OEMédCompositionPrincipes actifs: Maléate d’énalapril, hydrochlorothiazide.
Excipients: Excipiens pro compresso.
Forme galénique et quantité de principe actif par unitéChaque comprimé (avec rainure de fragmentation) d’Elpradil HCT contient 20 mg de maléate d’énalapril et 12,5 mg d’hydrochlorothiazide.
Indications/Possibilités d’emploiElpradil HCT est indiqué pour la thérapie de l’hypertension artérielle chez les patients nécessitant une thérapeutique combinée.
Posologie/Mode d’emploiL’absorption d’Elpradil HCT n’est pas influencée par la prise simultanée de nourriture. Elpradil HCT peut être pris avant, pendant ou après les repas.
La posologie d’Elpradil HCT est subordonnée à la sensibilité individuelle au maléate d’énalapril. Instaurer le traitement à raison d’un comprimé par jour. Si nécessaire, l’on peut porter la posologie à deux comprimés par jour en une seule prise.
Sujets sous diurétiques
La première prise d’Elpradil HCT peut induire une hypotension symptomatique, en particulier chez les sujets présentant une hypovolémie ou une hyponatrémie en rapport avec l’administration conjointe de diurétiques. Il convient donc d’abandonner les diurétiques 2 ou 3 jours avant la mise en oeuvre d’Elpradil HCT.
Posologie lors d’insuffisance rénale
Les diurétiques thiazidiques peuvent être déconseillés chez l’insuffisant rénal et sont inefficaces en cas de clearance de la créatinine égale ou inférieure à 30 ml/min (témoignant d’une insuffisance rénale modérée à sévère). Ne pas administrer Elpradil HCT en cas de clearance de la créatinine comprise entre 30 et 80 ml/min avant que le titrage de chaque composant des comprimés en ait établi l’opportunité d’utilisation.
Chez l’insuffisant rénal (insuffisance légère), la posologie initiale recommandée pour le maléate d’énalapril administré seul est de l’ordre de 5 à 10 mg (voir «Mises en garde et précautions»).
Posologie lors d’insuffisance hépatique
Voir sous «Mises en garde et précautions».
Emploi en pédiatrie
La sécurité et l’efficacité chez les enfants et les adolescents n’ont pas fait l’objet d’études.
Emploi chez les patients âgés
Les études cliniques ont démontré que l’action antihypertensive conjointe de l’énalapril et de l’hydrochlorothiazide était analogue chez le sujet jeune et le sujet âgé.
Contre-indicationsHypersensibilité vis-à-vis du maléate d’énalapril ou d’un autre composant des comprimés.
Anurie.
Patients souffrant d’un angio-oedème héréditaire ou idiopathique ou patients ayant développé un oedème angioneurotique lors d’un traitement antérieur à un inhibiteur de l’ECA ou à un antagoniste du récepteur de l’angiotensine II.
Hypersensibilité vis-à-vis des dérivés des sulfonamides.
Deuxième et troisième trimestre de la grossesse (voir également «Grossesse/Allaitement»).
Mises en garde et précautionsComme avec tout antihypertenseur, une hypotension symptomatique peut survenir chez certains patients. Celle-ci peut apparaître à tout moment durant le traitement. La surveillance du malade portera sur l’apparition de signes cliniques de déséquilibre hydro-électrolytique, à savoir hypovolémie, hyponatrémie, alcalose hypochlorémique, hypomagnésiémie ou hypokaliémie; ces manifestations peuvent être liées à des diarrhées ou à des vomissements intercurrents et induire une hypotension. Dans de pareils cas, il convient d’effectuer des contrôles réguliers des électrolytiques sériques.
La prudence est de rigueur en cas de cardiopathie avec ischémie ou d’affection vasculaire cérébrale car une chute tensionnelle excessive peut provoquer un infarctus du myocarde ou une angiopathie cérébrale aiguë.
En cas de baisse tensionnelle, le patient restera alité. Une compensation volémique peut être requise par voie orale ou sous forme de perfusions de soluté physiologique. L’abaissement temporaire réactionnel de la tension ne constitue pas de contre-indication à la poursuite du traitement. La médication peut être rétablie à une posologie réduite après restauration d’une volémie et d’une tension satisfaisantes; le cas échéant, l’on peut opter pour l’administration séparée de l’un ou l’autre des composants.
Sténose aortique/cardiomyopathie hypertrophique
Comme tous les vasodilatateurs, les inhibiteurs de l’ECA ne devraient être administrés qu’avec prudence à des patients présentant une obstruction dans la voie d’éjection du ventricule gauche.
Insuffisance rénale
Voir sous «Posologie lors d’insuffisance rénale».
