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Données précliniques

Toxicologie et/ou pharmacologie chez l'animal
Chez les animaux d'expérimentation, le ropinirole est bien toléré dans la fourchette thérapeutique de 15 à 50 mg/kg (15 mg/kg (singe), 20 mg/kg (souris) et 50 mg/kg (rat), ce qui correspond respectivement à 0,9, 0,4 et 2,8 fois l'ASC humaine moyenne à la dose maximale recommandée chez l'homme [Maximum Recommended Human Dose, MRHD]). Le profil toxicologique est déterminé principalement par l'activité pharmacologique du médicament (modifications du comportement, hypoprolactinémie, baisse de la tension artérielle et du pouls, ptosis et salivation).
Carcinogénicité, mutagénicité
Des études ont été menées pendant deux ans sur la souris et le rat à des doses allant jusqu'à 50 mg/kg. Aucun effet cancérogène n'a été observé chez la souris. Chez le rat, les seules lésions liées au médicament ont été une hyperplasie des cellules de Leydig ou des adénomes testiculaires résultant de l'hypoprolactinémie induite par le ropinirole. Ces lésions sont considérées comme un phénomène propre à l'espèce et ne constituent pas un risque pour l'utilisation clinique du ropinirole.
Dans une batterie de tests effectués in vitro et in vivo, aucune génotoxicité n'a été observée.
Toxicité sur la reproduction
En raison de l'effet hypoprolactinémiant du ropinirole, une influence sur l'implantation a été observée dans des études de fertilité chez le rat. Chez l'humain, la choriogonadotropine joue un rôle déterminant dans l'implantation chez la femme, et non la prolactine. Aucune influence n'a été constatée sur la fertilité des mâles.
L'administration de ropinirole à des rates gravides à des doses toxiques pour la mère, soit 60 mg/kg, a entraîné une diminution du poids des fœtus, les doses de 90 mg/kg ont eu pour conséquence une augmentation de la mortalité fœtale et les doses de 150 mg/kg ont provoqué des malformations des membres (les doses correspondaient à respectivement 3,4, 5,1 et 8,5 fois l'ASC humaine moyenne à la MRHD). Aucun effet tératogène n'a été observé chez le rat à des dosages de 120 mg/kg (6,8 fois l'ASC humaine moyenne à la MRHD). Chez le lapin, il n'y a eu aucun indice évoquant une influence sur l'organogenèse lors d'une administration en monothérapie de 20 mg/kg (9,5 fois la Cmax humaine moyenne à la MRHD). Toutefois, à une dose de 10 mg/kg (4,8 fois la Cmax humaine moyenne à la MRHD), le ropinirole associé à de la lévodopa orale a entraîné une augmentation de l'incidence et de la sévérité des malformations des orteils chez le lapin par rapport à la lévodopa orale seule.
De faibles quantités de composés proches du ropinirole ont été retrouvées dans le lait de rattes allaitantes (env. 0,01% de la dose administrée à la mère par petit).

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