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Information professionnelle sur Spikevax Bivalent Original / Omicron BA.4-5:Moderna Switzerland GmbH
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Données précliniques

La cancérogénicité deSpikevax et son effet sur la fertilité masculine n’ont pas été évalués chez l’animal. Étant donné que le Spikevax s’administre à court terme, il n’est pas nécessaire d’effectuer des études à long terme chez l’animal afin d’en évaluer le potentiel cancérogène.
Toxicologie animale
L’administration intramusculaire de Spikevax (ou d’autres vaccins à ARNm expérimentaux de Moderna) au rat, à la même formulation, jusqu’à 4 doses de 9 à 150 μg toutes les 2 semaines, a entraîné des érythèmes et œdèmes transitoires au point d’injection, des augmentations de la température corporelle et une réponse inflammatoire systémique généralisée. Des modifications transitoires et réversibles des tests de laboratoire (dont des augmentations des éosinophiles, du temps de céphaline activée et du fibrinogène) ont été observées. Une vacuolisation transitoire des hépatocytes et/ou une hypertrophie des cellules de Kupffer ont été observées, souvent sans élévation des enzymes hépatiques, et sont considérées comme une conséquence de la réponse inflammatoire systémique. En général, tous ces changements se sont résolus dans les 2 semaines.
Mutagenèse
Le SM-102, un composant lipidique propriétaire de Spikevax, n’est pas génotoxique selon le test de mutagénicité bactérienne et l’essai d’aberration chromosomique des lymphocytes du sang périphérique humain. Deux tests de micronoyau in vivo intraveineux ont été effectués avec des thérapies à ARNm en utilisant la même formulation à nanoparticules lipidiques (NPL) que le Spikevax. Les résultats équivoques observés à des concentrations systémiques élevées sont probablement dus à la formation de micronoyaux suite à une température corporelle élevée causée par la réponse inflammatoire systémique provoquée par les NPL. Le risque génotoxique pour les humains est considéré comme faible en raison de l’exposition systémique minimale suivant l’administration intramusculaire, la durée limitée de l’exposition et les résultats in vitro négatifs.
Toxicité sur la reproduction
Dans une étude de toxicité développementale, 0,2 ml d’une formulation vaccinale contenant la même quantité d’ARNm (100 microgrammes) et d’autres ingrédients inclus dans une dose unique de Spikevax chez l’homme a été administré à des rates, par voie intramusculaire, à quatre reprises: 28 et 14 jours avant l’accouplement, et aux jours 1 et 13 de gestation. Des réponses des anticorps anti-SARS-CoV-2 ont été observées chez les mères avant l’accouplement jusqu’à la fin de l’étude au jour 21 de l’allaitement, ainsi que chez les fœtus et la progéniture. Il n’y a eu aucun effet indésirable sur la fertilité des rates, la gestation, le développement embryo-fœtal ou postnatal de la progéniture. Aucune donnée n’est disponible sur le transfert placentaire ou l’excrétion dans le lait du vaccin mRNA1273.
Données pharmacologiques et d’efficacité chez l’animal
Des évaluations de pharmacologie non cliniques en modèle animal ont été effectuées sur des souris de type sauvage juvéniles et adultes (souches Balb/c, C57/BL6 et C4B6), des hamsters dorés et des primates non humains (macaques rhésus, PNH) afin de tester l’immunogénicité de Spikevax et la protection contre la provocation virale du SARS-CoV-2. Ces études précliniques ont démontré que le Spikevax était toléré et immunogène, qu’il protégeait les animaux vaccinés contre la réplication virale dans le nez et les voies respiratoires inférieures après provocation virale, à des doses aussi faibles que 1 μg chez les souris et les hamsters et 30 μg chez les PNH, et qu’il n’a pas induit de maladie respiratoire aggravée (MRA) à des posologies protectrices ou sous-protectrices chez ces modèles animaux. En outre, des réponses des lymphocytes T CD4 Th1 ont été mesurées chez toutes les espèces animales et une réponse CD8 solide a été mesurée chez la souris.

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