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Information professionnelle sur Zantic®:GlaxoSmithKline AG
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Composition

Principe actif: Ranitidinum (ut Ranitidini hydrochloridum).

Excipients
Comprimés pelliculés: Excipiens pro compresso.
Comprimés effervescents: Aspartamum, Aromatica, Con­serv.: E 211 (Natrii benzoas), Excipiens pro compresso.
Solution injectable: Aqua q.s. ad solutionem pro 5 ml.

Forme galénique et quantité de principe actif par unité

Comprimés pelliculés (non sécables) à 150 mg et 300 mg de Ranitidinum.
Comprimés effervescents (non sécables) à 150 mg de Ranitidinum.
Ampoules à 50 mg de Ranitidinum par 5 ml pour injection intraveineuse.

Indications/Possibilités d’emploi

Zantic est indiqué pour les affections suivantes: ulcère duodénal et ulcère gastrique bénin, ulcère postopératoire, oesophagite de reflux, syndrome de Zollinger-Ellison.
Dans les ulcères duodénaux récidivants, accompagnés d’une infection à Helicobacter pylori avérée, la ranitidine doit être administrée en association avec deux antibiotiques (amoxicilline et métronidazole).
Zantic est également indiqué dans la prévention des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l’appareil gastro-intestinal supérieur et dans la prévention des ulcères de stress.
Zantic s’utilise également dans la dyspepsie acide et en prémédication anesthésique pour atténuer les séquelles du syndrome d’inhalation de liquide gastrique.

Posologie/Mode d’emploi

Les comprimés pelliculés sont à avaler avec un peu de liquide. Les comprimés effervescents sont à délayer dans un demi-verre d’eau (au moins 75 ml).
Ulcère duodénal, ulcère gastrique bénin, ulcère postopératoire: la posologie usuelle est de 150 mg 2×/jour (matin et soir au coucher, indépendamment du moment des repas), ou de 1× 300 mg au coucher pendant 4 à 6 semaines.
La poursuite du traitement pour une deuxième période de 4 semaines n’est nécessaire que chez peu de patients. Dans le traitement de l’ulcère duodénal, une posologie de 300 mg 2×/jour pendant 4 semaines permet d’obtenir un meilleur taux de guérison chez les patients de sexe masculin qu’une posologie de 150 mg 2×/jour ou de 300 mg 1×/jour au coucher pendant 4 semaines. La dose plus élevée de 300 mg 2×/jour ne sera utilisée que si la dose plus faible n’a pas abouti au résultat thérapeutique. Cette augmentation posologique ne se traduit pas par une fréquence accrue d’effets indésirables.
La dose prophylactique de 150 mg par jour, administrée au coucher, peut s’avérer utile chez les patients ayant bien répondu au traitement à court terme, mais aussi notamment chez ceux prédisposés aux récidives.
Dans les ulcères duodénaux récidivants, accompagnés d’une infection à Helicobacter pylori avérée, Zantic est administré à raison de 300 mg 1×/jour au coucher ou de 150 mg 2×/jour, matin et soir au coucher, indépendamment du moment des repas, en association avec 750 mg d’amoxicilline 3×/jour par voie orale et 500 mg de métronidazole 3×/jour par voie orale pendant 2 semaines. Ensuite, la prise de Zantic doit être poursuivie pendant 4 semaines supplémentaires. Ce schéma thérapeutique a permis d’éradiquer le Helicobacter pylori chez 89% des patients, le taux de récidives n’étant que de 2% après 12 mois de suivi.
Oesophagite de reflux: la posologie est de 150 mg 2×/jour ou de 300 mg 1×/jour (au coucher) sur une période n’excédant pas 12 semaines.
En cas d’oesophagite de reflux de gravité moyenne à sévère, la dose peut atteindre 150 mg 4×/jour pendant une période allant jusqu’à 12 semaines.
Dans le traitement prolongé, la dose recommandée est de 150 mg 2×/jour.
Syndrome de Zollinger-Ellison: la dose initiale est de 150 mg 3×/jour (le matin, à midi et au coucher); au besoin, elle peut être augmentée jusqu’à 600 à 900 mg par jour. Des doses journalières allant jusqu’à 6 g ont été bien tolérées.
Dyspepsie acide: la posologie recommandée s’élève à 150 mg 2×/jour, pendant une période allant jusqu’à 6 semaines. Les patients réfractaires au traitement ou récidivant en peu de temps devraient être soumis à un examen approfondi.
Prémédication anesthésique: pour atténuer les séquelles du syndrome d’inhalation du liquide gastrique (syndrome de Mendelson): 150 mg 2 heures avant l’induction de l’anesthésie et, si possible, 150 mg la veille au soir.
Pour minimiser l’effet sur la biodisponibilité de la didanosine et de l’atazanavir, il est conseillé d’administrer la didanosine 2 heures après et l’atazanavir à un intervalle de 12 heures par rapport à des médicaments qui modifient le pH (cf. «Interactions»).

