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Information professionnelle sur Nicorette® dispositif transdermique:Janssen-Cilag AG
Information professionnelle complèteDDDimprimé 
Composit.Forme gal.Indic./emploiPosolog./mode d'empl.Contre-Ind.PrécautionsInteract.Grossesse
Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
TitulaireMise à jour 

OEMéd

Composition

Principe actif: nicotine (0,83 mg/cm²).
Excipients: Excipiens ad praeparationem.

Forme galénique et quantité de principe actif par unité

1 dispositif transdermique de 15 mg/16 h contient 24,9 mg de nicotine. Libération de principe actif sur la peau (transdermique): 15 mg/16 h.

Posologie permettant une réduction graduelle des doses de nicotine (chaque fois 2–3 semaines)
1 dispositif transdermique de 10 mg/16 h contient 16,6 mg de nicotine. Libération de principe actif sur la peau (transdermique): 10 mg/16 h.
1 dispositif transdermique de 5 mg/16 h contient 8,3 mg de nicotine. Libération de principe actif sur la peau (transdermique): 5 mg/16 h.

Indications/Possibilités d’emploi

Traitement de soutien de la désaccoutumance au tabac par modération de la relation à la dépendance en réduisant les symptômes de sevrage chez les fumeurs présentant une dépendance à la nicotine.

Posologie/Mode d’emploi

Pendant le traitement par le dispositif transdermique Nicorette, le patient doit complètement arrêter la consommation de tabac. Une forte motivation pour arrêter de fumer est donc importante.
Le dispositif transdermique Nicorette est destiné au traitement de l’adulte à partir de 18 ans. Chez les adolescents de 12 à 18 ans, la préparation ne doit être utilisée qu’en cas de forte dépendance à la nicotine et uniquement après consultation du médecin, du pharmacien ou du droguiste (voir également sous «Contre-indications»).
Le médicament est contre-indiqué chez l’enfant de moins de 12 ans.

Posologie et durée du traitement
La posologie est individuelle et est fixée en fonction des besoins de nicotine nécessaire pour réduire les symptômes de sevrage. Pour assurer le plus grand succès thérapeutique possible, les fumeurs nicotino-dépendants fumant 10 cigarettes et plus par jour devraient commencer le traitement par l’utilisation d’un dispositif transdermique Nicorette de 15 mg/16 h.
Pour les personnes fumant moins de 10 cigarettes/jour mais nécessitant tout de même un soutien pharmacologique pour se déshabituer de fumer, le dépôt à mâcher dont la posologie est facilement adaptable au cas individuel, est recommandé.
La durée du traitement par la posologie initiale (1 dispositif transdermique Nicorette de 15 mg/16 h) est individuellement variable et s’étendra en général sur 1 mois. Ensuite la quantité de nicotine est réduite graduellement par l’utilisation d’un dispositif transdermique de 10 mg/16 h pendant 2–3 semaines, suivie de l’application d’un dispositif transdermique de 5 mg/16 h pendant également 2–3 semaines. La durée totale du traitement se limite à 3 mois.
Le dispositif transdermique est destiné à être utilisé en tant que succédané nicotinique durant une cure de désintoxication tabagique d’une durée limitée dont le succès dépendra essentiellement de la motivation et de la volonté du fumeur. Le dispositif transdermique n’augmente la probabilité de succès que si le tabagisme est déjà complètement arrêté durant la première semaine. Des conseils ciblés augmentent les chances de la désaccoutumance au tabac.

