Information professionnelle sur Morphine HCl «Bichsel» 0,2 mg/ml, 0,4 mg/ml, 1 mg/ml, 2 mg/ml, 10 mg/ml, solution injectable: | Laboratorium Dr. G. Bichsel AG | | CompositionPrincipes actifs
Morphini hydrochloridum trihydricum.
Excipients
Natrii chloridum, acidum hydrochloridum, aqua ad iniectabile.
Morphine HCl «Bichsel» 0,2 mg/ml et Morphine HCl «Bichsel» 0,4 mg/ml contient 3,5 mg de sodium par 1 ml (35 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
Morphine HCl «Bichsel» 1 mg/ml contient 3,5 mg de sodium par 1 ml (17,5 mg de sodium par ampoule à 5 ml).
Morphine HCl «Bichsel» 2 mg/ml contient 3,4 mg de sodium par 1 ml (68 mg de sodium par flacon à 20 ml).
Morphine HCl «Bichsel» 10 mg/ml contient 2,8 mg de sodium par 1 ml (28 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
Indications/Possibilités d’emploiDouleurs aiguës et prolongées moyennement fortes à fortes et en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
Posologie/Mode d’emploiLa posologie est fixée en fonction de l'intensité des douleurs, du traitement analgésique antérieur ainsi que de l'âge du patient. Il convient de tenir compte du risque de dépression respiratoire, notamment lors d'une injection i.v. L'administration doit se faire lentement. Des moyens permettant de traiter un éventuel surdosage (dispositif pour assistance respiratoire, naloxone) doivent se trouver à portée de main!
Adultes
Douleur aiguë
s.c.: 10 mg par 70 kg de poids corporel toutes les 4 – 6 heures, avec des variations individuelles de 5 à 20 mg.
i.v.: 2,5 mg toutes les 5 minutes jusqu'au contrôle de la douleur. Administration par injection lente.
Perfusion continue: dose de charge de 5 à 15 mg durant 30 minutes, ensuite 2,5 à 5 mg par heure.
Analgésie contrôlée par pompe: 1,0 à 1,5 mg à intervalle de 5 à 15 minutes.
i.m.: 5 à 15 mg toutes les 2 à 4 heures.
Douleur chronique
i.v./i.m.: 10 à 100 mg toutes les 2 à 4 heures.
Perfusion continue: 5 à 200 mg par heure.
Prémédication en chirurgie
5 à 15 mg i.m. au moins une heure avant le début de l'intervention chirurgicale.
5 à 10 mg i.v. moins d'une heure avant le début de l'intervention chirurgicale.
Sédation avec analgésie simultanée
1,25 mg à 10 mg sous forme de bolus i.v. ou par heure, au moyen d'une perfusion continue.
Posologie intrarachidienne
5 mg comme dose initiale pour l'injection épidurale. En cas de soulagement insuffisant des douleurs après une heure, d'autres doses de 1 et 2 mg allant jusqu'à 10 mg par 24 heures peuvent être administrées. La dose initiale recommandée pour la perfusion épidurale est de 2 à 4 mg sur 24 heures et peut être complétée, si nécessaire, de 1 à 2 mg.
Enfants et adolescents
Enfants
Chez les nouveaux-nés sous assistance respiratoire, administrer 10 µg par kg de poids corporel par heure sous forme de perfusion; ne pas dépasser 15 µg par kg de poids corporel par heure. Chez les nouveaux-nés qui respirent spontanément, la morphine ne doit être appliquée que sous surveillance intensive. 5 - 7 µg par kg de poids corporel par heure permettent le soulagement des douleurs sans dépression respiratoire. Ces posologies sont valables jusqu'à l'âge de 5 à 6 mois. A partir de cet âge, 10 - 30 µg par kg de poids corporel et par heure sont recommandés. Une dose de charge de 100 - 200 µg par kg de poids corporel suivie d'injections par bolus de 50 à 100 µg par kg toutes les 4 heures peuvent être appliquées. Pour l'analgésie à court terme, une injection intramusculaire de 100 - 200 µg par kg de poids corporel est indiquée.
Pour l'application épidurale, les posologies sont les suivantes: bloc épidural caudal 100 µg/kg; bloc thoracique et lombaire 50 µg/kg, administration intrathécale 20 - 30 µg par kg.
Contre-indicationsDépression respiratoire, affections respiratoires obstructives chroniques sévères, iléus paralytique, syndrome abdominal aigu d'étiologie inconnue, insuffisance hépatique ou rénale sévère, traumatisme crânien et hypertension intracrânienne, colique biliaire, intoxication alcoolique aiguë, hypersensibilité vis-à-vis de la morphine, grossesse.