Application parentérale
L’application parentérale demeure réservée aux situations dans lesquelles les formes orales ne peuvent être administrées. Elle s’effectue de la manière suivante:
Dose unique intraveineuse: 50 mg, de préférence en
Perfusion: 25 mg/h pendant 2 heures. Répéter après 6 à 8 heures.
Injection i.v.: 50 mg (= 5 ml) à diluer dans 20 ml, puis injecter lentement (sur 2 min au moins) . Répéter toutes les 6 à 8 heures.
Prophylaxie de l’ulcère de stress et des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l’appareil gastro-intestinal supérieur: 50 mg de Zantic 3 à 4×/jour par voie intraveineuse (de préférence en brève perfusion, voir plus haut «Injection i.v.»), puis continuer par 150 mg 2×/jour par voie orale. Chez des patients gravement malades, administrer une dose initiale de 50 mg de Zantic par voie intraveineuse, suivie d’une perfusion continue de 0,125 à 0,250 mg/kg/h.
Prémédication anesthésique , pour atténuer les séquelles du syndrome d’inhalation du liquide gastrique (syndrome de Mendelson): si la prémédication ne peut être effectuée par voie orale (voir «Administration orale»), diluer 50 mg dans 20 ml puis injecter lentement (sur 2 min au moins) une heure avant l’induction de l’anesthésie.

Instructions posologiques spécifiques
Chez les enfants à partir d’un mois, la dose orale recommandée de Zantic dans le traitement de l’ulcère gastro-duodénal est de 2 à 4 mg/kg de poids corporel 2× par jour, jusqu’à une dose journalière maximale de 300 mg. Toutefois, l’expérience acquise en pédiatrie est encore limitée.
Patients de plus de 50 ans (cf. «Pharmacocinétique, Cinétique pour certains groupes de patients»).

Fonction rénale réduite
La ranitidine est éliminée par voie rénale. En cas d’insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min), la concentration plasmatique est plus élevée et la demi-vie plasmatique est prolongée (cf. «Pharmacocinétique»): Chez ces patients, la dose recommandée s’élève à 150 mg par jour par voie orale et à la moitié de la dose habituelle par voie parentérale.

Contre-indications

Zantic ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une hypersensibilité avérée à l’un de ses composants.