Directives d’emploi
Le traitement de désaccoutumance ne doit pas engendrer une exposition plus élevée à la nicotine que lors du tabagisme.
Par analogie au comportement habituel du fumeur, le dispositif transdermique sera porté pendant env. 16 heures par jour.
Le dispositif transdermique est appliqué le matin (au moment du lever) et enlevé le soir (au moment du coucher). Après l’enlèvement de la pellicule protectrice, le dispositif est collé sur la peau intacte, propre, sèche et sans poil au niveau de la hanche, du bras supérieur ou du thorax; ensuite une pression ferme est exercée sur le dispositif pendant 10 à 15 secondes. Pour éviter les irritations cutanées, on changera tous les jours de site d’application. Pour éviter que de la nicotine collant éventuellement sur les doigts ne parvienne dans les yeux, il est recommandé de se laver soigneusement les mains après toute manipulation du dispositif transdermique.
Après leur retrait de la peau, les dispositifs transdermiques usagés doivent être éliminés avec soin. Les dispositifs transdermiques, même usagés, sont toxiques pour les enfants en bas âge et doivent être éliminés hors de la portée des enfants.

Contre-indications

La préparation est contre-indiquée chez les non-fumeurs, les enfants de moins de 12 ans et en principe chez les adolescents. Chez les adolescents, la préparation ne doit être utilisée qu’en cas de forte dépendance à la nicotine et uniquement après consultation du médecin, du pharmacien ou du droguiste.
Hypersensibilité cutanée à la nicotine; affections cutanées systémiques telles que psoriasis, dermatite chronique, urticaire et autres; affections cardiovasculaires graves telles qu’angine de poitrine instable, arythmies graves, état après infarctus du myocarde récent (dans les 3 mois); attaque apoplectique.
Grossesse et période d’allaitement.

Mises en garde et précautions

Il est indispensable que le patient arrête complètement de fumer dès le début du traitement avec le dispositif transdermique Nicorette. C’est pourquoi il est important de soutenir le traitement avec d’autres méthodes afin de faciliter le sevrage. Les patients qui continuent à fumer pendant un traitement avec le dispositif transdermique Nicorette s’exposent à des risques d’effets indésirables en raison de concentrations plasmatiques de nicotine plus élevées que lors du tabagisme courant.
Il convient de peser soigneusement les avantages par rapport aux risques d’un traitement avec le dispositif transdermique Nicorette dans les situations suivantes: angine de poitrine stable, troubles du rythme cardiaque, insuffisance cérébrovasculaire, insuffisance cardiaque, hypertension, artériopathie oblitérante, insuffisance rénale ou hépatique.
La prudence est de mise chez les patients atteints d’ulcère peptique. La nicotine peut stimuler la production d’adrénaline. Par conséquent, elle ne devrait être administrée qu’avec prudence chez les patients souffrant d’hyperthyroïdie ou d’un phéochromocytome.
Comme le tabagisme peut conduire à une résistance à l’insuline, une dose plus faible d’insuline sera vraisemblablement nécessaire aux diabétiques après une désaccoutumance au tabac.

Interactions

Une désaccoutumance au tabac, réalisée avec ou sans substitution partielle de nicotine, peut modifier la réaction de l’organisme à d’autres médicaments pris en même temps. Le tabagisme (toutefois pas la nicotine) s’accompagne d’une augmentation de l’activité du cytochrome CYP1A2. Après une désaccoutumance tabagique, certains substrats de cette enzyme peuvent montrer une clearance réduite. Ainsi, une augmentation du taux plasmatique de certains médicaments peut s’observer, principalement ceux dont la marge thérapeutique est étroite comme théophylline, tacrine et clozapine. Le taux plasmatique de la caféine peut également augmenter.
Les taux plasmatiques d’autres médicaments dont le métabolisme passe partiellement par le CYP1A2, comme imipramine, olanzapine, clomipramine et fluvoxamine, peuvent également augmenter lors de désaccoutumance tabagique. Toutefois, des données plus fondées n’existent pas et l’importance clinique de cet effet est encore inconnue pour les substances citées.
Des résultats parcimonieux indiquent que le tabagisme induit également le métabolisme de flécaïnide et pentazocine.

