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Information professionnelle sur Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml, 10 mg/ml, 20 mg/ml:Grosse Apotheke Dr. G. Bichsel AG
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Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
PrésentationsTitulaireMise à jour 

Composition

Principe actif: Lidocaini hydrochloridum anhydricum.
Excipients: Natrii chloridum, Aqua ad iniectabile.

Indications/Possibilités d’emploi

Anesthésique pour anesthésie régionale et l'anesthésie par infiltration.

Posologie/Mode d’emploi

Dose maximale: 4.5 mg/kg PC ou 300 mg chez les adultes et 4.5 mg/kg PC chez les enfants. Pour les enfants, adopter un dosage plus faible et une solution plus diluée (5 mg/ml, 10 mg/ml) correspondant à leur âge.
La dose maximale de 300 mg pour les adultes correspond aux volumes suivants:

Lidocaïne HCl

Dose maximale

5 mg/ml (0.5 %)

60 ml

10 mg/ml (1 %)

30 ml

20 mg/ml (2 %)

15 ml

Contre-indications

Hypersensibilité connue à la lidocaïne ou à d'autres anesthésiques locaux de type amide.
Ne pas injecter dans des zones infectées.

Mises en garde et précautions

Les anesthésies régionales doivent toujours être effectuées avec un matériel approprié et dans un environnement hospitalier adéquat. Le médecin doit avoir à portée de main le matériel nécessaire et les médicaments permettant de surveiller le patient et de le réanimer en urgence si nécessaire.
En cas de blocages importants ou d'administration de doses importantes, une canule i.v. doit être introduite avant l'injection de l'anesthésique local.
Les médecins pratiquant l'anesthésie locale doivent disposer d'une expérience et d'un entraînement suffisants. De même, ils doivent impérativement maîtriser le diagnostic et le traitement d'effets secondaires potentiels, et savoir gérer la toxicité systémique ou d'autres complications éventuelles (voir «Surdosage»).
Afin de réduire les risques d'effets secondaires dangereux, il convient d'accorder une attention particulière aux patients suivants:
·patients âgés ou patients dont l'état général est déficient;
·patients souffrant d'un blocage partiel ou complet du système de conduction myocardique, étant donné que l'anesthésique local peut affaiblir la conduction dans le myocarde;
·patients présentant des maladies du foie à un stade avancé ou des troubles graves de la fonction rénale;
·les patients sous traitement avec des antiarythmiques de la classe III (par ex. amiodarone) doivent être surveillés, et un monitoring ECG devrait être pris en considération car les effets cardiaques peuvent être additifs;
·chez les patients atteints de porphyrie aigüe, Lidocaïne «Bichsel» ne doit être administré que dans des cas d'urgence car il pourrait être porphyrinogène. Des mesures de précaution doivent être prises dans le cas de patients présentant de tels risques.
Certaines formes d'anesthésie locale peuvent, quel que soit l'anesthésique local utilisé, provoquer les effets secondaires graves suivants:
Les blocages centraux de nerfs peuvent provoquer des dépressions cardiovasculaires, particulièrement lors de l'apparition d'une hypovolémie; par conséquent, les anesthésies épidurales ne devraient être appliquées qu'avec prudence chez les patients souffrant d'insuffisance cardiovasculaire.
Les injections au niveau de la tête et de la nuque qui ont été effectuées accidentellement dans une artère provoquent des symptômes cérébraux déjà à une dose faible.
Le bloc paracervical peut provoquer une bradycardie/tachycardie chez le foetus de sorte qu'une surveillance étroite du rythme cardiaque du foetus est nécessaire.
L'anesthésie épidurale peut provoquer une hypotension et une bradycardie. Afin de réduire le risque de telles complications, il convient de procéder à une expansion préalable de la circulation avec des solutions cristalloïdes ou colloïdales.
Une hypotension doit être traitée immédiatement par l'administration par ex. de 5 à 10 mg d'éphédrine i.v. qui sera répétée si nécessaire.

Interactions

La lidocaïne devrait être utilisée avec prudence chez les patients traités simultanément par d'autres anesthésiques locaux ou d'autres principes actifs de structure apparentée aux anesthésiques locaux de type amide (anti-arythmiques comme par ex. la tocaïnide et la méxilétine), car leurs effets toxiques systémiques sont additifs.
Aucune étude d'interactions spécifique entre la lidocaïne et les anti-arythmiques de classe III (par ex. l'amiodarone) n'a été effectuée. La prudence est toutefois recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
L'administration concomitante de bêta-bloquants, tels que le propranolol, le métoprolol ou le nadolol, augmente la concentration plasmatique de lidocaïne (en raison de l'abaissement de la clairance).
La cimétidine antagoniste des récepteurs-H2 peut élever jusqu'à 50 % la concentration plasmatique de lidocaïne. Des concentrations plasmatiques augmentées s'observent également avec l'amiodarone, la quinidine, le diltiazem, l'érythromycine, le fluconazole, la fluvoxamine, l'itraconazole, le kétoconazole, la nifédipine, la roxithromycine, l'acide valproïque et le vérapamil.
Les substances inductrices d'enzymes, telles les barbituriques (surtout le phénobarbital), la phénytoïne et les benzodiazépines accélèrent la dégradation de la lidocaïne. De même, des concentrations plasmatiques plus faibles sont induites par l'administration simultanée d'aminoglutéthimide, de carbamazépine, de primidone et de rifampicine.
En outre, la lidocaïne renforce l'effet du suxaméthonium et d'autres myorelaxants.