Effets rénaux
Certains hypertendus dépourvus de signes de néphropathie préexistante et soumis à un traitement associant l’énalapril et un diurétique ont présenté une élévation faible et généralement transitoire de l’urémie et de la créatinine sérique. Si des réactions de ce type surviennent sous Elpradil HCT, il convient d’interrompre le traitement.
Le traitement peut être rétabli éventuellement après réduction de la posologie ou en administrant l’un des composants à une dose ajustée.
Chez certains patients présentant une sténose bilatérale des artères rénales ou une sténose de l’artère d’un rein unique, il s’est également produit, au cours du traitement des augmentations de l’urée sanguine et de la créatinine sérique. Ces augmentations se sont toutefois avérées également réversibles après l’arrêt de la médication.
Hépatopathies
Les diurétiques thiazidiques seront utilisés avec prudence en cas d’insuffisance hépatique ou d’hépatopathie évolutive en raison du risque de coma hépatique inhérent à des modifications même minimes de l’équilibre hydro-électrolytique.
Chirurgie/anesthésie
L’énalaprilate peut bloquer la formation d’angiotensine II secondaire à la libération compensatrice de rénine chez les sujets subissant une intervention majeure ou ayant reçu un anesthésique possédant des propriétés hypotensives. Une baisse tensionnelle attribuée à ce mécanisme peut être corrigée par une expansion volémique.
Effets métaboliques et endocriniens de l’hydrochlorothiazide
Les diurétiques thiazidiques peuvent restreindre la tolérance au glucose. Le cas échéant, ajuster la posologie des antidiabétiques, y compris de l’insuline.
Les diurétiques thiazidiques peuvent abaisser l’excrétion calcique urinaire et induire ainsi une légère élévation passagère de la calcémie. Une hypercalcémie prononcée peut être le fait d’un hyperparathyroïdisme méconnu. Suspendre l’administration des diurétiques thiazidiques avant d’entreprendre l’exploration de la fonction parathyroïdienne.
Une augmentation du taux de cholestérol et des triglycérides peuvent être due au thérapie thiazidique. Cependant, avec 12,5 mg de thiazide, dose contenu dans un comprimé d’Elpradil HCT, il n’a été observé aucun effet ou alors un effet minime.
L’administration de diurétiques thiazidiques peut provoquer une hyperuricémie et/ou un accès goutteux chez certains patients. Toutefois, le maléate d’énalapril favorisant une augmentation du taux urinaire d’acide urique, l’action hyperuricémiante de l’hydrochlorothiazide peut s’en trouver atténuée.
Hypersensibilité/oedème de Quincke
Dans de rares cas, les inhibiteurs de l’ECA – y compris maléate d’énalapril – ont provoqué un oedème de Quincke au niveau de la face, des extrémités, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx. Dans pareils cas, cesser immédiatement l’administration de maléate d’énalapril et placer le patient sous surveillance étroite jusqu’à disparition de l’oedème. Même lors de gonflements limités à la langue, sans dyspnée, une observation prolongée peut être nécessaire, car le traitement aux antihistaminiques et aux corticostéroïdes peut s’avérer insuffisant.
Dans de très rares cas, des décès dus à un oedème de Quincke associé à un oedème du larynx et de la langue ont été rapportés. Chez les patients chez lesquels la langue, la glotte ou le larynx sont touchés, il est possible que les voies respiratoires soient bloquées, en particulier chez les patients ayant subi une intervention chirurgicale au niveau des voies respiratoires. Lorsque la langue, la glotte ou le larynx sont atteints, il convient de mettre immédiatement en oeuvre des mesures thérapeutiques adéquates, pouvant inclure l’injection sous-cutanée d’une solution d’adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures pour garantir l’ouverture des voies respiratoires. Le patient doit faire l’objet d’une surveillance médicale étroite.
Chez les patients noirs, ayant reçu des inhibiteurs de l’ECA, une incidence plus élevée d’oedèmes de Quincke a été rapportée par rapport à d’autres patients.
Les patients qui présentent dans leur anamnèse un épisode d’oedème de Quincke sans rapport avec un traitement par inhibiteur de l’ECA (par ex. dans le cadre d’un traitement avec des antagonistes récepteur angiotensine-II) peuvent être exposés à un risque plus élevé de développer un oedème de Quincke sous traitement par un inhibiteur de l’ECA (voir «Contre-indications»).
En cas d’antécédents allergiques ou asthmatiques, les diurétiques thiazidiques peuvent provoquer des réactions d’hypersensibilité.
Des cas d’exacerbation ou d’activation d’un lupus érythémateux systémique ont été décrits sous thiazides.
