aggraver les mycoses systémiques. C'est pourquoi ils ne doivent être administrés qu'en cas d'urgence pour maîtriser les réactions indésirables suite à un traitement par l'amphotéricine B. De plus, il existe des cas connus d'hypokaliémie accompagnée, chez certains patients, de dilatation cardiaque et d'insuffisance cardiaque congestive après administration simultanée d'amphotéricine B et d'hydrocortisone (voir «Interactions»).
L'administration de vaccins vivants est contreindiquée chez les sujets recevant des corticostéroïdes à doses immunosuppressives. L'administration de vaccins inactivés ou contenant des particules virales peut être effectuée, mais le succès vaccinal peut manquer lorsque la vaccination a lieu en même temps qu'un traitement par corticostéroïdes à doses immunosuppressives. Les vaccinations nécessaires peuvent être réalisées chez les patients recevant des corticostéroïdes à doses non immunosuppressives.
L'importance des corticostéroïdes dans le traitement de chocs septiques est controversée. L'utilisation routinière en cas de choc septique n'est pas recommandée.
Effets sur le cœur/la circulation
Les corticostéroïdes systémiques doivent être utilisés avec prudence et seulement en cas de nécessité absolue chez les patients présentant une insuffisance cardiaque.
Les effets indésirables des glucocorticoïdes tels que l'hypertension ou la dyslipidémie peuvent augmenter le risque de complications cardiovasculaires chez les patients présentant des facteurs de risque cardiovasculaire préexistants et qui reçoivent des doses plus élevées durant une période plus longue. Par conséquent, les corticostéroïdes doivent uniquement être utilisés avec prudence chez ces patients ainsi que chez les patients ayant subi un infarctus du myocarde récent.Le cas échéant, une modification du risque est à envisager et/ou un monitorage cardiaque complémentaire est à effectuer. Un dosage peu élevé et/ou une thérapie alternative peuvent réduire la fréquence des complications du traitement par des corticostéroïdes.
Les stéroïdes doivent être utilisés avec prudence chez les patients présentant de l'hypertension.
Des cas de thrombose, en particulier de thromboembolie veineuse, ont été rapportés en lien avec l'utilisation de corticostéroïdes. Par conséquent, la prudence est de rigueur lors de l'utilisation de corticostéroïdes chez des patients présentant une prédisposition avérée ou probable aux affections thromboemboliques.
Effets sur le système nerveux
Les corticostéroïdes ne doivent être utilisés qu'avec prudence chez les patients présentant des troubles convulsifs.
Les corticostéroïdes ne doivent être utilisés qu'avec prudence chez les patients présentant une myasthénie grave. En particulier lors du traitement de la myasthénie grave avec des inhibiteurs de la cholinestérase, l'effet des inhibiteurs de la cholinestérase peut être diminué et le risque d'une crise de myasthénie peut augmenter. Le traitement aux inhibiteurs de la cholinestérase doit par conséquent être terminé 24 heures avant l'administration d'un corticostéroïde (voir «Interactions»).
Des effets indésirables graves, en particulier neurologiques (tels qu'engourdissements, convulsions, parésies, paraplégie, rétention urinaire et arachnoïdite) ont été rapportés après application épidurale ou intrathécale d'hydrocortisone. Solu-Cortef ne doit donc pas être administré par voie épidurale ou intrathécale en dehors de l'indication mentionnée sous «Indications/Possibilités d'emploi».
Des cas de lipomatose épidurale ont été rapportés en rapport avec l'utilisation de corticostéroïdes, surtout en cas d'utilisation à long terme de doses élevées.
Effets sur le psychisme
Des troubles psychiques potentiellement graves peuvent apparaître sous traitement par des corticostéroïdes. Ceux-ci peuvent aller de l'euphorie jusqu'à des dépressions sévères ou des psychoses manifestes, en passant par des insomnies et des changements d'humeur et de la personnalité. Des troubles affectifs déjà existants, ainsi qu'une tendance à la psychose peuvent s'aggraver à cause des effets des corticoïdes. Les symptômes apparaissent généralement dans les jours ou les semaines suivant le début du traitement.
La plupart des réactions disparaissent après réduction de la dose ou arrêt du traitement; malgré cela, un traitement spécifique peut être nécessaire. Des effets indésirables psychiques ont également été rapportés après l'arrêt de la prise de corticostéroïdes.