Mises en garde et précautions

Un accroissement du pH gastrique fait augmenter le risque d’une colonisation par des germes pathogènes.
Le traitement par un antagoniste des récepteurs Hpeut masquer les symptômes d’un cancer gastrique et en retarder le diagnostic. Il faut donc écarter, avant le traitement, la présence d’un ulcère malin chez les patients souffrant d’un ulcère gastrique ou chez les patients âgés présentant des symptômes dyspeptiques récents ou récemment modifiés.
En cas d’insuffisance rénale, il faut réduire la dose (voir «Instructions posologiques spécifiques»).
Un contrôle régulier, notamment chez les patients âgés, est conseillé en cas d’ulcère gastro-duodénal et de traitement concomitant avec des AINS.
En cas d’application intraveineuse, une surveillance étroite est indiquée, en particulier chez les patients présentant des facteurs prédisposant aux troubles du rythme. (Dans de rares cas, une injection trop rapide a provoqué une bradycardie.)
L’emploi de la ranitidine est à éviter chez les patients présentant des antécédents de porphyrie aigüe.
Les patients âgés, les diabétiques ainsi que les sujets présentant une affection pulmonaire chronique ou une immunodéficience peuvent avoir un risque plus élevé de pneumonie acquise en ambulatoire (CAP). Une vaste étude épidémiologique a montré un risque relatif de pneumonie majoré de 1,63 fois (IC à 95%, 1,07–2,48) chez les patients sous antagonistes des récepteurs Hpar rapport à des patients qui avaient arrêté le traitement.
Chez les patients suivant un régime hyposodé, il est recommandé de prescrire les comprimés pelliculés au lieu des comprimés effervescents du fait de leur teneur en sodium (voir «Remarques particulières»).
Les comprimés effervescents de Zantic contiennent de l’aspartame. Chez les patients atteints de phénylcétonurie, il est donc recommandé de prescrire les comprimés pelliculés au lieu des comprimés effervescents.

Interactions

La ranitidine a la capacité d’influencer la résorption, la métabolisation ou l’excrétion rénale d’autres médicaments. La modification de la pharmacocinétique peut impliquer un ajustement du dosage pour les médicaments concernés ou l’arrêt du traitement.
Les interactions peuvent se traduire par différents mécanismes.

1. Inhibition du système d’oxygénase multifonctionnelle dépendant du cytochrome P450
Administrée selon les dosages thérapeutiques habituels, la ranitidine n’induit pas le renforcement de l’effet des médicaments inactivés via ce système enzymatique, tels le diazépam, la lidocaïne, la phénytoïne, le propranolol et la théophylline.
Pour les anticoagulants coumariniques (par ex. la warfarine), une modification des temps de prothrombine a été rapportée. Peu de données concernant la phenprocoumone et l’acénocoumarol sont disponibles. Du fait de la marge thérapeutique étroite de ces médicaments, une surveillance étroite de l’allongement ou de la réduction du temps de prothrombine est recommandée durant le traitement concomitant avec la ranitidine.

2. Concurrence à la sécrétion tubulaire rénale
Comme la ranitidine est partiellement éliminée au moyen du système de transport des cations, la clairance des autres médicaments excrétés par cette voie peut s’en trouver affectée. Des doses élevées de ranitidine (p.ex. pour le traitement du syndrome Zollinger-Ellison) peuvent diminuer l’excrétion du procaïnamide et du N-acétylprocaïnamide, et par conséquent, générer de fortes concentrations plasmatiques de ces médicaments.

3. Modification de la valeur de pH de l’estomac
La modification du pH gastrique peut influencer la biodisponibilité de certains médicaments. La résorption peut être renforcée (par ex. triazolam, midazolam, didanosine, glipizide) ou réduite (par ex. kétoconazole, atazanavir, délavirdine, géfitinib) (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
Rien n’indique qu’il existe une interaction entre Zantic et l’amoxicilline ou le métronidazol.
Si des doses élevées (2 g) de sucralfate sont prises en même temps que le Zantic, la résorption de Zantic est réduite. C’est pourquoi il faut prendre le sucralfate au moins deux heures après Zantic.

