Données précliniquesAprès l’administration parentérale répétée, des dommages, réversibles et variables selon la dose, ont été causés aux reins des rats et des chiens. Les résultats d’examens sur le potentiel ototoxique chez les cobayes ont démontré qu’une légère diminution de la fonction cochléaire et vestibulaire est possible, sans pour autant causer de lésions morphologiques.
Avec l’administration de doses sous-cutanées jusqu’à 40 mg/kg/jour, la fertilité des rattes et des rats n’a pas été impactée. Aucune malformation n’a été observée dans des études sur le développement de l’embryon-fœtus après l’administration sous-cutanée jusqu’à 200 mg/kg/jour chez les rats, et après l’administration intramusculaire jusqu’à 15 mg/kg/jour chez les lapins. Après l’administration de hautes doses aux rats, les mort-nés (après 100 mg/kg /jour et plus) et les cas de mortalité néonatale (après 200 mg/kg/jour) se sont multipliés. Cet effet n’a pas été observé avec une dose de 50 mg/kg/jour. Au cours d’une étude périnatale et postnatale sur des rats, l’administration sous-cutanée jusqu’à 40 mg/kg/jour n’a donné aucun effet sur la fertilité de la génération F1, ou sur la survie et le développement de la génération F2.
La téicoplanine ne présente pas de potentiel d’antigénicité (chez les souris, cobayes et lapins) de génotoxicité ou d’intolérance locale.
Aucun résultat d’essai sur la cancérogénicité n’est disponible.
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