Grossesse, allaitement

Grossesse
Des études chez la femme ou chez l'animal ne sont pas disponibles. Dans ces conditions, le médicament ne devrait pas être administré, sauf en cas de nécessité absolue.
Une éventuelle bradycardie chez le foetus due à l'anesthésique local administré peut se manifester lors d'un bloc paracervical, en raison des concentrations élevées d'anesthésique local atteignant le fœtus.
Allaitement
La lidocaïne passe dans le lait maternel en quantités si faibles que lorsqu'elle est utilisée à des doses thérapeutiques, elle ne représente généralement aucun risque pour le nourrisson.

Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines

Les conducteurs d'automobiles et de machines doivent tenir compte du fait que les anesthésiques locaux peuvent, en fonction de la dose, provoquer des légers troubles de la concentration et de la coordination et restreindre passagèrement la capacité de locomotion.
Par conséquent, la prudence est de mise.

Effets indésirables

Très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1'000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1'000), très rares (<1/10'000)
Le profil de sécurité de lidocaïne est semblable à celui d'autres anesthésiques locaux de type amide.
Les effets indésirables provoqués par le médicament en soi ne peuvent que difficilement être distingués:
des effets physiologiques d'une anesthésie par blocage nerveux (par ex. chute de la tension artérielle, bradycardie);
des événements qui ont été provoqués directement ou indirectement par la ponction (par ex. traumatisme du nerf, abcès épidural).
Affections du système immunitaire
Rare: réactions allergiques, réactions anaphylactiques, choc anaphylactique.
Affections du système nerveux
Fréquent: paresthésie, vertiges.
Occasionnel: signes et symptômes d'une toxicité du SNC (convulsions, paresthésie circumorale, insensibilité de la langue, hyperacousie, troubles de la vision, tremblements, acouphènes, dysarthrie, dépression du SNC).
Rare: neuropathie, lésion nerveuse périphérique, arachnoïdite.
Affections oculaires
Rare: diplopie.
Affections cardiaques
Fréquent: bradycardie.
Rare: arrêt cardiaque, arythmies cardiaques.
Affections vasculaires
Fréquent: hypotension, hypertension.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Rare: dépression respiratoire.
Affections gastro-intestinales
Fréquent: nausée, vomissement.
L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.