Réactions anaphylactiques lors de la désensibilisation au venin d’hyménoptères
Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités par des inhibiteurs de l’ECA pendant une désensibilisation au venin d’insecte. Ces réactions ont pu être prévenues par une interruption provisoire du traitement par l’inhibiteur de l’ECA avant la désensibilisation. En outre, dans ces cas-là, l’inhibiteur de l’ECA ne doit en aucun cas être remplacé par un bêtabloquant. Dans de rares cas, une réaction anaphylactique a pu survenir suite à une piqûre d’insecte.
Réactions anaphylactiques durant une LDL-aphérèse
Dans de rares cas, des réactions anaphylactiques potentiellement fatales sont apparues chez des patients traités à des inhibiteurs de l’ECA durant la LDL-aphérèse au sulfate de dextrane. Ces réactions ont pu être évitées lorsque le traitement à l’inhibiteur de l’ECA était provisoirement arrêté avant la LDL-aphérèse.
Patients sous hémodialyse
L’application d’Elpradil HCT n’est pas indiquée pour des patients dialysés en raison d’une insuffisance rénale (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
Chez des patients soumis à une dialyse par membranes «High-Flux» (p.ex. AN69®) et traités simultanément par un inhibiteur de l’ECA, on a pu observer des réactions anaphylactoïdes. Il convient, chez ces patients, d’employer un autre type de membrane, ou de prendre en considération un antihypertenseur d’une autre classe de substance.
Toux
On a observé de la toux en relation avec la prise d’inhibiteurs de l’ECA. Cette toux présente la caractéristique d’être non productive, rebelle, mais réversible à l’arrêt du traitement. Lors du diagnostic différentiel de la toux, il faut tenir compte d’un traitement par inhibiteur de l’ECA.
Passage des bêtabloquants à Elpradil HCT
Ne pas cesser brusquement l’administration de bêtabloquants, mais en réduire progressivement la posologie par titrage après mise en oeuvre d’Elpradil HCT (se conformer à l’information professionnelle concernant le bêtabloquant concerné).
Hyerkaliémie
Les facteurs de risque pour le développement d’une hyperkaliémie englobent l’insuffisance rénale, le diabète et l’utilisation concomitante de diurétiques épargneurs de potassium (par exemple spironolactone, éplérénone, triamtérène ou amiloride), de suppléments de potassium ou de sels diététiques contenant du potassium.
La prise de suppléments de potassium, de principes actifs épargneurs de potassium ou des sels diététiques contenant du potassium peut, en particulier chez les patients insuffisants rénaux, provoquer une élévation significative du taux sérique de potassium.
L’hyperkaliémie peut entraîner des arythmies sérieuses, parfois mortelles.
Si l’utilisation d’Elpradil HCT en association avec une des substances actives mentionnées ci-dessus est indiquée, la prudence est de rigueur et le taux sérique de potassium doit être contrôlé régulièrement (voir également «Interactions» – «Potassium sérique»).
Hypoglycémie chez les diabétiques – voir «Interactions».
InteractionsUne augmentation de l’effet antihypertenseur a été démontrée sous le maléate d’énalapril associé à d’autres médicaments antihypertenseurs tels que les bêtabloquants, la méthyldopa ou les antagonistes du calcium.
L’emploi simultané d’énalapril et d’agents bloquant les ganglions ou les neurones adrénergiques ne peut se faire que sous contrôle étroit du patient.
Potassium sérique
L’énalapril permet habituellement d’atténuer les effets hypokaliémiants des diurétiques thiazidiques. La kaliémie reste située généralement dans la norme.
L’administration concomitante d’appoints potassiques, de préparations d’épargne potassique ou de sels diététiques contenant du potassium peut induire une élévation significative du potassium sérique, en particulier chez l’insuffisant rénal. Si l’utilisation d’Elpradil HCT en association avec une des substances actives mentionnées ci-dessus est indiquée, la prudence est de rigueur et le taux sérique de potassium doit être contrôlé régulièrement (voir également «Mises en garde et précautions» – «Hyperkaliémie»).
Lithium
Il est généralement déconseillé d’administrer du lithium chez les sujets traités à des diurétiques ou des inhibiteurs de l’ECA, car ceux-ci réduisent la clearance rénale du lithium et risquent ainsi d’accroîte sensiblement le risque de toxicité.
Avant d’aministrer des préparations à base de lithium, se référer à la notice d’emballage.
Anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 (inhibiteurs de la COX-2) peuvent réduire l’effet des diurétiques et d’autres médicaments antihypertenseurs. C’est pourquoi l’effet antihypertenseur des antagonistes de récepteurs de l’angiotensine II ou des inhibiteurs de l’ECA peut être réduit par des AINS, y compris des inhibiteurs de la COX-2.
