Données précliniquesLes données d'études précliniques sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité lors de prise répétée, la génotoxicité ou le potentiel cancérigène n'ont établi aucun risque particulier de l'utilisation chez l'homme. Au vu de la longue expérience clinique dont on dispose avec l'iode, aucune étude de cancérogénicité à long terme n'a été menée chez l'animal. Les études animales n'ont pas démontré d'effets tératogènes.
Dans le cadre des analyses de toxicité subchronique et chronique menées notamment chez des rats, seules des augmentations du taux de PBI (iode lié aux protéines) dans le sérum, en grande partie réversibles et dépendantes de la dose, ainsi que des modifications histopathologiques de la glande thyroïde non spécifiques ont été observées après l'arrêt de l'apport en povidone iodée.
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