Grossesse/Allaitement

La nicotine sous toutes ses formes (cigarettes et dispositifs transdermiques Nicorette pour se déshabituer de fumer) est déconseillée pendant la grossesse et l’allaitement. Il est prouvé que la consommation de cigarettes est nocive pour la mère et le foetus. La nicotine peut provoquer un poids de naissance diminué, un risque d’avortement augmenté et une mortalité périnatale plus élevée. La nicotine parvient au foetus et influence les mouvements respiratoires et la circulation. L’effet sur la circulation est dose-dépendant. Des cas d’avortements spontanées lors d’un traitement substitutif avec la nicotine ont été signalés. L’effet spécifique du dispositif transdermique Nicorette sur le développement foetal n’est pas connu. Par conséquent, il convient d’encourager les femmes enceintes qui fument d’entreprendre une cure de désaccoutumance au tabac sans succédané pharmacologique de la nicotine. L’utilisation du dispositif transdermique Nicorette pendant la grossesse ne peut être envisagée que lorsque la probabilité d’un succès thérapeutique justifie l’exposition à la nicotine et que la patiente fumerait si elle ne se soumettait pas à une cure de désaccoutumance avec le dispositif transdermique Nicorette.

Allaitement
La nicotine passe dans le lait maternel en quantité pouvant nuire au nourrisson, même à la posologie thérapeutique de Nicorette dispositif transdermique. C’est pourquoi l’utilisation de Nicorette est à éviter durant l’allaitement. Le nourrisson doit être sevré si une substitution de nicotine s’avère nécessaire pendant l’allaitement.

Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines

Le dispositif transdermique Nicorette pouvant provoquer des effets indésirables tels que vertiges, céphalées et nausées, ce médicament peut affecter les réactions, l’aptitude à la conduite et l’aptitude à utiliser des machines.

Effets indésirables

Les effets secondaires de Nicorette dispositif transdermique apparaissent principalement au cours des premières semaines après le début du traitement. Ils sont dus aux effets locaux et systémiques de la nicotine et sont dose-dépendants.
Chez 20% des patients traités, des réactions cutanées locales et modérées s’observent durant les premières semaines de traitement. Certains symptômes, comme vertiges, céphalées et insomnie, peuvent faire partie des symptômes de sevrage apparaissant dans le cadre d’une désaccoutumance au tabac. De même, une multiplication d’aphtes peut apparaître après le sevrage. La causalité reste inexpliquée.
Les effets indésirables suivants peuvent apparaître lors de l’utilisation de Nicorette dispositif transdermique:

Fréquents (>1/100)
SNC: céphalées, vertiges.
Tractus gastro-intestinal: malaise, nausée, vomissements.
Localement: démangeaisons, érythème.

Occasionnels (1/100–1/1000)
Circulation: palpitations.
Peau: urticaire.

Rares (<1/1000)
SNC: insomnie.
Coeur et vaisseaux: fibrillation auriculaire réversible.
Chez les personnes dont le système cardiovasculaire est déjà atteint, les symptômes d’une cardiopathie coronaire (p.ex. angine de poitrine) et/ou d’une maladie artérielle occlusive périphérique (claudication intermittente) peuvent être accentués.
Afin d’éviter des irritations cutanées il est indiqué de changer chaque jour le site d’application.
Une dépendance à la nicotine peut parfois subsister.

Surdosage

Un surdosage peut survenir lorsque plusieurs dispositifs transdermiques sont appliqués simultanément, lorsqu’un patient présente une tolérance nicotinique très faible ou que le traitement par le dispositif transdermique Nicorette est associé à un apport concomitant de nicotine (p.ex. lorsque le patient continue à fumer).
Dans le cas d’un surdosage les symptômes relevés correspondent à ceux d’une intoxication nicotinique aiguë. On peut observer: nausée, salivation, douleurs abdominales, vomissement, diarrhées, accès de sueur, hypothermie, maux de tête, vertige, troubles de l’ouïe et asthénie marquée. Dans les cas extrêmes, une chute de la pression artérielle, un pouls faible et irrégulier, une dyspnée, une perte de la connaissance, un collapsus circulatoire et des convulsions terminales peuvent survenir. Chez l’homme, la dose létale aiguë de nicotine se situe entre 40 et 60 mg. Des doses de nicotine bien tolérées par des fumeurs adultes sont susceptibles, chez les enfants en bas âge, de provoquer des symptômes sévères d’une intoxication à la nicotine qui peuvent s’avérer fatals.
Dans le cas d’intoxications graves, les mesures suivantes sont recommandées: arrêt immédiat de l’apport de toute forme de nicotine, maintien d’une température corporelle normale, respiration assistée en cas d’insuffisance respiratoire et traitement standard indiqué dans le cas d’une hypotension ou d’un collapsus cardiovasculaire. L’administration de charbon activé diminue l’absorption gastrointestinale de la nicotine.