Grossesse/Allaitement

Les études de reproduction menées chez l’animal n’ont révélé aucun risque pour l’embryon ou le foetus; cependant, on ne dispose pas d’études contrôlées chez la femme enceinte.
Lors de l’emploi de Zantic au cours de la grossesse, la prudence est donc de rigueur.
Zantic franchit la barrière placentaire. Administré aux doses thérapeutiques au début de l’accouchement ou avant une césarienne, le médicament est dépourvu d’effets défavorables sur le travail, l’accouchement et l’enfant.
Zantic passe dans le lait maternel; la portée clinique de cette constatation n’a pas encore été entièrement élucidée, mais la possibilité d’une perturbation de la sécrétion gastrique ne peut être écartée. Le produit ne devrait donc pas être utilisé pendant la période d’allaitement.

Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines

Aucune étude correspondante n’a été effectuée. Toutefois, un effet négatif du médicament ne peut être exclu (voir «Effets indésirables»).

Effets indésirables

Les effets indésirables observés ont été classifiés au moyen de leur fréquence d’apparition de la façon suivante:
Très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100 et <1/10), occasionnel (>1/1’000 et <1/100), rare (>1/10’000 et <1/1’000), très rare (<1/10’000).

Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
Très rares: Altérations de la formule sanguine (leucopénie, thrombocytopénie), en général réversibles.
Agranulocytose, pancytopénie, parfois associée à une hypoplasie ou une aplasie médullaire.

Troubles du système immunitaire
Rares: Réactions d’hypersensibilité (urticaire, oedème de Quincke, fièvre, bronchospasme, chute tensionnelle, douleurs thoraciques).
Très rares: Choc anaphylactique.
Ces événements indésirables ont été décrits même après une dose unique.

Troubles psychiatriques
Très rares: Etats confusionnels réversibles, dépressions et hallucinations.
Ces événements ont été observés surtout chez les patients gravement malades ou âgés.

Troubles du système nerveux
Occasionnels: Céphalées, vertiges, fatigue.
Très rares: Mouvements involontaires réversibles tels que dystonies, dyskinésies, myoclonies, symptomatologie parkinsonienne.

Troubles oculaires
Très rares: Vue brouillée passagère.
Certains rapports faisant état de vue brouillée évoquent des troubles de l’accommodation.

Troubles cardiaques
Très rares: Comme avec d’autres antagonistes des récepteurs H, bradycardie, bloc AV et asystolies, notamment en cas d’injection trop rapide.

Troubles vasculaires
Très rares: Vascularite.

Troubles gastro-intestinaux
Occasionnels: Diarrhées, constipation, nausées.
Très rares: Pancréatite aiguë.

Troubles hépato-biliaires
Occasionnels: Modification passagère et réversible des paramètres hépatiques.
Très rares: Hépatite (hépatocellulaire, cholestatique ou mixte) avec ou sans ictère (en général réversible).

Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
Occasionnels: Eruption cutanée.
Rares: Prurit.
Très rares: Erythème polymorphe, chute de cheveux.

Troubles musculosquelettiques
Très rares: Arthralgie et myalgie.

Troubles rénaux et urinaires
Très rares: Néphrite interstitielle aiguë.

Troubles des organes de reproduction et des seins
Très rares: Impuissance réversible, symptômes mammaires (tels que gynécomastie et galactorrhée).

Surdosage

Zantic ayant une action très spécifique, aucun problème particulier n’est à craindre en cas de surdosage.
Au besoin, pratiquer un traitement symptomatique.

Propriétés/Effets

Code ATC: A02BA02
Zantic est un antagoniste spécifique des récepteurs H. Le médicament inhibe la sécrétion basale et stimulée d’acide gastrique en réduisant à la fois le volume sécrété et la concentration en acide et pepsine.
Administré par voie orale, Zantic présente une durée d’action relativement longue: une dose de 150 mg permet d’inhiber la sécrétion gastrique pendant 12 heures.

Pharmacocinétique

Après administration orale de 150 mg de ranitidine, les concentrations plasmatiques maximales (300 à 550 ng/ml) sont atteintes en 1 à 3 heures. Deux pics distincts ou un plateau dans la phase d’absorption résultent de la réabsorption du principe actif excrété dans l’intestin. La biodisponibilité absolue de la ranitidine est de 50–60%.

