Grossesse, allaitementGrossesse
Il n'existe pas de données sur l'utilisation du trémélimumab chez les femmes enceintes. Les études de reproduction sur des animaux n'étaient associées ni à une toxicité maternelle, ni à des effets sur le maintien de la gestation ou le développement embryofœtal (voir «Données précliniques»). En raison de son mécanisme d'action, le trémélimumab peut potentiellement affecter le maintien de la grossesse et peut nuire au fœtus s'il est administré à une femme enceinte. Il a été démontré que l'IgG2 humaine traverse le placenta. Le trémélimumab ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de méthode de contraception fiable pendant le traitement et pendant au moins 3 mois après la dernière dose, sauf si un traitement par le trémélimumab est nécessaire en raison de l'état clinique de la femme.
Allaitement
On ne dispose d'aucune donnée concernant la présence du durvalumab dans le lait maternel, son absorption, ses effets sur le nourrisson allaité et son incidence sur la production lactique. L'IgG2 humaine est excrétée dans le lait maternel humain. En raison des effets indésirables potentiels du trémélimumab chez les nourrissons allaités, il est recommandé aux femmes qui allaitent d'interrompre l'allaitement pendant le traitement et pendant au moins 3 mois après la dernière dose.
Fertilité
Il n'existe aucune donnée relative aux effets potentiels du trémélimumab sur la fertilité humaine.
|