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Information professionnelle sur AMGEVITA:Amgen Switzerland AG
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Mises en garde et précautions

Infections
Comme avec les autres antagonistes du TNF, les patients doivent être étroitement surveillés avant, pendant et après un traitement par AMGEVITA afin de détecter toute survenue d'infections (tuberculose incluse).
Il est recommandé de ne pas instaurer de traitement par AMGEVITA à des patients présentant des infections actives (y compris infections chroniques ou locales) tant que ces infections ne sont pas maîtrisées.
Les patients présentant une nouvelle infection alors qu'ils sont déjà sous traitement par AMGEVITA doivent être surveillés étroitement et un bilan diagnostique complet doit être pratiqué.
Lorsqu'une nouvelle infection grave apparaît chez un patient, il est recommandé d'interrompre l'administration d'AMGEVITA jusqu'à ce que cette infection soit maîtrisée. Le médecin doit envisager avec prudence l'administration d'AMGEVITA pour des patients présentant des antécédents d'infections récidivantes ou des troubles sous-jacents les prédisposant aux infections.
Des infections graves dues à des infections bactériennes, mycobactériennes, fongiques invasives (histoplasmose disséminée ou extrapulmonaire, blastomycose, aspergillose, coccidioïdomycose), virales, parasitaires ou à d'autres infections opportunistes, ont été rapportées chez des patients ayant reçu un traitement anti-TNF-α.
Septicémie, infections à Candida, listériose, légionellose et infections à Pneumocystis ont été également rapportées chez des patients ayant reçu un traitement anti-TNF-α, adalimumab inclus. Des cas d'infections nécessitant une hospitalisation et ayant une issue fatale ont été rapportés. De nombreuses infections graves sont survenues chez des patients suivant parallèlement un traitement immunosuppresseur ayant pu les rendre, en plus de leur maladie sous-jacente, particulièrement susceptibles aux infections.
Tuberculose
Des cas de tuberculose, y compris d'apparition nouvelle et de réactivation de la tuberculose ont été rapportés chez des patients ayant reçu de l'adalimumab. Les rapports comprenaient des cas de tuberculose pulmonaire et extrapulmonaire (p.ex. disséminée).
Avant d'instaurer un traitement par AMGEVITA, il convient de rechercher chez tous les patients la présence éventuelle d'une tuberculose active ou inactive (latente). Il est recommandé d'inclure à cette recherche une anamnèse médicale précise permettant de détecter tout contact antérieur éventuel avec des personnes avec une tuberculose active ainsi que tout traitement immunosuppresseur antérieur ou en cours. La réalisation de tests de dépistage adaptés (p.ex. radiographie du thorax et test à la tuberculine) conformes aux recommandations locales est recommandée. Le traitement de la tuberculose active doit être instauré avant le début du traitement par AMGEVITA. Lorsqu'un test tuberculinique cutané est réalisé pour une tuberculose latente, une induration de 5 mm ou plus doit être considérée comme positive, même lorsqu'une vaccination par le bacille de Calmette et Guérin (BCG) a été antérieurement pratiquée.
On doit particulièrement veiller à la possibilité d'une tuberculose non détectée chez les patients provenant de pays où la prévalence de la tuberculose est élevée, ou ayant voyagé dans ces pays, de même que chez les patients en contact étroit avec des personnes atteintes de tuberculose active.
En cas de diagnostic d'une tuberculose latente, un traitement antituberculeux prophylactique doit être instauré conformément aux recommandations locales avant de commencer un traitement par AMGEVITA. L'instauration d'une prophylaxie de la tuberculose avant un traitement par AMGEVITA doit également être envisagée pour les patients présentant plusieurs facteurs significatifs de risque de tuberculose malgré un test de tuberculose négatif, et chez les patients atteints de tuberculose latente ou active lors d'antécédents médicaux, chez qui l'administration d'un traitement adéquat ne peut être confirmée. La décision d'instaurer un traitement antituberculeux chez ces patients devra dépendre autant du risque de tuberculose latente que du risque lié au traitement antituberculeux. Si nécessaire, il conviendra de consulter un médecin expérimenté en matière de traitement de la tuberculose.
