OEMédCompositionPrincipe actif: roxithromycine.
Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
Forme galénique et quantité de principe actif par unité1 comprimé pelliculé contient 150 mg ou 300 mg de roxithromycine
Indications/Possibilités d’emploiInfections dues aux germes sensibles traitées par Rulid 2× 150 mg, notamment dans les manifestations:
ORL; bronchopulmonaires;
génitales, en particulier prostatiques (à l’exception de la blennoragie); cutanées; stomatologiques; prophylaxie de la méningite à méningocoques chez les sujets contacts.
Infections dues aux germes sensibles pouvant être traitées avec Rulid 300 mg lors des manifestations suivantes:
urétrites non gonorrhéiques;
infections urogénitales à chlamydia et mycoplasmes.
Veuillez consulter les recommandations officielles pour l’emploi approprié des antibiotiques, en particulier les recommandations visant à réduire l’augmentation à la résistance contre les antibiotiques.
Posologie/Mode d’emploiChez l’adulte: 1 comprimé à 150 mg matin et soir; intervalle entre les prises de 12 h.
Dose maximale: 600 mg/jour p.o. (2 comprimés à 150 mg matin et soir; intervalle entre les prises de 12 h).
D’autres urétrites non gonorrhéiques et d’autres infections urogénitales peuvent également être traitées par une dose journalière de 1× 300 mg.
Pédiatrie
Au cours des essais cliniques, la dose moyenne utilisée a été de 6 mg/kg/jour.
La posologie à utiliser est de 5 à 8 mg/kg/jour en 2 prises espacées de 12 h. La durée du traitement ne doit pas être prolongée au-delà de 10 jours.
L’utilisation des comprimés est déconseillée chez l’enfant de moins de 4 ans.
En pédiatrie, la durée maximale du traitement est de 10 jours (cf. «Mises en garde et précautions»).
Posologies spéciales
Sujets âgés de plus de 65 ans: on note un allongement de la demi-vie. Après la prise répétée de 150 mg de roxithromycine à 12 h d’intervalle, l’augmentation du pic plasmatique est insignificante (11,3 mg/l) par rapport à celle observée chez les sujets jeunes; elle n’est pas modifiée par la prise de Rulid 300 mg à 24 heures d’intervalle. Une adaptation de la posologie n’est pas nécessaire.
Insuffisance rénale: en raison de la faible élimination du produit par voie rénale, une adaptation de la posologie n’est pas nécessaire.
Insuffisance hépatique grave: il est recommandé de réduire la dose à 150 mg 1×/jour.
La roxithromycine est à prendre de préférence avant les repas. Avaler les comprimés avec un verre d’eau ou de lait, sans les croquer.
Contre-indicationsHypersensibilité aux macrolides;
association aux alcaloïdes vasoconstricteurs de l’ergot de seigle.
Mises en garde et précautionsVoir rubrique «Posologies spéciales».
Des anomalies du cartilage de croissance ont été observées chez le jeune animal à des concentrations plasmatiques de la forme libre 30 à 60 fois supérieures à celles observées en clinique. Aucune anomalie n’ayant été observée à des concentrations plasmatiques de la forme libre 10 à 15 fois supérieures à celles observées en clinique, il est recommandé de limiter la posologie à 5–8 mg/kg/jour pendant une période maximale de 10 jours.
A cause de son élimination par voie biliaire, la roxithromycine doit être préscrite avec précaution chez les patients avec une fonction hépatique réduite et chez les patients recevant des médicaments hépatotoxiques. Le traitement avec la roxithromycine doit être immédiatement interrompu en cas d’ictère cholestatique ou d’une augmentation des transaminases.
Un traitement à long terme peut provoquer – comme tous les antibiotiques – la croissance de germes non-sensibles et de mycoses. Une telle superinfection doit être traitée immédiatement par une therapie adéquate.
