Mises en garde et précautionsLa prudence est recommandée lors de l’administration de Vilan aux patients présentant:
une dépendance avérée aux opioïdes;
une hypertension intracrânienne;
une hypotension lors d’hypovolémie;
une maladie des voies biliaires;
une pancréatite;
des troubles sévères des fonctions hépatique et rénale;
une bronchopneumopathie chronique obstructive sévère;
un cœur pulmonaire grave;
un asthme bronchique grave;
une respiration limitée.
La morphine peut diminuer le seuil de convulsions chez l’épileptique.
La morphine possède un profil de dépendance et d’abus bien connu, analogue à d’autres opioïdes puissants.
Une dépendance peut se développer lors d’une utilisation régulière et inadéquate. Aucune dépendance psychique n’a été rapportée jusqu’ici pour Vilan administré pour les indications recommandées. Il faut s’attendre à la présence d’une dépendance physique lors d’un arrêt éventuel de Vilan. C’est pourquoi l’interruption du traitement se fera par paliers.
A cause du risque de dépression respiratoire chez le nouveauné, ne pas administrer Vilan durant la naissance.
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