L'administration d'un traitement antituberculeux en cas de tuberculose latente réduit le risque de réactivation de la tuberculose chez les patients sous traitement par AMGEVITA. Malgré une prophylaxie de la tuberculose, des cas de réactivation de la tuberculose sont apparus chez des patients traités par l'adalimumab. Des patients chez lesquels le test de dépistage de la tuberculose latente était négatif ont également développé une tuberculose active et quelques patients ayant été précédemment traités avec succès contre une tuberculose active, ont à nouveau développé une tuberculose pendant un traitement par antagonistes du TNF.
Il convient de surveiller les signes et symptômes d'une tuberculose active chez les patients recevant AMGEVITA, en particulier parce que le test de dépistage de la tuberculose latente peut éventuellement donner des résultats faussement négatifs. En particulier chez les patients gravement malades ou immunosupprimés, le test à la tuberculine peut donner des résultats faussement négatifs.
Il convient de recommander aux patients de consulter leur médecin en cas de survenue de signes/symptômes suggérant une tuberculose (p.ex. toux persistante, consomption/perte de poids, fièvre faible, apathie), pendant ou après le traitement par AMGEVITA.
Autres infections opportunistes
Des infections opportunistes, y compris des infections fongiques invasives, ont été observées sous adalimumab. Ces infections n'ont pas toujours été détectées chez les patients recevant des antagonistes du TNF, ce qui a retardé l'instauration d'un traitement approprié, avec parfois une issue fatale.
Les patients recevant un traitement anti-TNF-α sont plus susceptibles de contracter des infections fongiques graves, telles que l'histoplasmose, la coccidioïdomycose, la blastomycose, l'aspergillose, les infections à Candida et autres infections opportunistes. Chez les patients qui présentent des signes et symptômes tels que fièvre ou malaise, perte de poids, sueurs, toux, dyspnée et/ou infiltrats pulmonaires ou une autre maladie systémique grave avec ou sans choc concomitant, la consultation d'un médecin doit avoir lieu très rapidement.
Il convient de surveiller, chez les patients vivant ou ayant voyagé dans des régions à risque de mycoses endémiques, les signes et symptômes d'une infection fongique systémique potentielle, en cas d'infections fongiques invasives. Ces patients sont à risque de développer une histoplasmose ou une autre maladie fongique invasive, c'est pourquoi un traitement antimycosique empirique devrait être envisagé jusqu'à ce que le ou les agents pathogènes soient identifiés.
Des tests de dépistage des anticorps et antigènes de l'histoplasmose peuvent donner des résultats négatifs chez certains patients présentant une infection active.
Si possible, chez ces patients, la décision d'un traitement empirique par un antimycosique doit être prise en consultation avec un médecin expérimenté dans le diagnostic et le traitement des maladies fongiques invasives, en prenant en considération les risques d'une infection fongique grave ainsi que les risques d'une thérapie antimycosique.
Chez les patients développant une infection fongique grave, il est recommandé d'interrompre le traitement anti-TNF-α jusqu'à ce que l'infection soit maîtrisée.
Réactivation de l'hépatite B
Une relation a été établie entre l'utilisation d'antagonistes du TNF, adalimumab inclus, et la réactivation du virus de l'hépatite B (VHB) chez des patients porteurs chroniques de ce virus. Dans quelques cas, la réactivation du VHB sous traitement par antagonistes du TNF a eu des conséquences fatales. La plupart de ces patients prenaient concomitamment d'autres médicaments immuno-suppresseurs pouvant également contribuer à une réactivation du VHB. Il convient, pour les patients présentant un risque d'infection par le VHB, de rechercher des signes de cette infection avant de commencer le traitement par des antagonistes du TNF. Il convient de prescrire avec prudence les antagonistes du TNF aux patients identifiés comme étant porteurs du VHB. Il convient de surveiller de très près, chez les patients porteurs du VHB et ayant besoin d'un traitement par antagonistes du TNF, les signes et les symptômes d'une infection active par le VHB pendant le traitement et pendant quelques mois après la fin du traitement. Aucune donnée suffisante n'est disponible concernant la sécurité et l'efficacité chez les patients porteurs du VHB traités concomitamment par un antiviral et des antagonistes du TNF pour empêcher la réactivation de l'hépatite B. En cas de réactivation du VHB, le traitement par AMGEVITA doit être stoppé et un traitement antiviral efficace doit être instauré.