Mises en garde et précautionsLors de l'administration de doses élevées de morphine, la respiration et la pression artérielle doivent être surveillées. Chez les patients âgés, la clearance de la morphine diminue et la demi-vie plasmatique augmente.
La prudence est de mise lors d'insuffisance hépatique et rénale, d'hypotension artérielle, chez les patients épileptiques, en cas d'hypertrophie de la prostate, d'hypothyroïdie, de choc, d'états fébriles, d'insuffisance cardiaque, de constipation, de pancréatite, d'insuffisance respiratoire.
Durant un traitement aux inhibiteurs de la MAO ou en l'espace de deux semaines après l'arrêt d'un tel traitement, la morphine ne peut être utilisée qu'avec une extrême prudence.
Lors d'un traitement à long terme, la morphine peut provoquer une dépendance physique et psychique.
Il faut noter que des symptômes d'une pression cérébrale peuvent être masqués.
Chez les patients subissant une chordotomie, il faut ajuster la posologie après l'intervention.
Morphine HCl «Bichsel» 0,2 mg/ml contient 35 mg de sodium par ampoule à 10 ml, ce qui équivaut à 1,75 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
Morphine HCl «Bichsel» 0,4 mg/ml contient 35 mg de sodium par ampoule à 10 ml, ce qui équivaut à 1,75 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
Morphine HCl «Bichsel» 1 mg/ml contien moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ampoule à 5 ml , c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
Morphine HCl «Bichsel» 2 mg/ml contient 68 mg de sodium par flacon à 20 ml ce qui équivaut à 3,4 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
Morphine HCl «Bichsel» 10 mg/ml contient 28 mg de sodium par ampoule à 10 ml ce qui équivaut à 1,4 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
InteractionsLes inhibiteurs de la MAO augmentent l'activité de la morphine et d'autres médicaments opioïdes. L'emploi de la morphine durant un traitement à des inhibiteurs de la MAO ou en l'espace de deux semaines après leur arrêt requiert une prudence particulière. Les phénothiazines augmentent l'effet dépresseur de la morphine et peuvent provoquer une hypotension artérielle sévère; les hypnotiques et les neuroleptiques, l'alcool, les benzodiazépines et les myorelaxants augmentent l'effet dépresseur sur la respiration de la morphine. La morphine affaiblit l'effet des diurétiques en libérant l'hormone antidiurétique.
Les antidépresseurs tricycliques soutiennent l'effet analgésique de la morphine lors du traitement de patients cancéreux.
Grossesse, allaitementGrossesse
Plusieurs tests ont montré que la morphine peut modifier le génome; il faut s'attendre à ce que cet effet se produise également sur le génome humain. C'est pourquoi la morphine ne doit être appliquée chez les hommes et les femmes en âge de procréer que lorsqu'une contraception efficace est assurée.
Morphine HCl «Bichsel» ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Il existe des indices sûrs de risques pour le foetus humain et pour le nouveau-né.
Une dépression respiratoire est possible chez le nouveau-né. Lorsque la morphine est administrée durant une période prolongée ou à doses élevées durant la grossesse, une dépendance et des symptômes de sevrage peuvent se manifester chez le nouveau-né.
La morphine administrée avant et après l'accouchement peut inhiber la capacité de contraction de l'utérus.
Allaitement
La morphine passe dans le lait maternel. Il est absolument contre-indiqué d'allaiter, par ailleurs on ne dispose pas d'expérience sur les effets du traitement chez le nourrisson.
Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machinesLa morphine peut entraîner une confusion et une sédation. Il faut renoncer à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
Effets indésirablesTrès fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10 000).
Les effets indésirables symptomatiques sont causés par l'occupation des récepteurs opiacés dans le SNC et en périphérie.
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
Chez les patients présentant un phéochromocytome, la morphine peut provoquer une crise hypertensive via la libération d'histamine endogène et la libération de catécholamines qui s'ensuit.
Affections du système immunitaire
Occasionnellement des réactions d'hypersensibilité telles que manifestations cutanées, rarement des réactions anaphylactiques et anaphylactoïdes.
Affections endocriniennes
Stimulation de la libération de prolactine. La morphine peut entraîner une hyperglycémie.
Syndrome d'une sécrétion d'ADH inadéquate (SIADH). En raison d'une élimination réduite, le syndrome est associé à une hyponatrémie (contrôle des électrolytes peut s'avérer nécessaire).
Affections psychiatriques
Confusion, des dysthymies (euphorie, dépression, dysphorie, états d'excitation, agitation), hallucinations, syndrome de privation.
Lors d'un traitement à long terme, la morphine peut engendrer une dépendance physique et psychique.
