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Données précliniques

Mutagénicité
Dans un test in vitro (cellules de CHO), une fréquence accrue d'échange de chromatides-sœurs et d'aberrations chromosomiques a été constatée. Deux autres études in vitro (test d'AMES et test de mutation sur le lymphome de souris) n'ont révélé aucun effet mutagène.
Dans une étude in vivo (test du micronoyau, même race de souris que dans l'étude sur la carcinogénicité) avec administration de doses s'élevant jusqu'à 250 mg/kg, aucun effet clastogène ou aneugène n'a été observé.
Carcinogénicité
Dans une expérimentation animale sur la durée de vie chez la souris, le méthylphénidate a provoqué une augmentation de la fréquence des adénomes hépatocellulaires (tumeur hépatique bénigne) et, dans les espèces de sexe masculin seulement, une survenue accrue d'hépatoblastomes (tumeur hépatique maligne), à une dose d'environ 60 mg/kg/j. (environ 35 fois supérieure à la dose maximale recommandée chez l'être humain). Aucune augmentation générale de l'incidence des tumeurs hépatiques malignes n'a été observée. La race de souris testée est particulièrement sujette au développement de tumeurs hépatiques et la signification de ces résultats pour l'être humain n'est pas connue.
Des études similaires chez le rat n'ont montré aucun indice de carcinogénicité.
Toxicité sur la reproduction
Dans une étude de reproduction effectuée chez le lapin avec le méthylphénidate, des cas de spina bifida et de malrotations des extrémités postérieures ont été observés dans deux portées, à une dose de 200 mg/kg/j. Cette dose était environ 116 fois plus élevée que la dose maximale recommandée chez l'être humain (DMRH) de 60 mg.
Une deuxième étude a été réalisée avec une dose élevée (300 mg/kg/j.) considérée comme toxique pour la mère. Aucun cas de spina bifida n'a cependant été observé dans 12 portées ayant survécu (92 fœtus).
Dans des expérimentations animales chez le rat, le méthylphénidate ne s'est pas avéré tératogène. Une forte dose de 75 mg/kg/j. (44 fois supérieure à la DMRH) a entraîné le développement d'une toxicité fœtale qui s'est manifestée par une incidence accrue de fœtus présentant une ossification retardée du crâne et de l'os hyoïde, et de fœtus présentant des côtes courtes surnuméraires.
Évolution du comportement des adolescents
Dans les expérimentations animales chez le jeune rat, la prise orale répétée de méthylphénidate a entraîné une diminution de l'activité motrice à une dose de 50 mg/kg/j. (29 fois supérieure à la DMRH), à rapporter à l'activité pharmacocinétique excessive du méthylphénidate. Par ailleurs chez les rattes femelles, un déficit de l'acquisition d'apprentissages spécifiques a été constaté à la dose maximale de 100 mg/kg/j. (58 fois supérieure à la DMRH). La signification clinique de ces événements n'est pas connue.

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