Chez certains patients présentant une fonction rénale diminuée (par exemple patients âgés ou hypovolémiques, y compris patients sous diurétiques) qui sont traités aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris avec des inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, l’administration simultanée d’antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II ou d’inhibiteurs de l’ECA peut provoquer une péjoration supplémentaire de la fonction rénale pouvant aller jusqu’à une éventuelle insuffisance rénale aiguë. Ces effets sont habituellement réversibles. Par conséquent, ces traitements seront associés avec prudence chez des patients présentant une fonction rénale diminuée.
Double inhibition du système RAA
Chez les patients présentant une maladie athéroscléreuse établie, une insuffisance cardiaque ou un diabète avec des lésions organiques, on a rapporté dans la littérature une incidence accrue d’hypotension, de syncopes, d’hyperkaliémie et de détériorations de la fonction rénale (y compris insuffisance rénale aiguë) lors d’une double inhibition du système RAA en comparaison avec l’utilisation d’un agent actif provoquant une simple inhibition du système RAA. Une double inhibition (par exemple par l’utilisation d’un inhibiteur de l’ECA en plus d’un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine II) doit rester réservée à des cas définis individuellement et être accompagnée d’une surveillance étroite de la fonction rénale.
Hypoglycémie chez les diabétiques
Dans des cas rares une hypoglycémie peut se manifester chez les diabétiques traités avec de l’insuline ou des antidiabétiques oraux en même temps qu’un inhibiteur de l’ECA. C’est pourquoi les diabétiques doivent savoir que des réactions hypoglycémiques peuvent apparaître, et être surveillés en conséquences.
Myorelaxants non dépolarisants
Les diurétiques thiazidiques peuvent accroître la sensibilité à la tubocurarine.
Or
On a rapporté dans de rares cas des réactions nitritoïdes (avec des symptômes englobant un rougissement du visage, des nausées, des vomissements et une hypotension) chez des patients traités à la fois avec une solution d’or injectable (aurothiomalate sodique) et un inhibiteur de l’ECA, énalapril compris.
Grossesse/AllaitementIl existe des indices laissant clairement supposer l’existence de risques pour le foetus humain. C’est pourquoi Elpradil HCT ne doit pas être utilisé durant la grossesse. Si une grossesse est constatée, le traitement avec Elpradil HCT doit être interrompu, sauf s’il est considéré comme vital pour la mère. Chez les femmes qui pourraient tomber enceintes, une contraception fiable doit être utilisée.
Une étude épidémiologique rétrospective publiée suggère que les enfants dont la mère a été traitée avec un inhibiteur de l’ECA pendant le premier trimestre de la grossesse ont un risque accru (risque relatif = 2,71, intervalle de confiance à 95% 1,72 à 4,27) de présenter des malformations congénitales sévères en comparaison avec les enfants dont la mère n’a pas été exposée aux inhibiteurs de l’ECA pendant le premier trimestre de la grossesse. Le nombre des cas de malformations est faible et les résultats de cette étude n’ont pas pu être répétés jusqu’à présent.
Les inhibiteurs de l’ECA sont en mesure de provoquer une morbidité et une mortalité foetale et néonatale lorsqu’ils sont administrés au cours du deuxième ou du troisième trimestre.
L’emploi d’inhibiteurs de l’ECA au cours du deuxième et du troisième trimestre a été associé à des lésions foetales et néonatales, y compris hypotension, insuffisance rénale, hyperkaliémie et/ou hypoplasie crânienne chez le nouveau-né.
On a rapporté chez la mère des cas d’oligohydramnios, qui étaient vraisemblablement liés à une fonction rénale foetale diminuée et susceptibles d’entraîner des contractures de la musculature des membres, de même que des malformations cranio-faciales et des hypoplasies pulmonaires. Dans quelques cas exceptionnels, dans lesquels le spécialiste évalue tout de même l’emploi d’un inhibiteur de l’ECA au cours d’une grossesse (en raison du fait que d’autres substances ont insuffisamment agi ou sont contre-indiquées), il convient d’informer la patiente des dangers potentiels que court le foetus.
L’utilisation routinière de diurétiques chez la femme enceinte ne présentant pas d’autres problèmes de santé est déconseillée et met inutilement en danger la santé de la mère et de l’enfant. Les risques possibles sont l’ictère foetal ou néonatal, la thrombocytopénie, ainsi que d’autres effets indésirables observés chez l’adulte.
Dans les très rares cas où l’emploi des inhibiteurs de l’ECA pendant la grossesse est inévitable, il conviendrait de procéder, à intervalles réguliers, à des examens par ultrasons, afin de déceler des altérations intra-amniotiques.