Les patients et les proches doivent être invités à contacter le médecin en cas d'apparition de symptômes psychiques pendant le traitement, durant ou après la réduction progressive de la dose/l'arrêt du traitement, en particulier en cas de suspicion d'humeur dépressive ou d'intentions suicidaires.
Effets musculo-squelettiques
Des myopathies aiguës, apparues le plus souvent chez des patients présentant des troubles de la transmission neuromusculaire (par exemple une myasthénie grave) ou chez des patients qui recevaient simultanément des bloqueurs neuromusculaires (ou d'autres anticholinergiques) ont été observées en rapport avec l'utilisation de doses élevées de corticostéroïdes. Ces myopathies aiguës évoluent de façon généralisée, elles peuvent impliquer les muscles oculaires et respiratoires et mener à une tétraparésie. Les valeurs de la créatine kinase peuvent augmenter. L'amélioration clinique ou la guérison après l'arrêt des corticostéroïdes peut durer des semaines jusqu'à des années.
L'utilisation à long terme de corticostéroïdes peut mener à une ostéoporose, en particulier chez les patients gériatriques et chez les femmes en état de post-ménopause.
Syndrome de lyse tumorale (SLT)
Au cours de la surveillance du marché, un syndrome de lyse tumorale a été rapporté chez des patients atteints de tumeurs malignes (en particulier de tumeurs hématologiques malignes, mais aussi de tumeurs solides) après l'utilisation de corticostéroïdes systémiques en monothérapie ou en association avec une chimiothérapie. Il s'agit d'un état susceptible de menacer le pronostic vital pouvant survenir consécutivement à une désintégration rapide des cellules tumorales. Le SLT peut être accompagné d'une augmentation de l'acide urique, du potassium et du phosphate dans le sérum, ainsi que d'une baisse du calcium sérique. La fonction rénale peut ensuite être perturbée et se dégrader jusqu'à la survenue d'une insuffisance rénale aiguë. Les facteurs de risque sont les tumeurs dont la charge tumorale et/ou le taux de prolifération sont élevés, ainsi qu'une réponse rapide à un traitement cytotoxique.
Sous traitement par corticostéroïdes, les patients présentant un risque élevé de SLT doivent donc être étroitement surveillés et des mesures prophylactiques appropriées doivent être prises.
Des cas de SLT représentant la première manifestation d'une tumeur maligne jusqu'alors inconnue ont également été rapportés.
Effets oculaires
En cas d'utilisation de corticostéroïdes à long terme, les effets indésirables éventuels sont l'exophtalmie, la cataracte (en particulier chez les enfants) et une augmentation de la pression intraoculaire. Cette dernière peut mener à un glaucome manifeste avec une détérioration du nerf optique. Un examen ophtalmologique périodique est donc à prendre en considération.
En outre, un traitement à base de corticostéroïdes peut favoriser des infections oculaires secondaires par des champignons ou des virus.
Les corticostéroïdes doivent être utilisés avec une prudence particulière et uniquement si la surface cornéenne est intacte chez les patients présentant des infections de l'œil par le virus herpès simplex à cause du danger de perforation de la couche cornée.
Une corticothérapie a également été associée à l'apparition d'une choriorétinite centrale séreuse qui peut mener à un décollement de la rétine.
Réactions d'hypersensibilité
Dans de rares cas, des réactions allergiques telles que des réactions cutanées, des angiœdèmes, des bronchospasmes ou des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes peuvent apparaître après la prise de corticostéroïdes. Par conséquent, des mesures de prudence appropriées doivent être prises avant l'administration, en particulier chez les patients présentant une allergie connue aux médicaments.
Effets gastro-intestinaux indésirables
Un traitement à base de glucocorticoïdes peut masquer les symptômes d'affections gastro-intestinales, si bien que des complications, telles que des hémorragies, une obstruction, une perforation et/ou une péritonite, peuvent survenir de manière inaperçue (c'est-à-dire sans symptomatologie douloureuse importante). Les corticostéroïdes doivent donc être utilisés uniquement avec prudence chez les patients présentant des affections telles que diverticulite, anastomoses intestinales récentes ou ulcères gastroduodénaux (actifs ou latents). Cette prudence s'impose également chez les patients atteints de colite ulcéreuse, en présence d'un risque de perforation imminente, d'abcès ou d'autres infections pyogènes.
De plus, des cas de réapparition d'ulcères gastroduodénaux ont été rapportés sous corticothérapie. On ignore cependant s'il existe un lien de cause à effet entre la corticothérapie et les ulcères. Il existe un risque accru d'ulcère gastroduodénal en association avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
Des doses élevées de corticostéroïdes peuvent déclencher une pancréatite aiguë.