Événements neurologiques
Les anti-TNF, dont l'adalimumab, ont été mis en rapport avec de rares cas d'apparition ou d'aggravation de symptômes cliniques ou de preuves radiologiques de maladies démyélinisantes du SNC, y compris de sclérose en plaques (p.ex. paresthésie et troubles de la fonction oculaire, voir «Effets indésirables»), névrite optique et maladies démyélinisantes périphériques (y compris syndrome de Guillain-Barré). Le médecin prescripteur doit soigneusement évaluer l'utilité d'un traitement par AMGEVITA chez les patients présentant des troubles démyélinisants du système nerveux central ou périphérique, préexistants ou survenus récemment. L'arrêt du traitement par AMGEVITA doit être envisagé si de tels problèmes se manifestent.
Il existe un rapport connu entre l'uvéite intermédiaire et les maladies démyélinisantes du système nerveux central, y compris la sclérose en plaques. Les patients atteints d'affections rhumatismales et présentant également une uvéite intermédiaire non infectieuse doivent être examinés quant à la présence d'une maladie démyélinisante du système nerveux avant de commencer le traitement par AMGEVITA.
Réactions allergiques
Des réactions allergiques en rapport avec l'adalimumab (p.ex. éruption cutanée d'origine allergique, réaction anaphylactoïde, exanthème médicamenteux fixe, réaction médicamenteuse non spécifique, urticaire, œdème angioneurotique) n'ont été observées qu'occasionnellement au cours des essais cliniques. Après la mise sur le marché, des cas de réactions allergiques graves, y compris d'anaphylaxie, ont été spontanément rapportés à la suite de l'administration d'adalimumab. En cas de réaction anaphylactique ou d'autre réaction allergique grave, il est recommandé d'arrêter immédiatement l'administration d'AMGEVITA et d'instaurer un traitement approprié.
Caoutchouc naturel sec
Le capuchon protecteur de l'aiguille du stylo prérempli est en caoutchouc naturel sec (un dérivé du latex), lequel peut provoquer des réactions allergiques.
Tumeurs malignes
Pendant les phases contrôlées des études cliniques portant sur les antagonistes du TNF, un nombre plus important de tumeurs malignes, lymphomes inclus, a été observé chez les patients recevant des antagonistes du TNF que dans les groupes de contrôle. Toutefois, la taille des groupes de contrôle et la durée limitée des phases contrôlées des études ne permettent pas de tirer des conclusions décisives. De plus, chez les patients atteints d'une maladie inflammatoire fortement active, le risque de lymphome augmente, ce qui rend plus difficile une bonne évaluation des risques.
Des tumeurs malignes, dont certaines d'issue fatale, ont été signalées chez des enfants et adolescents ayant été traités par des inhibiteurs du TNF. Environ la moitié de ces cas étaient des lymphomes, tant hodgkiniens que non hodgkiniens. Les autres cas comprenaient diverses autres tumeurs malignes, dont certaines, rares, qui s'observent d'ordinaire en relation avec l'immunosuppression. Les tumeurs malignes se sont manifestées après en médiane 30 mois de traitement. La plupart des patients recevaient simultanément des immunosuppresseurs. Ces cas figurent dans des rapports post-marketing provenant de différentes sources, y compris des registres et rapports post-marketing spontanés.
