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Information professionnelle sur Zenapax®:Roche Pharma (Schweiz) AG
Information professionnelle complèteDDDimprimé 
Composit.Forme gal.Indic./emploiPosolog./mode d'empl.Contre-Ind.PrécautionsInteract.Grossesse
Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
TitulaireMise à jour 

Propriétés/Effets

Code ATC: L04AA08

Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
Zenapax contient comme substance active du daclizumab, anticorps anti-Tac recombinant humanisé de type IgG1 qui agit comme antagoniste des récepteurs de l'interleukine 2 (IL-2). Le daclizumab se lie de manière hautement spécifique à la sous-unité alpha, ou Tac, du complexe récepteur (exprimé sur les cellules T activées) doté d'une forte affinité pour l'IL-2 et inhibe la fixation d'IL-2 et, par là même, son activité biologique. L'administration de Zenapax inhibe l'activation IL-2-dépendante des lymphocytes, étape qui joue un rôle déterminant dans la réaction de rejet d'une allogreffe. A la dose recommandée, le daclizumab entraîne une saturation des récepteurs Tac pendant environ 90 jours. Au cours des études cliniques de phase IIIa, des anticorps anti-idiotypes ont été trouvés chez 10-18% des patients adultes traités; ces anticorps n'ont pas semblé influer sur l'efficacité, l'innocuité et les concentrations sériques du daclizumab, ni sur d'autres paramètres cliniques importants. Des anticorps antidaclizumab ont été identifiés chez 20 enfants d'un groupe de 58 (34%). La fréquence des épisodes de rejet chez ces patients était comparable à celle constatée chez les autres patients. Aucune différence au niveau des concentrations sériques de daclizumab n'a été constatée entre ces deux groupes. A l'exception d'une diminution attendue et transitoire des cellules
Tac+, il n'a été observé aucune modification notable du nombre de lymphocytes circulants ni des phénotypes cellulaires (analyse par cytofluorométrie de flux, FACS).

Traitement associé chez les receveurs d'allogreffe rénale
Six mois après la transplantation, Zenapax s'est montré significativement supérieur au placebo en ce qui concerne la réduction du nombre de réactions de rejet aiguës d'allogreffes rénales, ainsi que l'ont confirmé les biopsies.
6 et 12 mois après la transplantation, le taux de survie chez les patients traités était accru par rapport au groupe placebo.
La nécessité de recourir à un traitement antilymphocytaire par suite de rejet aigu a été réduite chez les patients sous Zenapax.

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