InteractionsUne influence médicamenteuse de l'organe soumis au test de provocation est à éviter. Par exemple, les antihistaminiques, les corticostéroïdes, les stabilisateurs de membrane et les médicaments dotés de certaines propriétés antihistaminiques peuvent causer des résultats faux négatifs.
Autant que faire se peut, ces médicaments ne devraient plus être administrés avant l'examen pendant la période correspondant à la durée de l'effet indiquée par le fabricant.
On évitera si possible de procéder à un test de provocation au moment de l'exposition naturelle.
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