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Information professionnelle sur Purégon®:Essex Chemie Foundation
Information professionnelle complèteDDDimprimé 
Forme gal./Grpe.th.Composit.PropriétésPharm.cinét.Indic./emploiPosolog./mode d'empl.PrécautionsEffets indésir.
Interact.SurdosageRemarquesNum. SwissmedicMise à jour 

Limitations d'emploi

Contre-indications
Tumeurs de l'ovaire, du sein, de l'utérus, de l'hypothalamus ou de l'hypophyse.
Grossesse ou allaitement.
Hémorragies vaginales d'étiologie inconnue.
Hypersensibilité connue aux gonadotrophines humaines ou à des substances contenues dans Purégon.
Hypertrophie ovarienne ou kystes ovariens sans relation avec une dystrophie ovarienne polykystique.
Intolérance au fructose, par exemple en raison d'un déficit héréditaire en fructose-1,6-diphosphatase (parce que le médicament contient l'édulcorant saccharose).

Précautions
Avant d'entreprendre le traitement, il faut soigneusement élucider les causes de la stérilité du couple et rechercher d'éventuelles contre-indications à une grossesse.
Avant d'utiliser Purégon pour traiter une insuffisance de stimulation endogène des gonades, il faut exclure la présence d'anomalies anatomiques des organes génitaux.
Il faut exclure une insuffisance gonadique primitive par des dosages des gonadotrophines.
Il faut exclure la présence d'endocrinopathies extragonadiques non contrôlées (par exemple maladies de la thyroïde, des surrénales ou de l'hypophyse [hyperprolactinémie]).
Le risque de grossesse multiple est accru après induction de l'ovulation par des préparations contenant des gonadotrophines.
L'analyse de données compilées n'a pas montré d'augmentation du risque de malformation congénitale après utilisation de gonadotrophines pour l'induction de l'ovulation et dans le cadre de techniques de procréation médicalement assistée.

Hyperstimulation ovarienne non souhaitée
Avant le traitement et à intervalles réguliers sous traitement, il faut contrôler le développement folliculaire par l'échographie et doser l'estradiol plasmatique. En dehors du développement d'un nombre élevé de follicules, les concentrations d'estradiol peuvent augmenter très rapidement (plus d'un doublement par jour pendant deux ou trois jours consécutifs) et éventuellement atteindre des valeurs excessives.
Si cette hyperstimulation ovarienne non souhaitée (c'est-à-dire n'entrant pas dans le cadre d'une hyperstimulation ovarienne contrôlée dans un programme de procréation médicalement assistée tel que Fivete, GIFT ou ICSI) se produit (voir aussi «Effets indésirables»), il faut immédiatement arrêter l'administration de Purégon. Dans un tel cas, il faut éviter une grossesse et ne pas administrer d'hCG, car cela pourrait provoquer non seulement des ovulations multiples mais aussi un syndrome d'hyperstimulation ovarienne.
La fréquence du syndrome d'hyperstimulation ovarienne est d'environ 5%. Les symptômes et signes cliniques d'une hyperstimulation ovarienne légère sont des troubles gastro-intestinaux, des nausées, une diarrhée, une douleur mammaire et une augmentation de volume légère à modérée des ovaires ainsi que des kystes ovariens.
Dans de rares cas, il apparaît un syndrome d'hyperstimulation ovarienne sévère qui peut engager le pronostic vital. Il se caractérise par de gros kystes ovariens (ayant tendance à se rompre), une ascite, souvent un hydrothorax et parfois une prise de poids et des complications thromboemboliques.
Comme il n'existe pas d'antagoniste de la FSH, le traitement est symptomatique et repose essentiellement sur le repos au lit et le rétablissement/le maintien de l'équilibre hydroélectrolytique. Comme un syndrome d'hyperstimulation ovarienne s'accompagne d'une augmentation du risque de rupture des kystes ovariens, il ne faut ponctionner le liquide d'ascite, le liquide pleural ou le liquide péricardique que si cela est absolument indispensable, par exemple pour maîtriser des troubles tels que dyspnée ou tamponade péricardique.
Il faut décrire à la patiente les symptômes du syndrome d'hyperstimulation ovarienne et lui recommander de ne pas avoir de rapports sexuels si la survenue de ce syndrome est suspectée.
Chez les femmes qui se soumettent à une superovulation dans le cadre d'un programme de procréation médicalement assistée, le risque d'hyperstimulation par suite d'une réponse excessive des estrogènes et du développement de plusieurs follicules est augmenté. On peut éventuellement réduire le risque de syndrome d'hyperstimulation en aspirant tous les follicules avant l'ovulation.

Grossesse/Allaitement
Catégorie de grossesse X.
Il n'existe pas de données émanant d'études contrôlées menées chez l'animal ou chez des femmes enceintes.
Il ne faut pas utiliser Purégon pendant la grossesse et l'allaitement.

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