Il existe de très rares rapports post-marketing de lymphome T hépatosplénique (en anglais: hepatosplenic T-cell lymphoma HSTCL) chez des patients traités par l'adalimumab. Il s'agit d'un type de lymphome agressif rare qui a souvent une issue fatale. Les patients en question étaient dans certains cas de jeunes adultes qui avaient été traités antérieurement par l'infliximab en association avec de l'azathioprine ou de la 6-mercaptopurine en raison d'affections intestinales inflammatoires. Le risque potentiel d'une administration concomitante d'azathioprine ou de 6mercaptopurine avec AMGEVITA doit être soupesé avec soin. Le rapport causal entre l'adalimumab et le lymphome T hépatosplénique n'est pas clarifié, mais ne peut pas être exclu.
En l'état actuel des connaissances, on ne peut pas exclure un risque possible d'apparition de lymphomes ou d'autres tumeurs malignes chez les patients traités par un antagoniste du TNF. Tous les patients, notamment ceux ayant des antécédents de traitement immunosuppresseur intense ou ceux atteints de psoriasis et ayant reçu auparavant une puvathérapie, doivent être examinés à la recherche d'un cancer cutané non-mélanome avant et pendant le traitement par AMGEVITA.
Des cas de leucémie aiguë et chronique ont été rapportés en relation avec l'utilisation, après leur mise sur le marché, d'inhibiteurs du TNF lors de la polyarthrite rhumatoïde et d'autres indications. Les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde présentent probablement un risque accru (jusqu'à 2 fois plus élevé) de développer une leucémie par rapport à la population générale, même sans traitement par des inhibiteurs du TNF.
Les données actuellement disponibles ne permettent pas de déterminer si le traitement par l'adalimumab influence le risque de développer des dysplasies ou un cancer du côlon. Tous les patients atteints de colite ulcéreuse qui présentent un risque accru de dysplasies ou de cancer du côlon (p.ex. patients souffrant depuis longtemps de colite ulcéreuse ou présentant une cholangite sclérosante primitive) ou qui ont des antécédents de dysplasies ou de cancer du côlon doivent être soumis régulièrement à des examens à la recherche de dysplasies éventuelles avant le traitement et pendant toute l'évolution de la maladie. Ces examens doivent inclure des coloscopies et des biopsies conformément aux recommandations nationales.
Les lymphomes intraoculaires peuvent ressembler à une uvéite et doivent être exclus avant le traitement par AMGEVITA chez les patients atteints d'affections rhumatismales et présentant également une uvéite intermédiaire non infectieuse.
Immunosuppression
Dans le cadre d'une étude pendant laquelle 64 patients atteints de polyarthrite rhumatoïde ont été traités par l'adalimumab, aucun signe d'affaiblissement de la réaction d'hypersensibilité tardive, de diminution de la concentration d'immunoglobulines ni de modification du nombre de lymphocytes T effecteurs, de lymphocytes B, de lymphocytes NK, de monocytes/macrophages ni de neutrophiles n'a été observé.
Vaccinations
Au cours d'une étude randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo, les réponses anticorps à des vaccins contre les pneumocoques et le virus Influenza (H1N1, H3N2, B) administrés simultanément ont été évaluées chez 226 patients adultes atteints de polyarthrite rhumatoïde et traités par l'adalimumab. 86% des patients du groupe adalimumab ont présenté des titres d'anticorps protecteurs contre au moins 3 des 5 antigènes pneumococciques, comparés à 82% dans le groupe placebo. Au total, 37% des patients traités par l'adalimumab et 40% des patients sous placebo ont présenté un titre au moins deux fois plus élevé d'anticorps dirigés contre au moins 3 des 5 antigènes pneumococciques. Dans la même étude, 98% des patients du groupe adalimumab et 95% des patients du groupe placebo ont présenté un titre d'anticorps protecteurs contre au moins 2 des 3 antigènes du virus de l'influenza. Au total, 52% des patients traités par l'adalimumab et 63% des patients sous placebo ont présenté un titre au moins quatre fois plus élevé d'anticorps dirigés contre au moins 2 des 3 antigènes du virus de l'influenza.
Chez les patients pédiatriques, il est recommandé de procéder si possible à la mise à jour de toutes les immunisations conformément aux directives applicables avant de commencer le traitement par AMGEVITA.