Propriétés/Effets

Code-ATC: N07BA01
Médicament antitabac.

Mécanisme d’action
L’administration transdermale de nicotine permet la diminution des symptômes de sevrage apparaissant chez les fumeurs nicotino-dépendants.

Pharmacodynamie
La nicotine, le constituant du tabac qui crée l’accoutumance, est un alcaloïde doté d’une forte activité biologique et présentant des propriétés sympathomimétiques et cholinergiques. Cliniquement ces activités se traduisent, entre autres, par une augmentation de la fréquence cardiaque et une hausse de la pression sanguine, une stimulation centrale et une motilité gastro-intestinale accrue.

Efficacité clinique
Le dispositif transdermique Nicorette est utilisé en tant que traitement de substitution chez les personnes qui désirent se déshabituer de fumer.
Il réduit les symptômes de privation se manifestant chez les fumeurs nicotino-dépendants après l’arrêt du tabagisme et multiplie environ par deux les chances de succès de l’arrêt du tabagisme. Les troubles de la santé causés par la teneur en goudron et en monoxyde de carbone de la fumée de tabac sont évités.
Le dispositif transdermique Nicorette représente une forme galénique alternative aux pastilles dépôt à mâcher Nicorette, aux comprimés sublinguaux Nicorette Microtab, au Nicorette Inhaler et au spray nasal Nicorette.

Pharmacocinétique

Sous forme de sa base libre la nicotine est absorbée rapidement à travers la peau intacte. La libération de la nicotine à partir du dispositif transdermique se fait lentement, et elle est contrôlée par diffusion au niveau du dispositif. C’est la structure polymère du dispositif transdermique qui règle la quantité de nicotine absorbée. Ainsi une absorption cutanée continue est assurée. Déjà quelques heures après l’application, on mesure des concentrations plasmatiques croissant lentement. Par contre, des concentrations plasmatiques de nicotine élevées et augmentant rapidement telles qu’on les observe chez le fumeur sont évitées. La biodisponibilité absolue se chiffre à plus de 90%, et elle est indépendante du site d’application.

Distribution
La concentration plasmatique maximale est atteinte au bout de 5–10 heures; dans le cas du dispositif transdermique de 15 mg/16 h elle s’élève à 12–15 ng/ml. Une concentration comparable est également atteinte 20–30 minutes après la consommation d’une cigarette moyennement forte, ce qui correspond à la moitié de la concentration observée après la consommation continue de deux cigarettes moyennement fortes par heure.

Métabolisme et élimination
La nicotine est métabolisée principalement dans le foie, et elle est excrétée par voie urinaire ensemble avec ses métabolites. La demi-vie est de 1 à 2 heures. La clearance plasmatique est de 1,2 l/min. Les poumons et les reins sont également des sites de métabolisation de la nicotine. Vingt produits de dégradation de la nicotine différents ont été identifiés, qui sont probablement tous moins actifs que la nicotine. Le métabolite principal trouvé dans le plasma, la cotinine, est éliminée avec une demi-vie de 16 heures et sa concentration atteint des valeurs 10 fois plus importantes que celles de la nicotine.
Normalement, 10% environ de la nicotine sont éliminés par voie rénale sous forme inchangée. Toutefois, lorsque le flux urinaire est élevé et lors d’une acidification de l’urine à un pH inférieur à 5, jusqu’à 30% de la nicotine peuvent être éliminés avec les urines. Seule une petite partie de la cotinine (15% de la dose) est excrétée inchangée par voie rénale. La cotinine est métabolisée en substances polaires hydrosolubles, et on la retrouve surtout sous forme hydroxylée dans les urines (45% de la dose).
Des études récentes sur l’application transdermique de nicotine démontrent une baisse lente des taux plasmatiques immédiatement après l’arrêt de l’apport de nicotine, avec des demi-vies s’étendant sur 3 à 7 heures. Aucune accumulation n’a été observée après l’application répétée de dispositifs transdermiques à la nicotine.
La pharmacocinétique est équivalente pour les patients des deux sexes.

