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Information professionnelle sur Zolpidem - 1 A Pharma 10 mg:1 A Pharma GmbH, Oberhaching, Landkreis
Information professionnelle complèteDDDimprimé 
Composit.Forme gal.Indic./emploiPosolog./mode d'empl.Contre-Ind.PrécautionsInteract.Grossesse
Apt.conduiteEffets indésir.SurdosagePropriétésPharm.cinét.Donn.précl.RemarquesNum. Swissmedic
TitulaireMise à jour 

Mises en garde et précautions

Insuffisance respiratoire: Comme les hypnotiques sont connus pour diminuer la fonction respiratoire, des précautions doivent être prises si le zolpidem est prescrit à des patients ayant une fonction respiratoire altérée.
Patients pédiatriques: La tolérance et l’efficacité n’ont pas été établies en pédiatrie. Lors d’une étude sur 8 semaines chez des patients (de 6 à 17 ans) souffrant d’insomnie en association au trouble déficit de l’attention/hyperactivité (TDAH), les troubles psychiatriques et du système nerveux central comprenaient les effets indésirables émergents du traitement les plus fréquents observés avec le zolpidem en comparaison au placébo et incluaient vertiges (23,5% vs 1,5%), céphalées (12,5% vs 9,2%) et hallucinations (7,4% vs 0%).
Sujets âgés, insuffisance hépatique: voir «Instructions posologiques particulières».

La prescription d’un hypnotique quel qu’il soit impose les précautions suivantes
La cause de l’insomnie doit si possible être identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités avant la pres­cription d’un hypnotique.
La persistance de l’insomnie après 7 à 14 jours de traitement peut indiquer la présence d’une pathologie psychiatrique ou physique sous-jacente. En particulier, une dépression préexistante peut être révélée au cours d’un traitement par le zolpidem, l’insomnie pouvant être un symptôme témoin d’une dépression. L’état du patient devrait être réévalué soigneusement à intervalles réguliers.
Lors de la prescription d’hypnotiques, les prescripteurs doivent prendre en compte les éléments suivants:
Psychose: Les hypnotiques ne sont pas recommandés dans le traitement de première intention de la psychose.
Amnésie: Les sédatifs/hypnotiques peuvent entraîner une amnésie antérograde. Elle survient le plus souvent quelques heures après la prise du produit. Par conséquent, il est conseillé de se mettre dans les conditions les plus favorables pour une durée de sommeil ininterrompue de 7 à 8 heures.
Dépression: Les hypnotiques ne doivent pas être utilisés seuls pour traiter la dépression. Bien qu’aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative ou pharmacodynamique n’ait été démontrée avec les antidépresseurs ISRS (voir «Interactions»), comme pour les autres hypnotiques, le zolpidem ne doit être administré qu’avec prudence chez les patients présentant des symptômes de dépression. En raison d’un risque suicidaire accru, le nombre de boîtes prescrites doit être le plus faible possible pour éviter tout surdosage intentionnel.
Une dépression préexistante peut être révélée au cours d’un traitement par le zolpidem. L’insomnie pouvant être le symptôme d’une dépression, le patient devra être réévalué si l’insomnie persiste.
Autres réactions paradoxales et de type psychiatrique: Des symptômes tels que: nervosité, insomnie exacerbée, agitation, irritabilité, agressivité, délire, colère, cauchemars, hallucinations, comportement anormal et autres troubles du comportement peuvent apparaître au cours de la prise de sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem.
Dans ce cas, le traitement doit être interrompu. Ces symptômes sont plus susceptibles d’apparaître chez le sujet âgé.
Somnambulisme et comportements associés: Somnambulisme et comportements associés ont été rapportés par des patients qui avaient pris du zolpidem (Zolpidem - 1 A Pharma) ou des somnifères apparentés à cette préparation et n’étaient pas complètement réveillés. Parmi ces comportements, on peut citer le somnambulisme en conduisant, en préparant des repas et en mangeant, en téléphonant ou pendant des rapports sexuels, sans que les personnes concernées ne s’en souviennent (amnésie). Des cas isolés de comportement d’automutilation ont également été rapportés dans ce contexte. La prise d’alcool et d’autres dépresseurs du SNC ou substances d’action centrale semble accroître le risque de tels comportements en association avec le zolpidem (Zolpidem - 1 A Pharma). Le même principe s’applique en cas de prise de Zolpidem - 1 A Pharma à des doses supérieures à la dose maximale recommandée. Le traitement avec Zolpidem - 1 A Pharma doit être arrêté chez les patients rapportant de tels comportements.
Accoutumance: Une certaine perte d’efficacité par rapport aux effets hypnotiques des sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem peut survenir au cours de l’utilisation répétée durant quelques semaines.
Dépendance: Bien que sans parenté chimique avec les benzodiazépines, le zolpidem (une imidazopyridine) agit sur le même complexe du récepteur GABA. Jusqu’à ce que l’on dispose d’une plus ample expérience, les précautions suivantes sont de rigueur avec Zolpidem - 1 A Pharma en raison de l’apparition possible d’un phénomène de dépendance:
La prise de sédatifs/hypnotiques comme le zolpidem peut mener à une dépendance physique et psychologique. Ce risque augmente lors de prise prolongée, de doses élevées ou chez des patients prédisposés. Il est aussi important chez les patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques, de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Ces patients devront faire l’objet d’une surveillance attentive.
Une fois que la dépendance physique s’est développée, l’arrêt brusque du traitement s’accompagne de symptômes de sevrage. Ils peuvent consister en maux de tête ou douleur musculaire, très forte anxiété et tension, nervosité, confusion et irritabilité. Dans les cas graves, les symptômes suivants peuvent se présenter: déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et fourmillements dans les extrémités, hypersensibilité à la lumière, au bruit et au contact physique, hallucinations ou crises épileptiques.
Les symptômes de sevrage surviennent après brusque interruption et se limitent, dans les cas les plus bénins, à des tremblements, de l’agitation, des troubles du sommeil, des angoisses, des maux de tête et des troubles de la concentration. Toutefois, d’autres symptômes tels que sudation, crampes musculaires et abdominales, troubles de la perception, et dans de rares cas, délires et crises d’épilepsie peuvent se manifester.
Selon la durée d’action de la substance, les symptômes de sevrage apparaissent de quelques heures à une semaine ou plus après interruption de la thérapie.
Afin de diminuer au maximum le risque de dépendance, les hypnotiques ne devraient être prescrits qu’après examen approfondi de l’indication, et être pris pour une période aussi brève que possible (en règle générale, pas au-delà de 4 semaines). La nécessité de continuer le traitement doit être périodiquement réexaminée. Un traitement prolongé n’est indiqué que chez certains patients, et son bénéfice, en comparaison des risques est moins évident.
Afin d’éviter des symptômes de sevrage, un arrêt progressif, pendant lequel les doses seront réduites graduellement, est conseillé. Lors d’apparition de symptômes de sevrage, une surveillance médicale très étroite et la prise en charge du patient sont indispensables.
Rebond d’insomnie: L’interruption d’un traitement hypnotique peut entraîner un rebond d’insomnie transitoire (réapparition de manière exagérée de l’insomnie initiale).
Il peut également s’accompagner d’autres symptômes comme: modification de l’humeur, anxiété et agitation («restlessness»).
Il est important que le patient soit informé de la possibilité de survenue de ces phénomènes de rebond, ce qui permettra de minimiser l’intensité de l’anxiété et des autres symptômes à l’arrêt du traitement.
En cas d’utilisation de sédatifs/hypnotiques à demi-vie courte, certains symptômes de sevrage peuvent survenir entre deux prises consécutives.

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