Si l’administration simultanée de midazolam s’avère nécessaire, le patient devrait être observé durant les quatre heures qui suivent l’administration de cette substance. Bien que les données manquent, la prudence est de rigueur lors de l’administration simultanée de roxithromycine et de triazolam.
Au cours d’études in vitro , la roxithromycine et l’érythromycine ont provoqué un allongement de l’intervalle QT dose-dépendante dans des faisceaux de Purkinje isolés de lapins. Cet effet ne se manifeste toutefois qu’à des doses supérieures aux doses thérapeutiques. On ignore si cet effet se manifeste aux concentrations sérologiques normales thérapeutiques de la roxithromycine chez l’être humain.
Dans certaines conditions, les macrolides, roxithromycine incluse, ont le potentiel d’allonger l’intervalle QT. En conséquence la roxithromycine devrait être administrée avec prudence chez les patients:
avec allongement congénital de l’intervalle QT,
ayant des conditions proarrhythmiques en cours (par ex. hypokaliémie non corrigée, hypomagnésie, bradycardie cliniquement significative),
sous traitement avec des agents antiarrhythmiques de classe IA et III.
Comme c’est le cas avec les autres macrolides, la roxithromycine peut potentiellement aggraver la myasthénie gravis.
InteractionsChez des volontaires sains, la concentration plasmatique de théophylline ne s’est que faiblement élevée lors de l’administration simultanée de roxithromycine. Une modification de la posologie habituelle de la théophylline n’est pourtant pas considérée comme indispensable.
Ergotamine
Une fréquence accrue de gangrène des extrémités, telle qu’elle est décrite dans le cadre de l’ergotisme, a été observée lors de l’emploi simultané de macrolides et d’ergotamine ou d’autres dérivés vasoconstricteurs de l’ergot de seigle. De telles associations sont contre-indiquées.
Midazolam/Triazolam
Comme d’autres macrolides, la roxithromycine peut augmenter l’AUC (area under the curve) de la courbe concentration-temps dessinée sous traitement avec le midazolam. La demi-vie du midazolam peut également être augmentée. C’est pourquoi les effets du midazolam peuvent être renforcés et prolongés chez les patients traités avec de la roxithromycine (cf. «Mises en garde et précautions»). Il n’existe pas de preuve déterminante similaire en ce qui concerne une interaction entre la roxithromycine et le triazolam.
Ciclosporine
Administration simultanée de roxithromycine et de ciclosporine: il n’est normalement pas nécessaire de procéder à une adaptation de la posologie de la ciclosporine malgré la légère augmentation de son taux plasmatique. La prudence est de rigueur en présence d’insuffisance rénale. Le taux de ciclosporine doit faire l’objet d’un contrôle particulier lors d’une thérapie à la roxithromycine, car les deux médicaments sont métabolisés par le même cytochrome P450nf (le taux de ciclosporine peut augmenter).
Digoxine
La roxithromycine peut augmenter l’absorption de la digoxine ou d’autres glycosides cardiaques et provoquer dans de rares cas un surdosage de la digoxine. Dans ces situations, un contrôle de l’ECG et des taux plasmatiques de la digoxine est recommandé. Ces mesures sont indispensables en cas de symptômes d’un surdosage supposé par un glycoside cardiotonique.
Autres
Certains macrolides augmentent les taux plasmatiques de la terfénadine en raison d’une interaction pharmacocinétique, ce qui peut provoquer des arythmies ventriculaires et particulièrement des torsades de pointes. Bien qu’aucune réaction de ce type n’ait été observée pour la roxithromycine, la prise simultanée de terfénadine est déconseillée.
La roxithromycine, comme les autres macrolides, devrait être administrée avec prudence chez les patients sous traitement avec des agents antiarrhythmiques de classe IA et III.