Au cas où un oligo-hydramnios serait constaté, il faudrait interrompre Elpradil HCT, sauf si ce traitement est considéré comme vital pour la mère.
Toutefois, le médecin et la patiente devraient avoir présent à l’esprit qu’un oligo-hydramnios peut survenir alors que le foetus a déjà subi des lésions irréversibles.
Il convient de surveiller soigneusement les nouveau-nés dont la mère a été traitée par Elpradil HCT durant sa grossesse, afin de détecter une éventuelle hypotension, oligurie ou hyperkaliémie.
Etant donné que l’énalapril passe la barrière placentaire, on a pu, dans certains cas, grâce à la dialyse péritonéale, l’éliminer avec succès du système cardiovasculaire du nouveau-né. Théoriquement ceci pourrait également être réalisé par exsanguino-transfusion. On ne dispose d’aucune expérience relative à la possibilité d’éliminer l’hydrochlorothiazide – qui passe également la barrière placentaire – de la circulation sanguin du nouveau-né.
Emploi en période d’allaitement
L’énalapril et les thiazides sont éliminés dans le lait maternel. Si le traitement s’avère être absolument nécessaire, l’on devra pratiquer un sevrage.
Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machinesEn raison d’effets secondaires possibles, la prudence est de mise lors de la conduite de véhicules et de l’utilisation de machines. Une baisse de la tension artérielle peut altérer les capacités de concentration et de réaction, ce qui peut altérer les capacités à prendre part au traffic routier et à utiliser des machines. Cet effet est le plus probable au début de la thérapie et lors d’une co-administration d’alcool.
Effets indésirablesLes effets indésirables ci-après ont été observés durant des études cliniques contrôlées ou après l’introduction du médicament sur le marché:
(Très fréquents [≥1/10], fréquents [≥1/100, <1/10], occasionnels [≥1/1’000, <1/100], rares [≥1/10’000, <1/1’000] et très rares [<1/10’000], y compris des cas isolés rapportés.)
Maléate d’énalapril et hydrochlorothiazide
Rares: diminutions de l’hémoglobine, baisse de l’hématocrite.
Troubles endocriniens
Très rares: syndrome de sécrétion inappropriée d’hormone antidiurétique (SIADH).
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Occasionnels: hyperglycémie, hyperuricémie, goutte, hypokaliémie.
Troubles du système nerveux et troubles psychiatriques
Fréquents: insomnie, paresthésies, maux de tête, syncope, diminution de la libido, vertiges.
Occasionnels: nervosité, somnolence, vertige.
Troubles de l’oreille et du conduit auditif
Occasionnels: tinnitus.
Troubles fonctionnels cardiaques et vasculaires
Fréquents: hypotension artérielle.
Occasionnels: douleurs thoraciques, hypotension orthostatique, palpitations, tachycardie.
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
Fréquents: toux.
Occasionnels: dyspnée.
Troubles gastro-intestinaux
Fréquents: nausées, diarrhée, vomissements.
Occasionnels: dyspepsie, douleurs abdominales, constipation, flatulence, sécheresse buccale.
Rares: pancréatite.
Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
Occasionnels: éruption cutanée, diaphorèse, hyperhydrose, hypersensibilité/oedème angioneurotique.
Des cas d’oedèmes angioneurotiques du visage, des membres, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx ont été rapportés (voir sous «Mises en garde et précautions»).
Dans ces situations, Elpradil HCT devrait être arrêté immédiatement et le patient devrait être surveillé avec soin, jusqu’à la disparition des gonflements. Lors de gonflements limités au visage et aux lèvres, l’état s’est généralement amélioré sans traitement. Les antihistaminiques se sont toutefois souvent avérées utiles pour soulager les symptômes.
Un oedème angioneurotique accompagné d’un oedème du larynx peut mettre en jeu le pronostic vital. Lorsque la langue, la glotte ou le larynx sont atteints, ce qui comporte un risque d’obstruction des voies respiratoires, il convient de mettre immédiatement en oeuvre des mesures thérapeutiques adéquates, pouvant inclure l’injection sous-cutanée d’une solution d’adrénaline 1:1000 (de 0,3 ml à 0,5 ml) et/ou des mesures pour garantir l’ouverture des voies respiratoires.
Rares: prurit, syndrome de Stevens-Johnson.
Un ensemble de symptômes, pouvant comprendre certains ou tous les symptômes suivants: fièvre, sérosité, vasculite, myalgie/myosite, arthralgie/arthrite, anticorps antinucléaires positifs, hausse de la sédimentation des érythrocytes, éosinophilie et leucocytose, a été décrit. Des éruptions cutanées, une sensibilité à la lumière ou d’autres manifestations dermatologiques peuvent apparaître en même temps.
Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
Fréquents: crampes musculaires.