Cinétique dans les situations particulières
En cas d’insuffisance rénale sévère, il faut s’attendre à une perturbation de la clearance de la nicotine et de ses métabolites.
La clearance de la nicotine reste inchangée chez les patients atteints de cirrhose hépatique et d‘insuffisance hépatique légère (CHILD-score de 5), alors qu’elle diminue lors d’une insuffisance hépatique modérée (CHILD-score de 7). Des taux plasmatiques de nicotine plus élevés ont été observés chez les patients fumeurs atteints d’insuffisance rénale.
Chez les patients âgés, une légère diminution de la clearance totale de la nicotine a été mise en évidence, ne nécessitant toutefois aucune adaptation posologique.

Données précliniques

Aucune donnée préclinique sur la sécurité de Nicorette dispositif transdermique n’est disponible. Toutefois, la toxicité de la nicotine contenue dans le tabac est bien documentée. Les symptômes typiques d’une intoxication aiguë regroupent pouls faible et irrégulier, insuffisance respiratoire et convulsions généralisées.
Les études de toxicologie de la reproduction avec la nicotine réalisées dans différentes espèces animales ont montré un retard de croissance aspécifique des foetus. Chez le rat, des indices d’effets nocifs sur la fertilité, d’allongement de la phase de gestation et de troubles du comportement des jeunes animaux ont été retrouvés. Chez la souris, des défauts squelettiques des extrémités de la descendance ont été constatés à de très fortes doses. La nicotine traverse la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
Aucun indice ne parle clairement pour une propriété génotoxique ou mutagène de la nicotine. La cancérogénicité vérifiée du tabagisme repose principalement sur les substances se formant lors de la combustion du tabac. Aucune de ces substances n’est présente dans Nicorette dispositif transdermique.

Remarques particulières

Un traitement par le dispositif transdermique Nicorette exige que le patient arrête complètement sa consommation de tabac. Il est donc important qu’il ait vraiment la volonté ferme de s’arrêter de fumer. Le risque de devenir dépendant du dispositif transdermique est plus faible que lorsqu’on fume des cigarettes, la posologie de la nicotine sous forme transdermique étant faible et ne provoquant pas de pointes de concentration dans le sérum.

Mise en garde à propos des enfants
La nicotine est un principe actif très puissant. La dose thérapeutique tolérée par l’adulte peut provoquer de graves symptômes toxiques chez le petit enfant; c’est-à-dire que, si on ne le remarque pas à temps, l’application «pour jouer» d’un dispositif transdermique Nicorette peut être mortelle pour l’enfant. Il est donc impératif de conserver les dispositifs transdermiques Nicorette hors portée des enfants.
Même après leur utilisation ces dispositifs contiennent toujours de la nicotine; il est donc indispensable de les éliminer de telle manière qu’il ne peuvent pas tomber entre les mains d’enfants.

Stabilité
Respecter la date de péremption «EXP» (= date de péremption: mois/année) imprimée sur l’emballage. Conserver à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants. Quand l’emballage intérieur a été ouvert, la validité du dispositif transdermique est limitée et il devrait être utilisé sans tarder.

Numéro d’autorisation

51938 (Swissmedic).

Titulaire de l’autorisation

Janssen-Cilag AG, Baar, ZG.

Mise à jour de l’information

Février 2008.

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