Mises en garde et précautionsinsuffisance rénale et/ou hépatique;
anémie hémolytique lors de déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase; utilisation simultanée de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou inducteurs des enzymes hépatiques.
Des mesures de précaution sont nécessaires en cas d’abus d’alcool. L’alcool peut augmenter l’hépatotoxicité du paracétamol, surtout lors de carence alimentaire concomitante. Dans ce cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà conduire à des lésions hépatiques.
L’attention des patients et des parents d’enfants traités par le paracétamol doit être attirée sur le fait que les analgésiques ne doivent pas être pris régulièrement pendant longtemps sans prescription médicale et qu’une forte fièvre ou l’aggravation de l’état général de l’enfant exige de consulter le médecin suffisamment tôt. Les douleurs persistantes nécessitent un examen médical.
Le patient doit être rendu attentif au fait que des céphalées peuvent survenir lors d’une consommation chronique d’analgésiques, incitant à la poursuite de la médication et à l’entretien des céphalées (dites céphalées sur analgésiques).
La consommation prolongée d’analgésiques et surtout d’associations de plusieurs substances contre la douleur peut amener à des lésions rénales définitives avec le risque d’une insuffisance rénale (néphropathie aux analgésiques).
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