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Interactions

•La capacité d’absorption de l’iode dans les tissus thyroïdiens est diminuée pendant 2 à 6 semaines après administration d’iopamidol.
•Test de la fonction thyroïdienne: l’utilisation d’un produit de contraste iodé peut interférer avec certains tests de la fonction thyroïdienne pendant une durée allant jusqu’à 16 jours après l’administration. Les tests indépendants de la liaison à l’iode ne sont pas concernés (p. ex. T4 libre).
•Chez les patients cardiaques et/ou hypertendus traités par des diurétiques et/ou des inhibiteurs de l’ACE, le risque d’effet indésirable est augmenté en cas d’administration d’un produit de contraste iodé.
•Les béta-bloquants peuvent éventuellement modifier la prise en charge du bronchospasme et la réponse à l’adrénaline.
•Des cas de thrombose artérielle ont été signalés quand l’iopamidol a été administré après la papavérine.
•Autant que possible, les traitements par des médicaments qui abaissent le seuil épileptogène, comme les neuroleptiques, certains analgésiques, les anti-émétiques ou les dérivés de la phénothiazine, doivent être interrompus 48 heures avant l’administration du produit de contraste. Après celle-ci, le traitement peut être repris au plus tôt après 24 heures.
•L’administration de vasopresseurs potentialise fortement les effets neurologiques du produit de contraste intra-artériel.
•Une toxicité rénale a été signalée chez des patients avec dysfonctionnement hépatique à qui un produit de contraste pour cholécystographie a été administré par voie orale, suivi d’un produit de contraste intravasculaire. L’administration de produits de contraste intravasculaire doit donc être différée chez les patients qui ont récemment reçu un produit de contraste pour cholécystographie par voie orale.
•Chez les patients diabétiques avec néphropathie et sous traitement par des biguanides (metformine), l’utilisation d’un produit de contraste peut provoquer une acidose lactique. Pour prévenir l’apparition d’une acidose lactique chez les patients diabétiques souffrant d’une insuffisance rénale modérée, traités par des médicaments antidiabétiques oraux de la classe des biguanides et devant passer un examen électif, les biguanides doivent être interrompus 48 heures avant l’administration du produit de contraste et ne doivent être repris que 48 heures après, à condition que les valeurs de la créatinine restent inchangées. Chez les patients traités en urgence, chez qui la fonction rénale est limitée ou inconnue, le médecin doit évaluer les risques et les bénéfices associés à l’examen avec un produit de contraste. La metformine doit être arrêtée à partir de l’utilisation du produit de contraste. Après l’examen, le patient doit rester en observation à la recherche de signes d’une acidose lactique. Le traitement par la metformine peut être repris 48 heures après l’administration de produit de contraste, à condition que les valeurs de la créatinine sérique/du DFGe soient inchangées par rapport aux valeurs initiales précédant l’examen d’imagerie médicale. Les patients avec une fonction rénale normale peuvent poursuivre leur traitement par la metformine comme à l’accoutumée.
•Chez les patients traités par des immunomodulateurs comme l’interleukine 2, les réactions de type allergique au produit de contraste surviennent plus fréquemment et peuvent se manifester avec un certain retard.
Les produits de contraste peuvent interférer avec les résultats des analyses de laboratoire de la bilirubine, des protéines ou de composés anorganiques (p. ex. fer, cuivre, calcium et phosphate). Ces composés ne doivent pas être mesurés le même jour après l’utilisation du produit de contraste.
Evaluer l’arrêt des médicaments diminuant le seuil épileptogène jusqu’à 24 heures après une injection intrathécale et chez les patients présentant des troubles de la barrière hémato-encéphalique (voir «Mises en garde et précautions» - Troubles du système nerveux central).

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