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Données précliniques

Sur la base d'études conventionnelles portant sur la sécurité pharmacologique, la toxicité après administration répétée, la génotoxicité et le potentiel carcinogène, les données précliniques n'ont montré aucun risque particulier pour l'homme. Dans les études précliniques, des effets n'ont été observés qu'à des doses massivement supérieures aux doses maximales administrées à l'homme.
Toxicité à long terme (ou toxicité en cas d'administration répétée)
Les perfusions intraveineuses/sous-cutanées continues d'iloprost pendant jusqu'à 26 semaines chez des rongeurs et des non rongeurs à des doses équivalentes à 14 à 47 fois l'exposition systémique thérapeutique chez l'homme (sur la base des taux plasmatiques) n'ont eu aucun effet organotoxique. On n'a observé que les effets indésirables pharmacologiques prévus, soit l'hypotension, les rougeurs de peau, la dyspnée et les symptômes liés à la stimulation de la motilité intestinale.
Les études chez le rat et le chien n'ont pas trouvé d'indices suggérant des effets toxiques après administration entérale, parentérale ou après inhalations (rats).
L'administration chronique de clathrate d'iloprost par voie orale à des chiens pendant une durée allant jusqu'à un an s'est accompagnée d'une augmentation de la glycémie à jeun au niveau sérique. Il n'est pas exclu que ceci soit aussi le cas chez l'homme lors d'une administration prolongée de Ventavis.
Potentiel de génotoxicité, carcinogénicité
Les essais in vitro et in vivo n'ont pas fourni d'indices parlant en faveur d'un risque de génotoxicité.
Les études de carcinogénicité chez le rat et la souris n'ont pas indiqué l'existence d'un potentiel cancérigène pour l'iloprost.
Toxicité sur la reproduction
Dans les études de toxicité embryonnaire et foetale chez le rat, la perfusion intraveineuse continue d'iloprost a entraîné chez quelques foetus/jeunes animaux, de façon indépendante de la dose administrée, des anomalies (retard de croissance) au niveau de certaines phalanges des pattes de devant.
Ces anomalies sont probablement attribuables à un retard de croissance causé par l'iloprost pendant la phase tardive de l'organogenèse par le biais de modifications hémodynamiques au niveau de l'unité foeto-placentaire.
Des études comparables sur l'embryotoxicité chez le lapin et le singe n'ont pas mis en évidence de telles malformations des doigts, ni d'autres anomalies macroscopiques, jusqu'aux doses maximales testées.
Un passage extrêmement faible d'iloprost et/ou de ses métabolites dans le lait a été observé chez le rat (moins de 1% de la dose administrée par voie intraveineuse).
Aucune perturbation du développement postnatal ou du comportement de reproduction n'a été observée chez les animaux allaités.
Tolérance locale, sensibilisation de contact et potentiel antigénique
Des études sur les inhalations chez le rat n'ont pas trouvé de réactions d'intolérance des voies respiratoires supérieures et inférieures après l'administration d'aérosols d'iloprost à des doses de 20 µg/ml pendant des périodes allant jusqu'à 26 semaines.
Les essais chez le cochon d'Inde n'ont pas mis en évidence de propriétés de sensibilisation.

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