Données précliniquesDes effets toxiques ne sont apparus qu’à des doses bien supérieures aux doses recommandées pour l’emploi chez l’homme. Il s’agissait des effets prévisibles pour les agonistes βpuissants.
Dans les études à long terme, le salmétérol a provoqué des tumeurs bénignes de la musculature lisse dans le mésovarium de la souris et l’utérus de la rate. La littérature de même que nos propres recherches pharmacologiques permettent de conclure qu’en l’occurrence, il s’agit d’effets spécifiques de l’espèce, donc non pertinents pour l’emploi clinique chez l’homme.
Le salmétérol ne possède aucun potentiel génotoxique.
Les études portant sur la toxicité de reproduction ont révélé un allongement de la durée de gestation lors de l’administration de fortes doses orales.
A de très hautes concentrations dépassant très largement les doses vraisemblablement administrées aux patients, le gaz propulseur HFA134a exempt de CFC n’a provoqué aucun effet toxique chez plusieurs espèces animales, lors d’une exposition quotidienne poursuivie sur une période de deux ans.
|