De même, d’autres médicaments également métabolisés par l’isoenzyme hépatique CYP3A, tels que l’astémizole, le cisapride ou le pimozide, peuvent provoquer un allongement de l’intervalle QT et/ou des arythmies cardiaques lorsqu’ils sont administrés en même temps que des macrolides. Bien que la roxithromycine ne possède que peu ou pas d’affinité pour le CYP3A, l’existence d’une interaction de ce type ne peut être exclue. Par conséquent, l’administration simultanée de la roxithromycine et de ces médicaments est déconseillée.
Dans des études pharmacocinétiques, aucune interaction avec la warfarine n’a été observée. Un rallongement du taux de prothrombine a cependant été rapporté (augmentation du TP ou de l’INR/chute du temps de Quick) après administration concomitante de roxithromycine et d’antivitamines K, un rapport de cause à effet avec l’administration concomitante de roxithromycine n’étant pas vérifié. En cas d’administration concomitante, un contrôle de l’INR ou du temps de Quick est recommandé.
Il n’existe aucune interaction cliniquement significative avec la carbamazépine, les contraceptifs oraux (les oestrogènes et les progestatifs), la ranitidine et les préparations comportant de l’hydroxyde d’aluminium ou de magnésium.
Alimentation: l’absorption n’est pas modifiée quand le produit est administré avant le repas.
Grossesse/AllaitementIl n’y a pas d’informations cliniques suffisantes pour l’administration de roxithromycine pendant la grossesse. Les études chez des animaux n’ont pas démontrées des effets directs ou indirects sur la grossesse, le développement embryonnaire, fétal ou péri-/postnatal (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu.
La roxithromycine doit être utilisée avec précaution pendant la grossesse.
La roxithromycine ne passe qu’en très faibles quantités dans le lait (<0,05% de la dose administrée). C’est quand-même possible que cela puisse éventuellement provoquer, chez le nourrisson allaité, des perturbations de la flore intestinale, des mycoses ou des sensibilisations. Roxithromycine ne doit pas être utilisée pendant l’allaitement sauf si nécessaire; en ce cas, il est recommandé de cesser l’allaitement.
Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machinesLes risques de sensations vertigineuses peuvent rendre dangereuse la conduite automobile ou l’utilisation de certaines machines.
Effets indésirablesLes effets indésirables sont classés par organe et par groupe de fréquence en utilisant la convention suivante: très fréquents (>1/10); fréquents (>1/100, <1/10); occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10’000, <1/1000); très rares (<1/10’000).
Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
Très rare: éosinophilie.
Troubles psychiatriques
Très rare: hallucinations.
Troubles du système nerveux
Rares: vertige, céphalées, paresthésie. Comme avec les autres macrolides, de rares cas de troubles du goût (incluant l’agueusie) et de l’odorat (incluant l’anosmie) ont été rapportés.
Troubles gastrointestinaux
Fréquents: douleurs abdominales (dyspepsie), nausées, vomissements, diarrhée.
Rare: diarrhée sanglante.
L’apparition d’une diarrhée doit faire envisager le diagnostic différentiel d’une colite pseudomembraneuse.
Troubles hépato-biliaires
Occasionnels: une faible induction des enzymes hépatiques ou une augmentation de la bilirubine sérique ont été observés.
Très rares: hépatite cholestatique ou hépatocellulaire aiguë (avec parfois une jaunisse), comme pour d’autres macrolides.
Rare: pancréatite.
Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
Occasionnels: éruption cutanée, urticaire, érythème multiforme respectivement syndrome de Stevens-Johnson.
Très rares: oedème de Quincke et un purpura, un bronchospasme et un choc anaphylactique.
SurdosageConduite à tenir en cas de surdosage: lavage gastrique et traitement symptomatique. Il n’existe pas d’antidote spécifique.
Propriétés/EffetsCode ATC: J01FA06
La roxithromycine est un antibiotique semi-synthétique de la famille des macrolides.
L’action de la roxithromycine est bactériostatique. Le mécanisme d’action consiste en un blocage de la synthèse protéique.
