Données précliniquesLors d’études toxicologiques chez les rats, des adénomes hypophysaires sont survenus après plus de 6 mois de traitement avec des implants. Lors d’études prolongées chez le chien et le singe avec des implants de buséréline, les analyses morphologiques et histologiques ont mis en évidence un tissu hypophysaire normal après 5 années, respectivement 20 mois de traitement. Aucun cas de génotoxicité n’a été observé dans les tests in vitro ou in vivo habituels.
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