Occasionnels: arthralgies.
Troubles rénaux et urinaires
Rares: insuffisance rénale, défaillance rénale.
Troubles des organes de reproduction et des seins
Fréquents: impuissance.
Troubles généraux
Fréquents: fatigue, asthénie.
Investigations
Occasionnels: augmentations de l’urée sanguine et de la créatinine sérique.
Rares: augmentations des enzymes hépatiques et de la bilirubine sérique, hyperkaliémie.
Les autres effets indésirables ayant été observés avec les composants d’Elpradil HCT et qui peuvent également apparaître sous Elpradil HCT sont les suivants:
Maléate d’énalapril
* Si l’on considère l’ensemble des expériences faites dans des études cliniques sur l’énalapril (ce qui inclut les «SOLVD Treatment and Prevention Trials» auprès de patients présentant une dysfonction significative du ventricule gauche), les effets indésirables «très fréquents» englobent des vertiges (30,6%), une vision floue (12,6%), de la toux (20,4%), des nausées (12,6%) et une asthénie (31,4%). Dans les études auprès de patients hypertendus, l’incidence est cependant nettement plus faible: occasionnels: vision floue (0,17%); fréquents: vertiges (4,3%), toux (1,3%), envies de vomir (1,4%) et fatigue/asthénie (3,0%).
Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
Rares: neutropénie, diminutions de l’hémoglobine, diminutions de l’hématocrite, thrombocytopénie, agranulocytose, dépression de la moelle osseuse.
Troubles du système nerveux et troubles psychiatriques
Très fréquents: vertiges (30,6%)*.
Fréquents: maux de tête, dépression, syncope, altérations du goût.
Occasionnels: confusion mentale, somnolence, insomnie, nervosité, paresthésies, vertige, diminution de la libido.
Rares: rêves anormaux.
Troubles oculaires
Très fréquents: troubles de la vision (vision floue) (12,6%)*.
Troubles de l’oreille et du conduit auditif
Occasionnels: tinnitus.
Troubles fonctionnels cardiaques et vasculaires
Fréquents: hypotension, y compris hypotension orthostatique, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral, éventuellement suite à une hypotension exagérée chez patients à haut risque (voir sous «Mises en garde et précautions»), douleurs thoraciques, troubles du rythme cardiaque, angine de poitrine.
Occasionnels: hypotension orthostatique, palpitations, rougeurs.
Rares: syndrome de Raynaud.
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
Très fréquents: toux (20,4%)*.
Fréquents: dyspnée, pneumonie.
Occasionnels: rhinorrhée, inflammation de la gorge et enrouement, bronchospasmes/asthme, bronchite.
Rare: infiltrations pulmonaires.
Troubles gastro-intestinaux
Très fréquents: envies de vomir (12,6%)*.
Fréquents: diarrhée, douleurs abdominales.
Occasionnels: iléus, pancréatite, vomissements, dyspepsie, constipation, anorexie, sécheresse buccale.
Rares: stomatite, glossite.
Dans de très rares cas, un angio-oedème intestinal associé à des inhibiteurs de l’ECA y compris l’énalapril a été rapporté.
Troubles hépato-biliaires
Rares: défaillance hépatique, hépatite hépatocellulaire ou cholestatique, jaunisse.
Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
Fréquents: éruption cutanée, hypersensibilité, oedème angioneurotique.
Des cas d’oedèmes angioneurotiques du visage, des membres, des lèvres, de la langue, de la glotte et/ou du larynx ont été rapportés (voir sous «Mises en garde et précautions»).
Occasionnels: diaphorèse, hyperhydrose, prurit, urticaire, alopécie.
Rares: érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, dermatite exfoliative, nécrolyse épidermique toxique, pemphigus.
Un ensemble de symptômes, pouvant comprendre certains ou tous les symptômes suivants: fièvre, sérosité, vasculite, myalgie/myosite, arthralgie/arthrite, anticorps antinucléaires positifs, hausse de la sédimentation des érythrocytes, éosinophilie et leucocytose, a été décrit. Des éruptions cutanées, une sensibilité à la lumière ou d’autres manifestations dermatologiques peuvent apparaître en même temps.
Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
Occasionnels: crampes musculaires.
Troubles rénaux et urinaires
Occasionnels: troubles de la fonction rénale, défaillance rénale.
Rares: oligurie.
Troubles des organes de reproduction et des seins
Occasionnels: impuissance.
Troubles généraux
Très fréquents: asthénie (31,4%)*.
Fréquents: fatigue.
Investigations
Fréquents: hyperkaliémie, élévation de la créatinine sérique.
Occasionnels: élévations de l’urée sanguine, hyponatrémie.
