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Information professionnelle sur Dysport® 300 U / 500 U:Ipsen Pharma Schweiz GmbH
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Données précliniques

Les effets observés lors d'études non cliniques portant sur la reproduction et la toxicité juvénile et chronique se sont limités aux modifications dans le muscle strié injecté en relation avec le mécanisme d'action de la toxine botulique A.
Toxicité en cas d'administration unique et répétée
Dans les études de toxicité à dose unique, lors desquelles la toxine botulique de type A a été administrée dans le muscle détrusor, la DSENO était de 67 U/kg chez le rat et de 40 U/kg chez le singe. En considérant une dose humaine de 800 U rapportée à un poids corporel de 60 kg (13,3 U/kg), il en découle une marge de sécurité 5 à 3 fois supérieure à la DSENO observée chez le rat et le singe. Chez ces deux espèces, aucune anomalie vésicale liée à la toxine de Clostridium botulinum de type A n'a été constatée avec les doses testées. À des doses supérieures à la DSENO, une perte de poids corporel, une diminution de l'activité et des signes de détresse respiratoire ont été signalés chez les deux espèces. Ces signes sont révélateurs d'une toxicité systémique qui a également été observée dans des études non cliniques menées pour évaluer la sécurité de la toxine de Clostridium botulinum de type A administrée dans les muscles striés.
Une étude de toxicité chronique, réalisée chez le rat avec des doses allant jusqu'à 40 U/kg dans les muscles striés, n'a pas révélé de signes de toxicité systémique.
Génotoxicité / Carcinogénicité
Aucune étude n'a été menée avec Dysport.
Toxicité pour la reproduction
Aucune toxicité embryonnaire/fœtale n'est apparue lors des études portant sur la toxicité pour la reproduction menées sur des rates et des lapines en gestation auxquelles a été administrée quotidiennement par voie i.m. dans les muscles striés de la toxine botulique A à des doses de 79 U/kg et de 42 U/kg. On a observé aux doses supérieures une toxicité maternelle grave chez les deux espèces, associée à une absence de la nidation chez les rates. La toxine botulique A n'a pas eu d'effets tératogènes chez les rates ni chez les lapines; les études pré- et post-natales réalisées avec la génération F1 de rats n'ont pas non plus mis d'effets en évidence. La fertilité des animaux mâles et femelles était réduite en raison d'une baisse des accouplements, un effet secondaire de la paralysie musculaire induite par les doses supérieures.
Une étude de toxicité chez le rat juvénile, dans laquelle la toxine botulique A a été injectée toutes les semaines pendant 10 semaines dans les muscles striés à partir du sevrage au 21e jour après la naissance (doses totales cumulées allant jusqu'à 75,1 U/kg, soit jusqu'à 2,5 fois la dose maximale de 30 U/kg chez l'enfant), ce qui correspond chez l'être humain à une tranche d'âge de 2 ans jusqu'à l'âge adulte jeune, n'a révélé aucun effet indésirable sur la croissance postnatale (y compris sur le squelette) et le développement reproductif et neurologique, ni aucune modification du comportement.
Autres données
L'utilisation de la toxine botulique A chez les lapins n'a pas induit d'irritation oculaire.

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