Mises en garde et précautionsTous les tests de provocation, quel que soit l'organe cible, ne doivent être réalisés que pendant une période asymptomatique de la maladie.
Etant donné que l'adrénaline est recommandée pour le traitement des réactions secondaires allergiques, il y a lieu de tenir compte des contre-indications de l'adrénaline.
La prudence s'impose chez les patients présentant un haut degré de sensibilisation. Dans ces cas-là, de même que chez l'enfant ou en présence d'allergènes très agressifs, il est indiqué d'utiliser une dilution plus forte pour la solution-test de provocation ou plusieurs degrés de dilution, en particulier dans le test de provocation bronchique.
Avant le test de provocation bronchique, il y a lieu de préparer une inhalation rapide et efficace avec un bronchospasmolytique.
Lors du test de provocation nasale, une inhalation profonde de l'allergène est à éviter. On veillera donc à ce que le patient retienne son souffle pendant ce processus et qu'il expire ensuite immédiatement par le nez.
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