Rares: élévations des enzymes hépatiques, augmentations de la bilirubine sérique.
Hydrochlorothiazide
Rares: thrombocytopénie, parfois avec un purpura.
Très rares: leucopénie, agranulocytose, dépression de la moelle osseuse et anémie hémolytique.
Troubles du métabolisme et de la nutrition
Fréquents: hypokaliémie, surtout à des doses élevées, et hausse des lipides sanguins.
Occasionnels: anorexie, hypomagnésiémie, hyperuricémie.
Rares: hypercalcémie, hyperglycémie, glycosurie, aggravation d’un état métabolique diabétique.
Très rares: alcalose hypochlorémique.
Troubles du système nerveux et troubles psychiatriques
Rares: dépression, maux de tête, vertiges ou obnubilation, insomnie, paresthésies.
Troubles oculaires
Troubles de la vision, en particulier durant les premières semaines de traitement.
Troubles fonctionnels cardiaques et vasculaires
Occasionnels: hypotension orthostatique, pouvant être aggravée par l’alcool, des anesthésiques ou des sédatifs.
Rares: troubles du rythme cardiaque.
Troubles fonctionnels respiratoires, thoraciques et médiastinaux
Très rares: troubles respiratoires y compris pneumonie et oedème pulmonaire.
Troubles gastro-intestinaux
Occasionnels: nausées et vomissements légers, perte de l’appétit.
Rares: douleurs abdominales, constipation, diarrhée et troubles gastro-intestinaux.
Très rares: pancréatite.
Troubles hépato-biliaires
Rares: cholestase intra-hépatique ou ictère.
Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
Occasionnels: urticaire et autres éruptions cutanées.
Rares: photosensibilité.
Très rares: vasculite nécrosante, épidermolyse toxique aiguë, réactions du type lupus érythémateux et réactivation d’un lupus érythémateux, réactions d’hypersensibilité.
Troubles des organes de reproduction et des seins
Occasionnels: impuissance.
Investigations
Occasionnels: hyponatrémie.
SurdosageIl n’existe pas d’informations spécifiques sur Elpradil HCT surdosé. Les mesures à prendre viseront à traiter les symptômes et à soutenir l’état général. Cesser l’administration d’Elpradil HCT et placer le patient sous surveillance étroite. Les mesures proposées comprennent: vomissements provoqués (lors d’une prise récente), remédier à la déshydration, aux troubles électrolytiques et à l’hypotension en appliquant des méthodes éprouvées.
Maléate d’énalapril
Les réactions les plus remarquables ont consisté en une hypotension prononcée, résultant du blocage du système RAA quelque 6 heures après l’ingestion des comprimés et un état de stupeur. Des cas d’élévation du taux sérique d’énalaprilate 100 à 200 fois supérieure à la norme thérapeutique ont été observés après ingestion de doses respectives de 300 et 440 mg d’énalapril.
Lors d’un surdosage, une perfusion intraveineuse de solution saline physiologique est recommandée. Si disponible, une perfusion d’angiotensine II peut être utile.
L’énalaprilate peut être éliminé de la circulation par l’hémodialyse (voir «Mises en garde et précautions – Patients sous hémodialyse»).
Hydrochlorothiazide
Les signes et symptômes les plus fréquents consistent en une déplétion électrolytique (hypokaliémie, hypochlorémie, hyponatrémie) et en une déshydratation résultant d’une stimulation de la diurèse. Lors de la prise simultanée de digitaliques, l’hypokaliémie peut accentuer les arythmies cardiaques.
Propriétés/EffetsCode ATC: C09BA02
Elpradil HCT (maléate d’énalapril/hydrochlorothiazide) est une association médicamenteuse comportant un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (maléate d’énalapril) et un diurétique (hydrochlorothiazide).
Elpradil HCT contient 20 mg de maléate d’énalapril et 12,5 mg d’hydrochlorothiazide. Elpradil HCT agit comme hypotenseur et comme diurétique. Le maléate d’énalapril et l’hydrochlorothiazide sont utilisés aussi bien en monothérapie qu’en association, pour le traitement de l’hypertension artérielle. L’effet antihypertenseur des deux principes actifs est additif et se maintient pendant au moins 24 h. L’effet antihypertenseur d’Elpradil HCT est significativement plus élevé que celui observé sous l’administration seule d’énalapril ou d’hydrochlorothiazide.
Le maléate d’énalapril et l’hydrochlorothiazide présentent des demi-vies similaires (voir sous «Pharmacocinétique»).