Le spectre antimicrobien in vitro est le suivant:
CMI (mg/l) CMI 90%
valeurs (mg/l)
extrêmes
-------------------------------------------------
Germes habituellement
sensibles
Streptococcus pyogenes 0,06–0,25 0,25
(groupe A)
Streptococcus viridans 0,03–0,25 0,12
Streptococcus agalactiae <0,008–0,03 0,03
(groupe B)
Haemophilus ducreyi 0,03
Streptococcus pneumoniae 0,025–12,8 0,4
Neisseria meningitidis 0,3–4
Bordetella pertussis 0,008–0,03 0,03
Branhamella catarrhalis 0,12–0,5 0,5
Corynebacterium spp. 0,02–0,04 0,02
Mycoplasma pneumoniae 0,01 0,01
Chlamydia trachomatis 0,1
Chlamydia pneumoniae (TWAR) 0,125
Ureaplasma urealyticum 0,1–2 0,5
Legionella pneumophila 0,03–0,25 0,06
Campylobacter pylori <0,008–0,03 0,01
Gardnerella vaginalis 0,16–0,12 0,12
Rickettsia spp. 1
Bacillus cereus 0,39
Borrelia burgdorferi 0,06–0,25 0,12
Propionibacterium spp. 0,03–1 0,25
Actinomyces spp. 0,06–1 1
Bifidobacterium spp. 0,06–1 1
Germes partiellement
ou modérément sensibles
Staphylococcus aureus 0,5–2 2
(sensible aux pénicillines)
Haemophilus influenzae 1,8–32 8
Campylobacter jejuni 0,25–8 4
Moraxella spp. 0,25–2,5 2,5
Bacteroides spp. 0,003–4 4
Clostridium perfringens 0,25–8 4
Peptococcus spp. 0,125–>64 1
Peptostreptococcus spp. 0,03–64 1
Eubacterium spp. 0,06–>64 2
Germes habituellement
résistants
Staphylococcus epidermidis 0,25–128 128
Bacteroides fragilis 0,25–>64 >64
Clostridium difficile 0,25–>64 >64
Fusobacterium spp. 0,25–>64 >64
Enterobacteriaceae >128
Pseudomonas >128
Staphylococcus aureus >128
(résistant aux pénicillines)
Pour les infections causées par des germes à sensibilité modérée, il est conseillé de tester la sensibilité afin d’exclure une résistance éventuelle. La sensibilité vis-à-vis de la roxithromycine peut être contrôlée par méthodes standardisées de dilution ou de disques.
PharmacocinétiqueLa roxithromycine résiste à l’acidité gastrique; elle est absorbée rapidement et dans une proportion d’environ 60% (valeur calculée selon un modèle) à partir du tube digestif. Le macrolide est retrouvé dans le sérum dès la 15minute.
Chez l’adulte, le pic sérique (T) est atteint en environ 2 h après la prise de 150 mg et 300 mg resp., et chez l’enfant, 1,6 h après la prise de 2,5 mg/kg à jeun.
Les tests ont montré que la prise d’un comprimé 15 minutes avant le repas ne modifie pas la pharmacocinétique chez le sujet sain.
Distribution
La liaison aux protéines plasmatiques est de 96%; la roxithromycine se lie principalement à l’alpha-glycoproteine. Cette liaison est saturable et diminue dès que la concentration de roxithromycine dépasse 4 mg/l.
Paramètres pharmacocinétiques chez le sujet sain après prise unique d’un comprimé à 150 mg et d’un comprimé à 300 mg resp.:
pic sérique moyen (C): 6,6 mg/l et 9,7 mg/l resp.;
taux sérique moyen 12 h après la prise d’un comprimé: 1,8 mg/l et 3,5 mg/l resp.;
demi-vie moyenne: 10,5 h chez l’adulte, 20 h chez l’enfant.