Les patients sous AMGEVITA peuvent être vaccinés, à condition que les vaccins utilisés ne soient pas des vaccins vivants. L'administration concomitante de vaccins vivants et d'AMGEVITA n'est pas recommandée, étant donné qu'on ne dispose pas de données correspondantes. Concernant la transmission secondaire d'une infection lors de l'administration simultanée de vaccins vivants et d'adalimumab, aucune donnée n'est disponible.
L'administration de vaccins vivants à des nouveau-nés ayant été exposés à l'adalimumab in utero n'est pas recommandée pendant les 5 mois après la dernière administration d'AMGEVITA durant la grossesse.
Insuffisance cardiaque
Une aggravation de l'insuffisance cardiaque et une augmentation de la mortalité due à l'insuffisance cardiaque ont été observées dans des études cliniques sur d'autres anti-TNF. Des cas d'aggravation d'une insuffisance cardiaque décompensée ont également été rapportés parmi les patients traités par l'adalimumab. AMGEVITA doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant une insuffisance cardiaque légère (classes NYHA I et II). AMGEVITA est contre-indiqué chez les patients présentant une insuffisance cardiaque modérée à sévère (classes NYHA III et IV). Si une apparition ou une aggravation des symptômes d'une insuffisance cardiaque se produit chez un patient, le traitement par AMGEVITA doit être arrêté.
Administration concomitante d'un inhibiteur d'antirhumatismaux biologiques de fond (DMARD) ou d'autres antagonistes du TNF
Des infections sévères ont été observées dans les études cliniques lors de l'administration concomitante d'anakinra et d'étanercept, un autre agent thérapeutique anti-TNFα. L'association était sans bénéfice comparée à l'utilisation d'étanercept pris seul.
La nature des effets indésirables observés avec l'association d'étanercept et d'anakinra laisse supposer l'apparition d'effets semblables lors de l'utilisation concomitante d'anakinra et d'autres agents thérapeutiques anti-TNFα.
Par conséquent, l'association d'AMGEVITA et d'anakinra n'est pas conseillée.
L'administration concomitante d'AMGEVITA avec d'autres DMARDS biologiques (p.ex. anakinra ou abatacept) ou d'autres antagonistes du TNF n'est pas recommandée à cause du risque éventuel d'infections et d'autres interactions pharmacologiques éventuelles.
Événements hématologiques
De rares cas de pancytopénie, y compris d'anémie aplasique, ont été observés sous un traitement par des antagonistes du TNF. Des effets indésirables concernant le système hématologique, y compris une cytopénie cliniquement significative (p.ex. thrombocytopénie, leucopénie), ont été observés lors d'un traitement par l'adalimumab. Il doit être indiqué à tous les patients de consulter sans attendre un médecin dans le cas où ils développent des signes ou des symptômes indiquant une dyscrasie sanguine (p.ex. fièvre persistante, hématomes, saignements, pâleur) lors d'un traitement par AMGEVITA. L'arrêt du traitement par AMGEVITA doit être envisagé chez des patients atteints d'anomalies hématologiques confirmées.
Autoanticorps
Le traitement par AMGEVITA peut entraîner la formation d'auto-anticorps. Les effets d'un traitement au long cours par AMGEVITA sur l'apparition de maladies auto-immunes ne sont pas connus. Si un patient sous traitement par AMGEVITA développe des symptômes lupiques, il convient d'arrêter le traitement par AMGEVITA (voir «Effets indésirables», «Auto-anticorps»).
Anticorps contre adalimumab
(Voir «Effets indésirables»).
Utilisation en gériatrie
La fréquence des infections graves était plus élevée chez les patients de plus de 65 ans traités par l'adalimumab que chez les patients de moins de 65 ans. Parmi les patients traités par l'adalimumab dans les études cliniques, 9,6% avaient 65 ans ou plus et environ 2,0% avaient 75 ans ou plus. Étant donné que l'incidence des infections est en général plus élevée chez les patients âgés, la prudence est de mise lors du traitement de ces patients.

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