Maléate d’énalapril
L’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA) est une peptidyl peptidase, qui catalyse la transformation de l’angiotensine I en angiotensine II, une substance qui influence la pression artérielle. Après son absorption, l’énalapril est hydrolysé en énalaprilate, qui inhibe l’ECA. L’inhibition de l’ECA entraîne une diminution de la concentration plasmatique d’angiotensine II, ce qui provoque une augmentation de l’activité plasmatique de la rénine (suite à la suppression du feed-back négatif sur la libération de rénine) et une diminution de la sécrétion d’aldostérone.
L’ECA est identique à la kininase II. C’est pourquoi l’énalapril peut également bloquer la dégradation du peptide à effet fortement vasopresseur, la bradykinine. Toutefois, le rôle de cet effet dans les effets thérapeutiques de l’énalapril n’a pas été compris à ce jour.
Hydrochlorothiazide
L’hydrochlorothiazide est un diurétique et un antihypertenseur qui provoque une hausse de l’activité plasmatique de la rénine. Le mécanisme de l’effet anti-hypertenseur des thiazides n’est pas connu. L’hydrochlorothiazide n’a généralement pas d’effet sur la pression artérielle normale.
PharmacocinétiqueLe maléate d’énalapril administré par voie orale est résorbé rapidement, les pics sériques d’énalapril apparaissant en l’espace d’une heure. Après résorption, une large proportion de maléate d’énalapril est rapidement hydrolysée en énalaprilate, agent possédant une action inhibitrice puissante à l’égard de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA). Les pics sériques d’énalaprilate s’observent 3 ou 4 heures après administration orale de maléate d’énalapril. Les quantités mises en évidence dans l’urine permettent d’établir que la résorption gastro-intestinale est de l’ordre de 60%. La présence d’aliments dans le tractus gastro-intestinal n’influence pas la résorption du maléate d’énalapril. La résorption et l’hydrolyse sont indépendantes des doses thérapeutiques recommandées.
Distribution
La courbe des concentrations sériques de l’énalaprilate révèle une phase terminale prolongée, sans doute en rapport avec la liaison à l’ECA. Chez les personnes ayant une fonction rénale normale, les concentrations sériques de l’énalaprilate se stabilisent au quatrième jour après le début de l’administration («steady state»). La demi-vie d’élimination de l’énalaprilate accumulé par suite de la prise orale de doses multiples de maléate d’énalapril est de 11 heures.
Métabolisme
Outre sa biotransformation en énalaprilate, on ne trouve aucun indice d’une métabolisation significative.
Elimination
La substance est éliminée essentiellement par les reins. Les principaux agents mis en évidence dans l’urine sont l’énalaprilate, représentant quelque 40% de la dose administrée, et l’énalapril sous forme inchangée.
Hydrochlorothiazide
La biodisponibilité des comprimés d’hydrochlorothiazide est de 70% environ. Après absorption par voie orale d’une dose unique de 12,5, 25, 50 et 75 mg, des concentrations plasmatiques maximales de 70, 142, 260 et 376 ng/ml sont atteints en moyenne au bout de deux heures. Dans la gamme des doses thérapeutiques, la disponibilité systémique de l’hydrochlorothiazide est proportionnelle à la dose.
Métabolisme
L’hydrochlorothiazide est excrété par voie rénale sous forme non métabolisée.
Elimination
Le suivi des taux plasmatiques pendant un minimum de 24 heures permet d’observer que la demi-vie plasmatique varie entre 5,6 et 14,8 heures. Après administration orale, la proportion excrétée en l’espace de 24 heures sous forme inchangée est de 61% au minimum. L’hydrochlorothiazide franchit la barrière placentaire mais ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique.
Maléate d’énalapril – hydrochlorothiazide
L’administration conjointe répétée de maléate d’énalapril et d’hydrochlorothiazide est pratiquement, voire totalement dépourvue d’influence mutuelle sur la biodisponibilité de chaque composant. L’association contenue dans le comprimé équivaut biologiquement aux deux principes actifs administrés séparément.
Données précliniquesDes examens ponctuels et réguliers (répétés) n’ont montré aucun indice quant à la toxicité significative et les études sur la mutagénicité et la carcinogénité n’ont montré aucun risque pour l’être humain. Les inhibiteurs ACE agissent incontestablement de manière toxique pour le foetus, lorsqu’ils sont administrés pendant le 2ou le 3trimestre (voir «Grossesse/Allaitement»).
Remarques particulières«High-Flux» filtre à dialyse: voir «Mises en garde et précautions».
Stabilité
Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
Remarques concernant le stockage
Conserver Elpradil HCT comprimés dans l’emballage original, ne pas au-dessus de 30 °C et tenir hors de portée des enfants.
Numéro d’autorisation56424 (Swissmedic).
Titulaire de l’autorisationStreuli Pharma SA, 8730 Uznach.
Mise à jour de l’informationOctobre 2011.
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