Données précliniquesLes études sur le développement prénatal chez le rat et le lapin n’ont pas révélé de potentiel tératogène après l’administration orale de picosulfate de sodium, mais une embryotoxicité a été observée chez le rat à la dose de 1000 et 10 000 mg/kg/jour et chez le lapin à la dose de 1000 mg/kg/jour. Les marges de sécurité correspondantes étaient 3000 à 30 000 fois supérieures à la dose prévue chez l’humain. Chez le rat, des doses journalières de 10 mg/kg administrées en fin de gestation (développement fœtal) et durant l’allaitement mènent à une réduction du poids corporel et du taux de survie de la progéniture. Chez le rat, la fertilité masculine et féminine n’a pas été affectée par des doses orales de picosulfate de sodium allant jusqu’à 100 mg/kg.
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