ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Information professionnelle sur Lutrelef®:Ferring AG
Information professionnelle complèteDDDAfficher les changementsimprimé 
Composit.Forme gal.Indic./emploiPosolog./mode d'empl.Contre-Ind.PrécautionsInteract.Grossesse
Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
PrésentationsTitulaireMise à jour 

Mises en garde et précautions

Avant d'entreprendre le traitement sous Lutrelef, s'assurer que l'aménorrhée ne résulte d'aucune autre affection (p.ex: insuffisance ovarienne primitive, hyperprolactinémie, hyperandrogénémie, aplasies et atrésies génitales; affections interdisciplinaires et endocrinopathies). Ne pas traiter l'aménorrhée d'origine hypothalamique de stade 1 (clomifène-positive avec règles provoquées) sous gonadoréline substitutive.
Dans de rares cas, le traitement de l'infertilité peut conduire à une hyperstimulation folliculaire associée à la maturation de plusieurs follicules dominants et à un risque de grossesse multiple. Dans un tel cas, le traitement doit être arrêté et réinstauré après un certain temps à une posologie plus faible.
Dans le cas d'un début de grossesse, une surveillance échographique précoce est recommandée.
En outre, des avortements spontanés ont été rapportés après avoir procédé à un traitement inducteur d'ovulation.
Le syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO) est un risque connu lors d'un traitement inducteur d'ovulation, mais rare lors de l'administration de GnRH de façon pulsatile. Les symptômes possibles d'une SHO sont - outre une forte augmentation du volume ovarien – des nausées, des vomissements, une distension abdominale associée ou non à des douleurs, des kystes ovariens, et dans les cas plus sévères, une hypovolémie, une tachycardie, une hypotension, une oligurie, une déshydratation, une ascite, un épanchement pleural, des troubles rénaux et des troubles de la coagulation. La réponse ovarienne doit être soigneusement surveillée cliniquement et par échographie afin de détecter un risque d'hyperstimulation. Lutrelef peut induire un syndrome d'hyperstimulation ovarienne nécessitant l'arrêt du traitement. Le maintien du mécanisme de rétrocontrôle endogène observé sous gonadoréline entraîne généralement la disparition spontanée des manifestations de ce syndrome. Toutefois, des mesures symptomatiques peuvent être requises le cas échéant. Les cas sévères peuvent nécessiter une hospitalisation.
La prudence est de mise en cas de troubles fonctionnels thyroïdiens ou surrénaux.
Des réactions d'hypersensibilité ont été signalées sous Lutrelef allant jusqu'au collapsus cardio-vasculaire et une perte de connaissance. Lors de l'utilisation d'un polypeptide apparenté, le chlorhydrate de gonadoréline, des réactions anaphylactiques ont également été observées. La survenue de telles réactions impose l'arrêt immédiat du traitement. En cas de réactions d'hypersensibilité sévères, il est impératif de placer le patient sous soins intensifs.
Chez les patients présentant un adénome hypophysaire, après administration parentérale de gonadoréline (en une seule dose ou en administration pulsative), des symptômes neurologiques passagers (par ex. céphalées, désorientation) ou ophtalmologiques (par ex. vision floue) ont été rapportés, en particulier lors de l'utilisation concomitante de THR (protiréline). Dans quelques cas, une apoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus hypophysaire) a été observée après l'administration de gonadoréline d'une seule dose de 100 µg (à des fins de diagnostic). Les symptômes possibles d'une apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des modifications de la vision (pouvant aller jusqu'à l'amaurose), une ophtalmoplégie, une paralysie du nerf crânien, une hémiplégie, une altération de l'état mental et occasionnellement un collapsus cardio-vasculaire. Les agonistes de la GnRH ne doivent donc pas être administrés en présence avérée d'un adénome hypophysaire. En cas d'apoplexie hypophysaire, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire.
Lors de l'administration à long terme des médicaments de cette classe pharmacothérapeutique, la formation d'anticorps peut se produire dans des cas isolés et entraîner une diminution de l'efficacité.
Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ml, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».

2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home