Données précliniquesMutagénicité
Le rucaparib n’était pas mutagène lors d’un test de mutation bactérienne inversée (Ames). Le rucaparib a induit des aberrations chromosomiques structurelles lors du test d’aberrations chromosomiques des lymphocytes humains in vitro.
Carcinogénicité
Aucune étude de carcinogénicité n’a été menée avec le rucaparib.
Toxicité sur la reproduction
Des études de fertilité n’ont pas été menées avec le rucaparib. Lors d’études de toxicologie générale en doses répétées de 3 mois, le rucaparib n’a pas eu d’effets sur les organes reproducteurs mâles et femelles à des doses maximum de 100 mg/kg/jour chez le rat et de 20 mg/kg/jour chez le chien. Ces niveaux posologiques ont entraîné des expositions systémiques de l’ordre d’environ 0,3 et 0,09 fois l’exposition pour l’être humain (ASC0-24h), respectivement, à la dose recommandée.
Études du développement embryo-fœtal
Lors d’une étude du développement embryo-fœtal visant à déterminer l’intervalle posologique, des rates gravides ont reçu des doses orales de 50, 150, 500 ou 1000 mg/kg/jour de rucaparib au cours de la période de l’organogenèse. Une perte post-implantation (100 % de résorptions précoces) a été observée chez tous les animaux à des doses supérieures ou égales à 50 mg/kg/jour (avec des expositions systémiques maternelles de l’ordre d’environ 0,04 fois l’exposition pour l’être humain à la dose recommandée sur la base de l’ASC0-24h.
|