Symptômes de manque chez les patients ayant subi un traitement prolongé à la morphine: accès de sueur, tachycardie, nausées, vomissements, horripilation, crampes, tremblements musculaires, crises de larmes, éternuements, céphalées, insomnie, anxiété, diarrhée avec déshydratation, élévation de la température corporelle, troubles vasomoteurs.
Affections du système nerveux
Sédation, fréquent: céphalées, vertiges, dépression respiratoire, malaise, paresthésie, crises convulsives, modification de l'odorat, frissons.
La morphine peut augmenter la pression intracrânienne.
Affections oculaires
Troubles visuels. Myosis. Mydriase (lors d'une hypoxie croissante).
Affections de l'oreille et du labyrinthe
Fréquents: vertiges.
Affections cardiaques
Fréquents: bradycardie, palpitations.
Occasionnels: à la fois une chute et une augmentation cliniquement important de la fréquence cardiaque.
Affections vasculaires
Fréquents: orthostase
Occasionnels: à la fois une chute et une augmentation cliniquement importante de la tension artérielle. Une rougeur faciale, des frissons, des palpitations cardiaques, une faiblesse générale allant jusqu'à une perte de conscience et un arrêt cardiaque sont possibles.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Dépression respiratoire par inhibition du centre respiratoire. Des doses élevées de morphine peuvent entraîner la mort par arrêt respiratoire. Bronchospasmes, effet antitussif.
Chez les patients traités en médecine intensive, des oedèmes pulmonaires non cardiogènes ont été observés.
Affections gastro-intestinales
La constipation est un effet secondaire très fréquent et typique des opiacés. Il est recommandé de prendre des mesures prophylactiques (laxatifs), de nature nutritionnelle et/ou médicamenteuse.
Des nausées et des vomissements peuvent se manifester très souvent au début du traitement, mais disparaissent en général spontanément au bout de quelques jours. Dans certains cas, il peut être indiqué d'administrer au début un antiémétique.
Des coliques, des douleurs abdominales, une anorexie ou une dyspepsie peuvent survenir.
Affections hépatobiliaires
Spasmes au niveau des voies biliaires.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Fréquent: sudation, prurit.
Rougeur, réactions d'hypersensibilité sous forme d'éruptions cutanées (urticaire, prurit) par la libération d'histamine, sécheresse buccale.
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
Spasmes musculaires. Raideur musculaire après des doses élevées.
Affections du rein et des voies urinaires
Troubles de la miction, rétention urinaire, spasmes au niveau des voies urinaires.
Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
Lorsque la morphine est administrée avant ou durant l'accouchement, cela peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
La morphine administrée avant et après l'accouchement peut inhiber la capacité de contraction de l'utérus.
Affections des organes de reproduktion et du sein
Aménorrhée. Baisse de la libido, impuissance.
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Dermatite de contact ainsi que douleurs et irritations au site d'application sont possibles.
Investigations
La morphine peut augmenter les taux sériques de SGOT et SGPT.
Le traitement d'un spasme du sphincter d'Oddi par la morphine peut entraîner par la suite une augmentation de l'amylase sérique.
L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
SurdosageSignes et symptômes
Les principaux signes cliniques d'un surdosage aigu à la morphine sont la dépression respiratoire pouvant aller jusqu'à l'arrêt respiratoire, le coma, l'hypotension artérielle. Un léger surdosage provoque des nausées et des vomissements, des tremblements, un myosis, une dysphorie, une hypothermie, une hypotension artérielle, une confusion et une sédation.
Traitement
Les mesures médicales destinées à traiter un surdosage à la morphine sont le contrôle de la respiration (avec préparation d'un dispositif pour assistance respiratoire) et l'administration i.v. de naloxone: initialement 0,4 mg avec une répétition toutes les 1 à 2 minutes jusqu'à une dose maximale de 1,2 à 1,6 mg. Répétition du traitement à la naloxone toutes les une à deux heures.
Propriétés/EffetsCode ATC
N02AA01
Mécanisme d'action / Pharmacodynamique
La morphine est un agoniste compétitif des récepteurs opiacés, doté d'une très forte affinité pour les récepteurs µ et d'une affinité plus faible pour les récepteurs κ. La morphine déploie son effet analgésique supraspinal et spinal par l'intermédiaire de récepteurs situés dans le SNC. La liaison aux récepteurs provoque une modification de la libération des neuromédiateurs des voies efférentes. Les récepteurs opiacés sont situés à différents niveaux du SNC, mais également sur différents organes périphériques.
Efficacité clinique
Aucune information.