Surdosage

Signes et symptômes
Toxicité systémique aiguë
Lors d'une injection intravasculaire accidentelle, l'effet toxique se fait ressentir au bout de 1 à 3 minutes, alors qu'en cas de surdosage, la concentration plasmatique maximale n'est pas atteinte avant 20 à 30 minutes en fonction du site d'injection, les signes d'une toxicité étant ainsi retardés. Les réactions toxiques apparaissent principalement au niveau du système nerveux central et du système cardiovasculaire.
Toxicité au niveau du système nerveux central
Elle se manifeste progressivement avec des signes d'aggravation croissante. Les premiers signes en sont normalement: paresthésies circumorales, anesthésie de la langue, torpeur, hyperacousie, acouphènes et troubles de la vision. La dysarthrie et les spasmes musculaires sont plus sévères et précèdent des spasmes généralisés. Ces signes ne doivent pas être confondus par erreur avec des troubles psychiatriques. Ils peuvent être suivis de perte de connaissance et de crises de grand mal, qui peuvent durer de quelques secondes à quelques minutes. Une hypoxie et une hypercapnie surviennent rapidement du fait de l'augmentation de l'activité musculaire, en même temps qu'une interférence de la respiration normale et une perte du réflexe de protection des voies aériennes. Dans les cas graves, une apnée peut apparaître. L'acidose hyperkaliémique, l'hypocalcémie et l'hypoxie augmentent et prolongent l'effet toxique des anesthésiques locaux.
Le rétablissement dépend de la redistribution du médicament anesthésique local depuis le système nerveux central et de la métabolisation. Le rétablissement peut être rapide si la quantité d'anesthésique injecté n'était pas trop importante.
Toxicité cardiovasculaire
Dans des cas graves, des effets sur le système cardiovasculaire peuvent être observés. Ceux-ci commencent généralement par des signes de toxicité au niveau du système nerveux central. Lorsque des sédatifs puissants ont été administrés ou sous anesthésie générale, il est possible que les symptômes SNC prodromiques ne se manifestent pas ou que la détection des premiers signes d'une toxicité soit difficile. Une hypotension, une bradycardie, une arythmie et même un arrêt cardiaque peuvent survenir comme conséquence de concentrations systémiques élevées d'anesthésiques locaux. Il est arrivé dans des cas rares qu'un arrêt cardiaque se produise sans symptômes SNC prodromiques.
Traitement de la toxicité aiguë
Si des signes de toxicité systémique aiguë apparaissent, l'injection de l'anesthésique local doit être immédiatement interrompue.
Lorsque des symptômes SNC apparaissent (convulsions, dépression du SNC), les objectifs thérapeutiques suivants doivent être visés:
maintenir l'apport d'oxygène, faire cesser les convulsions et soutenir la circulation, au besoin en utilisant en plus un masque et un masque à ballon ou en procédant à une intubation endotrachéale.
Si les convulsions ne disparaissent pas spontanément en 15 à 20 secondes, il faut injecter un myorelaxant par voie i.v. Thiopental sodique 1 à 3 mg/kg en i.v. fait rapidement cesser les convulsions. Une autre possibilité consiste à administrer du diazépam 0,1 mg/kg en i.v. bien qu'il agisse lentement. Des convulsions persistantes peuvent mettre en danger la respiration et l'absorption d'oxygène par le patient. L'injection d'un relaxant musculaire (par ex. succinylcholine 1 mg/kg) fera cesser rapidement les convulsions, facilitant la ventilation et permettant le contrôle de l'apport en oxygène. Dans de tels cas, une intubation endotrachéale doit être envisagée rapidement.
Si une dépression cardiovasculaire (hypotonie, bradycardie) est évidente, l'injection i.v. d'un sympathomimétique, par ex. éphedrine 5 à 10 mg, doit être administrée et si nécessaire renouvelée après 2 à 3 minutes. Chez les enfants, la posologie de l'éphedrine doit être adaptée en fonction de l'âge et du poids.
En cas de collapsus circulatoire, une réanimation cardio-pulmonaire rapide est nécessaire: un apport optimal d'oxygène, un soutien de la respiration et de la circulation ainsi qu'un traitement de l'acidose sont vitaux.

Propriétés/Effets

Code ATC: N01BB02
Mécanisme d'action / Pharmacodynamie
Le chlorhydrate de lidocaïne (Lidocaïne HCl «Bichsel») est un anesthésique local de type amide. Il est doté d'une entrée en action rapide et d'une durée d'action moyenne.
Une solution à 20 mg/ml en injection épidurale a une durée d'action de 1.5 à 2 heures, et jusqu'à 5 heures en injection périphérique.
Une solution à 5 mg/ml et 10 mg/ml a un effet moindre sur les fibres nerveuses motrices, et la durée d'action est plus courte.
L'entrée en action et la durée d'action de l'effet anesthésiant local induit par la lidocaïne dépendent de la posologie et du lieu d'application.
Tout comme d'autres anesthésiques locaux, la lidocaïne provoque un blocage réversible de la propagation de l'influx nerveux en inhibant le passage d'ions sodiques vers l'intérieur de la membrane des cellules nerveuses. On suppose la présence de récepteurs de molécules d'anesthésiques locaux dans les canaux sodiques des membranes nerveuses.
Les anesthésiques locaux peuvent avoir un effet semblable sur d'autres membranes excitables du cerveau et du myocarde.
Lorsque des quantités excessives de principe actif passent rapidement dans la circulation générale, les signes et les symptômes de toxicité apparaissent principalement au niveau du système nerveux central et du système cardiovasculaire.
Des symptômes de toxicité au niveau du système nerveux central (voir «Surdosage») précèdent habituellement les effets sur le système cardiovasculaire, car les manifestations nerveuses centrales apparaissent déjà à des concentrations plasmatiques faibles.
Des effets immédiats cardiovasculaires de l'anesthésique local sont: une conduction lente, une inotropie négative et éventuellement un arrêt cardiaque.
Des effets indirects cardiovasculaires (hypotonie, bradycardie) peuvent se manifester après une application épidurale; ils dépendent toutefois de l'étendue du blocage sympathique simultané.
Efficacité clinique
Pas de données disponibles.

