Données précliniquesDes études sur la toxicité (aiguë, subaiguë et chronique) portées sur des rongeurs et des non rongeurs n'ont pas révélé des résultats particuliers. Cependant, il y a des données indiquant que le chlorhydrate de naltrexone pourrait être hépatotoxique aux doses élevées. Des élévations réversibles d'enzymes hépatiques ont été observées également lors de l'utilisation clinique aux doses thérapeutiques et élevées (voir aussi «Effets indésirables»).
Des études à long terme chez la souris et le rat n'ont révélé aucun potentiel carcinogène.
Une étude spécifique in vitro et in vivo n'a démontré aucun potentiel mutagène notable.
Chez les rates, l'administration du chlorhydrate de naltrexone (100 mg/kg/jour) a significativement augmenté les pseudo-gestations et diminué le taux de gestation. L'importance de ces observations pour l'homme n'est pas connue.
On a observé des effets embryolétaux chez des rates ayant reçu la naltrexone aux doses de 100 mg/kg/jour avant et durant la gestation et chez des lapines ayant reçu des doses de 60/mg/kg/jour durant la phase du développement des organes.
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