Données précliniquesMutagénicité
Le métoclopramide n'a pas fait l'objet de tests extensifs de mutagénèse.
Un test de mutagénèse mené avec le métoclopramide sur 3 souches bactériennes (Salmonella typhimurium) n'a révélé aucun signe de propriétés mutagènes.
Carcinogénicité
Dans une étude de cancérogénèse menée pendant 77 semaines chez le rat avec des doses orales 40 fois supérieures à la dose thérapeutique, aucune manifestation particulière n'a été observée, à l'exception d'une élévation du taux de prolactine. Chez l'homme, à ce jour, aucune corrélation n'a été établie entre l'utilisation chronique de substances stimulant la prolactine et l'apparition de cancer mammaire, ni dans les études cliniques, ni dans les études épidémiologiques.
Toxicité sur la reproduction
Des études sur la reproduction ont été menées sur 3 espèces animales différentes (souris, rat et lapin). Aucun signe de propriétés tératogènes ou embryotoxiques n'a été observé jusqu'au plus haut domaine posologique testé (116,2 ou 200 mg/kg par voie orale). Les posologies conduisant à une élévation du taux de prolactine ont provoqué des troubles réversibles de la spermatogenèse chez le rat.
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