Données précliniquesToxicité, mutagénicité et carcinogénicité
Dans les études de toxicité subchronique et chronique chez les rats, les souris et les chiens, on a observé une diminution du glucose sérique et une dégranulation des cellules bêta du pancréas. Celles-ci étaient réversibles et étaient la conséquence de l'effet pharmacodynamique. Dans le pancréas des souris, on a trouvé un nombre élevé d'hyperplasies et d'adénomes des îlots de Langerhans. Le glimépiride n'a présenté aucun effet mutagène ou génotoxique. Les résultats des études toxicologiques sur la reproduction chez le rat et le lapin (malformations osseuses, anomalies aux yeux, taux élevé de mortalité fœtale) étaient la conséquence de l'effet pharmacodynamique ou des effets non spécifiques à la substance dus à des doses excessives.
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