Pharmacocinétique

Absorption
Le taux d'absorption dépend de la dose, de la voie d'administration et de la vascularisation du lieu d'injection.
Distribution
La lidocaïne présente un pKa de 7.9 et un coefficient de répartition huile/eau de 2.9. La liaison aux protéines plasmatiques s'élève à 65 %. La lidocaïne est principalement liée à la glycoprotéine alpha-1 acide.
Le volume de distribution à l'état stationnaire est de 91 l.
La lidocaïne traverse rapidement la barrière placentaire et l'équilibre par rapport à la concentration libre est vite atteint. Chez le foetus, le taux de liaison aux protéines plasmatiques est inférieur à celui de la mère, ce qui conduit à une concentration plasmatique totale plus faible chez le foetus.
La lidocaïne passe dans le lait maternel, mais en quantité si faible qu'elle ne représente pratiquement aucun risque pour le nourrisson lorsqu'elle est utilisée à des concentrations thérapeutiques.
Métabolisme
Les principaux métabolites de la lidocaïne sont le mono-éthyl-glycine-xylidide (MEGX), le glycine-xylidide (GX), la 2,6-xylidine et la 4-hydroxy-2,6-xylidine. Le métabolisme du MEGX se fait par N-désalkylation et implique les CYP1A2 et CYP3A4. Le métabolisme de la 2,6-xylidine en 4-hydroxy-2,6-xylidine, métabolite principal dans les urines, passe par le CYP2A6.
Tout comme la lidocaïne, le MEGX déploie une activité anticonvulsive, sa demi-vie est toutefois un peu plus longue. Le GX ne possède aucune activité anticonvulsive et possède une demi-vie d'environ 10 heures.
Elimination
La lidocaïne présente une absorption complète et biphasique depuis l'espace épidural, avec des demi-vies respectives de 9.3 minutes et 82 minutes. La lente absorption limite le taux d'élimination de la lidocaïne. Cela explique que l'élimination soit plus lente après une injection épidurale qu'après une injection intraveineuse. L'absorption de la lidocaïne depuis l'espace sous-arachnoïdien est monophasique avec une demi-vie de 71 minutes.
La lidocaïne présente une clairance plasmatique totale de 0.95 l/min et une demi-vie de 1.6 heures. La clairance de la lidocaïne dépend pratiquement exclusivement du métabolisme hépatique, et varie ainsi en fonction de l'irrigation du foie et de l'activité des enzymes hépatiques.
Seuls 2% de la lidocaïne sont éliminés sous forme inchangée. Une fraction pouvant aller jusqu'à 70 % se retrouve dans les urines sous forme de 4-hydroxy-2,6-xylidine.
Cinétique pour certains groupes de patients
Nouveau-nés
La demi-vie d'élimination des nouveau-nés se monte à environ le double de celle des adultes (3.2 heures), alors que la clairance est semblable (10.2 ml/min kg).
Lors d'une insuffisance rénale et surtout lors d'une insuffisance hépatique, il faut tenir compte du fait que la demi-vie d'élimination est prolongée.

Données précliniques

Génotoxicité
Certains signes indiquent que la 2,6-xylidine, un produit du métabolisme de la lidocaïne retrouvé chez le rat, éventuellement aussi chez l'être humain, pourrait avoir des effets mutagènes. Ces informations sont issues de tests in vitro dans lesquels ce métabolite a été utilisé à des concentrations très élevées, pratiquement toxiques. Actuellement, rien n'indique que la substance mère, la lidocaïne, soit elle-même mutagène.
Cancérogénicité
Dans une étude sur la cancérogénicité menée chez le rat avec exposition trans-placentaire et traitement post-partum des animaux sur 2 ans avec des doses élevées de 2,6-xylidine, des tumeurs malignes et bénignes ont été observées, principalement dans la cavité nasale (ethmoturbinalia). La pertinence de ces observations pour l'homme n'est pas élucidée. Il est par conséquent indiqué de ne pas utiliser la lidocaïne à long terme à des posologies élevées.

Remarques particulières

Incompatibilités
Etant donné qu'il n'existe pas d'études portant sur la tolérance, ce médicament ne sera pas mélangé à d'autres médicaments.
Stabilité
Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
Remarques concernant le stockage
Conserver à température ambiante (15 – 25 °C) et à l'abri de la lumière. Conserver hors de portée des enfants.
Remarques concernant la manipulation
Une fois l'ampoule ouverte, utiliser immédiatement la solution. Les restes non utilisés doivent être jetés.

Numéro d’autorisation

53570 (Swissmedic)

Présentation

Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml (0.5 %) ampoules: 10 x 5 ml, 10 x 10 ml (B)
Lidocaïne HCl «Bichsel» 10 mg/ml (1 %) ampoules: 10 x 5 ml, 10 x 10 ml (B)
Lidocaïne HCl «Bichsel» 20 mg/ml (2 %) ampoules: 10 x 10 ml (B)

Titulaire de l’autorisation

Laboratorium Dr. G. Bichsel AG, 3800 Unterseen

Mise à jour de l’information

Janvier 2024

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