Distribution
La ranitidine n’est pas fortement liée aux protéines plasmatiques (15%), mais a un grand volume de distribution qui s’étend de 96 à 142 l.

Métabolisme
La ranitidine est peu métabolisée. La fraction de la dose retrouvée sous forme de métabolites est comparable après administration orale et intraveineuse; 6% de la dose retrouvée dans les urines est sous forme de N-oxyde, 2% sous forme de S-oxyde, 2% sous forme de ranitidine déméthylée et 1à 2% en tant qu’analogue de l’acide furoïque.

Élimination
Les concentrations plasmatiques diminuent de façon bi-exponentielle, avec une demi-vie finale de 2–3 heures. L’élimination a lieu principalement par voie rénale. Après administration intraveineuse de 150 mg de ranitidine marquée (³H), 98% de la radioactivité est retrouvée, 5% dans les fèces et 93% dans l’urine dont 70% sous la forme inchangée du principe actif. Après administration orale de 150 mg de ranitidine marquée (³H), 96% de la radioactivité est retrouvée, 26% dans les fèces et 70% dans l’urine dont 35% sous la forme inchangée du principe actif. Moins de 3% de la dose sont excrétés avec la bile. La clairance rénale est d’environ 500 ml/min et excède le taux de filtration glomérulaire ce qui suggère une sécrétion tubulaire rénale.

Cinétique chez certains groupes de patients
La ranitidine étant principalement éliminée par voie rénale, les taux plasmatiques sont augmentés chez les patients ayant une fonction rénale réduite et chez les patients âgés ayant une clairance rénale diminuée (cf. «Posologie/Mode d’emploi» et «Mises en garde et précautions»).

Patients de plus de 50 ans
Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3–4 h) et la clairance réduite, en conséquence à la diminution de la fonction rénale liée à l’âge. L’exposition systémique est augmentée d’environ 50%.

Données précliniques

Hormis les effets indésirables connus, il n’existe aucune donnée préclinique pertinente pour l’homme. Par ailleurs, les expériences animales et les études in vitro n’ont révélé aucun indice évoquant un potentiel mutagène, carcinogène ou toxique pour la reproduction.

Remarques particulières

La solution injectable de Zantic peut être mélangée avec les solutions pour perfusion suivantes:
solution de NaCl à 0,9%, solution de glucose à 5%, solution de NaCl à 0,18% et de glucose à 4%, solution d’hydrogénocarbonate de sodium à 4,2%, solution de Hartmann.

Informations
Les comprimés effervescents de Zantic à 150 mg contiennent 328 mg de sodium, soit 834 mg de sel de cuisine. Chez les patients suivant un régime hyposodé, il est donc conseillé de prescrire les comprimés pelliculés au lieu des comprimés effervescents.
La solution injectable ne doit pas être autoclavée.

Conservation
Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date indiquée sur l’emballage par la mention «EXP».
Les comprimés pelliculés et les comprimés effervescents de Zantic doivent être conservés en dessous de 30 °C, la solution injectable en dessous de 25 °C et à l’abri de la lumière.
Conservation de la solution injectable prête à l’emploi (non diluée) après ouverture de l’ampoule: la préparation est exempte de conservateurs. La solution injectable non diluée est à utiliser immédiatement après l’ouverture de l’ampoule. La solution inutilisée doit être jetée.
Conservation de la préparation extemporanée après dilution: La préparation pour injection/perfusion diluée ne contient pas de conservateurs. A une température de 25 °C, elle reste stable sur le plan chimique et physique pendant 24 heures. Pour des raisons microbiologiques, la préparation extemporanée est à utiliser immédiatement après la dilution. La solution inutilisée doit être jetée.

Numéro d’autorisation

44375, 50963, 44374 (Swissmedic).

Titulaire de l’autorisation

GlaxoSmithKline AG, 3053 Münchenbuchsee.

Mise à jour de l’information

Août 2010.

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