PharmacocinétiqueAbsorption
Après injection sous-cutanée et intramusculaire, la morphine est immédiatement absorbée dans le sang et la biodisponibilité est pratiquement de 100 %. L'effet analgésique maximal est atteint 20 minutes après une injection i.v., 30 à 60 minutes après une administration par voie i.m. et 45 à 90 minutes après une injection s.c.
Distribution
La substance diffuse surtout dans les reins, le foie, les poumons et dans une moindre mesure dans le cerveau et la musculature. La morphine et les métabolites glucuronidés traversent la barrière hémato-encéphalique, le placenta et sont sécrétés dans le lait maternel.
Environ 35 % d'une dose sont liés à des protéines.
Métabolisme
La principale fraction d'une dose est transformée dans le foie en les métabolites actifs morphine-3-glucuronide et morphine-6-glucuronide. Autres métabolites actifs: normorphine, codéine et autres.
Élimination
La demi-vie plasmatique varie entre 1 et 5 heures. 90 % d'une dose sont éliminés par les urines principalement sous forme de conjugués. 10 % sont excrétés év. par voie biliaire par les fèces.
90 % d'une dose de morphine sont éliminés après 24 heures; des traces sont retrouvées dans les urines jusqu'à 48 heures.
Cinétique pour certains groupes de patients
Patients âgés
Chez les patients âgés, le volume de distribution à l'état d'équilibre et la clairance plasmatique sont réduits.
Enfants et adolescents
Enfants: la pharmacocinétique est comparable à celle des adultes; la demi-vie d'élimination est pour les deux d'env. 2 heures suivant l'administration intraveineuse.
Chez le nouveau-né, toutes les données pharmacocinétiques sont différentes, ce qui implique l'administration de posologies spéciales.
Données précliniquesMutagénicité
Concernant la mutagénicité, des résultats clairement positifs sont disponibles; ils indiquent que la morphine a une action clastogène et qu'elle déploie aussi cet effet sur les cellules germinales. Sur la base des résultats de plusieurs tests de mutagénicité, la morphine est à considérer comme une substance mutagène; un tel effet doit aussi être supposé chez l'homme.
La morphine doit être administrée uniquement en cas de contraception efficace.
Carcinogénicité
Il n'existe pas d'études animales à long terme concernant le potentiel cancérogène.
Toxicité sur la reproduction
Chez les souris et les hamsters, des défauts SNC (exencéphalie, cranioschisis) ont été observés après l'application unique de doses élevées au cours de la phase de l'organogenèse. Chez la souris, on a également constaté des troubles de la segmentation, qui se sont manifestés par des excroissances au niveau des côtes et des vertèbres. Après l'administration d'une dose élevée (70 mg/kg/jour) à des rats, le taux de gestation était seulement de 6 % pendant les jours 5-20 de la gestation, ce qui suggère des effets sur l'embryon préimplanté ou sur le processus d'implantation. Chez l'être humain, il existe probablement une association avec une prévalence élevée d'hernies inguinales.
Remarques particulièresIncompatibilités
Le chlorhydrate de morphine est sensible aux variations du pH et montre des précipitations en milieu alcalin. La substance est incompatible avec: aminophylline, barbituriques (sels Na), phénytoïne, acyclovir (-Na), fluorouracil, furosémide, héparinate de sodium (avec des solutions de morphine d'une concentration supérieure à 5 mg/ml), chlorhydrate de péthidine, chlorhydrate de prométhazine, tétracyclines.
Stabilité
Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
Stabilité après ouverture
Les solutions injectables de morphine «Bichsel» sont exemptes d'agent conservateur. Après ouverture de l'ampoule/du flacon, détruire la solution restante.
Remarques particulières concernant le stockage
Morphine HCl «Bichsel» 2 mg/ml: conserver au réfrigérateur (2 - 8 °C) et à l'abri de la lumière.
Morphine HCl «Bichsel» 0,2 mg/ml, 0,4 mg/ml, 1 mg/ml et 10 mg/ml: conserver à température ambiante (15 - 25 °C) et à l'abri de la lumière.
Conserver hors de portée des enfants.
Numéro d’autorisation53571 (Swissmedic)
PrésentationMorphine HCl «Bichsel» 0,2 mg/ml
10 ampoules à 10 ml (A+)
Morphine HCl «Bichsel» 0,4 mg/ml
10 ampoules à 10 ml (A+)
Morphine HCl «Bichsel» 1 mg/ml
10 ampoules à 5 ml (A+)
Morphine HCl «Bichsel» 2 mg/ml
10 flacon à 20 ml (A+)
Morphine HCl «Bichsel» 10 mg/ml
10 ampoules à 10 ml (A+)
Titulaire de l’autorisationLaboratorium Dr. G. Bichsel AG, 3800 Unterseen
Mise à jour de l’informationFévrier 2024
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