Comprimé à 150 mg
La dose journalière doit être administrée en deux prises à 12 h d’intervalle afin de maintenir une concentration sérique efficace pendant 24 h. Chez le sujet sain absorbant un comprimé à 150 mg toutes les 12 h, le taux plasmatique atteint un plateau en l’espace de deux à quatre jours. Durant cette période, le taux plasmatique oscille entre 9,3 et 3,6 mg/l chez l’adulte et entre 8,7 et 3,1 mg/l chez l’enfant.
Comprimé à 300 mg
La prise journalière de 300 mg permet d’atteindre le plateau plasmatique en 2 à 4 jours; le taux plasmatique se situe alors entre 10,9 mg/l et 1,7 mg/l au minimum chez l’adulte.
Diffusion tissulaire: les concentrations tissulaires mesurées respectivement 6 et 12 h après la prise répétée de 150 mg de roxithromycine (3 prises à 12 h d’intervalle):
poumons: 5,6 mg/kg (6 h) et 3,7 mg/kg (12 h);
amygdales: 2,6 mg/kg (6 h) et 1,7 mg/kg (12 h);
prostate: 2,8 mg/kg (6 h) et 2,4 mg/kg (12 h).
Métabolisme
Plus de la moitié de la roxithromycine est éliminée sous forme inchangée. Trois métabolites inactifs ont été décelés en quantité décroissante dans l’urine et dans les fèces:
descladinose-roxithromycine; N-monométhyl-roxithromycine; N-diméthyl-roxithromycine.
La roxithromycine et ses 3 métabolites sont éliminés dans l’urine et dans les fèces.
Elimination
L’élimination est principalement fécale: 72 h après l’administration per os de roxithromycine C, la radioactivité urinaire ne représente plus que 12% de l’ensemble excrété dans l’urine et les matières fécales.
Cinétique pour certains groupes de patients
Sujets âgés (plus de 65 ans): la demi-vie d’élimination est en moyenne doublée chez le sujet âgé. L’écart à la linéarité de la cinétique est plus marqué chez le sujet âgé que chez le sujet jeune. L’augmentation des concentrations plasmatiques après administration répétée est donc plus faible que celle attendue. Une adaptation posologique n’est pas nécessaire.
Insuffisance rénale: La demi-vie d’élimination est doublée. En raison de la faible élimination rénale de la molécule active, il n’est pas nécessaire de modifier la posologie.
Insuffisance hépatique sévère: par exemple, cirrhose hépatique avec ictère et/ou ascite, il est recommandé de réduire la dose à 150 mg 1×/jour.
Données précliniquesDes études de toxicité pour la reproduction avec des doses orales de 400, 200 et 135 mg/kg/jour respectivement chez des souris, des rats et des lapins n’ont pas montré des effets tératogènes; à des doses maternotoxiques, une embryotoxicité a été observée.
Les études standard de génotoxicité n’ont pas démontrées des effets de la roxithromycine.
Des anomalies de l’ossification ont été provoquées chez le jeune chien traité pendant au moins six jours. Chez le jeune singe, des fortes doses de roxithromycine administrées pendant quatre semaines ont provoqué des changements histologiques à l’épiphyse fémorale. Ces anomalies ont été observées à des concentrations plasmatiques de la forme libre 30 à 60 fois supérieures à celles observées en clinique (voir «Mises en garde et précautions»). Concernant l’allongement de l’intervalle QT dans les études in-vitro , voir «Mises en garde et précautions».
Remarques particulièresLe médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date d’expiration, indiquée sur l’emballage comme suite «EXP».
Remarques concernant le stockage
Le médicament doit être conservé dans son emballage original à température ambiante (15–25 °C).
Numéro d’autorisation48533 (Swissmedic).
Titulaire de l’autorisationsanofi-aventis (suisse) sa, 1217 Meyrin.
Mise à jour de l’informationAvril 2008.
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