Effets hépatobiliaires
Des troubles hépatobiliaires ont été rapportés. Ceux-ci peuvent être réversibles après l'arrêt du traitement. Une surveillance appropriée est nécessaire.
Patients présentant une insuffisance hépatique
Le métabolisme et l'élimination de l'hydrocortisone sont significativement réduits chez les patients présentant des affections hépatiques préexistantes et une insuffisance hépatique sévère. Les effets souhaités et les effets indésirables peuvent donc être renforcés chez ces patients (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
Traumatisme cranio-cérébral
Les corticostéroïdes ne doivent pas être utilisés pour le traitement de traumatismes cérébraux. Les résultats d'une étude multicentrique ont montré un accroissement significatif de la mortalité par rapport au placebo chez des patients qui recevaient de la méthylprednisolone, à la fois deux semaines après la lésion (risque relatif 1.18; intervalle de confiance à 95% 1.09-1.27) et 6 mois après la lésion (26% versus 22%). Aucune relation causale avec le traitement par la méthylprednisolone n'a pu être établie.
Interactions notables
Une toxicité stéroïdienne accrue pouvant aller jusqu'à des cas de syndrome de Cushing a été rapportée lors de l'administration simultanée de corticostéroïdes et de cobicistat, un inhibiteur puissant du CYP3A et inhibiteur de plusieurs protéines de transport utilisé dans le traitement des infections par le VIH. Par conséquent, Solu-Cortef ne doit être utilisé en association avec du cobicistat qu'après une évaluation attentive du rapport bénéfice/risque. Dans ce cas, il convient de surveiller attentivement l'apparition éventuelle d'effets indésirables dus aux stéroïdes chez le patient. Si possible, l'utilisation d'un autre stéroïde dont le métabolisme est indépendant du CYP3A doit être envisagée.
L'utilisation d'hydrocortisone avec d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 requiert également une prudence particulière (voir «Interactions»). La dose de stéroïdes doit, le cas échéant, être adaptée.
Autres mises en garde et précautions
·Métabolisme du glucose: les corticostéroïdes peuvent augmenter le taux de glucose dans le sang, aggraver un diabète existant et, en cas de thérapie à long terme, augmenter le risque d'un diabète.
·Équilibre hydro-électrolytique: les corticostéroïdes, en particulier à des doses moyennes et élevées, peuvent aboutir à une rétention des sels et des liquides ainsi qu'à une excrétion accrue de potassium. Une restriction de la consommation de sel de cuisine ou encore une substitution en potassium peuvent être nécessaires.
·Insuffisance rénale: les corticostéroïdes doivent être utilisés avec prudence chez les patients insuffisants rénaux.
·Traitement simultané avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens: l'administration d'acide acétylsalycilique et d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens simultanément aux corticostéroïdes doit être envisagée avec prudence. Elle est également particulièrement de rigueur en cas d'hypoprothrombinémie lors de l'administration d'acide acétylsalycilique.
·Sarcome de Kaposi: l'apparition de sarcomes de Kaposi a été rapportée chez les patients sous corticothérapie. L'arrêt de la corticothérapie peut entraîner la rémission clinique.
·Autres affections: la prudence est également de rigueur en cas d'abcès ou d'autres infections pyogènes, de diverticulite, d'anastomoses intestinales récentes et de cirrhose du foie ainsi qu'en cas de migraine dans l'anamnèse.
Utilisation en pédiatrie
Une corticothérapie à long terme peut entraver la croissance et le développement, en particulier en cas de répartition en plusieurs doses par jour. Un tel traitement requiert par conséquent une indication particulièrement formelle, et la croissance et le développement des patients doivent être attentivement surveillés.
Les enfants (en particulier les nourrissons) présentent en outre un risque accru d'élévation de la pression intracrânienne sous corticothérapie à long terme.
Des cas isolés de cardiomyopathie hypertrophique ont été signalés chez des prématurés après l'administration systémique d'hydrocortisone. Il est nécessaire d'effectuer une évaluation diagnostique appropriée et de surveiller la fonction et la structure cardiaques.
Excipients revêtant un intérêt particulier
Solu-Cortef à 100 mg contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par Act-O-Vial, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
Solu-Cortef à 250 mg contient 25.41 mg de sodium par Act-O-Vial, ce qui équivaut à 1.27% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.

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